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La Balle Perdue
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Livre électronique147 pages2 heures

La Balle Perdue

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À propos de ce livre électronique

Le récit de ce livre se situe entre la Charente et la haute-Savoie, ce polar nauséabonde qui dégage à chaque page, nous intrigue de par les faits reprochés à Steve Renards, embastillé dans sa tour d’ivoire, bien loin de sortir de prison, ce voyou de la Haute-Savoie, qui maintenant est incarcéré en Charente, purge une peine incompréssible en prison.
LangueFrançais
Date de sortie18 janv. 2023
ISBN9782312130774
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    La Balle Perdue - Stephan Erick

    cover.jpg

    La Balle Perdue

    Stephan Erick

    La Balle Perdue

    LES ÉDITIONS DU NET

    126, rue du Landy 93400 St Ouen

    Du même auteur

    L’insoumis. 2018

    Sous-jacent. 2019

    © Les Éditions du Net, 2023

    ISBN : 978-2-312-13077-4

    Ce qui n’est pas dit, ne le sera jamais, c’est un mauvais augure ! Les particules de nos atomes crochus, nous révèlent déjà plus d’un quart de siècle ! Les signes d’âpretés, et de conciliabule, nous entraînent vers le ravin de la connaissance. Certes, nous y sommes tous connus en ce lieu.

    La réincarnation, et la divination interjettent la conspiration et la morosité. Le préambule et le parchemin de nos destinées, nous y voient en bon vouloir ! Sacrement péremptoire, et formes olympiques parviennent à endoctriner nos échéances de vies ! Largement battu et atomisé dans la sphère mondaine. L’illustre et classique écrivain que je suis n’y voit que du feu, pour ainsi dire.

    Maintenant et toujours, les renégats de la spirale aristocratique vont de pair, avec le fondement de notre société. L’équinoxe de nos songes va bon train, ce soir.

    Les dictons de notre chair, et vouvoiement sonnent le glas. Nous y voilà, dans la montée au créneau de nos chers compatriotes. L’arborescence de nos croisements lunaires, et constellations planétaires, implique plus de dextérité !

    Dans un sens comme dans l’autre, vous n’avez pas peur aucune d’une justice à deux vitesses. Un point mort, ou une rétrocession en perspective d’avenir !

    Certes, nous ne sommes pas non plus sans croire à une meilleure volonté d’embellie planétaire et lunaire pour les rêveurs. Les parasites n’ont plus lieu d’être, et l’incertitude se prononce dans la pénombre d’une antichambre royale.

    Pourquoi ? Nous en parlons assez régulièrement de cette fin d’existence ? Sûrement pour la bonne raison de ne rien dissimuler à chacun. En vertu d’une intelligence de croisade.

    Rire de la mort, et jeter un sort au vivant, funeste rie dissidente. L’âpre moral en cause, c’est le mensonge, la dissimulation d’information, et la connerie. La raison qu’elle soit sociale ou particulière ne sert aucunement la providence. Sur des chapeaux de roues, elle démarre au quart de tour. C’est la patrie qui veut cela, et qui met beaucoup d’eau dans son vin, lors des repas arrosés en chef lieu.

    Tristement ! Nous convainquons et légiférons un processus abolitionniste, et de détérioration de notre système immunitaire, des différentes castes sociales. À poil ! Nous sommes quand la candide ferveur d’un modèle social tombe tout droit du ciel, c’est ce qu’on appelle la providence pour les arrivistes. Gauchistes et deuxième gauche, comme nous l’appelons maintenant, celle qui foudroie en un éclair la patrie, et la nation, le pays en friche, et la population révoltée ! La miséricorde n’est pas venue sans moindre effort, la fierté nous abîme et la morosité d’un constat social en déclin, les revendications s’annoncent aux portes des parlements et même les hauts élu(e)s, et dirigeants de notre société deviennent fragilisé(e)s. Dans ce monde impitoyable, comme l’Europe des 27 qui entraîne mouvements financiers et revendications légitimes pour accroître leur productivité et main d’œuvre. L’égalité des chances envers et contre tout dans le « pré » ! Non, sûrement pas le plus diplômé l’emporte à perte ou à raison. La fonte et le moule, pour s’inscrire sans croire à des préceptes élargis. La barbe du père Noël, n’est que le reflet d’une santé politique, à qui le trésor trouvé dans le noyau sociétal, nous effraie, par exemple : La religion et la monarchie qui accumulent des richesses sans même s’en soucier. La redistribution des richesses, qu’elles soient financières ou participatives, nous entraîne déjà dans un gouffre financier, et de surcroît nous fait croire à une meilleure volonté du citoyen. Maître d’œuvre et forgerons de notre société mondialiste, nous font peur. Le modèle américanisé et l’Europe, plus les continents en émergence.

