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Il fait si bon, je reste encore un peu...: Comment une maladie sur le point de m'ôter la vie, me l'a en fait sauvé.
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Il fait si bon, je reste encore un peu...: Comment une maladie sur le point de m'ôter la vie, me l'a en fait sauvé.
Livre électronique328 pages3 heures

Il fait si bon, je reste encore un peu...: Comment une maladie sur le point de m'ôter la vie, me l'a en fait sauvé.

Par Tita

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À propos de ce livre électronique

Tout au long de son parcours initiatique bouleversant, Tita, Coach certifié, auteur et conférencier, partage sans fausse pudeur, et avec cet humour qui le caractérise, les clefs qui lui ont permis de faire face à la borréliose de Lyme, seul, et sans aucune médication.
Il dresse un portrait au vitriol de notre société contemporaine, à travers ses réflexions, ses constats, et ses solutions.
Au cours de son cheminement passionnant, il nous dévoile de quelle manière il a transformé son quotidien, et comment une maladie sur le point de lui ôter la vie, la lui a en fait sauvé.
Un véritable message d'espoir, en ces temps mouvementés, pour toute personne désireuse d'améliorer son quotidien, quelle que soit sa situation, la maladie, ou le handicap.
LangueFrançais
Date de sortie19 nov. 2020
ISBN9782322197002
Il fait si bon, je reste encore un peu...: Comment une maladie sur le point de m'ôter la vie, me l'a en fait sauvé.
Auteur

Tita

Tita, Coach certifié, écrivain, conférencier et entrepreneur, est un aventurier passionné par la vie et l'être humain. Atteint par la borréliose de Lyme, il a transformé cette maladie sur le point de lui ôter la vie, en une véritable opportunité de renaissance. Depuis, il distille son expertise à travers ses livres, ses conférences, et les ateliers qu'il crée afin d'accompagner ceux qui choisissent d'améliorer leur existence. Sportif accompli, atypique, artiste visionnaire et hors conventions, il bouscule les idées reçues. Avec cet humour qui le caractérise et sa personnalité "attachiante", il fédère des personnes de tous horizons. S'adaptant à tous publics, il accompagne tant les particuliers que les organisations dans l'atteinte de leurs objectifs, grâce à des outils éprouvés et appropriés à chaque situation.

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    Aperçu du livre

    Il fait si bon, je reste encore un peu... - Tita

    Table des matières

    « Entre un penseur et un érudit il y a la même différence qu’entre un livre et une table des matières. » Jean-Baptiste Say

    Note de l’auteur au sujet de la COVID-19

    Pourquoi un livre de plus ?

    Avertissement

    Une solution universelle ?

    La science et ses limites

    Nul n’est censé ignorer la loi

    Introduction

    Tout ce qui est vivant est mourant

    Seul le présent existe

    La maladie, une opportunité à saisir

    Sortir de sa zone de confort pour mieux se connaitre soi-même

    La naïveté, une qualité qui ouvre des portes

    Une connotation péjorative aux conséquences lourdes

    Le déclic

    Trente ans d’errance médicale

    Les prémisses

    Le parcours du con battant

    Quelques inepties

    Praticiens ou théoriciens ?

    Une seule seconde d’expérience vaut toutes les théories du monde

    Emotions et souvenirs

    La différence : exclusion et richesse

    Ma découverte de la maladie de Lyme

    Les lobbies pharmaceutiques

    Une histoire de gros sous

    Une maladie créée en laboratoire aux USA ?

    Un peu d’histoire

    La Borrélia Burgdorferi, une bactérie préhistorique

    La Borrélia Burgdorferi, une relique perfectionnée en laboratoire

    Le laboratoire de Plum Island, une bombe à retardement

    Des symptômes alarmants

    Une erreur stratégique : Se réfugier sur les réseaux sociaux

    Résistance et acceptation

    Une question de chance ?

    Décider

    Le poison

    La vie est comme un raft

    Des solutions pour gérer le stress

    Lâcher-prise, voici comment procéder

    Toupie or not toupie

    La révélation

    L’AVC

    L’opération de la dernière chance

    Le vide

    La bonne surprise

    La mauvaise surprise

    On s’organise

    Le regard sur le handicap

    La promesse

    Responsabilité, sacrifice, blessure…?

