Rêve lucide pour les débutants: Découvrez la porte d'entrée de votre monde onirique et apprenez à améliorer votre sommeil conscient grâce à la méditation

Par Julien Abreo

Qu'est-ce qu'un rêve ?  Vous avez peur et vous courez dans un couloir court et sombre. Quelqu'un de maléfique et de terrifiant vous poursuit, mais vous ne savez pas pourquoi. Votre anxiété est exacerbée par le fait que vos pieds ne font pas ce que vous voulez - on dirait qu'ils avancent dans la mélasse. Le poursuivant se rapproche de vous, mais lorsqu'il finit par vous rattraper, la scène entière s'estompe... et vous vous réveillez!

 

Les rêves sont des histoires et des visions que notre esprit évoque pendant que nous dormons. Ils peuvent être très colorés. Ils ont le pouvoir de vous rendre heureux, triste ou effrayé. Ils peuvent aussi bien nous laisser perplexes que nous sembler tout à fait logiques. Les rêves peuvent survenir à tout moment pendant le sommeil.

 

Toutefois, les rêves les plus intenses se produisent pendant le sommeil paradoxal (REM, rapid eye movement), lorsque votre cerveau est le plus occupé. Selon certains scientifiques, nous dormons quatre à six fois par nuit. Le type d'imagerie le plus populaire est visuel, mais les rêves peuvent inclure tous les sens. 

 

Certaines personnes rêvent en couleur, d'autres en noir et blanc, et les aveugles ont davantage d'éléments de rêve liés au son, au goût et à l'odeur.

 

Un rêve, par définition, est ce dont vous êtes conscient à quelque niveau que ce soit. Il peut être fragmentaire, détaché et illogique, mais si vous n'en êtes pas conscient pendant votre sommeil, ce n'est pas un rêve. N'hésitez pas à découvrir ce sujet, achetez votre exemplaire dès aujourd'hui!

• Langue: Français
• Éditeur: Julien Abreo
• Date de sortie: 1 juil. 2021
• ISBN: 9798201088415

Aperçu du livre

Introduction

Vous avez peur et vous courez dans un couloir court et sombre. Quelqu'un de maléfique et de terrifiant vous poursuit, mais vous ne savez pas pourquoi. Votre anxiété est exacerbée par le fait que vos pieds ne font pas ce que vous voulez - on dirait qu'ils avancent dans la mélasse. Le poursuivant se rapproche de vous, mais lorsqu'il finit par vous rattraper, la scène entière s'estompe... et vous vous réveillez.

Un rêve, par définition, est ce dont vous êtes conscient à quelque niveau que ce soit. Il peut être fragmentaire, détaché et illogique, mais si vous n'en êtes pas conscient pendant votre sommeil, ce n'est pas un rêve. Beaucoup objecteront : Je ne me souviens pas de mes rêves, mais c'est une toute autre question. Si vous ne vous souvenez pas d'un rêve de votre vivant, cela ne signifie pas que vous n'en étiez pas conscient au moment où il s'est produit. Cela signifie simplement que l'impression n'a jamais été complètement ancrée dans votre mémoire, que son stockage s'est détérioré ou qu'il n'est plus facile de s'en souvenir.

Les rêves sont des rêves qui se produisent à des périodes spécifiques du sommeil. Ils sont plus actifs pendant le sommeil paradoxal ou sommeil à mouvements oculaires rapides, lorsque vous êtes moins susceptible de vous souvenir de votre rêve. Il existe de nombreuses recherches sur l'importance du sommeil dans le contrôle de notre métabolisme, de notre tension artérielle, de notre activité cérébrale et d'autres facettes de notre santé. Cependant, les chercheurs ont eu plus de mal à comprendre le rôle des rêves.

Lorsque vous êtes en vie, vos émotions suivent une certaine logique. Votre cerveau fonctionne toujours lorsque vous dormez, mais vos émotions ou vos fantasmes ont parfois peu ou pas de sens. Cela peut s'expliquer par le fait que ce sont les centres cognitifs du cerveau, plutôt que les zones abstraites, qui stimulent les hallucinations.

