Les cinq piliers

Par Bouzid Anseur

T hèse et mémoire des origines de l’hommes des religions,ainsi que la stupidité et la cupidité de l’être humain.Tout est relatif comme nous l’a exprimé notre cher Einstein,dans le sens ou tout est changeant et rien est permanent. C’est l’homme qui choisis le penchant menant vers ce paradoxe. Qui ferait bien de prendre conscience de notre futur, et des conséquences de ses actes.

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 7 oct. 2013
• ISBN: 9782312014098

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Les cinq piliers

Bouzid Anseur

Les cinq piliers

LES ÉDITIONS DU NET

22 rue Édouard Nieuport 92150 Suresnes

© Les Éditions du Net, 2013

ISBN : 978-2-312-01409-8

Dieu dit que la lumière soit, et la lumière fut. Il y eût un jour il y eût une nuit ! Il y eût un matin il y eût un soir ! Il y eût une aube il y eût un prélude. Depuis la naissance des temps que l’homme fut, il ne cessa de s’adonner à la guerre. En stipulant que c’était pour la liberté, la foi, la religion, le droit, la dignité, la croyance pour le Créateur, pour le chemin de la lumière et de la vérité. Mais enfin quelle vérité ! La vérité de la liberté, de l’égalité, de l’abstinence, de la souffrance, du partage. La vérité de l’indulgence, de la tolérance, de l’acceptation, de la compassion ou de la destinée. Ainsi était écrit, selon les livres de loi de foi ou de cupidité. Alors que c’est dans la Paix que l’on devient des enfants de Dieu, car heureux les cœurs pures, ils verront la divinité. Je rajouterai que suivant les prophéties, les voix du seigneur sont impénétrables. Pour avoir la révélation et les comprendre, il faut ce penché sur les cinq piliers. Afin de décrypter le message de la spiritualité divine, ainsi que ses commandements destinés à l’esprit ; et notre dominant représentant notre âme.

On se bat pour un rocher avec acharnement et voracité, pour s’en accaparer et en prendre le monopole. Pour en avoir main prise, dire et affirmer que cela est mon domaine, et que l’on en détient le pouvoir. Mais le jour où nous aurons quitté cette terre et redevenue poussière, le rocher lui sera toujours à la même place. Libre de suivre l’érosion du temps, ou disparaître à sa guise ; sans se soucier de qui voudra en devenir maître.

Pourquoi tant de sacrifices ! Alors que la Terre n’appartient qu’à Dieu, et qu’il peut nous la reprendre comme il nous l’a offerte. Tel que nul n’appartient à personne, seulement à notre Père. Qui t’a donné la vie et peut te la subtiliser comme il le désire, et quand bon lui semble selon sa volonté. Tout le monde est égale en droit et en dignité, comme nous l’indique si bien l’acte des droits de l’Homme et du citoyen.

Chacun naît libre de prendre son chemin et de suivre sa destinée, selon sa conscience et sa pensée. Tant qu’il ne porte pas préjudice à la moralité, et la droiture de ce qui est instauré, en suivant les paroles du Seigneur. Car l’Éternel est dans ton cœur, et ton cœur est en lui. Malheureusement chacun en traduit son Écrit à sa manière, en se disant que lui seul connait la vérité et la voie à suivre.

Mais enfin quelle vérité ! la vérité de ce que l’on a lue, de ce que l’on a vue, de ce que l’on nous a inculqué, de ce que nous avons appris, de ce que l’on nous a soumis, de ce que l’on nous a imposé ; ou de ce que l’on nous demandes d’apprendre, de comprendre et de transmettre. Mais cette transmission doit nous servir à assimiler la vie, pour améliorer notre savoir, le prendre comme acquis afin d’éviter les erreurs du passé. Pour avancer et développer le futur, dans le domaine de la connaissance et de son propre savoir.

