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Elles, parfois « Nous »: Suivi d’autres poèmes
Elles, parfois « Nous »: Suivi d’autres poèmes
Elles, parfois « Nous »: Suivi d’autres poèmes
Livre électronique52 pages20 minutes

Elles, parfois « Nous »: Suivi d’autres poèmes

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À propos de ce livre électronique

Recueil de 30 poèmes, cet ouvrage se compose de deux parties distinctes : la première comprend treize poèmes dédiés à « Elles », dépeignant des portraits de femmes, et parfois associés à « Nous ». La seconde partie, quant à elle, est plus personnelle, explorant les thèmes de la nuit et de la vie. Chaque vers qui se déploie crée une ambiance unique, évoquant des échos de pas dans la quiétude de la nuit.


À PROPOS DE L'AUTEUR

Éric Le Grossec, s'inspirant du poème de Parménide, à son tour influencé par Les névroses de Maurice Rollinat, recherche une union entre réflexion et forme poétique. Son objectif est d'atteindre un équilibre harmonieux entre ces deux aspects et à travers son livre, il propose plus qu’il n’impose « une vue sur le Monde ».

LangueFrançais
Date de sortie2 nov. 2023
ISBN9791042205720
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    Elles, parfois « Nous » - Éric Le Grossec

    Tendresse

    Ou la tentation de l’ermite

    Parfois, je dois bien l’admettre,

    J’ai quand même besoin de tendresse.

    Non pas mon chat que je caresse,

    Mais d’une femme qui aurait du « charme » à se mettre.

    « Le Temps est enfant qui joue avec des dés »

    Disait-on en Grèce Antique, et cela fait des années,

    Que je n’ai plus le souvenir d’avoir passé une bonne soirée,

    En charmante compagnie, comme l’on dit en français…

    Encore une fois, cette question qui se pose :

    « Pour quoi ce besoin d’Autrui ? », de sentir une personnalité,

    Une peau tiède (se réchauffant) contre la sienne ?

    Ou est-ce ma Conscience qui fait des siennes ?

    Une presqu’île qu’ils boiront, comme un café trop réchauffé

    Assise, presque indifférente, il ne pouvait pas ne plus la regarder,

    Ainsi, tel un automate du cœur fané de mille miroirs brisés de félicité,

    Ou d’ennui. « À quoi bon ? », « Pour quoi ? » se rassérénait-il !

    Assis, tendu dans sa différence de la nuit qui n’évacue plus rien ; Il

    Sous-tendait des sentiments jusqu’alors inconnus, comme une voile à la beauté,

    Ou un voile de Vérité qui ne se donnerait qu’à une incertaine action…

    Il aurait voulu pouvoir la garder,

    Telles les fictions de sa perception de bruits du Café saturé.

    Liberté perdue, il ne pouvait signifier « non ».

    En effet, la velléité non consommée encor’,

    Sa perception perdue dans ce corps,

    Indifférent.

    « À quoi bon ? »

    Désillusions

    Des illusions.

    Du froid du cœur au cerveau transmis,

    De la tempête aux ravages infinis, remis

    De sa finitude inaccomplie.

    Elle ne sera pas « nous » – « non » son

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