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Il a suffit de quelques signes: Roman spirituel
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Il a suffit de quelques signes: Roman spirituel
Livre électronique228 pages7 heures

Il a suffit de quelques signes: Roman spirituel

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À propos de ce livre électronique

Croyez-vous aux signes et aux mystères ?

Entre fiction et réalité, tous les genres se mélangent pour laisser dérouler au fil des pages, les signes qui apparaissent à Jérôme de sa naissance jusqu’à aujourd’hui. Des messages, des évidences, des interrogations sont présents dans cet ouvrage spirituel qui va c’est certain vous donner des ailes. Pour les voir ces signes, il faut y croire.

Suivez Jérôme le long de ce roman spirituel inspirant qui vous invite à être pleinement conscient de ce qui vous entoure.

EXTRAIT

Sept ans que Jérôme est arrivé à Paris. Il a réalisé de belles choses. Il quitte Paris en 2014 mais reste en région parisienne. Il s’installe avec Jérôme et Willy à côté de Versailles dans la commune de La Celle-Saint-Cloud. Il l’avait écrit. En faisant sa demande et en effectuant ses recherches pour ce nouveau logement, il avait visualisé un lieu proche d’une forêt et en arrivant, alors qu’il se balade aux alentours, il s’aperçoit que le lieu est entouré de forêts. Il est titulaire à la ville de Paris en tant que responsable de la bibliothèque dans une école du 3e arrondissement Rue Saint-Martin, encore un saint.
Il aménage le mieux à sa manière. Cependant, il ne se sent pas à sa place sur son lieu de travail. Ses angoisses et ses vertiges reprennent surtout dans les transports. Encore une fois, son corps lui parle. Un jour qu’il se rend pour travailler pendant les vacances scolaires. Il arrive en vélo depuis la gare Saint-Lazare et sur son lieu d’activité, des vertiges le prennent soudain. Il ne se sent pas bien. Ni une, ni deux, il fait demi-tour et de décide de partir. À partir du moment, où il a pris cette décision, il s’est senti soulagé, bien mieux. Une chape de plomb s’est levée. Plus aucun doute, il faut qu’il fasse autre chose. Mais la question est quoi ? Il ne peut arrêter comme cela et se retrouver sans rien. Il n’ose pas prendre le risque, mais c’est sa santé qui est en jeu. Il a depuis de nombreuses années eu ces manifestations physiques sans pour autant comprendre ce qu’elles signifient.

À PROPOS DE L'AUTEUR

Jérôme Pinte est un auteur, comédien, réalisateur et plus récemment coach par l’art originaire du Sud-Ouest. Il a écrit ses premiers ouvrages sous le nom d’emprunt Alexandre Bontemps et à présent il reprend son nom et est prêt à révéler les mystères qu’il a découverts lors de son expérience. Personnalité très forte qui infléchit le cours des destinées.
LangueFrançais
Date de sortie4 sept. 2019
ISBN9782851137159
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    Aperçu du livre

    Il a suffit de quelques signes - Jérôme Pinte

    Premiers pas dans la vie

    « J’entends au-dessus de moi dans les Cieux, les anges qui chantent entre eux. Ils ne peuvent trouver d’amour plus grand que celui-ci : Maman »

    Edgar Allan Poe.

    Les jours passent et l’enfant grandit, s’épanouit dans un foyer chaleureux. Un matin en faisant la toilette de Jérôme, sa mère remarque un bouton en dessous de son cou au niveau du thorax. Elle décide de le montrer au médecin. C’est un kyste qui risque de s’infecter et de donner une grosseur plus maligne. Une opération est donc prévue quelques jours plus tard. Alertés, les deux hommes descendent rapidement voir ce qui se passe.

    — Ah merci docteur.

    Un halo de lumière apparaît dans la chambre de Jérôme et un des deux hommes se penche sur son lit pour le couvrir d’un voile protecteur.

    Le père travaille beaucoup dans des conditions pas faciles. Il est exposé à des produits toxiques, de type goudron. De plus, c’est un grand consommateur de tabac, des Gauloises brunes sans filtre et habitant dans une région viticole, sans être saoule chaque jour, il aime bien consommer le nectar que peut donner le raisin environnant.

    Jérôme est justement né au temps des vendanges. Ce temps où l’on coupe les grappes généreuses, quel que soit le temps qu’il fait. Ses parents ont participé à ses activités saisonnières.

    Il a été conçu à la fin de celles-ci l’année précédente.

    Le 25 décembre 1978, Jérôme est baptisé à l’Église de Saint-Savin, un village proche de Pugnac.

    Comme toute créature, Jérôme apprend à marcher, à parler et sa sensibilité commence à poindre. Il perçoit toutes les sensations des personnes qui l’entourent et cela crée parfois chez lui des crises de colère, de la nervosité.

