Mélanie's revenge

Par Stephan Erick

Ce livre nous profile la vie nonchalante et ludique de Mélanie, à Limoges, cette dernière tient une boutique sur les bords de la Haute-Vienne.
Malgré son apparence de femme à tout faire, se cache une femme d’affaire, qui par désespoir se mit à écrire quelques nouvelles qui inspirent ce livre, en mémoire. Le soutien de ses followers sur son Facebook et ses visites extra-lucides dans les quartiers chauds de cette ville, par intérêt, elle assimile, plaisir et argent dans le maximum superficiel, et inhérent à sa fortune personnelle. Cette appropriation de caractère semble désinvolte tant elle craint de devenir une victime de son commerce ! Pour ceux et celles « ses ami(e)s » ! Ce n’est que de la poudre aux yeux, pour dire qu’elle n’a pas froid aux yeux quand ponctionne sa clientèle accoutumée.

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 31 mai 2024
• ISBN: 9782312143859

Aperçu du livre

Chapitre I

Je me présente Mélanie 34 ans je ne travaille pas actuellement, par contre je me bas au quotidien pour faire découvrir mon histoire jusqu’au sommet de l’état pour que plus aucun enfant ne subisse de violence familiale. Comme on me l’a souvent dis dans ma vie, souvent l’ennemie vient de son propre camp. Mais je ne suis pas depuis toujours l’ennemie de ma famille, car je suis différente, car je ne pense pas comme eux, parce que je suis tolérante et je veux aider les gens. Aujourd’hui je me bas à très petite échelle pour aider les gens autour de moi, mes amis ah mes amis, ceux qui m’ont aidé à me sortir de cette situation ou a 31 ans je n’ai plus aucun ami, ma vie familiale est compliqué, je ne trouve pas ma place, et je suis rejetée et même poussé au suicide. On pourrait parler de psychologie inversée, mais cela ne leur servira que de prétexte si je vais devant la justice. Les avocats semblent boycotter mon affaire je ne trouve personne qui veuille m’aider. Même les avocats que autisme info service ne donnent pas suite à ma demande. Parce que je suis autiste et transgenre ma vie n’a plus d’importance, ma parole bien que crédible ne semble pas être écoutée. Et on va laisser libre ma famille qui m’a maltraité surtout psychologiquement… Voici mon histoire…

Je suis transgenre depuis toujours, née dans le mauvais corps j’ai entamé un changement radical à mes 25 ans pour réaliser l’un de mes rêves. Devenir Mélanie. J’habite à 700km de ma famille. J’ai fuis ma Lorraine natale pour fuir la solitude et la dépression en tentant ma chance ailleurs. Par le plus grand des hasards j’arrive dans le Limousin il y a 2 ans. Je suis devenue une vraie Limougeaude dans l’âme, j’y ai trouvé mes marques et enfin trouvé une place qui me convenait, En tout cas je m’y complaisais, je n’étais plus seule, je vivais au jour le jour. J’étais plutôt heureuse enfin…

Il y a 1 ans, début décembre, j’étais atteinte de Schizophrénie et Bipolarité, j’étais angoissées en permanence, le psoriasis était plus que jamais présent,… J’étais devenue littéralement bipolaire : avec de réels passages dépressifs ou je perds pied complètement. Je suis déconnectée du monde réel, je suis pleine de contradiction, je ne sais même plus qui je suis. En période maniaque je profite de ma vie a fond. Heureusement mes amis m’entourent, et me sortent de cette dépression régulièrement.

À ce moment je tentais de retrouver une vie stable auprès de mes proches, je suis allée habiter chez ma copine a Strasbourg. Tout en me rapprochant de ma famille. Mais la bipolarité ne s’arrête pas. La chute est certaine, inévitable, il faut que je relève la tête et que je comprenne. Je prends mon portable et je cherche sur Google, tout ce que je peux trouver à ce sujet comme j’en ai pris l’habitude de faire depuis des années. Chaque chose que je ne comprends pas (en dehors de ma famille), je le cherche sur Google… En poussant mes recherches je tombe sur les troubles du spectre de l’autisme qui d’après des études pourrait être la cause ou la base de tous mes problèmes. C’est une surprise pour moi, et une révélation qui va m’ouvrir une nouvelle compréhension de la vie et de qui je suis. C’est aussi un cataclysme, Pendant un temps je suis complétement désorientée, même rouler en voiture me demande un vrai effort mental. Quand je coupe des légumes je dois me concentrer pour ne pas me couper. Le choque est violent et en même temps c’est un soulagement. Je reprends rapidement mes esprits et mes capacités. J’ai fonctionné en mode automatique toute ma vie. Sans rien comprendre a ce qui se passait dans ma tête. Avec des appels au secours ignorés de toute part. Quand je dis à 13 ans que je ne veux pas de mon sexe, ma mère doit m’envoyer voir un psy, pas me faire un lavage de cerveau anti psy, et sur les avantages du sexe masculin.

Il est fort possible que ma mère soit sous la contrainte de ma puissante famille du coté de mon père. Cette famille de Noble descendante d’un Duc, celle qui se croit au-dessus des autres, celles qui critique les plus vulnérables, celle qui critique les petits gens, les obèses, les étrangers. Peu être aussi un lavage de cerveau uniquement réservé à moi. Car oui mise à part mon père je ne connais aucun membre de ma famille. Ils ont tous joués un jeux de rôle face à moi pour que je suive mon père, devienne mon père, ou mon grand père, ou, ou ce Duc, toujours bien manipulé par le reste de la famille pour accomplir sa tâche. Enfin qui sait la vérité est peu être tout autre mais l’arbre généalogique dont j’ai temps entendue parler qui faisait notion que le gène saute des fois une génération… pourrait être utile pour prouver leur intention à mon égard. Mais quel gène ? Le gène de l’autisme ? Celui avec des capacités spéciales ? Celui qui est aussi la base de tous mes problèmes ? Et surtout du faite que je ne comprenne pas l’intention des gens à mon égard. Évidement si je comprenais vraiment l’intention des gens à mon égard je me serais séparée de ma famille il y a bien longtemps… Mais surtout la découverte de cet autisme m’ouvre de nouvelles possibilités sur la manière de concevoir les choses. Et si j’écoutais juste mon cœur ?

Beaucoup de choses se mêlent dans ma tête. Est ce que ma famille avait connaissance de mon autisme ? Cela me semble évident, une infirmière me le confirmera « oh ils ne vous ont pas fait confiance !!! » Non la vérité est tout autre, mais elle confirme mes intuitions… Est-ce qu’ils me l’ont caché pour mon bien ? Je ne pense pas. Quelques jours plus tard, Je fini aux urgences psychiatriques pour échapper à ma sœur qui voulait me ramener dans le cercle familiale en