    Toujours donner le meilleur de soi-même

    Tout est toujours parfait

    Offrir qui l’on est, c’est donner le meilleur de soi-même

    Des attentes limitantes et destructrices

    L’électrochoc

    Une période très intense

    Voyage avec un ange

    La confrontation avec la mort

    Sans issue

    Pour avancer, il faut être en perpétuel déséquilibre

    Le premier pas vers mon changement de vie

    Définir une stratégie

    Se préparer au changement, ainsi que son entourage

    Trouver la raison de notre souffrance

    Garder un rôle social, et élargir sa zone de confort pour y inclure son inconfort

    Repousser ses limites… et découvrir l’Amour inconditionnel

    Le contrat

    Contrat de vie

    Nouveau départ

    La vie est comme une piscine

    Du côté de la force

    Connaitre son ennemi pour en faire son ami

    Une alimentation inadaptée

    Petit déjeuner

    Déjeuner

    Souper, dîner

    Petit rappel

    Les causes profondes de la maladie

    Une alimentation pro-inflammatoire

    Chocs et traumas émotionnels

    Les émotions dirigent notre vie

    L’infini pouvoir de création de notre pensée

    Les fabuleux pouvoirs de l’effet placebo

    Choisir son conditionnement

    Les croyances

    Atelier : « Identifier ses valeurs personnelles »

    La contagion émotionnelle

    Phénomènes de société

    Une société qui agresse nos sens

    L’hyperconnexion

    Tout n’est qu’une question de contexte

    Les bienfaits de la solitude

    Fake news ou vraies infos, vie réelle ou virtuelle

    Bouger, une des clefs du bien-être

    Le sport, une bonne drogue, jusqu’à certaines limites

    Sport et dépression : des découvertes encourageantes

    Conclusion

    Sport et sommeil

    Le combo gagnant

    Le meilleur anti-âge qui existe

    Reculer pour mieux sauter

    16 ans de vie en moins

    Attention au revers de la médaille

    En résumé

    L’inconfort m’est devenu confortable

    S’aimer

    L’amour, source de toutes les guérisons

    Un potentiel (d’Amour) illimité

    Les caprices du temps

    Les pièges du temps

    La normalisation

    Des conséquences dramatiques

    Détoxication, carences et supplémentation nutritionnelle

    Bilan intermédiaire

    Itinéraire bis

    Le dépouillement, la liberté

    L’odyssée intérieure

    Conclusion

    Epilogue

    Remerciements

    Synthèse

    Note de l’auteur au sujet de la COVID-19

    « La seule certitude de la vie, c’est la mort. Elle nous rend tous égaux. C’est ce que nous ferons entre les deux qui créera une différence. » Tita

    Alors que j’étais en pleine rédaction de cet ouvrage, l’humanité toute entière s’est trouvée confrontée à une pandémie, sous le nom de code COVID-19. Ce n’est certes pas la première fois, ni la dernière, que l’homme est « attaqué » par un virus ou une bactérie. Depuis qu’il est sur cette planète, il cohabite avec eux. Il est d’ailleurs constitué de plus de cent mille milliards de micro-organismes, nombre qui pourrait évoluer au fur et à mesure des progrès et des découvertes technologiques et scientifiques. Lorsque l’on sait que rien que le microbiote intestinal (jadis dénommé flore intestinale) d’un homme moyen pèse entre 1 et 1,5 kilos, essentiellement composé de bactéries, on prend alors conscience que ce sont elles qui nous dirigent, et non l’inverse. Pourquoi alors s’entêter à vouloir les dévier de leur fonction originelle pour en faire des armes de destruction massive ?

    Durant ces quelques mois, nous avons tous connu des restrictions, des doutes, été pris de panique, ou submergé par la peur qu’engendre l’incertitude, l’inconnu, l’ignorance.

    Seul face à soi-même, empreint de fébrilité, nous avons atteint nos limites. Certains les ont dépassé, d’autres se sont réfugiés derrière, comme un rempart infranchissable, impuissants, dans l’attente de voir ce qu’il allait arriver.

    J’avais déjà vécu une expérience similaire avec la maladie de Lyme, et je m’en remettais à peine lorsque que la folie de l’homme a frappé une nouvelle fois à travers la COVID-19. Je ne prendrai pas partie ici sur ce qu’il s’est passé durant cette période fort révélatrice. A chacun d’en tirer ses propres conclusions.

    Ces évènements auront prouvé une fois de plus que l’être humain est cruel, espiègle, fourbe, égoïste, prétentieux, et qu’il pense pouvoir tout maîtriser et tout diriger pour ses propres profits, au détriment de la communauté toute entière. La note est salée, et, bien qu’il ne s’agisse que d’un acompte, il n’y a plus personne pour la payer.