Les rêves peuvent être amusants, troublants ou carrément étranges. Et si nous ne nous en souvenons pas le lendemain, nous rêvons tous. Alors pourquoi fantasmons-nous ? Et que signifient-ils vraiment ?

Qu'est-ce qu'un rêve ?

Les rêves sont des histoires et des visions que notre esprit évoque pendant que nous dormons. Ils peuvent être très colorés. Ils ont le pouvoir de vous rendre heureux, triste ou effrayé. Ils peuvent aussi bien nous laisser perplexes que nous sembler tout à fait logiques.

Les rêves peuvent survenir à tout moment pendant le sommeil. Toutefois, les rêves les plus intenses se produisent pendant le sommeil paradoxal (REM, rapid eye movement), lorsque votre cerveau est le plus occupé. Selon certains scientifiques, nous dormons quatre à six fois par nuit.

Le type d'imagerie le plus populaire est visuel, mais les rêves peuvent inclure tous les sens.  Certaines personnes rêvent en couleur, d'autres en noir et blanc, et les aveugles ont davantage d'éléments de rêve liés au son, au goût et à l'odeur.

Diverses études ont révélé diverses formes de matériel de rêve, mais certaines caractéristiques communes des rêves sont les suivantes :

- Il présente un point de vue à la première personne.

- Il est involontaire.

- Le contenu peut être illogique ou même incohérent.

- D'autres personnes communiquent avec le rêveur et entre elles dans le contenu.

- Il provoque des émotions fortes.

- Des aspects de la vie quotidienne sont intégrés dans le contenu.

Bien que ces caractéristiques ne soient pas générales, elles peuvent être observées dans la plupart des rêves courants à un certain degré.

Une période de sommeil se compose de cinq stades de sommeil

Stade 1 : mouvements oculaires lents, sommeil léger et diminution de la fonction musculaire Ce stade représente 4 à 5 % du sommeil total.

Stade 2 : L'activité oculaire cesse, et les ondes cérébrales ralentissent, avec de brèves salves d'ondes rapides appelées fuseaux du sommeil. Ce stade représente 45 à 55 % de la durée totale du sommeil.

Stade 3 : Les ondes delta, qui sont des ondes cérébrales très lentes, commencent à apparaître, entrecoupées de petites ondes plus fortes. Ce stade représente 4 à 6 % de la durée totale du sommeil.

Stade 4 : Les ondes delta sont presque entièrement générées par le cerveau. Il est impossible de réveiller quelqu'un aux phases 3 et 4, que l'on appelle ensemble sommeil profond. Il n'y a pas de contraction des yeux ou des muscles. Les personnes secouées pendant leur sommeil profond ne réagissent pas automatiquement et sont souvent désorientées pendant plusieurs minutes après leur réveil. Ce stade représente 12 à 15 % du sommeil global.

Stade 5 : On parle de mouvements oculaires brusques (REM). La respiration devient plus erratique, irrégulière et superficielle, les yeux se déplacent dans différentes directions et les muscles des membres sont temporairement paralysés. Les hommes ont des érections péniennes lorsque leur rythme cardiaque et leur pression artérielle augmentent. Lorsque les gens se réveillent pendant le sommeil paradoxal, ils racontent souvent des histoires étranges et illogiques. Tous les fantasmes sont présents. Ce stade occupe 20 à 25 % de la durée totale du sommeil.

Pour expliquer la cause des rêves, les neurosciences proposent des hypothèses liées au processus de sommeil par mouvements oculaires rapides (REM).

Bases physiques des rêves Mais d'abord, permettez-moi une digression. L'un des objectifs des neurosciences est de déterminer l'emplacement des émotions et des expériences émotionnelles dans le cerveau. Tout ce que nous voyons, visualisons ou rêvons est lié à des réponses neuronales dans le cerveau. Les rêves, eux aussi, ont un endroit où se loger. La sensation de perception sensorielle est générée par l'activité neuronale dans les zones sensorielles primaires du néocortex. Cela signifie que les neurones qui s'activent dans le cortex visuel primaire produisent l'illusion de voir, que les neurones qui s'activent dans l'aire auditive primaire créent l'illusion d'entendre, et ainsi de suite. Si le tir a lieu au hasard, ces impressions ressembleront à une hallucination désordonnée, spontanément fragmentée. Il est facile d'imaginer comment les images et les sensations aléatoires produites de cette manière pourraient être tissées ensemble pour former une hallucination multisensorielle complexe que nous appellerions un rêve.

