Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Ces Mignonnes Autres Créatures: L'histoire De Ben. Mais Est-Elle Vraie ?
Ces Mignonnes Autres Créatures: L'histoire De Ben. Mais Est-Elle Vraie ?
Ces Mignonnes Autres Créatures: L'histoire De Ben. Mais Est-Elle Vraie ?
Livre électronique73 pages1 heure

Ces Mignonnes Autres Créatures: L'histoire De Ben. Mais Est-Elle Vraie ?

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

There is no available information at this time.
LangueFrançais
Date de sortie13 nov. 2012
ISBN9781477243282
Ces Mignonnes Autres Créatures: L'histoire De Ben. Mais Est-Elle Vraie ?

Lié à Ces Mignonnes Autres Créatures

Livres électroniques liés

Fêtes et célébrations pour enfants pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Ces Mignonnes Autres Créatures

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Ces Mignonnes Autres Créatures - Agatha Jane

    Le 24 décembre 1995

    Du sommet d’une grande colline pouvait être vu, un petit village couvert de neige, blotti au fond d’une vallée. Le ciel était couvert de millions d’étoiles brillantes, et était si clair que toutes les étoiles connues ainsi que leurs constellations pouvaient être facilement découvertes. La ville est entrée en compétition aves les étoiles, imposant ses lumineuses et très colorées décorations de Noël. Le contraste entre l’immense illumination des étoiles et de cette imitation liliputienne faite par l’être humain, était si fort et éxcitant qu’il était difficile d’en décrocher la vue. Celle-ci était enrichie par les prairies, les forêts, et les maisons, blanchies par la neige. Tous ces éléments étaient regroupés dans un beau paysage, créant une atmosphère de fête.

    Tôt dans la soirée, le silence a été soudainement intérrompu par le vrombissement du moteur d’une voiture. Approchant la ville, le travail d’une machine épuisée était aisement entendu. Mais en analisant les bruits de ce fourbi, il était évident qu’il n’y avait pas que le moteur qui était usé; même la carrosserie et d’autres méchanismes de cette étrange voiture étaient dans une mauvaise condition, pleurant désespérément pour avoir de l’aide. Ils claquaient et faisaient des cliquetis. C’était un bus scolaire jaune avec dix places assises.

    Juste avant d’entrer dans la ville, il est passé près d’un panneau de signalisation indicant le nom et le symbole de la ville de Woodcyplou. Traversant la ville, il est passé près d’un autre signe indicant Kloukourikou 3 km. Après quelques minutes, passant par une route forestière, le bus a débouché dans une plaine, où sur la droite, était visibles des bâtiments de ferme et un étang de moyenne grandeur. C’était l’étang Kloukourikou.

    Le bus approchait de la grille de la ferme. Au-dessus de la barrière, sculpté dans du bois, il était inscrit : LE RANCH DE BEN. Franchissant la grille, le bus est arrivé dans une cour, et s’est arrêté devant la porte principale, d’une impressionnante maison en bois. À ce moment, quelques enfants se sont ‘évadés’ du bus, et avec beaucoup de bruit ont couru sur la terrasse, vers la porte. Partout le décor de Noël était visible. Sur le côté de la terrasse, un sapin de trois mètres de haut, était décoré d’ampoules multicolores.

    Une vieille dame est sortie de la maison, s’appuyant sur une canne. Reconnaissant les enfants, elle a laissé tomber sa canne tout en sautant de joie et souriant, elle essayait de les embrasser tous à la fois. Tout ce petit monde, avec Mémé au milieu est entré dans

    la maison.

    Quelques personnes sont apparues, en majorité des femmes qui aidaient les enfants impatients à enlever leurs manteaux et vestes. Tous étaient habillés élégament. Quatre filles se sont groupées devant un large mirroir dans le hall pour arranger leurs coiffures et robes, faisant de drôles de grimaces. La plus marrante était la plus jeune des filles, qui exerçait son geste de baise-main. Tout le monde est passé dans le grand salon, où d’autres personnes étaient occupées à faire les touches finales de la décoration d’une immense table, qui était placée au milieu de la pièce. Dans le coin droit était placé un sapin de Noël, encore plus beau que celui sur la terrasse - à son pied, il y avait une montagne de câdeaux de toutes formes. Dans l’un des murs, il y avait une grande cheminée, où le feu émettait de la chaleur et à l’occasion faisait voir les étincelles du bois brûlant.

    Les enfants saluaient les adultes. Il y avait du chahut, mais en général l’atmosphère était très joyeuse. De temps en temps étaient entendus des éclats de rire causés par de drôles de situations : en entrant dans le salon, un garçon s’est approché d’un homme grand et musculaire (probablement un sportif) et l’a salué d’un geste typique de footballeurs pendant leur change de joueurs; en envoyant une jambe en arrière et tappant dans la main de

    son adversaire :

    - Haut les mains !!

    Un autre garçon, de six ans, vêtu d’un costume d’officier de marine, avec une casquette sur la tête, avançait vers chaque femme dans la pièce, et puis vers chaque homme, leur faisant un salut militaire. En exécutant ce geste, il était très sérieux, pendant que les autres personnes autour s’amusaient beaucoup. Les filles étaient toutes aussi marrantes; l’une d’elles marchait autour du salon habillée dans une robe de bal, et saluait tout le monde avec une révérence royale. Une autre, la plus jeune, n’approchait que les hommes, tendant sa main pour se la faire embrasser. Comme elle n’avait que deux ans, en présentant sa main, elle devait lever tout son petit corps sur la pointe de ses petits pieds.

    Après un moment, Mémé les a tous invité dans la salle à manger. Elle s’est avancée doucement et lentement, et a pris place au bout de la longue table. Quand elle était comfortablement assise, elle a donné des instructions où chacun devait être assis.

    Les enfants occupaient les chaises près de Mamie (sept places), et les adultes étaient plus loin. Quand tout le monde a pris place, il est apparu que la chaise à l’opposé de Mamie restait vide. Sur le

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1