Pour le salut de Katrina
Par Barbara Cartland
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À propos de ce livre électronique
— Nous sommes invités chez le Duc de Lyndbrooke. Je vous conseille de rester modeste et de vous faire oublier, mademoiselle !
Ce sermon n'étonne pas Katrina Darley. Sa tante, jalouse de sa fraicheur, l'a toujours détestée. De toute façon, Katrina n'a nullement l'intention de faire son intéressante.
Pourtant, elle va découvrir au château de Lyndbrooke un univers de luxe enchanteur. Quant au propriétaire, il est beau comme un Dieu. Mais comment la remarquerait-il au milieu de ces belles dames sophistiquées qui rivalisent afin d'attirer son attention ?
Jusqu'au soir où le duc, surpris dans la chambre de la sulfureuse Anastasia de Calverton, saute du balcon pour atterrir sur celui de Katrina. Malheureusement, sa présence est découverte.
Il n'y a qu'un moyen de préserver la réputation de la jeune fille.
Mais la redoutable Anastasia n'est pas prête à se laisser supplanter par une vulgaire débutante !
© Barbara Cartland, 1987, 2022, Saga Egmont
Pour la traduction française :
Pour le salut de Katrina © Éditions J'ai lu, 2004
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Aperçu du livre
Pour le salut de Katrina - Barbara Cartland
Barbara Cartland
Pour le salut de Katrina
Traduit de l’anglais
par Marie-Noëlle Tranchart
SAGA Egmont
Pour le salut de Katrina
Traduit par Marie-Noëlle Tranchart
Titre Original The love puzzle
Langue Originale : Anglais
© Barbara Cartland, 1987, 2022, Saga Egmont
Pour la traduction française :
Pour le salut de Katrina © Éditions J’ai lu, 2004
Cover image : Shutterstock
Cover layout : Grafiskstue.dk
Copyright © 2004, 2022 Barbara Cartland et SAGA Egmont
Tous droits réservés
ISBN : 9788728394267
1e édition ebook
Format : EPUB 3.0
Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée/archivée dans un système de récupération, ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, sans l’accord écrit préalable de l’éditeur, ni être autrement diffusée sous une forme de reliure ou de couverture autre que dans laquelle il est publié et sans qu’une condition similaire ne soit imposée à l’acheteur ultérieur.
www.sagaegmont.com
Saga est une filiale d’Egmont. Egmont est la plus grande entreprise médiatique du Danemark et appartient exclusivement à la Fondation Egmont, qui fait un don annuel de près de 13,4 millions d’euros aux enfants en difficulté.
NOTE DE L’AUTEUR
Dans ce roman, le duc est à la recherche de la Toison d’or.
Selon la mythologie grecque, Jason et ces héros que l’on appelait les Argonautes étaient partis en Colchide à la conquête de la fameuse Toison d’or. Il s’agissait de la précieuse dépouille d’un bélier fabuleux : un bélier ailé qui avait été sacrifié par Phrixos. Depuis, cette toison était gardée par un dragon qui ne dormait jamais.
Après avoir vécu d’incroyables aventures et surmonté de nombreux obstacles, Jason parvint à dérober la Toison d’or.
Se mettre en quête de la Toison d’or… On emploie maintenant cette expression au sujet d’un homme cherchant à obtenir l’impossible.
1
1872
Lady Branston était furieuse.
— C’est ridicule ! s’exclama-t-elle. Absolument ridicule. Réfléchissez, mon ami ! Nous ne pouvons quand même pas imposer au duc de Lyndbrooke la présence d’une stupide jeune fille d’à peine dix-huit ans !
— Pourquoi voulez-vous que Katrina soit stupide ? s’étonna lord Branston. Ma sœur était intelligente, tout comme mon beau-frère. Leur fille ne peut que leur ressembler.
— Peuh ! Ils vivaient à l’étranger, ils ne disposaient que de très peu d’argent… fit lady Branston.
En haussant les épaules avec dédain, elle poursuivit :
— Honnêtement, Arthur, je n’ai jamais réussi à comprendre pourquoi votre sœur, qui aurait pu faire un très beau mariage, a choisi d’épouser ce Michael Darley, un homme de rien. Songez donc ! Un peintre !
Elle avait mis dans ce dernier mot tout le mépris possible.
— C’était un artiste, protesta lord Branston.
