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Et Si C’Etait Vrai: Ce Que Je Fais, Vous Pourrez Le Faire
Et Si C’Etait Vrai: Ce Que Je Fais, Vous Pourrez Le Faire
Et Si C’Etait Vrai: Ce Que Je Fais, Vous Pourrez Le Faire
Livre électronique285 pages9 heures

Et Si C’Etait Vrai: Ce Que Je Fais, Vous Pourrez Le Faire

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À propos de ce livre électronique

Un Dieu, infiniment plus grand que ce que voudraient nous faire croire les religions de tous poils, serait il plausible ?
Dieu Cra lhomme son image signifierait-il que nous avons, depuis le tout premier commencement : pleins pouvoirs, libre arbitre et la lourde charge den user en notre me et conscience ?
Un Dieu Vivant Par nous En nous Et pour Lui.
Tout comme nous vivons Par Lui En LuiEt pour nous.
Serions-nous enfin rellement matres de notre destine ?
Notre inaptitude au bonheur ne proviendrait elle alors que dun manque douverture desprit nuisant aussi bien a Lui qua nous ?
90% des individus de cette plante croient en Dieu.
Ils y croient de millions de diffrentes manires.
Ils sentre tuent au nom de ce soi-disant Dieu de bont.
Pratiquement personne ne voit ce Dieu de la mme faon.
Tout le monde attend de Lui le Miracle et bien peu voient ce miracle saccomplir.
La plupart prient de manire automatique sans rellement, profondment, propulser de message personnel.
La Chrtient ma-t-il t dit nest pas une religion, cest une philosophie, une sorte de guide du savoir-vivre.
L, nous nous loignons sensiblement de la croyance en Dieu.
Le monde deviendrait il athe force de ne pas voir ses miracles saccomplir ?
Pire encore, en viendrait-il har ce Dieu qui laisse tant datrocits saccomplir?
Et pourtant,
Si Dieu existait vraiment ?
Sil nen avait rien faire de nos hypocrites faons de ladorer.
En rsum, sil nous avait laiss le soin, et les moyens, de raliser nous mme les miracles que nous attendons, condition bien entendu que nous dcouvrions le mode demploi de cette fabuleuse puissance quIl nous a lgue, et dont, sans nous, Il ne sait lui-mme que faire.
Si nous tions en fait, chacun dentre nous, lexpression diffrencie de la conscience universelle ; Sa conscience ?
La science, de la biologie lastrophysique, mise en parallle avec les textes sacrs, semble bien nous guider vers ce type dinterprtation, nous ramenant vers le clbre :

Lve-toi et marche !
LangueFrançais
ÉditeurXlibris US
Date de sortie15 avr. 2011
ISBN9781456860448
Et Si C’Etait Vrai: Ce Que Je Fais, Vous Pourrez Le Faire
Auteur

Claude Chavant

Ingénieur de formation aéronautique, Issu d’une famille résolument athée, Sans opinion moi-même. Je fus contraint de faire face à une accumulation d’événements plus déroutants les uns que les autres qui m’ont amené à me poser d’étranges questions.

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    Aperçu du livre

    Et Si C’Etait Vrai - Claude Chavant

    Copyright © 2011 by Claude Chavant.

    Library of Congress Control Number:   2011901388

    ISBN: couverture rigide      978-1-4568-6043-1

    ISBN: couverture souple    978-1-4568-6042-4

    ISBN: Ebook                            978-1-4568-6044-8

    Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite ou retransmise sous quelque forme ou quelque moyen que ce soit, électronique ou mécanique, y compris photocopie, enregistrement, ou par quelque moyen de stockage et restitution que ce soit, sans la permission écrite du détenteur du copyright.

    Ce livre a été imprimé aux Etats Unis d’Amérique.

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    1-888-795-4274

    www.Xlibris.com

    Orders@Xlibris.com

    93553

    Sommaire

    Avant Propos

    Introduction

    Première partie : Rassembler ce qui est épars

    La mort n’existe pas !

    L’univers est mental

    Dieu créa l’Homme à son image ?

    La Mort physique ; absolue nécessité de survie ?

    De plus en plus fort, comme les jeux du cirque.

    Avec Emile Pinel : Le point de vue du Biologiste

    Évolution au travers de la réincarnation ?