    Cependant, dans le même laps de temps, nous avons tous pu observer, le contre-coup passé, l’émergence d’une adaptation, d’une organisation, d’une résistance face à cette situation extraordinaire. L’uppercut encaissé, l’espoir a commencé à renaître chez quelques-uns, qui l’ont transmis à d’autres, qui ont fait la même chose, le propageant aussi rapidement que le virus.

    Petit à petit, chacun est allé puiser au fond de lui-même l’instinct de survie qui allait lui permettre de réinventer son quotidien. La solidarité a fait le reste à travers le partage des trucs et astuces de tous, afin d’aider nos semblables à survivre dans les meilleures conditions. Cette résilience collégiale démontre une nouvelle fois, que même un genou à terre et un masque sur la bouche, l’homme n’a pas dit son dernier mot.

    Même s’il s’en est fallu de peu, je n’ai pas non plus dit le mien lorsque j’étais au bout du rouleau, infecté par la borréliose de Lyme. Tout ce que j’ai alors entrepris pour m’en sortir, seul et sans aucune médication, et que je partage dans cet ouvrage, s’adresse à toute personne désireuse d’améliorer son existence, quelle que soit sa situation, la maladie, ou le handicap. Pourquoi et comment est-ce possible, alors que je gage qu’aucun remède n’est universel ? Tout simplement parce qu’il ne s’agit pas d’un remède. C’est une façon d’être qui créée la synergie, l’équilibre et l’harmonie entre toutes les facettes de notre entité.

    Et c’est possible pour toi aussi, pour autant que tu le décides.

    Pourquoi un livre de plus ?

    « J’ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot. » Honoré de Balzac

    En 2017, près de 70’000 livres ont été publiés, rien qu'en France. Dans le même temps, il s’en est vendu quasiment 360 millions. Il est donc légitime de se poser la question : pourquoi un de plus ?

    J’ai toujours été convaincu que nous avons tous énormément à apprendre les uns des autres. Ma vie m’a offerte maintes occasions de le vérifier, et je pense qu’il en sera ainsi jusqu’à ce qu’elle ne se termine.

    C’est cette interactivité qu’il y a entre nous tous, et les échanges qu’elle occasionne, qui crée cette richesse infinie qui nous permet d’évoluer, de nous améliorer, d’avancer chaque jour, même si parfois nous avons l’impression de stagner, voir même de régresser.

    Les expériences des autres nous permettent de vivre les nôtres d’une manière différente, à notre façon, avec notre perception et les émotions qui en découlent. Nous les partageons alors à notre tour, puis quelqu’un fera de même, puis un autre, et un autre… etc.

    Au final, il n’y aura peut-être plus grand chose de commun entre la première et la dernière version de cette expérience, tant nous sommes différents, tant nos contextes le sont aussi, et parce que tout change si rapidement, nous y compris. C’est ainsi. C’est le cycle de la vie.

    Ecrire est toujours un acte fondamentalement égoïste. C’est un don que l’on se fait à soi-même avant tout, et que l’on partage ensuite avec les autres.

    Remplir cette page blanche, suffisamment et sans suffisance, en évitant qu’elle ne déborde, c’est là tout l’art de l’écriture, l’ultime équilibre à atteindre.

    Ce rectangle immaculé peut être inspirant, apeurant, voir même effrayant.

    Raconter sa vie, une partie de son histoire, c’est s’offrir aux autres, leur dévoiler son intimité et ce qu’il y a au plus profond de soi.

    C’est donc aussi accepter d’être jugé.

    Partager la mienne en étalant mes maux avec mes mots est une démarche qui pourrait être interprétée comme présomptueuse, voir vaniteuse. Car qui suis-je pour oser supposer pouvoir apporter quelque chose à mes congénères à travers le récit de ce que j’ai vécu ?

    Si je le fais, c’est parce que je suis persuadé, en mon for intérieur, et en toute modestie, que ce geste peut contribuer à améliorer le quotidien de ceux qui liront ce bouquin.

    C’est ce partage que j’ai choisi de faire à travers lui, et j’espère qu’il te servira, d’une manière ou d’une autre…

    Avertissement

    « Supprimons de la vie toute raison d’ennuis : car il est court le temps qui nous est imparti ! » Ménandre

    Une solution universelle ?

