CLOSER Dans votre BD, Mam’s, vous racontez avec humour le quotidien des parents et surtout des mères sous pression… Vous l’êtes, sous pression?
Avec le confinement, j’ai pris conscience qu’il fallait arrêter de vouloir tout bien faire. Pendant des années, j’ai culpabilisé de partir tous les matins à 4 heures et de ne pas emmener mes enfants à l’école. D’allaiter, de ne pas assez allaiter, de trop allaiter. D’avoir des jumeaux avec cette sensation que j’en mettais un de côté quand je m’occupais de l’autre. De ne pas faire le marché tous les dimanches et de