    L’homme émotionnel

    A propos de textes Sacrés

    Jean de Jérusalem

    Deuxième partie : Science et spiritualité

    Il était une fois

    Au commencement était« Le verbe »

    Dieu créa l’homme à son image ?

    Dieu, décidément créa l’homme à son image !

    Troisième partie : L’homme, demain.

    Perspectives ?

    Réalités !

    Quittez tout et vous trouverez tout

    Avant Propos

    A l’heure où les valeurs morales de nos ancêtres semblent tomber en désuétude ; où les pratiques religieuses ne résistent pas à l’examen de la simple raison.

    A l’heure où les exactions des politiciens et des ministres du culte eux-mêmes aujourd’hui révélées, nous privent de tout confort moral.

    A l’heure où la formidable montée de l’Internet nous donne l’illusion d’avoir accès à toute l’information de la planète et nous expose à une monumentale entreprise de désinformation nous conduisant tout droit à la désespérance ; il est, je crois, temps de se tourner vers l’essence même de notre existence.

    Dieu ?

    Nous pouvons l’appeler comme ça ; sans oublier que si l’homme s’acharne non seulement à lui donner une apparence humaine, sur la seule foi de cette simple petite phrase « Dieu Créa l’homme à son image », mais aussi à lui prêter des attitudes et des raisonnements tout aussi humains ; les écritures interdisaient à l’origine de donner de lui une quelconque représentation.

    Il avait été aussi nommé « L’inconnaissable ».

    C’est sans doute pour cela que toutes les religions s’appliquent à nous le faire connaître au travers de textes tous plus obscurs, ambigus et contradictoires les uns que les autres.

    Textes dont les contradictions et le flou artistique ont, depuis des siècles, contribué à diviser la planète, générant, toujours au nom de ce Dieu de bonté, les plus atroces exactions sous le seul couvert de cette remarquable sentence.

    « Les voies de Dieu sont impénétrables »

    Les récentes conquêtes de la science nous ouvrent un tout autre horizon.

    Dieu créa l’homme à son image pourrait bien signifier que, tout comme Dieu, l’homme est inconnaissable et que l’enveloppe charnelle que nous avons coutume de nommer « Homme », pourrait n’être, en fait, qu’un simple outil parfaitement extérieur à notre essence même ; périssable et remplaçable instrument éphémère d’une âme, elle, immortelle et sans doute infinie, tout comme son créateur.

    En préambule, je tiens à évoquer ici tous ceux qui, de prés ou de loin, directement ou indirectement m’ont amené à écrire ces lignes.

    Merci à tous ceux qui ont écrit les textes qui m’ont permis de voir plus clair en moi et d’étayer ma thèse.

    Merci Hubert Rives, Merci Jacqueline Bousquet.

    Merci Gerd Hamer, controversé professeur en médecine.

    Merci Emile Pinel, biologiste et mathématicien de talent.

    Merci Hermès Trismégiste, supposé premier pharaon de la très mystérieuse Egypte.

    N’oublions pas non plus Jean de Jérusalem, cet extraordinaire croisé qui, dès l’an 1100, avait entrevu ce que serait la ronde des siècles futurs ; prédicateur qui, au-delà de toutes les catastrophes que nous vivons et qu’il avait prédites, nous apporte un fabuleux message d’espoir.

    Ajoutons, dans le désordre, Pjotr Garjajev, Fritz Albert Popp, Tsiang Kan Zheng, Kaznatcheyev, Georg Groddeck, Hans Selye, Henri Laborit, Frank Alexander, Richard Sunder, et bien d’autres encore, tous scientifiques de renom dont les travaux sur l’ADN et les transmissions énergétiques entre cellules nous permettent de mieux comprendre des phénomènes étranges comme la radiesthésie, l’hypnose, la guérison à distance qui nous avaient paru jusqu’à présent relever de la plus haute fantaisie.

    A l’aube du troisième millénaire, ère du verseau je crois, prétendument ère de la sagesse ; époque où la technologie a rétréci la planète et ou la science l’a ramenée à sa juste place dans l’univers, c’est à dire une parmi quelques millions de planètes habitées ; au moment, disais-je, où nous commençons à entrevoir la réalité de notre existence cosmique ; il est navrant de constater que nous assistons encore, et de plus en plus fréquemment, à d’implacables et meurtrières chasses aux sorcières.