    L’opération se passe bien. De nature angoissée, la mère transmet à son fils ses craintes, ses peurs, ses doutes, son anxiété.

    Il rentre à la maison, on le protège comme un oisillon tombé du nid. On le couve, le gâte.

    Les messages que lui transmet sont toujours les mêmes : l’Amour.

    Il est encore jeune pour comprendre ce que tout cela signifie. Sa beauté enfantine, son sourire dégage déjà de l’amour. Il a un petit appétit et préfère jouer plutôt que de passer du temps à table. Ces moments sont souvent ponctués par des crises de larmes pour ne pas avoir à rester assis.

    Un jour, alors qu’ils sont tous autour du dîner que la mère a préparé avec amour, l’enfant se blottit contre elle. Un attachement fort s’est créé entre ces deux êtres. Elle est plutôt maladroite, bien que ce soit son cinquième enfant. Elle n’est pas très câline, pas démonstrative. Elle n’a pas encore le mode d’emploi et ses sœurs et frère ne sont pas très affectifs non plus.

    Les premiers signes

    « Les hommes sont des anges stagiaires »

    Victor Hugo

    Un matin de décembre, alors que la neige est tombée en grande quantité sur le village girondin et que les vignes ont revêtu leurs robes blanches comme des communiants, Jérôme âgé de cinq ans, marche sur le chemin des écoliers accompagné de sa mère. Tout est paisible, mais tout à coup surgit d’on ne sait où un camion et l’enfant a eu l’intuition, le réflexe de se reculer et de pousser sa mère sur le trottoir. Un miracle, que le geste de Jérôme. Il a entendu quelques secondes avant une voix lui dire :

    « — Pousse-toi sur le trottoir. »

    Sans se poser de questions, il a poussé sa mère surprise sur le côté. Elle lui a demandé un peu énervée pourquoi il avait fait cela. Très vite, elle se rend compte que sans ce geste, elle serait passée sous le camion. Il ne lui a pas donné d’explications. Un signe, comme il va en recevoir tout au long de sa vie.

    Jérôme a du mal à quitter sa mère pour aller à l’école. Il est à présent en cours élémentaire. Il a quelques camarades avec qui il partage des parties de billes autour du platane à proximité de la classe.

    Il a le goût d’apprendre et aime déjà les mots, les histoires de ses livres de lecture « Daniel et Valérie » et « Au fil des mots ». En cette année 1985, sa maîtresse leur demande de faire des recherches sur la découverte des restes du Titanic dont l’épave vient d’être retrouvée ce premier septembre alors qu’il avait coulé dans la mer soixante-treize ans plus tôt lors de son voyage inaugural. Jérôme se passionne par ce paquebot et découpe dans les journaux, tout ce qui concerne l’évènement.

    Il apprécie aussi beaucoup la communication, commande pour Noël des talkies-walkies. Il pourra ainsi jouer avec son ami et voisin Davy.

    Un jour, alors qu’il avait trois ans, la directrice de l’école avait appelé au domicile de la famille et c’était le bambin qui avait décroché le combiné, ce qui avait surpris la directrice mais avait fait sourire sa mère.

    La mère est au foyer. Elle n’est pas en reste avec les lessives, le ménage, la cuisine, le jardinage et les animaux qui occupent aussi la maison, deux bergers allemands, dont une, Olga, a l’âge de Jérôme. Pour mettre du beurre dans les épinards comme on dit, elle fait ici et là quelques ménages chez des habitants du village. Le père quant à lui est parfois en déplacements. Ce qui inquiète tout le monde.

    Les déboires commencent

    « C’est à l’oreille qu’on reconnaît les anges, à une printanière vibration de l’air quand ils parlent ? Le rythme, le souffle et la voix comptent plus que les mots ou le sens. »

    Christian Bobin

    Les enfants grandissent. Alors que le père travaille sur un chantier, il se coupe le doigt. Il tombe malade, comme on tombe de vélo, les genoux écorchés, mais du mercurochrome ne suffira pas. Il se relève, seulement son handicap l’empêche de poursuivre dans les mêmes conditions qu’avant.

    Peu à peu, il perd confiance en lui et un jour la sentence tombe. Que de chutes. Licenciement. Le mot sonne comme un couperet. La mère multiplie les ménages en plus de son travail chez elle pour combler le manque à gagner et nourrir les sept bouches du foyer. Tomber sept fois et se relever huit.