— Un peintre impécunieux, insista sa femme. Un traîne-misère, oui !
Lord Branston fronça les sourcils.
— Lucy, mon beau-frère était un homme de grand talent et ma sœur a été heureuse avec lui, déclara-t-il d’un ton sec.
Elle comprit qu’elle était allée trop loin, ce qui ne l’empêcha cependant pas de lancer :
— Ah, le duc va être content quand il nous verra arriver avec une orpheline !
— Il est au courant : je lui ai déjà parlé de Katrina et il n’a vu aucun inconvénient à ce que nous l’amenions jeudi. Dans cet immense château, il ne devrait pas être bien difficile de trouver une chambre pour une jeune fille.
Lady Branston pinça les lèvres.
— Très bien, Arthur ! Puisque votre décision est prise, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter. Laissez-moi cependant vous dire que les invités du duc ne seront pas spécialement heureux de devoir faire la conversation à votre Katrina. Seigneur, de quoi pourront-ils bien lui parler ? Elle ne sait probablement rien de ce qui les intéresse. Si vous voulez mon avis, elle sera complètement hors de son élément.
Sur cette dernière flèche, elle sortit.
Resté seul, lord Branston s’approcha de la cheminée du salon en soupirant.
Il aurait dû savoir que la perspective de devoir héberger une toute jeune fille n’allait pas plaire à sa femme. Mais qu’aurait-il pu faire d’autre ?
Lorsqu’il avait appris que sa sœur et son beaufrère faisaient partie des victimes d’un grave accident de chemin de fer proche de Paris, il s’était rendu à Douvres et avait pris le premier bateau en partance pour Calais.
Il avait loué une voiture et des chevaux pour aller dans le Périgord, où s’étaient installés les Darley. Katrina, la nièce qu’il n’avait encore jamais vue, l’avait accueilli dans une maison ancienne très joliment décorée.
La jeune fille ne parvenait pas à s’accoutumer à la pensée qu’elle était désormais seule au monde.
— Mes parents s’étaient rendus à Paris pour deux jours seulement, lui expliqua-t-elle. Mon père devait voir un marchand d’art afin de lui présenter ses derniers tableaux.
Katrina était très jolie. Et, même si elle était terrassée par le chagrin, elle réussissait à se dominer avec beaucoup de dignité. Quand son oncle lui apprit qu’il allait désormais prendre soin d’elle, les larmes lui vinrent aux yeux.
— Comment vous remercier, oncle Arthur ? Je me demandais avec angoisse ce que j’allais devenir. Mes parents ne m’ont probablement pas laissé grand-chose. Je pensais que j’allais devoir travailler…
Lord Branston avait paru horrifié.
— Ma nièce ? Travailler ?
Un sourire triste était venu aux lèvres de la jeune fille.
— Il n’y a rien d’infamant à cela, mon oncle.
Lord Branston réfléchissait.
— Je ne peux malheureusement pas rester longtemps en France, et pourtant, j’aurais beaucoup aimé visiter le Périgord.
— C’est une bien belle région.
— Je suis de ton avis, ma chère enfant. J’espère pouvoir revenir une autre fois. En attendant, voilà ce que nous allons faire…
— Je vous écoute, mon oncle.
— Penses-tu que tu auras assez d’une semaine pour faire tes bagages ?
Cette question parut surprendre Katrina.
— Une semaine ? Cela me paraît plus que suffisant.
— Il va falloir que tu choisisses les souvenirs que tu veux garder de tes parents, les tableaux de ton père… etc.
— N’ayez crainte, mon oncle. Je sais déjà plus ou moins ce que je tiens à conserver.
— Parfait ! Il ne me reste plus qu’à réserver des billets pour ton voyage. Il faudra également que je te trouve un chaperon pour t’accompagner.
Katrina avait ouvert de grands yeux.
— Quoi ? Je vais avoir un chaperon ?
— Naturellement. Tu ne peux pas aller jusqu’en Angleterre toute seule. Ce ne serait pas correct.
Amusée par les scrupules de son oncle, la jeune fille ne put s’empêcher de remarquer :
— Mes parents m’ont toujours laissé une certaine liberté de mouvement.
— Dans ce petit village, je veux bien le croire. Mais une demoiselle seule ne doit pas prendre le train et le bateau sans un chaperon. D’autant plus que tu seras obligée de passer par Paris et par Londres. Les grandes villes ne sont pas aussi sûres que certains veulent bien le prétendre.
