La connexion malienne

Par Silvia Roberts

Lance, mâle alpha et homme à femmes, est agent secret à la prestigieuse DGSI, services de renseignement français. Il collabore avec Anita, une charmante jeune femme blonde, qui ne le laisse pas indifférent. Mais Anita est distante, se refuse à lui. Une première pour Lance.
Alors qu'ils reviennent sur leur première mission à Berlin, devant leur supérieur Marko Astic, Lance et Anita lui évoquent une piste malienne, qui serait une cellule mère de l’organisation terroriste Daesch.
Marko décide de les envoyer au Mali pour débusquer Mohammed Aftaka, soupçonné d'être la connexion malienne des attentats du 13 novembre et de Berlin. Anita et Lance ne savent pas encore qu'ils vont tomber sur un véritable sadique...

Ce livre contient des scènes à caractère sexuel, pour 18 ANS ET + SEULEMENT.

• Langue: Français
• Éditeur: Silvia Roberts
• Date de sortie: 7 oct. 2016
• ISBN: 9781370712311

Aperçu du livre

FER DE LANCE

La connexion malienne

Silvia Roberts

Copyright © 2016 Silvia Roberts

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Les personnages et les situations de ce récit étant purement fictifs, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

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Prénom : Lance. Fonction : Agent secret.

Mâle alpha, homme à femmes, depuis mes seize ans je n'avais jamais été sans une fille. Sans pour autant éprouver une quelconque dépendance affective. Je n'avais dit « Je t'aime » à aucune compagne. Ma petite amie actuelle Isabella ne faisait pas exception à la règle. J'aimais être désiré par les femmes.

La nature m'avait doté d'un physique avantageux, et j'avais toujours plu aux femmes. J'étais un grand séducteur. Possédant un appétit sexuel vorace, j'avais besoin qu'une douce me comble sur ce plan. Isabella me faisait toujours du bien. Ses suaves lèvres buccales, sur le contour de mon gland, ses radieuses grandes lèvres vaginales, d'entre lesquelles je venais régulièrement m'immiscer, tout cela était à mon goût. La belle italienne savait toujours me satisfaire. Elle avait une fellation royale, qui ne manquait pas de m'envoyer loin. Lorsque je rentrais fatigué, elle était toujours aux petits soins avec moi et n'hésitais pas à s'agenouiller prestement devant moi pour me sortir la verge du pantalon, et me ronger le dard comme il se devait. Elle savait prendre mon membre en main, le faire durcir, décalotter ma verge et délicieusement engouffrer sa langue dans le trou de ma bite. Puis elle léchait tout le pourtour de mon gland devenu rouge vif. La belle me mangeait la queue radieusement, en venant exercer de longues et lentes allées et venues depuis mon gland jusqu'au bout de ma tige, proche de mes testicules alors moites et pendantes. La belle allait jusqu'à me pourlécher les bourses, n'oubliant aucun poil de mes couilles savamment dévorées. A ce moment là, je pouvais relaxer.

Mais souvent, ma belle italienne, pour me combler de plaisir, ne me laissait aucun moment de répit. Entrelaçant ma verge raide avec ses deux mains, elle faisait onduler sa langue