    Les jours sont longs. Le père tourne en rond dans la maison. Parfois, il s’en amuse et met un disque de musique militaire et tourne dans le couloir tel un soldat partant au front. Derrière lui, Jérôme l’imite. À un moment, le père tombe au sol, s’écroule. Panique. Que se passe-t-il ? Jérôme appelle son père. Cela ne le fait pas rire. Quand soudain, le père se relève et rigole. Il a fait une blague. Si sur le moment, cela n’a pas fait rire Jérôme, voyant son père s’esclaffer, il ne peut que l’imiter et se jette dans ses bras. Une tendre complicité se crée entre eux.

    Le père épluche les petites annonces pour trouver autre chose mais en vain. Il fume beaucoup, joue au tiercé. On ne sait jamais s’il gagnait le gros lot, cela anéantirait tous les soucis. La nuit, Jérôme est parfois réveillé par le bruit de la toux qui résonne dans la maison. C’est son père. On a l’impression qu’il étouffe. Cela inquiète la mère, qui le supplie d’aller voir le médecin. Ce qu’il finit par faire, seulement, il est trop tard. Cancer. Des mots, qui ont été inventés pour faire souffrir et qui annoncent le déclin. De là-haut, les deux anges observent la situation sans pouvoir agir. Ils ne sont pas responsables de Jean-Claude.

    Quelques mois passent, et la situation ne s’arrange pas, d’autant plus qu’il continue de fumer, souvent en cachette. Les deux protecteurs ne savent pas comment rassurer Jérôme. Ils savent que tout est écrit d’avance. Ils lui envoient des ondes protectrices d’amour et d’apaisement. Jérôme fait des cauchemars et se réveille la nuit. Il demande souvent à dormir dans le lit parental. Le père cède toujours. Il sait sûrement qu’il n’en a pas pour longtemps et il veut profiter de sa progéniture.

    Triste nouvelle

    « La mort est une surprise que fait l’inconcevable au concevable »

    Paul Valéry

    16 avril 1986.

    C’est la nuit, à l’hôpital Saint-Nicolas. Le même hôpital où est né Jérôme. Dans la chambre 43, une lumière intense apparaît. Un corps plane au-dessus du lit de Jean-Claude. C’est son propre corps. Il regarde au loin et voit un tunnel et en approchant, des silhouettes se dessinent, trois hommes. Il s’agit de Fernand son grand-père, de Lucien son père et de Yves son frère parti en 1961, lors de la guerre d’Algérie. Si nous prenons les premières lettres de leurs prénoms, cela fait FLY en anglais. Il est l’heure pour Jean-Claude de s’envoler en effet, d’être libéré de ses souffrances. Il s’en veut de partir en laissant, une mère avec cinq enfants, seulement, il est rassuré car il sait qu’ils seront protégés. On peut penser que lui ne l’a pas été, mais comme l’ont souligné les anges de Jérôme, c’était son heure, son temps. Il a d’autres choses à faire à présent sur d’autres plans.

    17 avril 1986.

    La nouvelle arrive dans le couloir. Pourquoi dans le couloir ? On ne le sait pas. Jérôme se demande pourquoi tout le monde pleure. Il regarde son ours en peluche. Il est rassuré, car lui ne pleure pas. Pour faire plaisir, pour faire comme tout le monde, il finit par pleurer aussi. On lui annonce la nouvelle enfin et les larmes s’arrêtent, s’interrompent brutalement. Le robinet est éteint. Plus rien ne passe. Il est des chagrins qui n’atteignent pas l’âme d’un enfant.

    Qu’est-ce que cela signifie ? Est-ce qu’il va revenir ? Peut-être fait-il semblant, comme quand il est tombé dans le couloir et qu’il s’est relevé dans un éclat de rire. Aucune réponse à ses questions. Le reste de la famille est anéanti, un choc, une perte inattendue, un deuil qui sera long, très long.

    19 avril 1986.

    « Peut-être qu’un enterrement chez les hommes est un repas de noces chez les anges. »

    Khalil Gibran

    Deux jours plus tard, la cérémonie a lieu sans Jérôme dans les Landes, à Audignon, village où la famille paternelle s’était installée. La famille estime que c’est trop dur pour un enfant d’assister aux funérailles de son père. Ils ne se doutent pas que cela sera encore plus dur pour lui. En effet, ce qui l’est plus encore, c’est l’absence, l’absence des mots, d’affection, de tendresse. Chacun a reçu l’évènement à sa façon. Il va falloir à présent se construire, avancer dans cette existence qui a déjà lancé les hostilités.

    — Nous sommes là pour l’accompagner.

    Le message

    « Si le temps des miracles est révolu, il nous reste tout de même un jour magique où tout peut arriver. Tout. Les anges descendent du ciel en catimini. »

    Jostein Gaarder

    On ne parle pas de politique dans la famille, juste pour dire qu’ils sont tous pourris. Cette année 1986 a vu non seulement partir le père de Jérôme, mais aussi de nombreuses personnalités dont Coluche et Daniel Balavoine et justement Jérôme reçoit en cadeau le 45 tours du chanteur : « Sauver l’amour ».