    Le système, voilà ce que l’on appelle le rouage de l’économie tout azimut. Le berlingot dans le tiroir caisse, la totale au fond du bazar.

    À quand l’apologie de la richesse ? À savoir que les bonnes fortunes se construisent en famille, et la diversité accroît la rentabilité, ainsi que les monopoles acquis ! Il n’y a aucune ambivalence, mais un constat d’huissier aux portes du pénitencier. Sans équivoque, il faut mettre un terme à certaine collaboration, avec ou sans justice !

    Maigre recette de bienfaisants en matière d’affaire lucrative.

    Ceci étant dit, noir sur blanc les contrats qui se rangent précieusement au coffre fort servent à enrichir les notables.

    Conclusion faite, les non-dits et la raison l’emportent sur le bon sens. L’évolution des mœurs, et les habitudes et hobbies. Le sport bien évidemment, et la richesse de l’intellect, la culture, et les connaissances du monde, les voyages, ainsi que les études mettent en valeur l’individu, et les locataires du savoir, il y a une marge bien définie. Dans le cadre d’une collaboration avec les services sociaux et la coordination des préfectures, et des infrastructures misent en place pour cet événement nous fait constater à une interlude non élucidée. Le ressort dans cette affaire de mœurs, c’est l’âpreté des faits marquants et non résolus !

    L’enquête ne faite que de commencer, cela va durer un quart de siècle de recherche dans les détails, la remise en cause des prévenus, et des inquisiteurs des lieux et de scènes macabres ! Les journalistes étayent les faits dans les journaux de propagande en ce service. Le classeur solide à toute information contributive. Ici, et là, les ragots vont bon train, le bouche à oreille, parfois mensonger. Les cervicales démises, et le cerveau écrasé par le poids des mots, et le choc des photos. Voilà, tout se petit monde arrive à point.

    Les regards hagards des gens croisant ce bout d’enquête !

    La minutie des recherches forme l’élite scientifique, la police criminelle sur les lieux ! Rouvrir des enquêtes fermées pour encore une fois redécouvrir le serial-killer accusé de ces faits impitoyables et redoutables. Redescendre dans le bas monde de ces individus emprisonnés ou libres.

    Sidéré par les enquêteurs, le ou les complices qui ont servi à sa cavale, sont déjà écroués !

    La courroie déjà usée, le dernier trépasse !

    Volume de dossier s’entasse sur le coin du bureau ! Pour ainsi dire, ils tirent à boulet rouge sur tout ce qui bouge.

    Le mal est fait. Un ressort ou plutôt un tremplin vint à terme à qui sait rebondir. Les victimes et les verdicts tombaient de l’échafaud. Les marges des cahiers d’écoliers brûlaient au fond de l’impasse. Les radars volants ou plus exactement les drones finissaient leurs périples sur une piste d’atterrissage.

    Ainsi soient les objets volant identifiés. Les latitudes n’en finissaient pas de passer au fil des heures !

    Les moulins à vent et les vieilles charrues freinaient ou décuplaient les forces centrifuges. C’est aussi une forme d’envolée funeste. N’y a t il aucun désagrément.

    Point épileptique ! Fortement happée, la doctrine fit miroiter les tributaires de ce mirage aux alouettes. Vert flamboyant, et sardine, le duo de choc fut présent aux portes de l’inconnu. À, pour en-tête, la parabole et la particule manquante ! Finissant, la ruine étincelante comme un réverbère de rue piétonne ! Alchimiste ou funambule et arlequin équilibriste, le tout en un de la vertigineuse ascension des monts arcboutés. La tension règne !

