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J'ai rétréci mon meilleur ami! - Livre 3 - L'attaque de la petite sœur géante
J'ai rétréci mon meilleur ami! - Livre 3 - L'attaque de la petite sœur géante
J'ai rétréci mon meilleur ami! - Livre 3 - L'attaque de la petite sœur géante
Livre électronique133 pages1 heure

J'ai rétréci mon meilleur ami! - Livre 3 - L'attaque de la petite sœur géante

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À propos de ce livre électronique

Qui aurait cru qu'un fusil rétrécissant aurait causé tant d'ennuis?! Bella, Joe et Zac devront faire face à des insectes terrifiants, une vieille dame folle du nom de Mary, des petites sœurs casse-pieds et un frère un peu nigaud s'ils veulent retrouver leur taille normale.

Je ne gâcherai pas le plaisir en vous disant tout ce qui arrive dans ce troisième livre de la série... Mais je peux vous dire qu'un tas de choses sont au rendez-vous! Est-ce que les enfants réussiront à redevenir grands? De quel œil Zac verra-t-il Bella à la fin de cette histoire? Il n'y a qu'un moyen de le découvrir...

Un livre parfait pour filles et garçons de 9 à 12 ans et pour tout le monde qui aime les histoires drôles et pleines de rebondissements!

LangueFrançais
Date de sortie18 janv. 2020
ISBN9781547590230
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    Aperçu du livre

    J'ai rétréci mon meilleur ami! - Livre 3 - L'attaque de la petite sœur géante - Katrina Kahler and John Zakour

    Chapitre 1

    ––––––––

    D’accord, c’était pas génial, mais c’était pas la fin du monde. Bon, c’est vrai, mon meilleur ami Joe et moi nous étions accidentellement retrouvés rétrécis à une taille de cinq centimètres. Et oui, nous nous étions fait livrer dans une boîte à la maison de Zac, le garçon le plus mignon de l’école. Et non, Zac ne m’avait pas vue dans mon plus bel état : minuscule et toute puante. Mais si on regarde le bon côté des choses, j’avais finalement réussi à me faire remarquer de lui ; encore mieux, Zac, avec l’aide de son petit frère Bobby, nous avait ramenés à la maison, Joe et moi. Mais pour revenir au mauvais côté des choses, Zac s’était ensuite rétréci lui aussi.

    Ce qui nous amène à la situation actuelle. Zac, Joe et moi sommes miniatures et coincés dans le sous-sol. La bonne nouvelle, c’est que Bobby, qui est de taille normale, est en haut et attend ma maman. Quand elle rentrera à la maison avec ma petite sœur Becky, Bobby lui expliquera la situation et Maman, en brillante scientifique qu’elle est, descendra nous voir et trouvera un moyen d’inverser l’action du rayon rétrécissant. Zac, Joe et moi redeviendrons GRANDS ! (Enfin, de taille normale, quoi.) Tout finira bien. Zac et moi aurons une super histoire à raconter à nos enfants un jour. D’accord, je saute peut-être aux conclusions là-dessus. Mais bon, on ne sait jamais.

    — Alors, on fait quoi en attendant Maman ? ai-je demandé.

    — Moi, je propose qu’on s’assoie tranquillement par terre et qu’on joue aux vingt questions, a dit Joe. Comme ça, on ne s’attire pas d’ennuis.

    Zac a balayé ses paroles du revers de la main :

    — Où est le plaisir là-dedans ?

    — C’est un bon moyen d’apprendre à connaître quelqu’un, a répondu Joe. Et c’est sans danger !

    Zac s’est éloigné de quelques pas.

    — On est dans une cave. Qu’est-ce qui pourrait arriver ? Il n’y a personne d’autre que nous.

    — Ce n’est pas la présence d’autres humains qui m’inquiète — enfin, pas en ce moment, a dit Joe.

    Joe m’a regardée.

    — Bella, dis-lui combien c’est dangereux !

    J’ai regardé mon meilleur ami, puis j’ai regardé Zac, le plus beau garçon de l’école. Une partie de moi, la partie la plus intelligente, savait que rien n’est jamais sans danger quand on mesure cinq centimètres. Le monde n’est pas fait pour des gens de cette taille. Pas du tout. À cette grandeur-là, on se ferait aisément écrabouiller par un bambin. Mais d’un autre côté, le plus beau garçon de la ville était ici, avec moi. Et maintenant, on partageait un lien, c’est-à-dire qu’on mesurait cinq centimètres tous les deux. Et il voulait explorer. Alors moi, je voulais explorer aussi.

    Je me suis éloignée de Joe pour me rapprocher de Zac. En tournant la tête, j’ai dit à Joe :

    — Tu sais, on ne vit qu’une fois.

    Joe était assis les jambes croisées.

    — J’en suis bien conscient ! C’est pour ça que je vais rester assis ici. Je veux que ma vie dure jusqu’à demain. Quand on est de cette taille, on n’est jamais trop prudent. Bella, on s’est presque fait dévorer par un petit chaton, aujourd’hui !

    J’ai continué à marcher vers Zac.