Car rien n’est vraiment acquis ; comme nous citait le grand philosophe grecque Anaxagore de Clazomènes. Condamné à mort qui fuit pour s’exiler et sauver son âme. Mais qui périe malheureusement, par les mains d’un soldat Romain, déniant de le garder vivant pour ses idées. Jugés pour ses pensées, et entre autre cette maxime qui sous entendait : rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes, se combinent puis se séparent de nouveau. Reprise et reformulée par Lavoisier, un physicien Français mort guillotiné à la prise de la bastille, l’accusant de relever les impôts du Roi. Un mauvais contrecoup pour l’avancer, car il profitait de la solde du Roi, pour ses recherches et ses découvertes. Qui le formula dans le sens ou : rien ne se crée, rien ne se perd mais tout ce transforme ; ce rapportant en physique à la fusion et au changement d’état.

Nous n’avons rien créé de nous-même, nous ne faisons qu’utiliser ce que Dieu nous a transmis. Pour le remodeler, inventer, et lui donner une forme différente. Pour une autre application, ou voir similaire mais plus performante. Cela serait comme une clef que l’on vous fournis pour ouvrir une porte, qui communique avec une autre porte par laquelle on doit s’engager. Donnant accès à un domaine pour voir, apprendre, connaître, et comprendre ce qui se trouve derrière. Trouver une autre clef, et ainsi de suite continuer par extension.

Dans la vie il faut passer par toutes les portes que vous rencontrez, mais ne jamais s’arrêter, jusqu’à ce que l’on arrive devant la porte divine. Cela relate la formule décrivant qui suis-je, où vais-je, et dans quel état j’ère. C’est ainsi que l’on naît et devenons ce que l’on est, et c’est selon ce sens que cela devrait être traduis. Car ce que l’âme pense la plume l’exprime, par transmission du cerveau à la main qui en devient le scripte. En marquant les paroles pures de la conscience, exprimant que si la vie était le sommeil : alors l’amour en serait le rêve, et le plus beau des songes.

C’est sous ces arguments ; que le jour où la vie prenait naissance, l’Homme aurait due prendre conscience, de ce que Dieu voulait de lui par son passage sur Terre. Mais terre comme on le dit si bien, incrimine terrien ; et terrien pourrait se traduire par t’es rien. Juste un passant qui doit ce plié à la volonté du Seigneur, qui en est notre devoir en tant qu’enfant de la création. Tu te dois de faire un acte de bonté car c’est ta destinée, tu es la pour accomplir ce que l’on t’a demandé. C’est à dire apprendre et comprendre, donner vie, transmettre ton savoir et t’en aller. Voilà ta destinée, et ce pourquoi tu as été créé ! Et non de soumettre et d’imposer, en te disant que là est la vérité.

Mais quelle vérité ! La vérité de vouloir dominer et dire que c’est selon la volonté du Tout-Puissant. Mais quelle Dieu, celui du bien ou celui du mal ; car le seigneur du mal, on l’appelle le diable. Tu te dis suivre les paroles de l’Éternel : tu tues en son nom, tu vole en son nom, tu viole en son nom, tu discrimine en son nom, tu fais la guerre en son nom, tu fais des différences en son nom, tu juges en son nom et pour finir tu imposes en son nom. Mais de quel droit l’on se doit d’appliquer tous ces actes, et salir la bonté du Créateur. De quel droit on se voit juge à sa place, de quel droit on prend ces initiatives en se disant qu’il nous l’a commandé.

Tout semble relatif, lorsque les livres parlent de batailles ou faire la guerre, cela suppose une guerre intérieure. Pour le combat entre le bien et le mal qui est en nous. Ce qui sous-entend une guerre de l’esprit et non de la matière, car l’esprit domine la matière.

Les combats ne devraient jamais êtres sanguinaires, évoquant le mal et les actes de tuer; ôtant la vie qui est péché représentant le côté obscure. De ce fait les batailles devraient détenir comme arme suprême, les livres des cinq piliers fusionnés qui forment la révélation.

La relativité comme l’a transcrit notre ami Albert Einstein, basé sur la fission et l’accélération de molécules ; qui était un grand pas pour la science et l’humanité. S’il avait vécue plus vieux et continuer ses recherches, il aurait découvert que la fusion et le changement d’état, procure une énergie encore plus grande.