Les rêves ont-ils un but ?

Par rapport au paradigme de l'activation-synthèse, qui considère les rêves comme un épiphénomène - un sous-produit de base des processus neuronaux pendant le sommeil - d'autres scientifiques pensent que les rêves ont un rôle essentiel. Comme c'est le cas en psychologie, il existe plusieurs hypothèses sur la nature de ce rôle. La plus populaire d'entre elles est celle de Sigmund Freud, selon laquelle les rêves expriment des pulsions interdites, bien qu'il existe plusieurs autres hypothèses sur ce que les rêves pourraient faire, dont beaucoup sont mieux étayées scientifiquement que la vision freudienne. La théorie de la simulation du danger, par exemple, propose que les rêves puissent inclure une simulation de réalité virtuelle dans laquelle nous pouvons répéter des scénarios menaçants même si nous ne nous souvenons pas des rêves. En supposant que cette répétition entraîne des réactions plus fortes dans la vie réelle, la répétition est adaptative. Le fait qu'une proportion importante des rêves contienne un scénario dangereux (plus de 70% dans certaines études) et que ce chiffre soit beaucoup plus élevé que la fréquence des risques dans la vie réelle du rêveur dans la journée donne de la crédibilité à cette théorie. En outre, des analyses portant sur des enfants de deux régions distinctes de la Palestine révèlent que ceux qui vivent dans un monde plus dangereux ont une fréquence beaucoup plus élevée de risques dans leurs rêves. Les réactions à ces risques sont presque toujours vraies et rationnelles, de sorte que la répétition (si c'est bien ce dont il s'agit) a manifestement des réponses réalistes, ce qui implique qu'elle fournit une sorte de simulation valide des scénarios futurs de la vie réelle.

Une autre théorie veut que les rêves influent sur la façon dont on se sent le lendemain, que ce soit en termes d'humeur ou d'états corporels plus fondamentaux. Le fait de forcer les gens à se rappeler les rêves les plus méchants de leur sommeil paradoxal les maintient certainement de mauvaise humeur, et les cauchemars (définis comme des rêves extrêmement négatifs qui peuvent vous réveiller) peuvent également contribuer à des problèmes d'humeur à long terme. D'autre part, il est prouvé que les rêves peuvent contribuer à la régulation de l'humeur à long terme. Une analyse des rêves de femmes divorcées, par exemple, a révélé que celles qui rêvaient plus souvent de leur ex-mari supportaient mieux le divorce. De manière surprenante, les rêves semblent avoir la capacité d'influer sur l'état physiologique : une étude a révélé que les personnes privées d'eau avant de dormir mais qui buvaient ensuite dans leurs rêves avaient moins soif à leur réveil.

Le matériel de rêve peut être inspiré de diverses manières. Les recherches les plus récentes, par exemple, ont montré que si de bonnes odeurs sont transmises aux dormeurs pendant le sommeil paradoxal, ils feront des rêves agréables, tandis que si des odeurs nauséabondes sont envoyées vers eux, ils feront des rêves mauvais ou misérables. Certains individus peuvent atteindre le rêve lucide, qui leur permet de suivre les événements dans leurs rêves, et la recherche montre que ces stratégies peuvent être maîtrisées par une préparation et un enseignement rigoureux. Tout cela est particulièrement séduisant, bien sûr, car cela signifie que nous pourrions non seulement être en mesure de nous préparer à vivre des moments agréables pendant notre sommeil, mais aussi d'utiliser des approches similaires pour traiter les troubles de l'humeur, les phobies et d'autres problèmes psychologiques à l'avenir. Nous savons également que la persuasion hypnotique peut amener les gens à intégrer dans leurs rêves des serpents, des araignées ou d'autres stimuli provoquant des phobies. Lorsqu'elle est associée à des formes plus inoffensives de ces objets menaçants, cette intégration peut aider à éliminer la phobie. Les suggestions hypnotiques peuvent souvent rendre les rêves plus amusants, et l'imagerie mentale diurne peut être utilisée pour modifier (et parfois éliminer) les cauchemars récurrents.

