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Petite Histoire d'Amour
Petite Histoire d'Amour
Petite Histoire d'Amour
Livre électronique151 pages3 heures

Petite Histoire d'Amour

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À propos de ce livre électronique

Comté de Knox , Août 1863.

Les sentiments vont bon train après la bataille de Gettysburg, et bien que le projet ne soit pas encore arrivé à Knox, “Knox ensanglanté” réclamera des vies l’année prochaine comme les citoyens tentant d’éviter le projet de l’Union. Le frère de Clara Salomon a disparu, et Clara est restée pour gérer la ferme de famille, prenant soin de sa mère et de sa jeune sœur, Cecelia.

Pendant ce temps, les blessés de la bataille du Col de Monterey sont encore capable d’échapper aux Forces de l’Union, Jasper et son ami Horace sont perdus et affamés. Jasper veut retrouver son chemin vers la Confédération, mais se sent honoré de ramener Horace à sa famille, bien que l’homme semble réticent.

LangueFrançais
ÉditeurBadPress
Date de sortie8 mars 2018
ISBN9781547520701
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    Petite Histoire d'Amour - Lexy Timms

    Petite histoire d’amour

    Série de Romance Sudiste

    Livre 1

    Par

    Lexy Timms

    Droit d’auteur 2015 by Lexy Timms

    C:\Users\hjnru_000\Documents\1Summer Covers2015\BookCoverBD\Little Love Affair E-Book Cover.jpgC:\Users\hjnru_000\Documents\1Summer Covers2015\BookCoverBD\Little Love Affair Facebook Cover Art.jpg

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    Il s’agit d’un travail de fiction. Les noms, les personnages, les lieux, les marques, les médias, et incidents sont soit le produit de l’imagination de l’auteur où sont considérées comme fictifs. Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes où décédés, événements, où des locaux et une pure coïncidence. L’auteur reconnait la marque commerciale et le détenteur de la marque des diverses produits référencés dans ce travail de fiction, qui ont été utilisés sans permission. La publication/utilise ces marques déposées n’est pas autorisé, associé avec, où sponsorisé par le détenteur de la marque déposée.

    TOUS DROITS RESERVES.

    DROITS D’AUTEUR 2015 PAR Lexy Timms

    Série Romance Sudistes

    C:\Users\hjnru_000\Documents\1Summer Covers2015\DoD&Southern\Southern Romance Poster.jpg

    Petite histoire d’amour

    Livre 1

    Le siège du cœur

    Livre 2

    Liberté Eternelle

    Livre 3

    Fortune du soldat

    Livre 4

    C:\Users\hjnru_000\Documents\1Summer Covers2015\BookCoverBD\Little Love Affair 3D Image of Book Cover Black.jpg

    Contenu

    Série Romance Sudiste

    Prologue 5

    Chaptire 1  7

    Chapitre 2  13 

    Chapitre 3  19

    Chapitre 4  27

    Chapitre 5  36

    Chapitre 6  42

    Chapitre 7  49

    Chapitre 8  55

    Chapitre 9  60

    Chapitre 10  65

    Chapitre 11  71

    Chapitre 12  77

    Chapitre 13  83

    Chapitre 14  90

    Chapitre 15  96

    Chapitre 16  103

    Chapitre 17  109

    Chapitre 18  115

    Epilogue  121

    Prologue

    Ses jambes étaient proche de se dérober. Jasper haletait dans l’effort. Le bras de son ami pendait inutilement au cou de Jasper, et ses pieds trébuchaient sur les racines des sous-bois. Sa tête reposait sur l’épaule de Jasper, le souffle traînant dans ses poumons et dans ses halètements, et sa peau était entrain de brûler.

    La sueur ruisselait sur le front de Jasper dans la chaleur du mois d’Août. Il avait depuis longtemps déboutonnés sont manteau, inconscient de mœurs, mais cela ne faisait pas vraiment la différence. Il transportait un soldat blessé sur un terrain rude, et l’effort s’inscrivait sur sa chemise jusqu’à son torse transpirant. Il était si fatigué à présent qu’il n’a même pas pris la peine d’écarter les mouches qui soulevaient les zébrures sur sa peau.

    O-Où... La voix de son ami sorti à peine audible.