    Les habitants de notre planète semblent divisés en deux catégories distinctes : Ceux qui sont toujours et encore à la recherche d’une vérité au-delà des apparences, et ceux qui prétendent la détenir.

    J’ai dit deux ? Je devrais en fait dire trois. La troisième étant composée de ceux qui n’ont pas eu la chance, soit de se cultiver suffisamment pour appartenir à la première, soit d’appartenir par la naissance à la caste dominante de la seconde.

    Cette troisième catégorie, globalement ignorée par la première dont les préoccupations semblent n’être pas de ce monde, est ignominieusement exploitée par deuxième.

    Le véritable drame étant que la première catégorie qui seule pourrait tempérer les exactions de la seconde et apporter un peu d’espoir à la troisième, est le plus souvent totalement déconnectée des réalités quotidiennes.

    Ses préoccupations scientifiques ou ésotériques la conduisent loin des troubles de la vie courante, et les stupidités proférées par les Bien Pensants qui nous gouvernent lui font tout au plus hausser les épaules ; bien que, quelque fois, l’obscurantisme de ces supposés bien pensants lui retombe sur le nez.

    Qu’en penserait le professeur Hamer, aujourd’hui décédé, pour avoir été incarcéré après sa radiation de l’ordre des médecins de quasiment tous les pays développés pour avoir, il y a beau temps, découvert à ses dépends le caractère psychosomatique du cancer et pratiqué avec quelque 90 pour cent de réussite, une médecine appropriée ?

    Le plus drôle étant que parfois, les dit bien pensants, par je ne sais quel miracle, redécouvrent le fil à couper le beurre. Je viens de lire de forts intéressants propos, émanant de très sérieux professeurs en médecine sur l’origine probable du cancer.

    Quand je dis médecine, je veux dire médecine officielle, vous savez, celle qui autorise ou interdit aux médecins progressistes de pratiquer dès l’instant qu’ils ne professent pas la bible médicale pharmaceutiquement reconnue.

    Le cancer ne serait pas d’origine biologique, mais bien psychosomatique.

    Pour la petite histoire, ça n’a pas réinstallé le professeur Hamer dans ses prérogatives.

    Eh oui ! Si le cancer qui, comme n’hésitent pas à le dire certains, fait vivre plus de personnes qu’il n’en tue, est effectivement d’origine psychosomatique, son éradication échappe aux coûteux traitements cliniques avec toutes les conséquences que l’on peut imaginer pour la bourse de ceux qui les dispensent.

    Au demeurant, mon intention n’est pas ici d’ouvrir une polémique pour ou contre la médecine traditionnelle ; pour ou contre les religions ; pour ou contre l’attitude des gouvernements confrontés d’une part aux lobbies pharmaceutiques et d’autre part au supposé « trou » de la sécurité sociale ; ou encore pour ou contre l’existence de Dieu.

    Le fait que certains des textes auxquels je vais faire référence portent en eux une condamnation directe ou indirecte des systèmes en place n’implique pas mon adhésion inconditionnelle à ladite critique, même s’il m’arrive d’adhérer au concept lui-même.

    Je considère que les pratiques actuelles tant politiques que médicales ou religieuses, toutes issues de l’obscurantisme chaotique initial, participent d’un processus logique et inévitable de notre évolution.

    Lorsque j’avais à peine plus de vingt ans, dès lors que je me fustigeais à la suite d’une de mes nombreuses erreurs stratégiques, un de mes mentors avait coutume de dire :

    « Sur rien on fait une bêtise, sur une bêtise on fait quelque chose de bien ».

    Je suis persuadé qu’il nous appartient, tant individuellement qu’en groupe, de faire en sorte que cette évolution se poursuive dans le bon sens pour qu’un jour puisse se concilier sagesse, nature et technologie pour le plus grand bien de l’humanité.

    Un jour, ma plus proche cousine à laquelle j’exposais entre autre ma vision de cette notion d’évolution m’a rétorqué « parce que tu trouves qu’il y a évolution toi ?»

    Oui, sincèrement, je trouve qu’il y a évolution, non pas peut être localement sur un sujet ou un individu précis, mais globalement.