    — Joe, il n’y a pas de chats dans le sous-sol.

    — Oh, beurk ! ai-je entendu Zac crier.

    — Zac, qu’est-ce qu’il y a ? ai-je demandé en pressant le pas.

    — Oh, dégueu...

    — Zac, tu peux être un peu plus précis ?

    — Des toiles d’araignée... a dit Zac.

    — J’ai besoin de plus d’informations ! ai-je dit.

    — C’est collant ! a ajouté Zac.

    Il avait marché vers le coin de la pièce et était maintenant pris au piège, entortillé dans les fils argentés d’une grande toile d’araignée. Au-dessus de lui, une grosse araignée descendait lentement sur son fil. Là, j’ai vraiment pressé le pas.

    J’ai couru vers Zac. J’ai attrapé son bras, qui était resté à l’extérieur de la toile, et j’ai tiré. Zac a remué d’un centimètre.

    — C’est solide, cette toile ! me suis-je exclamée.

    Zac m’a regardée dans les yeux.

    — Je ne veux pas me faire manger par une araignée...

    — Ça n’arrivera pas !

    J’ai levé les yeux : la grosse araignée poilue continuait à descendre vers Zac. On aurait dit qu’elle essayait de comprendre ce qui se passait dans sa toile.

    — Ouste, l’araignée ! ai-je crié.

    L’araignée a ralenti, mais elle descendait toujours. J’ai tiré à nouveau sur Zac. Ça ne servait vraiment pas à grand-chose. Je me suis retournée et j’ai crié vers Joe :

    — Joe, viens ici, on a besoin de toi !

    Joe s’est levé et s’est dirigé vers nous.

    — Je vous avais dit qu’on devrait rester assis et jouer aux vingt questions, a commencé Joe sur un ton moqueur. Est-ce qu’on m’écoute, moi ? Mais non. Après tout, je ne suis que le premier de classe. Pourquoi on devrait prêter attention à ce que le gamin brillant raconte ?

    — Joe, arrête la leçon et aide-nous ! ai-je dit.

    Joe a regardé Zac, totalement immobilisé dans la toile. Il a levé les yeux vers l’araignée, qui était encore haut sur son fil.

    — Comment tu t’es retrouvé pris là-dedans ? a-t-il demandé à Zac.

    — Je crois que quand je l’ai sentie sur mon visage, je me suis tourné, a dit Zac. J’ai essayé de me dégager en tournant, mais encore plus de toile s’est collée à moi...

    — Ah, je vois ce que tu veux dire, ai-je dit.

    Joe a évalué la situation.

    — Moi, je ne vois pas, a-t-il dit.

    Il a pointé les bras de Zac.

    — Prenons un bras chacun.

    J’ai pris son bras gauche, Joe le droit.

    — On tire à trois ! a ordonné Joe. Un, deux, trois !

    On a tiré Zac vers nous. Zac s’est dégagé de la toile. On s’est tous retrouvés par terre l’un par-dessus l’autre.

    — Vous voyez, ça a marché ! a dit Joe fièrement.

    On s’est relevés et on a regardé l’araignée. C’était peut-être mon imagination, mais j’ai trouvé qu’elle avait l’air déçue. Zac a pointé l’araignée du doigt :

    — Ha ! Tu ne me mangeras pas ajourd’hui !

    Joe lui a donné une tape sur l’épaule. Il a pointé vers le milieu de la pièce.

    — Maintenant, assoyons-nous bien tranquillement ! Je suis certain que la mère de Bella va revenir d’une minute à l’autre.

    Zac a contracté les biceps.

    — Tu plaisantes ? Je viens d’échapper à une grosse araignée poilue ! C’était super !

    Joe a pointé l’araignée.

    — En fait, cette araignée ne mesure même pas deux centimètres. Elle est seulement grosse comparée à nous.

    — Mais quand même, j’ai failli y passer ! a insisté Zac. Explorons autre chose !

    Il m’a regardée avec de grands yeux.

    — Allez, Bella ! Allons voir le monde d’un point de vue miniature !

    Quand il le demandait comme ça, ça avait l’air si romantique. Soudain, on n’était plus des gamins qui s’étaient mis les pieds dans les plats. On était les vrais aventuriers qu’on avait toujours su qu’on était !

    — Écoutez, ça fait un bout de temps qu’on est miniatures, et on a failli être dévorés par des souris, des oiseaux et un chat, est intervenu Joe. J’en ai assez de ces aventures. Le monde est le même que lorsqu’on était de taille normale. Il est seulement beaucoup plus dangereux.

    Zac lui a fait un clin d’œil.

    — Le danger, c’est ça qui rend les choses intéressantes !

    Joe a secoué la tête.

    — Non, pas du tout. Ça ne fait que mouiller ton pantalon. Fais-moi confiance. Le danger, ce n’est pas intéressant ! dit-il avec un soupir.

    Zac ne l’a pas du tout écouté.

    — Allez, Bella ! C’est une aventure incroyable. Quelque chose qu’on ne vit qu’une fois !

    — Et bien, Bella l’a déjà vécu, a remarqué Joe.

    J’ai regardé

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