Toutes ces choses qui vous empoisonnent la vie et comment s'en débarrasser !

Par B Duche

Les autres !
N'est-ce pas la première chose qui vient à l'esprit quand on pense à tout ce qui nous empoisonne la vie?!
Ou bien pensez-vous d'abord à la maladie, aux accidents, aux problèmes d'argent, au chômage, à la vieillesse ?...

Or, qu'on le veuille ou non, toutes ces situations et ces relations difficiles sont là pour nous aider.
Oui, je sais, sur le moment, c'est dur à avaler. Mais la vie les place sur notre chemin non pas pour nous tester, nous punir ou nous accabler mais pour nous aider à réaliser quelque chose sur nous-même.
Quelque chose de vrai, de profond, de subtil, une vérité cachée nous concernant, quelque chose qui devrait nous faire réfléchir et changer de point de vue, bref quelque chose qui nous aide à nous transformer.

C'est le sens de la vie.
Et quand ça arrive... ou bien c'est une révélation, ou bien on passe complètement à côté et on s'enferme encore plus dans nos certitudes. Et dans ce cas, ça nous reviendra, sous une forme ou une autre, jusqu'à ce qu'on comprenne enfin de quoi il s'agit et ce qu'on doit changer en nous-même.
C'est fou comme on mésestime l'importance de notre propre vision sur le déroulement des situations.

Bref, a-t-on vraiment besoin d'aller toujours chercher à l'extérieur ce qui nous empoisonne la vie ?

• Langue: Français
• Éditeur: B Duche
• Date de sortie: 3 nov. 2015
• ISBN: 9791092804386

B Duche

Born and raised in France, Benoît Duché lived in New York for six years where he directed a famous French haute-couture house in North America. For the past eight years, he has been writing books as well as short and long feature scripts of human interest fictions set in mixed cultural/historical/social backgrounds. In June 2007, he exhibited some of his watercolours at the gallery Etienne de Causans, rue de Seine in Paris and granted the profits to the VBMC in Congo.

Aperçu du livre

LES AUTRES !

« L'enfer, c'est les autres »

JP Sartre

Les autres !

N'est-ce pas la première chose qui vient à l'esprit quand on pense à tout ce qui nous empoisonne la vie ?!

Ou bien pensez-vous d'abord à la maladie, aux accidents, aux problèmes d'argent, au chômage, à la vieillesse ?...

Qu'on le veuille ou non, toutes ces situations difficiles et ces relations délicates sont là pour nous aider.

Oui, je sais, sur le moment, c'est dur à avaler. Mais la vie les place sur notre chemin non pas pour nous tester, nous punir ou nous accabler, mais pour nous aider à réaliser quelque chose sur nous-mêmes.

Quelque chose de vrai, de profond, de subtil, une vérité cachée nous concernant, quelque chose qui devrait nous faire réfléchir et changer de point de vue, bref qui nous aide à nous transformer.

C'est le sens de la vie.

Et quand ça arrive... soit c'est une révélation, soit on passe complètement à côté et on s'enferme encore plus dans nos certitudes. Et dans ce cas, ça nous reviendra, sous une forme ou une autre, jusqu'à ce qu'on comprenne enfin de quoi il s'agit et ce qu'on doit changer en soi.

Changer, oui, mais changer quoi ? Des comportements, des réactions, des automatismes, des habitudes, des attitudes d'esprit, des enchaînements de pensées, des associations d'idées…

Souvent, il suffit de changer sa vision de soi et des autres.

C'est fou comme on mésestime l'importance de notre propre vision sur le déroulement des situations.

Prenez le cas de voisins particulièrement bruyants !

J'en ai eu à un moment donné. J'ai tout essayé ! J'ai crié, j'ai tapé au mur, j'ai été tour à tour aimable et menaçant. Je leur ai même offert des pantoufles et des chocolats en les suppliant, s'il vous plaît, de grâce, moins de bruit.

Rien à faire !

Jusqu'au jour - ou plutôt une nuit... d'insomnie - où je me suis dit : « Qui suis-je pour leur imposer ma façon de vivre ? Bon, d'accord, ils se couchent quand je me réveille. Ce n’est pas une raison… Ils ont le droit de vivre leur vie, même si ce n'est pas la mienne?! Je ne peux pas les forcer de vivre comme moi.  A part ce léger différend (doux euphémisme…), ils sont sans doute très bien ! Pour preuve le défilé chez eux toutes les nuits ! Si j'essayais d'arrêter de les considérer comme des horribles et de nourrir les pires pensées