    Cette notion d’évolution globale à l’échelon de l’univers est du reste largement sous tendue par les travaux d’Emile Pinel qui avance que la vie peut s’expliquer au travers de l’existence de trois champs énergétiques qu’il appelle H1,H2 et H3.

    « Le champ H3 est défini par nos croyances et change à chaque instant pour s’enrichir de l’expérience de l’Univers, grâce à l’onde psi qui accompagne chaque particule.»

    Quand je dis « la vie », je parle bien sur de la vie biologique, l’existence de ce corps matériel qui nous est si cher et qui trouve sa source dans les champs H1 et H2 susnommés, mais aussi de cette impalpable énergie qui le meut et semble se cacher au fin fond du fameux champ H3 qui jamais ne disparaît et qui pourrait bien être assimilé à ce que l’on a l’habitude d’appeler « notre âme ».

    Notre évolution ne doit pas être seulement jugée à partir de phénomènes locaux. La conception égocentrique de notre position dans l’univers est depuis longtemps dépassée.

    Il est bien évident que si nous nous enrichissons à chaque instant par une sorte d’interconnexion, de l’expérience de l’univers, l’univers, lui, par voie de conséquence s’enrichit de notre propre expérience.

    L’évolution ne se fait pas linéairement, mais à partir de hauts et de bas dont la résultante est supposée être ascendante. Il est vrai que cela implique l’univers dans son ensemble, et qu’une amélioration notée aux confins de notre galaxie peut très bien compenser la détérioration de notre planète bleue.

    Soyons optimistes, prenons pour simple exemple notre douce France ; le Moyen Age était pavé de guerres et d’atrocités, les populations traitées comme du bétail et le clergé inquisitoire. L’espérance moyenne de vie plafonnait à trente ans.

    Le fait que cet état moyenâgeux se perpétue encore dans certaines parties du globe n’efface pas le progrès que nous avons accompli en Occident.

    L’ensemble des phénomènes auxquels nous assistons aujourd’hui au sein de notre société dite évoluée qui nous apparaît comme une régression, n’est en fait qu’une autre étape de notre évolution ; l’expression d’un besoin individuel d’existence ou plus exactement de reconnaissance.

    Le raisonnement et le jugement personnel tendent à se substituer aux ukases, règles et interdits de nos pères.

    « Je fais comme ça parce que mon père le faisait, qui le tenait lui-même de son propre père »,

    Phrase que j’ai si souvent entendue au cours de mon activité de conseil, a de plus en plus tendance à disparaître pour faire place à une réflexion créative.

    La stabilité des valeurs morales de nos ancêtres était solidement assurée par la domination des classes dirigeantes.

    Celles ci s’évertuaient à maintenir les masses laborieuses dans une ignorance absolue allant jusqu’à l’interdiction d’apprendre, ce qui leur assurait une absolue suprématie.

    L’être humain, aujourd’hui, se dresse de plus en plus contre un establishment qui vise encore de nos jours à imposer à la masse, quelque fois même avec la meilleure intention du monde, les vues d’un petit nombre de « notables ».

    Je ne veux pas dire ici que ce petit nombre ait systématiquement tort. Je veux dire que l’homme aspire à diriger sa vie par lui-même en toute indépendance, créant ses propres règles, même s’il n’est pas encore tout à fait prêt pour cela.

    Il est encore à la phase de réaction, il n’a peut être rien à proposer en échange, mais une chose est sure, il ne veut plus vivre sous la contrainte. Il ne sait peut être pas ce qu’il veut, mais il commence à pressentir qu’il peut oser ne pas vouloir.

    Lors de mes interventions sur la communication, j’avais l’habitude de schématiser le comportement humain en une seule phrase :

    « L’homme tend en permanence vers son accomplissement personnel au travers de son positionnement social par sa seule action en toute indépendance. »

    Le « hic » de l’histoire est qu’il n’a sans doute aucune idée de ce que peut être son accomplissement personnel.

    Il est clair que l’être humain a besoin de reconnaissance ; reconnaissance qu’il trouve aujourd’hui grâce à sa position dans la société ; ce qui le conduit tout naturellement à se battre plus ou moins loyalement, pour acquérir le positionnement apparemment le plus gratifiant.

    Demain, il comprendra qu’il peut trouver sa justification en lui-même, sans aucune interaction, et la face du monde en sera changée.