Rien n'indique que les gens apprennent en rêvant. Le fait qu'ils puissent apprendre en dormant est une chose, mais les rêves n'ont pas tendance à être un bon forum pour imprimer de nouvelles connaissances dans l'hippocampe (après tout, nous ne nous souvenons pas de nos rêves la plupart du temps). La recherche sur l'acquisition du langage en est un bon exemple. Si une amélioration du pourcentage de la nuit passée en sommeil paradoxal permet de prédire le succès de l'apprentissage, les rêves rencontrés au cours de ce sommeil paradoxal supplémentaire ont peu à voir avec le langage. S'ils y font référence, c'est surtout parce qu'ils sont frustrés de ne pas pouvoir saisir quoi que ce soit, plutôt que de connaître les principes fondamentaux de la formulation ou du déchiffrage d'une phrase.

Les souvenirs dans les rêves Quel est le rêve le plus récent dont vous pouvez vous souvenir ? Quelqu'un que vous connaissez en faisait-il partie ? Se passait-il dans un endroit qui vous est familier ? Faisiez-vous quelque chose que vous aviez déjà fait auparavant ? La plupart de nos rêves contiennent des bribes de notre vie éveillée. Il est normal de rêver d'éléments d'information aléatoires, comme une personne, un lieu ou une opération spécifique. Mais arrive-t-il que les rêves reprennent des souvenirs complets, comme la dernière fois que vous avez vu votre mère, avec le lieu, les événements et les personnes ? Ces types de souvenirs sont dits épisodiques parce qu'ils reflètent des événements entiers plutôt que de simples fragments. Les recherches sur le monde caché du sommeil et du rêve suggèrent que ces types de souvenirs sont souvent rejoués dans le sommeil, bien que cela soit extrêmement rare (environ 2 % des rêves contiennent de tels souvenirs, selon une étude). La plupart de nos rêves sont simplement des fragments recombinés de notre vie éveillée. Ces fragments sont quelque peu familiers et représentent les désirs et les préoccupations du rêveur. Ainsi, les cyclistes rêvent de vélo, les enseignants rêvent d'enseignement et les banquiers rêvent d'argent.

Tous les chercheurs ont utilisé les rapports de rêve pour mieux comprendre le mécanisme par lequel les souvenirs sont instantanément insérés (c'est-à-dire dans la première nuit après qu'ils ont été initialement vécus). C'est ce que Freud a appelé les résidus diurnes. Selon une analyse, les résidus diurnes apparaissent dans 65 à 70 % des études de rêves uniques. L'effet de décalage des rêves, quant à lui, s'applique à la constatation remarquable selon laquelle, après son émergence initiale en tant que résidu diurne, la probabilité qu'un souvenir spécifique soit inséré dans les rêves diminue progressivement au cours des quelques nuits qui suivent la création du souvenir, puis elle augmente à nouveau pendant les quelques nuits suivantes.

Par conséquent, les flashbacks sont plus susceptibles d'être intégrés aux hallucinations la première nuit après leur rencontre initiale (si j'ai un accident de voiture aujourd'hui, il est probable que j'y pense ce soir). La probabilité d'une telle intégration diminue régulièrement au cours des semaines suivantes, et peu de souvenirs sont insérés dans les rêves trois à cinq jours après leur apparition. Fait extraordinaire, la probabilité qu'un souvenir soit inséré dans un rêve augmente à nouveau au cours des six et sept nuits suivant sa première apparition. Que se passe-t-il vraiment ici ? Pourquoi les souvenirs sont-ils moins susceptibles d'être insérés dans un rêve trois ou cinq jours après leur apparition que six ou sept jours plus tard ? Une explication possible est qu'il y a un besoin de restructuration. Les souvenirs pourraient être indisponibles à ce moment-là alors qu'ils sont stockés d'une autre manière, ce qui les met momentanément hors ligne. Notamment, cette influence semble se limiter aux personnes qui font des rêves vifs, et elle semble également se limiter aux rêves REM. Le phénomène du décalage des rêves, comme la plupart des sciences, pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses.

