Bouddha a dit un jour : "Ce n'est pas l'ennemi ou l'adversaire qui vous contraint à faire le mal".
Le mal, c'est un choix que nous pouvons (ou non) faire, en fonction de la façon dont nous jouons les cartes que le karma nous attribue. Il devrait en être de même pour le bien.
Nous ne pouvons rien changer au destin, la main est ce qu'elle est, mais quand, si et quelle carte nous jouons, c'est notre décision, cela influence notre karma futur.
Eh bien, vous ne croyez pas vraiment au karma ? Qu'est-ce qui serait mieux, la drogue ou l'alcool ? Ou continuer à jouer le rôle que vous avez imaginé pour cette vie ? Ce sont vos cartes, vous pouvez jouer ce que vous voulez.
La fin est claire pour nous tous, le chemin qui y mène est le but, dans la vallée des aveugles, la borgne est la reine. Comment allons-nous passer le temps jusqu'à l'échéance ? Futile ou utile, centré ou flippé, intelligent ou stupide ? Achetez-en six pour le prix d'une demi-douzaine, rendez le monde un tout petit peu meilleur.
Le mal ou le bien ne sont au final que des jugements de valeur, mais au fond de nous, nous avons une sorte de boussole, nous "savons" ce qui est bien et ce qui est mal. Votre jeu, votre moment, votre vie, des meurtres et des assassinats dans l'abonnement quotidien, des cadeaux enchantés qui fondent comme du chocolat. Rien ne restera de ces moments "magiques". Wild thing, sex, drugs and rock n roll. Que des rêves qui s'estompent lentement, les témoins de l'époque s'éteignent. Coup de pied au cul, OMG.
Si vous voulez à nouveau faire quelque chose dont vous n'êtes pas vraiment convaincu, pensez aux cartes que la vie vous a attribuées. Et réfléchissez à la carte que vous allez jouer et à l'impact que cela aura sur votre karma futur. Vivre la vie pour ainsi dire à l'envers, que ressentez-vous lorsque vous l'imaginez ?
Comment une action se répercute-t-elle sur le destin, quelles sont les conséquences qui nous attendent, qu'est-ce qui traîne en longueur, qu'est-ce qui va vite ? La loi de cause à effet dont parlait Bouddha, qu'est-ce qui nous aide, comment pouvons-nous penser, comment pouvons-nous ressentir ? Laisse tomber, on en parle depuis longtemps.
Bouddha avait raison, nous ne sommes pas forcés d'agir, nous pouvons choisir. Quel serait votre choix ? Et tout au long de la journée, nous pouvons choisir des choses et des gens, prendre des opportunités ou en laisser de côté, selon nos goûts. Ici, les bouddhistes suivent le corps, qui est plus apte que l'esprit à classer de nombreuses choses.
Le chemin est le but !

Mon corps est de telle nature, il en sera ainsi, je ne peux échapper à ce destin.
- Bouddha - nom d'honneur de Siddharta Gautama - 560 à 480 avant l'an zéro

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