    Tout prend sens, tout se tient. La sensibilité du jeune garçon s’accroît. Exprès, les amis célestes de Jérôme, lui ont envoyé ce signe, ce message pour lui faire comprendre, que sa mission est de propager l’amour, d’aider son prochain, de ne pas se comparer à autrui, ne pas envier ou jalouser l’autre parce qu’il a plus que lui, de partager, de passer ce message de paix, qui est long à venir, mais il faut y croire.

    Le déménagement

    « Les amis sont les anges qui nous soulèvent lorsque nos ailes n’arrivent plus à se rappeler comment voler. »

    Guillaume Musso

    — Ah bon ? Pourquoi cela ? Nous étions bien ici à manger du raisin.

    La famille arrive donc dans les Landes, à Saint-Sever plus précisément. Jérôme est rassuré, il peut apporter son vélo rouge, qu’il a eu pour Noël l’année précédente. Avant de partir, son père lui apprit sur la petite route, à côté de la maison à pédaler. Jérôme a pris confiance aux côtés de son papa et il a fini par lâcher son bras et avancer tout seul. Comme, il va devoir le faire maintenant. L’école dans laquelle les enfants se retrouvent est privée ; l’école Sainte-Thérèse. Tout semble privé. Privé de liberté, privé de ses émotions, mis à part les cris, la colère, les portes qui claquent, les emportements et l’hystérie de sa sœur aînée.

    La mère a trouvé un emploi aux fermiers landais pour nettoyer les gésiers à domicile. L’évier est souvent engorgé et obstrué par la graisse. C’est gras et ça pue. Elle s’use les mains avec l’eau, mais il faut bien gagner sa croûte, remonter la pente.

    On n’a pas les moyens, on est pauvre, on ne va pas s’en sortir sont des phrases que Jérôme entend souvent. Il essaie de ne pas s’en imprégner, de ne pas les prendre pour lui.

    À l’école, Jérôme se fait quelques camarades de par sa nature communicative, mais il sent bien qu’il est différent. Déjà, pendant la récréation, alors que d’autres jouent au ballon dans la cour du figuier ou d’autres à l’élastique ou encore à la corde à sauter, il se réfugie dans un coin avec son taille-crayon pour lui parler. Certains le traitent de fou, mais Jérôme s’en moque, il se construit un monde, vit à sa manière et il se réconforte dans la lecture et l’écriture.

    Ses sœurs et son frère sont plus grands que lui. Ils suivent leurs vies également à leurs façons.

    Du cours, élémentaire deuxième année, Jérôme passe dans la classe supérieure, non sans mal. Il a une enseignante d’une sévérité extrême qui ne manque pas de le punir à chaque fois que l’occasion se présente. Jérôme fait le clown, le pitre, se fait remarquer et pas toujours dans le bon sens. Il arrive même parfois que la maîtresse tyrannique l’attache à sa chaise alors qu’il bouge trop.

    Une passion naissante

    « Il avait demandé un coup de main là-haut, au réveil, à l’heure où le ciel et la Terre se mélangent, où l’on rêve éveillé, à l’adresse des anges »

    Katherine Pancol

    À neuf ans, Jérôme se plonge dans l’écriture et le mercredi matin au catéchisme, il se glisse souvent sous la table pour écrire. Ses camarades sont friands de ses histoires toutes aussi hallucinantes les unes que les autres. Une fois, il imagine une coccinelle qui se glisse dans l’oreille d’un petit garçon et qui lui dicte tout ce qu’il doit faire. Il se demande parfois lui-même d’où lui vient cette imagination.

    Nos deux acolytes protecteurs sont très présents. Il arrive pendant certaines périodes qu’ils ne se manifestent pas. Surtout si la vie de l’enfant n’est pas en danger et si l’enfant ne manifeste pas de besoins particuliers, nécessitant leur intervention. Tout est calculé.

    Questions

    « Nous pouvons compter sur les anges. Ils nous poussent chaque fois que nous pouvons être utiles à notre prochain, voilà ce que je crois, très profondément. »

    Xavier Emmanuelli

    On peut se demander qui s’occupe des personnes qui meurent de faim, qui subissent des violences, qui souffrent, qui sont martyrisés, des enfants et femmes battus et des hommes battus également, des miséreux, des sans-abri… ? Il semble que chaque âme a décidé de s’incarner sur cette Terre, de vivre ces expériences parfois atroces. Cela leur permet d’avancer, d’évoluer spirituellement. Bien entendu, on ne peut pas se dire, c’est difficile à croire qu’une personne a choisi de se faire violer, de se faire assassiner. Aussi horrible et contestable

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