« J… Avec cet argument ingénu, l’auteur anonyme soumet au lecteur un roman paru en 1770 sous le titre . Un roman de jeunesse, donc, un exposé très détaillé des débuts d’un gourgandin à l’époque pompadour. Le cœur en pleine effloraison, c’est avec la sœur aînée d’un condisciple qu’il fera ses premiers essais. Mademoiselle. Déniaisé, amoureux et se croyant aimé (les artifices et fourberies du cœur féminin tardant encore un peu), il gagne Paris pour les vacances. Là, son père le présente à Madame V., une femme mûre . La douairière, très portée sur la chair fraîche, lui fait vite oublier les serments faits à la demoiselle Dulis. Découvrant qu’il n’est pas le seul partenaire des jeux sexuels de l’ogresse, il la quitte, mortifié, et retourne vers la Dulis, puis séduit une jeune cousine de celle-ci. Dulis fornique avec son professeur… Les Lumières s’affirment et tout le monde couche avec tout le monde. La deuxième partie du récit, qui se joue à Paris quelques années plus tard, est plus intéressante.
Libertin de second rayon
Aug 24, 2023
2 minutes
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