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Le Petit Oiseau Blanc
Le Petit Oiseau Blanc
Le Petit Oiseau Blanc
Livre électronique156 pages1 heure

Le Petit Oiseau Blanc

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À propos de ce livre électronique

Évoquer la liberté peut sembler ambitieux. De l’audace, oui pour parler de thème existentiel. L’ascension de l’oiseau blanc comme l’élévation de l’homme vers l’envie de liberté …
L’homme rêve d’être libre comme l’oiseau blanc. Pour sa destinée qui est de planer sur les différents courants d’air. Pour cela, il porte le vent. Et il est porté par ces vents, comme une fusion entre le mystère du vent et l’autre mystère : la destinée de l’oiseau blanc. L’homme rêve de conquérir l’espace, mais sait-il que l’oiseau blanc peut s’enfoncer jusqu’à l’extrême fin de l’univers. Il est l’oiseau de la voix lactée.
Il aime, il vibre en unisson avec ce qu’il est capable de découvrir. Parce que c’est peut être toi.
L’oiseau blanc par ses volontés devient peut-être l’oiseau de la paix.
L’oiseau blanc, du nom de Jonathan est le fils de Yachên.(2S 23, 32), et demande à ce qu’on le suive là-haut.
LangueFrançais
Date de sortie14 sept. 2016
ISBN9782322116447
Le Petit Oiseau Blanc
Auteur

Sandrine Adso

Sandrine Adso, Docteur Ès Lettres, depuis le treize décembre 2010 connaît depuis ses plus jeunes études une passion, une admiration et un réconfort ardents envers la poésie. Dès l'enfance, son environnement l'inspira et elle écrivit son premier poème à l'âge de sept ans : "Madame la pluie." Le collège et le lycée firent d'elle : une "littéraire" comme on dit. Ce furent alors, les premiers cahiers intimes de poésie..., bien sûr égarés. Il lui faudra attendre les années universitaires pour passer de l'écriture virtuelle à l'édition. La poésie est omniprésente dans sa vie, et sa thèse en est l'affirmation : "La Poésie et l'Intimité ou l'Identité et l'Être au monde." Puis le cours de sa vie la rapprocha inexorablement de son plaisir d'écrire pour un public ouvert, et émotif : le but étant de faire naître des moments forts qui donnent à la vie son impact, d'élargir le spectre de l'espoir, d'aller toujours plus loin sur les sentiers lumineux. Une écriture qui vient quelquefois depuis de terribles douleurs, mais qui s'alchimise par les mystères de la création. Et cette création a choisi de transcrire le panel intime en jardin de coquelicots fleurissant à toute saison.

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    Le Petit Oiseau Blanc - Sandrine Adso

