Baise Endiablée (M/M)

Par Alex Andre

De la haine au désir, il n'y a qu'un pas.

Et je vais en faire l'expérience personnelle avec mon colocataire.

Je ne le supportais pas les premières semaines de cohabitation. Mais mes sentiments vont se retourner contre moi et ma frustration va devenir quelque chose de beaucoup plus charnel.

Il m'obsédait l'esprit. Dans la réalité comme dans mes rêves, je n'arrêtais pas de penser à lui. Il fallait que ça cesse! Il pouvait être beau, grand, brun et ténébreux avec un corps d'athlète, ce n'était pas une raison de fantasmer sur lui, non? Si?

C'est pas vrai... J'avais envie d'une baise endiablée avec mon coloc! Mais ça, ne le dites à personne!

(Ceci est une nouvelle érotique GAY courte, si vous aimez les scènes érotiques chaudes et excitantes alors cet e-book est pour vous! Tous les personnages ont 18 ans ou plus)

• Langue: Français
• Éditeur: RomansBrûlants
• Date de sortie: 14 févr. 2024
• ISBN: 9798215757611

Aperçu du livre

BAISE ENDIABLÉE

Vous voulez connaître un secret? J'avais envie de mon colocataire Raphael . Mais ça n'a pas toujours été le cas. Je ne savais même pas que j'étais gay au départ. Les premières semaines de notre colocation, je ne le supportais pas. Je faisais tout pour l'éviter et rester dans ma petite bulle à moi. Tout ce que je voulais, c'était la tranquillité. 

Mais Raphael avait une manie de me mettre hors de moi et d'être toujours là quand je voulais du calme. Il avait le don pour me faire réagir de manière imprévue.

Raphael ne s'était jamais caché de son orientation sexuelle et je l'admirais pour ça. Il m'avait tout raconté de son histoire avec son ex petit-ami et même si Raphael m'agaçait de temps à autre, il méritait quelqu'un de bien mieux que son ex. 

Mais Raphael n’était pas mon seul colocataire. Nous étions trois en tout. Il y avait Marc, c’était le plus sympa même si nous n’étions pas forcément très proches. Mais Raphael, c’était le pire, on aurait dit qu’il ne m'aimait pas et qu'il ne s'en cachait pas. J'avais l'impression de déranger alors que j'avais tout autant le droit d'être ici, même plus que lui d'ailleurs. Je payais le loyer après tout. Lui, non. 

Toc toc! déclara une voix masculine derrière moi, accompagnant le son des phalanges claquant contre la porte blanche de ma chambre.

En parlant du loup....

C'est pour quoi? Demandai-je d'un ton ennuyé sans même prendre la peine