Pourquoi rêvons-nous ?

Depuis des milliers d'années, les penseurs et les physiciens sont intrigués par la question de savoir pourquoi nous rêvons. Malgré les recherches expérimentales sur le travail du rêve, nous ne savons pas vraiment pourquoi nous le faisons. Bien que l'on ignore encore beaucoup de choses sur les rêves, plusieurs chercheurs ont établi des hypothèses sur leur signification, et des découvertes scientifiques récentes apportent davantage de précisions.

Selon certaines des théories des rêves les plus courantes, le but du rêve est de :

- Consolider les souvenirs - Traiter les émotions - Exprimer nos désirs les plus profonds - S'entraîner à affronter des dangers potentiels De nombreux experts supposent que nous rêvons pour un mélange de ces facteurs plutôt que pour l'un d'entre eux. En outre, si de nombreux spécialistes s'accordent à dire que le rêve est nécessaire au bien-être mental, émotionnel et physique, d'autres pensent que les rêves n'ont aucune signification.

Bien que plusieurs hypothèses aient été suggérées, il n'existe pas de consensus unique sur la raison pour laquelle nous rêvons.

Le rêve à différents stades du sommeil peut souvent avoir des fonctions différentes. Les rêves les plus intenses se produisent pendant le sommeil à mouvements oculaires rapides (REM), et ce sont les rêves dont nous avons le plus de chances de nous souvenir. Pendant le sommeil à mouvements oculaires non rapides (non-REM), nous rêvons souvent que ces rêves sont rappelés moins fréquemment et ont un contenu moins répétitif.

Les rêves peuvent refléter l'inconscient Selon la théorie du rêve de Sigmund Freud, les rêves reflètent les souhaits, les émotions, la réalisation des désirs et les motivations inconscients. Selon Freud, les gens sont motivés par des désirs réprimés et latents, tels que des pulsions violentes et sexuelles.

Bien que de nombreuses affirmations de Freud aient été réfutées, des preuves indiquent qu'il existe un effet de rebond des rêves, également connu sous le nom de théorie du rebond des rêves, selon lequel la suppression d'une pensée entraîne un rêve à ce sujet.

Qu'est-ce qui provoque les rêves ?

Dans L'interprétation des rêves, Freud a écrit que les rêves sont des accomplissements déguisés de désirs refoulés. Il a également fait la distinction entre deux types de rêves : le contenu manifeste (images réelles) et le contenu latent (signification cachée).

La croissance et la popularité de l'analyse des rêves ont été favorisées par la théorie de Freud. Bien que l'étude n'ait pas démontré que la substance manifeste d'un rêve dissimule sa signification psychologique, certains chercheurs s'accordent à dire que les rêves jouent un rôle essentiel dans la gestion des sentiments et des expériences traumatiques.

Les rêves traitent l'information Selon le modèle d'activation-synthèse des rêves de J. Allan Hobson et Robert McCarley, les circuits du cerveau sont stimulés pendant le sommeil paradoxal, ce qui amène l'amygdale et l'hippocampe à générer une série d'impulsions électriques. Par conséquent, pendant le sommeil, un ensemble de pensées, d'images et de souvenirs aléatoires émergent.

Au réveil, notre esprit actif rassemble les nombreux souvenirs et fragments de souvenirs du rêve pour former une trame cohérente.

Selon la théorie de l'activation-synthèse, les rêves sont un ensemble d'éléments aléatoires qui se produisent dans l'esprit endormi et qui sont rassemblés de manière cohérente à notre réveil. Ainsi, les rêves inciteront le rêveur à établir de nouvelles connexions, à générer des pensées précieuses ou à vivre des épiphanies artistiques dans