    Tout ceci crée un certain désordre qui peut aller localement jusqu’à l’exaction ; désordre qui peut effectivement passer au premier abord pour de la régression.

    Ce rejet global de « l’idée imposée », est en fait la suite logique de la phase précédente de notre évolution qui a solidement établi que nul ne doit être l’esclave de qui que ce soit.

    L’humanité n’a manifestement pas globalement acquis les moyens intellectuels ni la maturité nécessaire à cet affranchissement.

    Paris ne s’est paraît-il pas construite en un jour ; il faut bien commencer quelque part.

    L’humanité est adolescente,

    Laissons l’enfant grandir.

    Introduction

    Athée par tradition familiale et de formation technique totalement par hasard, j’ai parcouru un long et tortueux chemin pour parvenir à ce que je me refuse encore à appeler la foi, puisque la foi suppose une adhésion inconditionnelle et aveugle, mais bien à une conviction spirituelle profonde.

    Pour plus de facilité, je vais diviser cet essai en trois parties.

    La première sera largement autobiographique, simplement parce que c’est la récollection de tout ce à quoi j’ai été mêlé de près ou de loin et qui m’a amené à réfléchir plus avant.

    Méfiant par nature, j’ai une fâcheuse tendance à n’ajouter foi qu’à ce que j’ai moi-même vécu, et à ce que peuvent dire ou écrire des scientifiques notoirement reconnus comme chefs de file de leur spécialité.

    Si je fais référence à certains passages de textes qualifiés de « sacrés », ce qui ne manquera pas de surprendre ceux qui me connaissent, c’est simplement par ce que d’une part la majorité des scientifiques se réfèrent à de tels textes et que je les respecte trop pour seulement imaginer qu’ils aient pu perdre la tête au point de laisser une quelconque forme de superstition guider leurs précieuses recherches, et que d’autre part, à seconde lecture, il m’est apparu qu’au-delà de la formulation primaire de ces textes et des propos contradictoires qu’ils rapportent, se situe probablement tout un langage symbolique à décoder avec prudence et circonspection.

    Cette première partie est une manière de rassembler ce qui, pour moi, est épars ou du moins ce qui à première vue semble être épars.

    A ma manière, je suis comme l’ouvrier pauvre mais opiniâtre qui décide de construire sa maison au moindre coût avec des matériaux de récupération.

    Il n’a pas, cet ouvrier, comme l’architecte, la maîtrise des moyens, il ne peut pas faire un plan et aller chercher dans les boutiques adéquates, les matériaux les mieux adaptés à son rêve.

    Il va à l’aventure, furète ça et là au milieu des débris, trouve ici une brique, là une pierre, plus loin une poutre, etc.

    Il rassemble ainsi tout ce qu’il peut trouver dans l’espoir de pouvoir par la suite harmoniser le tout et créer sa maison. Une maison qui répondra du mieux possible à toutes ses interrogations et lui permettra de vivre en harmonie avec lui-même.

    La deuxième partie me verra donc tenter de bâtir ma propre maison.

    Tout comme cet ouvrier, je ne dispose pas de plan d’ensemble. Je vais donc procéder comme pour un puzzle. Je vais chercher à relier entre elles toutes les données que j’ai rassemblées dans la première partie.

    J’espère que, comme pour mon puzzle, au fur et à mesure de ma construction, le plan d’ensemble va se dessiner.

    Je ne doute pas que quelque part, elle ne réponde pas tout à fait à ce que j’en attends, cette maison.

    Certaines dépendances resteront vraisemblablement inachevées, en attente de nouveaux matériaux, de nouveaux meubles, de nouvelles expériences, de nouvelles connaissances.

    Mais ce sera ma maison et, au fil des ans, comme le ferait notre ouvrier maçon, j’y apporterai quelques améliorations.

    Partant des éléments que j’ai rassemblés, je vais élaborer ma propre approche de notre univers, ma réalité divine, ma connexion interstellaire.

    Ma quête pourrait avoir nom:

    « Recherche de convergence ».

    Une bien belle histoire.

    La troisième partie pourrait être le mode d’emploi de cette nouvelle résidence ou plus exactement l’élaboration des règles de vie, que je compte mettre en pratique au

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