    Nous avons tous, à un moment ou un autre de notre vie, rêvé d’une solution universelle à nos problèmes, à la maladie, à l’amélioration de notre existence, quelle qu’elle soit.

    Quelque part au fin fond de nous, dans l’inconscient collectif, survit cette croyance séculaire selon laquelle il existerait un ou des « moyens » convenant à tous et à chacun à la fois.

    Basée sur l’hypothèse que nous serions tous issu du même atome et que nos similitudes sont nombreuses, nous pensons alors que ce qui a fonctionné pour une personne fonctionnera forcément pour nous aussi, puisqu’en théorie, sur le papier, nous sommes égaux.

    Pourtant, s’il est vrai que sur le fond cela se vérifie, c’est sur la forme que la différence se fait. Et cela, chacun de nous a déjà pu l’expérimenter.

    En effet, au moins une fois, nous avons choisi un médicament, un aliment, un vêtement, un placement, un véhicule… ou pris une décision en « imitant » une relation ou un proche qui l’avait fait avant nous, et à qui cela avait plutôt bien réussi.

    Cependant, force est de constater que cela ne suffit pas à garantir le même résultat pour nous, bien au contraire. Car il serait simpliste et erroné, de penser que parce que l’on sortirait du même moule, nous en serions tous identiques.

    La science et ses limites

    Le mouvement permanent, l’évolution qui en découle, et donc les différences que cela engendre, tant au niveau des êtres vivants que de l’univers tout entier, font que la science elle-même revient cycliquement sur les vérités qu’elle a instauré au fil du temps. Environ tous les quinze à vingt ans, elle révise, voir annihile, une partie de ses axiomes.

    Pourquoi ? Certainement parce que plus notre connaissance s’enrichie, plus nous prenons conscience de notre ignorance. Ensuite, comme tout bouge constamment, nous changeons, et notre environnement aussi. Du coup, ce qui était vrai à un moment donné ne l’est plus lorsque ces changements sont devenus si importants que l’équation ne fonctionne plus.

    La science, qui par définition se veut universelle, fixe ses propres limites, qu’elle modifie au fur et à mesure de ses découvertes.

    Ainsi, elle les adapte en continuellement au contexte contemporain. Certes, cela prend du temps, et il existe toujours un décalage entre ces différents stades. Ce sont des étapes délicates où une partie des gens est convaincu qu’il s’agit d’un postulat inaliénable, tandis qu’une autre partie est consciente que celui-ci est en bout de course et va être révolutionné.

    Il en est de même pour nous autres, humains qui peuplons cette belle planète. Nous traversons sans cesse des phases d’évolution. Pas tous simultanément, ni de la même manière. Et cela crée des dissensions, des incompréhensions, nourrit les débats, et peut même engendrer des guerres.

    Il n’est guère de vérité absolue qui soit capable de tenir de façon inaltérable dans le temps.

    Ainsi, il n’y a pas si longtemps, ceux qui osaient affirmer que la terre était ronde finissaient brûlés vif sur l’échafaud, parce que la science, sous l’égide du clergé, avait alors établi, grâce à des pseudo-preuves scientifiques, que notre globe n’en était pas un.

    De même, les personnes qui apportaient soin et réconfort à leurs pairs, grâce à l’imposition des mains, à des potions (ce qui n’était ni plus ni moins que du magnétisme, de l’homéopathie, de la naturopathie et de la phytothérapie d’aujourd’hui), se voyaient aussi réduits en cendres comme sorcières et sorciers après des tortures abominables, toujours infligées par le clergé, cette fois-ci sous couvert de l’inquisition visant à abolir l’hérésie.

    Combien sont morts dans d’atroces souffrances pour avoir apporté leur soutien à leurs contemporains en utilisant la nature, ses ressources, et les leurs ?

    Juste pour que l’église et ceux qui gouvernaient puissent contrôler la population, la façonner, la rendre obéissante, et ainsi mieux la gérer et la canaliser.

    Qu’est-ce qui a changé à ce jour, si ce n’est la manière de faire ? Les intérêts sont devenus encore plus importants, et sont répartis différemment. Cependant, la démarche reste la même.

    On tente de nous faire croire que nous avons besoin d’un tas de choses extérieur à la nature, à notre environnement, à nos. capacités intrinsèques pour nous soigner et survivre. Et bien sûr, « on » nous fournit tout cela… moyennant finance.

