Dans la tête de Laz qu'est ce qui s'y passe?

Par Lazou laplume

Plongez dans cette rétrospective qui parle de différents sujets importants, actuels, de tous horizons vécus ou pas.

Mon recueil reflète mes états d'âme, il parle de mes réflexions et de ma vision sur notre société.

C'est mon ressentis par rapport au monde qui nous entoure.

Peut-être que vous y trouverez à l'intérieur une sensation de déjà vu.

Ceci est mon premier ouvrage et il y a tellement de choses à dire que cela ne sera pas le dernier.

• Langue: Français
• Éditeur: Books on Demand
• Date de sortie: 17 févr. 2017
• ISBN: 9782322159468

Lazou laplume

Genevoise de 33 ans, passionnée par l'écriture et ce depuis l'enfance, je couche sur papier tous mes ressentis: amour, peur, colère... C'est ma façon personnelle de pouvoir me sentir exister.

Aperçu du livre

Bienvenue à vous, si vous êtes là, c’est que pour vous aussi la société n’est pas toujours aussi rose que la plus belle des fleurs d’un jardin.

Alors je vous laisse entrer à l’intérieur de ma tête et découvrir ma vision sur ce qui nous entoure.

Si les larmes vous montent ou un frisson vous parcourt, c’est que tout en pudeur je vous aurai touché.

Bonne lecture.

Table des matières

L’actualité

La défonce

L’enfance

Le temps

Le système

La source

L’espérance

La cruauté

La mélancolie

L’ignominie

La maladie

L’amour

L’érotisme

Les artistes

L’amitié

Le méli-mélo

L’actualité

A la date du 7 janvier :

Acte gratuit à la conséquence désastreuse, des kalaches qui tirent contre des artistes derrières leurs âmes et leurs crayons.

Où va-t-on ?

Armés jusqu’aux dents, défendant une cause qui ne devrait pas être le but de faire couler du sang.

Je trouve navrant cette haine, liberté d’expression pour tous, car le cœur a ses mots et des raisons que trop de gens ignorent.

Alors laissons nos cœurs dicter nos actes pour une liberté.

A la date du 13.11.15

C’est un soir où les sourires et les rires sont de mise, Paris veille sur ses habitants et pourtant en quelques instants tout s’efface, l’angoisse prend part.

On ne comprend pas, ça tire, ça hurle.

Paris devient la cible de qui, de quoi, pourquoi ?

Les gens se cachent, les gens ont peur ; logique, la haine a envahi les rues à en détruire tout sur son passage.

Pourtant personne n’a rien fait pour mériter cela mais tout le monde devient victime de ce crime.

Paris en insécurité devient en tout incrédulité, un endroit où les meneurs de la stupeur sont formés pour créer des dégâts à faire payer sans pitié des gens qui n’ont rien demandé.

Capital sous alarme, des balles tuent pour surprendre à ne plus laisser les gens dans l’indifférence de ces actions trop importantes.

La défonce

Assis sur le banc, vous ne sentez même plus le vent sur votre visage, vous êtes dans le vague.

Regardez votre état, il est lamentable, vous vous êtes mis dans un état plus que minable.

Alcool, shit, cocaïne ?

Qu’importe la substance, vous êtes absents.

Les passants vous dévisagent.

Normal vous n’êtes pas beaux à voir, c’est le trou noir dans votre tête, même pas conscients de ce qui vous attend.

Mais quelle est la suite de l’histoire ?

Vous attendez le bus ou vous vous êtes juste assis là pour reprendre un souffle ?

Personne ne le sait, mais votre état fait peur.

Je ne pense pas qu’on vous prenne en pitié car envers vous même vous avez déjà tout cassé.

Alors qu’importe, que vous restiez là ou partiez, cela ne changera pas votre façon de vous achever.

Un rail de trop, un rail de coke, t’as sniffé et t’as rêvé pendant un laps de temps où ton voyage t’a fait fuir ta vie qui te fait souffrir.

Tu crois vraiment que cette salope va t’aider à avancer, tu crois vraiment que cette salope va t’aider à ne plus pleurer.

Elle t’aide qu’à crever petit à petit.

T’es en train de mourir pour juste assouvir une utopie à cause de cette salope : Madame la coke.

L’enfance

Il est tôt, tu te lèves et tu pars pour l’école.

Tu tombes sur la manchette et là tu lis en vitesse.

Eh oui ! Ça te choque !

Elles ont ton âge, comme toi elles vont à l’école chaque matin et pourtant, on en abuse, on s’en amuse.

Du coup tu balises et tu t’analyses en te demandant si prochainement tu seras la prochaine victime de la liste.

Ce crime, pas assez puni, mérite plus qu’une condamnation et prison.

Tu ne le montres pas mais tu te crispes et tu flippes et tu ferais presque dans ta culotte vu que tu as les chocottes.

Mais reprend toi petite, tu n’es pas encore une rescapée de ce taré.

Je sais c’est écrit, ça se passe ici et oui ici aussi on aime maltraiter sans penser.

Mais petite fais attention à toi,