Jugeant que son oncle était plus au courant qu’elle, Katrina n’avait pas insisté.
Après avoir organisé le voyage de sa nièce, et alors qu’il était déjà en route pour l’Angleterre, lord Branston se demanda soudain quelle allait être la réaction de sa femme en apprenant qu’il avait offert l’hospitalité à la jeune orpheline.
Il avait récemment épousé en secondes noces, alors qu’il avait déjà largement dépassé la cinquantaine, une très jolie veuve ayant près de vingt de moins que lui.
Dès le premier regard, il avait été séduit par cette ravissante brune qui savait si bien jouer de ses prunelles émeraude. Moins d’une semaine après avoir fait sa connaissance, il la demandait en mariage.
Elle avait immédiatement accepté. Devenir la femme d’un lord ? Cela représentait pour Lucy Garleigh une ascension inespérée dans l’échelle sociale.
Ce fut seulement après le mariage que lord Branston se rendit compte que Lucy ne regrettait guère son premier mari, un hobereau campagnard détestant les sorties.
Lord Branston avait peine à comprendre cela, lui qui avait longtemps pleuré sa première femme. Il adorait la charmante Suzan, qui le lui rendait bien. Un seul nuage avait plané sur la plus heureuse des unions : Suzan ne pouvait pas avoir d’enfants, ce qu’ils avaient tous les deux amèrement regretté.
Lord Branston espérait que Lucy lui donnerait le fils dont il rêvait. Mais sa seconde femme, même si elle se gardait bien de le dire, ne souhaitait pas voir une grossesse déformer sa silhouette.
Tout ce qu’elle désirait, c’était s’amuser. Et comme lord Branston était invité,à toutes les réceptions qui comptaient, sa femme sortait pratiquement chaque soir. Vêtue des dernières créations des meilleures boutiques de Bond Street, couverte de bijoux coûteux, elle faisait sensation.
Cela l’enchantait de jouer à la châtelaine au manoir de Branston, tout comme de recevoir dans l’hôtel particulier que son mari possédait dans l’un des plus élégants quartiers de Londres.
Ma vie est devenue un rêve, avait-elle écrit un jour à l’une de ses amies de pension.
Un soir, au grand bal d’ouverture de la saison donné par la duchesse de Chorster, elle avait fait la connaissance du duc de Lyndbrooke. Elle en était restée sans voix. Le duc correspondait exactement à l’image qu’elle se faisait du prince charmant. Il ne lui fallut pas plus d’une fraction de seconde pour tomber follement, désespérément amoureuse.
« Voilà l’homme de ma vie, se dit-elle. Voilà l’homme que j’aurais dû épouser. »
Entre ses cils baissés, elle avait adressé un bref coup d’œil de côté à son mari. Celui-ci lui parut avoir soudain vieilli de vingt ans en trente secondes. Il commençait à prendre de l’embonpoint et ses cheveux, qui grisonnaient sur ses tempes, se faisaient rares sur le sommet de son crâne.
« Oh, pourquoi ai-je accepté trop vite de devenir la femme d’Arthur ? se demanda-t-elle avec désespoir. J’aurais dû attendre un peu, viser plus haut… Je suis sûre que j’aurais réussi à séduire le duc de Lyndbrooke. Hélas, maintenant il est trop tard ! »
Le duc avait déclaré à plusieurs reprises qu’il n’avait aucune intention de se marier pour le moment. Cela ne semblait pas déranger lady Branston. Pas plus que le fait qu’il avait plusieurs années de moins qu’elle.
Mais si elle ne pouvait pas l’épouser, elle pouvait au moins devenir sa maîtresse. Sûre de son charme, elle se mit en devoir de le conquérir.
Lady Branston était persuadée de ne pas être indifférente au duc. Il ne lui restait plus qu’à jouer le grand jeu. Et elle s’y entendait pour cela ! Ses battements de cils, ses regards appuyés avaient fait leur œuvre… L’heure de la victoire était proche ! D’ailleurs, son mari et elle ne venaient-ils pas de recevoir une invitation à passer plusieurs jours au château de Lyndbrooke ?
Une fois arrivée dans sa chambre, Lucy se mit à taper du pied. Jamais elle n’avait été aussi en colère de sa vie. Ah, c’était bien la peine