    Juste un peu plus loin, gérait Jasper. C’était tout ce qu’il avait dit depuis des jours à présent comme l’état d’Horace se détériorait et l’homme glissait plus avant dans le délire. Il ne dit pas à Horace que sa propre force disparaissait, et qu’il n’avait pas mangé depuis trop longtemps. Il ne partageait pas la terreur qui le maintenait toute la nuit éveillé.

    Même ici dans les forêts, très loin des champs de bataille, la guerre les suivait dans la puanteur de la blessure d’Horace, dans des mots délirants, il parlait aux ténèbres, Laisse-moi partir. Laisse-moi mourir.

    Juste un peu plus loin, Jasper suppliait avec lui

    Je les ai ratés, chuchotait Horace.

    Jasper s’agenouilla entre les arbres et priait pendant que son ami dormait: pour que la blessure guérisse, pour de l’eau le jour prochain, pour de la nourriture qu’ils pouvaient récupérer, pour la sécurité dans les bois du Nord. C’était un chemin détourné qu’ils prenaient, contournant les forêts et les champs, et le retard était entrain de tuer Horace.

    L’étouffement attira son attention. Jasper frappait le sol, ses genoux fléchi comme Horace vomissait. Toute l’eau qu’il avait réussie à lui faire boire il y a une heure s’était évacuée et le visage d’Horace était devenu cireux.

    Horace. Reste avec moi.

    Mais la tête de l’homme penchait sur le côté. Son souffle sifflait faiblement dans ses poumons. Du pus s’infiltrait du pansement de son épaule

    Jasper regardait autour désespérément. Comme s’il pouvait avoir le Foyer d’Horaire...

    Si Jasper attendait cela, Horace mourrait. Les yeux de Jasper se fixèrent sur une petite maison en ruine à travers les arbres, les murs dégringolant et un demi toit tacheté d’ombres par la canopée de la forêt. En aval de la colline, il attrapait le reflet des champs de blé. Il n’y avait rien pour ça à présent. Il était à moitié mort. Il prendrait son courage entre ses mains, cacherait son manteau et enterrerait sa fierté, et il demanderait les médicaments et la nourriture dont il avait besoin.

    Il glissait son bras sous l’épaule d’Horace et se redressa de lui-même, le corps de l’homme tenait dans ses bras qui tremblaient. Seulement juste quelques pas de plus.

    Tiens le coup, chuchotait Jasper à son ami. Juste quelques minutes de plus. Juste tient un petit peu plus longtemps.

    Chapitre 1

    Ses propres sanglots résonnaient dans les oreilles alors que Clara courait, sa robe s’accrochant sur les ronces et ses cheveux blonds traînaient de son chignon pour dégringoler dans son dos. Elle pouvait à peine respirer avec ce point de côté et ses pieds lui faisaient mal, mais elle ne pouvait pas s’arrêter de courir. La falaise était en avance, une promesse de vent et le chant des oiseaux loin de la chaleur oppressante du mois Août. Un endroit où elle pourrait être seule, où elle pouvait laisser sa tristesse  sortir d’elle sans effrayer Cecelia, sans déclencher le chagrin calme de sa mère.

    Elle trébuchait sur le rebord, les yeux fermés d’épuisement, et sentit la morsure du granit dans ses paumes, ses genoux. Son souffle traînant dans ses poumons, le corsage de sa robe se resserrant douloureusement, et ses jambes tremblaient. Serait-elle capable de se relever? Elle s’en fichait presque. Essayant de se stabiliser, elle levait les yeux enfin, et sentit quelque chose se libérer profondément dans sa poitrine.

    La vue s’étendait devant elle tel que rien d’autre dans le monde: de grands arbres s’éclipsaient par les houles massives de la terre, l’odeur des fleurs sauvage dans la brise et l’ombre des nuages filant à toute vitesse à travers la terre. La création de Dieu dans toute sa gloire, rappelant à Clara combien dans le reste du monde elle avait cru une fois. Et encore, en regardant vers la mer verte, avec le fracas des vagues au dessous de ses oreilles, elle pouvait sentir les larmes couler sur ses joues. Salomon l’avait amené là même lorsqu’elle était très petite faisant l’ascension par lui-même, la portant sur son dos, et elle avait cru qu’il était le plus courageux, le plus sage, le plus fort des frères aînés qu’une fille puisse avoir. Un frère qui ne la quitterait jamais.