    Pourtant, si nous sommes très doués pour nous rendre malades, (et la société nous conditionne en ce sens), nous sommes aussi capables de nous guérir. Nos pouvoirs sont immenses, et l’on n’en a toujours pas fixé les limites.

    Dame nature nous offre tout ce dont nous avons besoin pour améliorer notre existence, et rectifier ce qui doit l’être.

    On nous fait croire que cela est du domaine de la fantaisie, de l’ésotérisme, du bizarre, pour ne pas dire de la connerie. On nous bassine avec la chimie sans même que personne ne prenne conscience que tout notre être ne fonctionne que grâce à cette alchimie entre chimie et énergies, physiques et non physiques. Tout ce dont nous avons besoin existe dans la nature qui nous entoure. Nous dépendons d’elle, oubliant ce « détail » lorsque nous la saccageons.

    Synthétiquement, nous pouvons dire que « la science est l’ensemble des connaissances et études d’une valeur universelle ». Par définition, elle ne peut donc jamais être ni complète, ni infaillible, et encore moins aboutie. Ce qui est paradoxal, puisqu’elle se veut universelle, alors que sa définition elle-même l’empêche d’atteindre cette caractéristique…

    Ce qui est certain, c’est qu’elle ne se substitue pas à mère nature. Elle peut lui être complémentaire sans pour autant la remplacer, car de toute manière, cette première n’existerait pas sans la seconde. Ce qui n’est pas réciproque.

    Ce qui m’intéresse particulièrement dans la science, c’est justement la remise en question systématique de ses fondements dans le temps. C’est là un exemple à suivre à l’échelle de l’individu.

    Nul n’est censé ignorer la loi

    Je ne suis pas diplômé d’un secteur médical, et ne suis donc pas habilité, au regard de la loi, à préconiser ou à conseiller quoi que ce soit concernant la santé.

    Qu’importe mon expérience, mon vécu, mes connaissances, tant théoriques que pratiques, tant que ceux-ci ne sont pas sanctionnés par un diplôme reconnu par les institutions qui décident et valident, tout cela ne vaut rien… au regard de ces dernières.

    Fort heureusement, la maladie de Lyme a généré en moi, après une longue période d’abattement, une farouche volonté de vivre dans le but d’accompagner ceux qui désirent métamorphoser leur quotidien. Pour ce faire, je suis retourné sur les bancs d’école à quasi cinquante ans, et j’y ai obtenu mon Master de Coach certifié.

    Mon idée était de pouvoir transmettre l’espoir, mon savoir et tout ce que j’expérimente de la manière la plus adéquate possible. Il me fallait donc gagner en pédagogie, et maîtriser au mieux les techniques et méthodes d’apprentissage. En tant qu’éternel étudiant, cela m’a prouvé une nouvelle fois que, quelle que soit notre situation, on peut toujours s’améliorer en apprenant.

    Depuis, je peux donc dispenser professionnellement mon expérience sous couvert de ce diplôme internationalement reconnu, de façon optimale.

    Dans cet ouvrage, je partage ce qui a fonctionné comme ce qui n’a pas marché pour moi. Les recettes, les actions, les réflexions qui le composent sont le fruit de mon histoire et me sont personnelles. Elles ne sont en aucun cas une incitation à copier mon cheminement.

    Ce qui m’a permis de m’en sortir pourrait t’aider aussi, et j’espère sincèrement que ce sera le cas. Cependant, j’ai découvert au fil du temps, de mes investigations et de mes expérimentations, que tout changeait, que l’on se transformait tellement vite, que ce qui me correspondait à un instant T ne me correspondait plus à un instant T’.

    Pourquoi ? Parce que tout, nous inclus, est sans arrêt en mouvement et en évolution.

    Notre vie, notre parcours, notre personnalité, nos agissements, notre corps, notre composition, nos réactions diffèrent et se modifient indéfiniment. Et, bien que nous nous ressemblions, bien que nous soyons issus de la même race, ou que nous soyons de la même famille, nous restons différents.

    Il ne peut donc y avoir de remède universel, de potion, de médicament, de régime, de programme, de conseil, d’exemple ou de parcours de vie qui correspondent à tout le monde à la fois, unanimement.

    Celui ou celle qui tenterait de te faire croire cela, pour quoi que ce soit, serait, de mon point de vue, un(e) escroc.

    Notre attitude varie en fonction de nos émotions, de notre perception, de notre ressenti, eux-mêmes dépendants du contexte, du lieu, du moment

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