    Le royaume du rire, et de l’absurde ! Sorte d’allégories au ton passager dans ce labyrinthe de nœuds de serpentins. Fustigez, élaborez, changez tout ce petit monde dans la certitude ! Edulcorez, collez, vernissez, ce tableau de chasse, avec ses plus belles prises. Impitoyable ou pas, ce n’est que l’agonie d’un royaume, des dynasties, et des siècles d’histoire contemporaine ! Les agissements et actions déjà établi(e)s dans ce périmètre insèrent ce préambule notoire ! L’arcboutant sous couche d’ozone. Étroitement lié au marché du travail toute catégorie sociaux-professionnelles. Les documentalistes n’en démordent pas, c’est un stratagème conquit et vindicatif. Les données déjà enregistrées, nous parle et nous informe de cette charge sociale et collective, comme un sport d’endurance ou de groupe. Le pavé dans la marre, ou l’éveil d’un soir. Quitte à choisir, c’est un blasphème un épic or. L’arbre né dans la forêt neutralise les forces naturelles de ce domaine forestier. Cette étincelle qui brille au-dessus de nos têtes, nous porte en respect, et interjette le venin viral de notre vie, c’est à dire la COVID19.

    La bonne étoile, et la chance au rendez-vous dans cette débâcle mondaine !

    L’alchimie grandissante nous entraîne dans le monde de la mégalomanie, et du rêve ! Toujours plus et encore une fois.

    Maintenant dépassé par les événements, ils suppurent les plaies béantes, noircie par le spectre du cancer abolissant l’homme ou la femme. La prose facile !

    La division et distanciation physique et corporelle des deux mondes ! L’injonction gouvernement pour le port du masque obligatoire partout et le plus possible dans les transports et lieux publics.

    Nous évoluons dans un monde de barrières et d’entraves à nos propres sentiments, pour ne pas dire à l’opposé de nos semblables. Les uns et les autres, séjournent dans leur tour d’ivoire, et renoncent aisément à leurs prérogatives ! Le funambule nocturne nous entraîne déjà dans son monde d’équilibriste ! La majeure partie de son temps était destinée à entreprendre et comprendre de nouvelles donnes, et fonctions au sein de son entreprise internationale. Pourquoi, les pertes et profits cumulés depuis des dizaines d’années servent à enrayer le pas sur les indigents sclérosés de toute part dans ce labyrinthe mondain et culminant à bien des doctrines en tous genres !

    Certes, le tour n’est pas joué d’avance. L’indulgence et la bonne diligence des participants donnaient un dur ton solide comme un roc. La victimisation nous entraîne dans des paraboles effervescentes. La force de croire en un renouveau et une grande anticipation.

    Nous nous y sommes baladés main dans la main, bras dessus bras dessous, pendus comme un manteau blanc ! Apriori, nous n’avons pas les mêmes valeurs de surcroît la noblesse d’esprit vint à point, comme la blé et l’orge, ainsi que le maïs durant l’abondance d’été, saison primordiale à l’éclosion ! Le ramassage se fait bien avant la fin de l’été, et transmets la nature, après mort naturelle. La seule hypothèse ne raccorde en rien les friches, et les besoins naturels. Non, non, sommes-nous tous identiques ?

    Je ne le crois pas, mais encore, sommes-nous des robots ? Non, je ne le crois pas, mais égaux les uns des autres, mal ou femelle. Obéissons et transmettons nos ressources aux uns et aux autres. La libre pensée universelle, le maniement du bâton. Ceci explique cela ! Nous adorons et glorifions notre dieu. L’esprit vagabonde dans le temps et l’espace, ceci nous mène aux rêves et rêveries. Les fantasmes de chevaliers de la table ronde !

    Sommes-nous ou pas, à même de croire et voir en un renouveau, ou en une forme de lévitation spirituelle, et céleste ?

    N-y-a-t-il pas de fin du monde ? Le perpétuel renouvellement de l’être humain, la mondialisation des stéréotypes. La racine carrée, le chiffre manquant, et les équations !

    Cela en vaut le détour pour mieux comprendre. Les mathématiciens ont de surcroît l’omniscience de voir à tort ou à raison, les solutions les meilleures et plus justes dans les tables de matières.

    Le bilan était là, morose et moribond !

    Nous affirmons toujours notre veine, de croire en de jours meilleurs. La

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