    Étrange, l’air paraît bien meilleur lorsqu’il n’est pas filtré par des barreaux. Le fer, je suppose (Jean–Pierre Davidts, Le petit prince retrouvé, 1997). Le petit oiseau blanc comprend son possible, il comprend la matière et la saveur de la liberté, dont il est semble-t’il l’emblème. Sentir l’air pour oublier le fer, c’est bien là l‘un des messages inhérents à la sensibilité de l’oiseau blanc qui perçoit l’indicible, comme l’invisible … jusqu’à en oublier sa geôle et qui le transmet par la beauté de son chant. La liberté ne se transmet pas que par des mots, les sons pénètrent tout autant l’esprit. Lorsque celui-ci est ouvert, et c’est bien là le plus difficile. Voici ce qu’en pense Richard Bach, lorsqu’il nous parle de son héros : Jonathan le goëland comprit que l’ennui, la peur et la colère sont les raisons pour lesquelles la vie des goëlands est si brève … Comment se fait-il que la chose la plus difficile au monde soit de convaincre un oiseau de ce qu’il est libre et de ce qu’il peut s’en convaincre aisément s’il consacre une partie de son temps à s’y exercer (Richard Bach, Jonathan Livingston le goëland, 1970). Le goëland est une métaphore de l’homme et il peut être juste de constater que Charles Baudelaire évoquant l’Albatros évoque aussi la difficile condition humaine : ses ailes de géant l’empêchent de marcher. Ce que soulève les deux auteurs est ce qui établit la conjoncture de l’homme à vivre une liberté. Qu’est-ce que la liberté ? Pouvoir respirer l’air, pour s’activer hors de l’ennui, de la peur et de la colère. Surtout, ne jamais se sentir coupable d’être ! Être signifierait-il alors : ne pas s’ennuyer, ne pas avoir peur, ne pas se mettre en colère ! Un sacré défi …, l‘ homme est peut-être fait pour accueuillir le défi, comme une vérité de l’agir. Le même poète disait justement : l’ennui est le pire des maux, en ce sens l’action est une réponse. En ce qui concerne la peur, celle-ci disparaît avec une conviction et un amour fervents pour la liberté. La colère est un sentiment humain, parfois divin. L’albatros n‘est heureux que lorsque ses congénères l’acceptent et ne voient plus en lui un être gauche et veule. Ainsi l’albatros (peut-être l’artiste à supprimer ? ) fait refléter sur les eaux sa condition de géant, il ne craint pas ce qu’il est, mais l’autre. Je est un autre, donc il est bon de se connaître soi même et de se convaincre de sa liberté pour aimer et ne plus craindre l’autre. Jonathan lui, a choisi de quitter son clan et de voyager seul pour ne ressentir que la perception de l’univers. Pour lui, la liberté ne peut provenir que de cet univers, et c’est là où il va la chercher. L’univers contient l’amour et c’est bien là le chemin du petit oiseau blanc. À la croisée des rêves, et de ses nuits d’été le petit oiseau blanc ignore sa condition pour ne se livrer qu’à ses amis humains, dans l’humilité la plus incontournable. C’est sa seule façon d’aimer …, de vivre, à nous de l’écouter : chanter depuis les étoiles. Pour comprendre et l’Albatros et Jonathan. Du géant romantique à l’éperdu solitaire, le petit oiseau blanc est la conciliation des sensations. Il sait que la vie ne peut durer qu’un jour, il sait aussi qu’il apprend à chanter et à être confiant envers tout ce qu’il découvre, si l‘on veut bien à notre tour le rassurer. C’est bien là l’essentiel, car le petit oiseau blanc s’il aime a besoin à son tour d’être aimé. Et je m’endors en scrutant les cieux pour le voir et encore admirer la beauté du monde. Si tu veux bien. Il faudra m’apprendre et me laisser à mon tour apprendre. Encore un printemps, encore une main tendue.

    Table des matières.

    Celui qui apprend à voler

    Avec qui partages-tu le ciel ?

    L’oiseau blanc a-t’il des amis ?

    D’un horizon à un autre

    Petit oiseau

    La gloire du petit oiseau

    L’oiseau et la dernière rosée du hasard

    Le timbre le plus fort ne porte pas toujours le chant le plus juste

    L’oiseau comprend avec sagesse (C’hok’hmâh)

    L’oiseau instruit avec intelligence (Bynâh)

    Où m’emmènes-tu petit oiseau ?

    L’oiseau peut s’enfoncer jusqu’à l’extrême fin de l’univers

    L’oiseau pareil à l’aspect de l’éclair

    Le petit oiseau blanc lit dans le ciel

    Le petit oiseau blanc viendra-t’il boire dans ma main ?

    Le petit oiseau blanc s’appelle comment ?

    Qui a appris à l’oiseau blanc à chanter ?

    Le petit oiseau et toi

    Libre comme l’oiseau blanc

    La douceur de l’oiseau blanc

    J’ai choisi d’écouter la voix de l’oiseau blanc

    La douceur de l’oiseau blanc version 2

    Le voyage de l’oiseau blanc

    Le soupir de l’oiseau blanc

    Quand l’oiseau porte le vent

    Avec ton oiseau :

    Le bonjour de l’oiseau

    L’oiseau sur la mer

    L’oiseau de la paix

    L’oiseau qui ne fait qu’aimer

    L’oiseau de la volonté

    L’oiseau de la voie lactée

    L’oiseau c’est toi

    Celui qui apprend à voler

    Découvre souvent les plus hautes vérités

    Partageant les cieux étoilés,

    Ou les cieux ensoleillés,

    Il fait de ses voyages

    Une succession d’apprentissage.

    Porté par les vents,

    Il est toujours le gagnant

    De son envol : son seul exploit.

    Pouvez-vous imaginer l’effroi

    Mais aussi la joie,

    De ce petit être

    Qui parfois rentre dans une fenêtre ?

    Ouverte …

    Faisant ainsi la découverte

    D’une maison

    Où sa plume laissera un nom …

    Mais qui apprend à l’oiseau à voler ?

    Le sait-il de par son instinct ?

    De par son maintien ?

    Jusqu’où le vent ?, le lointain ?

    Il a été là où personne n’est jamais allé :

    Il connaît bien des contrées

    Bien des forêts

    Et a protégé

    Bien des unions sacrées !

    Le firmament l’appelle dans la nuit

    Et il plane au ralenti

    Savourant les lieux de silence infini

    Là où personne n’a jamais posé sa couronne

    Là où personne ne lui a

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