D’après des chercheurs scientifique, une découverte de particules élémentaires de la matière, que l’on appel des neutrinos, iraient plus vite que la lumière de six kilomètres seconde (qui donnerait approximativement une avance de 41 mètre sur une distance de 1500 mètre). Cela remettrait en cause une théorie de la relativité, sur le fait que la lumière est une limite infranchissable. Qui en découlerait, que si l’on peut aller plus vite que la lumière, alors on peut voyager dans le temps. Tout en restant prudent sur l’avancée de cette technologie, qui s’avère toutefois utopique, tant qu’elle n’est pas vraiment démontrer et mis en application. Cela nous renvoie à la maxime de notre cher physicien Lavoisier et notre philosophe Grecque Anaxagore.

Cependant les paroles s’envolent, seul les écrits restent, mais parfois eux aussi, subissent cette fusion et ce changement d’état. Malgré tout, la plume reste plus forte que l’épée, elle seul peut rassembler et soulever le monde pour un mouvement commun, regardant vers la même direction. Son pouvoir est immense et sans limite, car elle touche directement le cœur, la conscience, l’esprit et le fond de la pensée. Elle peut dicter, diriger, unir, dénoncer, établir, transmettre et annoncer. Mais aussi trahir, mentir, déshériter, critiquer, anéantir et condamner.

C’est grâce à cela que des guerres ont pu être gagnées, que des Paix ont pu être signées, et que des vies ont pu être sauvées. J’ajoute à ceci que certaines fois les faits étaient établis, de manière à comporter des controverses de ce qui vient d’être cité. La vie n’est qu’un livre, et chaque jour une nouvelle page s’ouvre que l’on découvre. Tout en sachant que notre livre de la vie est écrit et ne pourra changer, tant que l’on ne contredit pas les lignes de la destinée, en allant à l’encontre du scripte du Créateur.

Je pense que c’est l’un des plus grand péché, de faire en son nom, des actes que le Seigneur ne t’a pas prescrit, car il est seul savant et lui seul détient le monde.

Notre Père est bon, miséricorde, et sait pardonner les péchés véniel dit sans gravité. Car c’est dans cet acte que l’on demande le pardon, et que l’on se rapproche de lui. Celui qui ne pèche pas, ne demande jamais le pardon, et fini par oublier et s’éloigner de la divinité. Je ne sous-entend pas qu’il faut pour autant s’adonner au péché, mais cependant il fait partis intègre de la nature de l’Homme.

Car la perfection n’existe pas sur Terre ; tout le monde sait que nul n’est parfait, et que tout a des défauts. Excepté l’Éternel ! et c’est ainsi que c’est ainsi. Je dis divinité, car je parle de Dieu m’exprimant en dialecte Universelle. Mais l’on sait que l’Être suprême a plusieurs noms, attribué à chaque livres des cinq piliers comme (Ahura Mazda), Shiva, Elohim Yahvé (des textes massorétique), Dieu, Trinité, Allah (en araméen ce dit ‘ellah du radicale ‘el ). En définissant Trinité : pour notre Père suprême, le fils que nous sommes tous des enfants de Dieu, et le saint d’esprit que nous devons être. Voir même ce que nous représentons, entre l’âme le corps et l’esprit.

Ce qui ferait penser quelque part, à un certain Mazdéisme comme pourrait en découler la définition ; tout en restant Monothéiste. Dans le sens où l’on adore qu’un Dieu ; que chacun lui donne un nom qu’il choisit, et le vénère jusqu’au bout dans la bonté des cinq piliers.

C’est dans les erreurs que l’on apprend ce qui est juste, que l’on acquière le savoir pour s’améliorer, évoluer, et avancer du bon côté. Pour ne pas récidiver et commettre les mêmes fautes. Il est dit de la parole du Seigneur, et dans tous les livres sacrés : tu auras foi en moi, tu ne tueras point, tu ne feras pas de différence, tu aideras ton prochain, tu donneras l’aumône, demande et accepte le pardon. Tu peux me prier à chaque instants de la journée et à ta façon, Je serais la pour t’écouter.

Ignore le mécréant, ne suis pas son chemin, conseille-le, montre lui la bonne voie, mais ne le