    Un sanglot éclata d’elle, un gémissement en se mordant la lèvre et les mains crispées ne pouvait rester dedans. C’était puéril d’être ainsi défait par cela, lorsque le comté de Knox était rempli de femmes avec la tête haute qui tenaient de, jeunes enfants dans leurs bras. Tout le monde avait perdu quelqu’un. Chaque famille avait enterré un fils, où un père, où un cousin — et le reste d’entre eux continuaient avec dignité, même si leurs yeux étaient couverts de douleur.

    Même chez elle, Cecelia pleurait doucement parfois la nuit, et leur mère avait appris à regarder dans le feu sans mots dire, comme si son âme avait fui son corps. Mais la lumière du jour venait, ils ont ravalé leur chagrin et ont continué comme si...comme si tout allait de l’avant, avec où sans Salomon. Comme s’ils avaient réussi à accepter qu’ils ne pourraient jamais savoir si qu’il lui été arrivé soit qu’il soit vivant où mort, s’il avait été prisonnier, s’il ne reviendrait jamais à la maison. Comme si ne pas savoir ne les détruisaient pas.

    Les jours lorsqu’elle l’accablait, quand Clara était allée dans la forêt pour se cacher et pleurer, se lavant le visage dans le courant avant de rentrer à la maison, ce qu’elle enviait était la nature sans complication de la tristesse de sa famille. Pour leur mère, c’était la perte d’un enfant. Pour Cecelia, c’était une trahison de Confédéré et la perte d’un frère qui était gentil, qui avait été fiable. Quand est-ce que Salomon les avaient déçus? Jamais.

    Toutefois, il avait déçu Clara. Il l’avait porté jusqu’à cette vue avant de partir, grave et calme, et il avait pris ses deux mains dans les siennes et lui avait fait promettre qu’il s’occuperait d’eux.

    La ferme est la chose la plus importante, disait-il sérieusement. Celle-ci gardera notre famille à jamais si nous pouvons la rendre encore plus forte, toi et moi.

    Tu n’a pas peur de tout laisser à ta petite sœur? Avait-elle demandé malicieusement, essayant d’éclaircir son humeur, mais ses doigts se resserrèrent seulement autour des siens.

    Demandant silencieusement tu es plus forte que tu ne le dis. Elle mettait une mèche de cheveux derrière son oreille. Et intelligente et brave. Il inspirait profondément. Quelques fois, je pense, que tu es trop indépendante pour ton propre bien. Tu sais, tu n’auras pas à faire tourner la ferme seule, lorsque je m’en irais."

    Salomon... Elle savait où cela conduirait.

    Cyrus ferait un bon mari, disait Salomon violemment. Son visage toujours adouci lorsqu’il parlait à son ami, et elle connaissait le regard d’espoir dans ses yeux. Cyrus était un homme bon, chanceux, et pour Salomon, c’était la solution parfaite: sa petite sœur marié à un homme bon, un ami de confiance. Il ne voulait pas la forcer, mais il l’espérait. Je lui ai parlé.

    Tu ne l’a pas fait! Elle voulait se faire toute petite. Oh, Salomon...

    Je lui ai juste demandé de s’occuper de toi en mon absence. Je ne veux pas te quitter sans t’avoir installée."

    Je suis installée, disait-elle simplement. J’ai seulement dix neuf ans, Sal. J’ai Cee, et Mère. Tu reviendras bientôt vers nous, n’est ce pas?

    Je ne peux te le promettre. Son visage était angoissé Tu sais que je ne peux pas. Cyrus sera gentil avec toi, et où il y a de la bonté l’amour peut grandir. Clara, disait-il et soupirait. Pense à cela.

    J’y penserais, disait-elle car c’est la seule chose qui ferait disparaitre sa peur, et car son sourire de soulagement était comme l’aurore. Elle enveloppait ses bras autour des épaules de son frère et le tint serré. Promets-moi que tu reviendras, Salomon.

    Je promets, lui dit-il, les mots

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