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Un Bond Vers Une Economie Ecologique
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Livre électronique248 pages3 heures

Un Bond Vers Une Economie Ecologique

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À propos de ce livre électronique

Le plus important changement pour l'humanité serait de reconnaitre son interdépendance avec les autres espèces de la planète.


La nouvelle économie investira pleinement pour restaurer et augmenter la richesse de la nature.


Ce livre décrit un système économique qui serait durable et qui permettrait alors à l'hum

LangueFrançais
Date de sortie27 sept. 2023
ISBN9781739019204
Un Bond Vers Une Economie Ecologique

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    Aperçu du livre

    Un Bond Vers Une Economie Ecologique - Derek Lever Paul

    Un bond vers une économie écologique

    Deuxième édition
    Commentaires traduits sur les éditions (en anglais) précédentes:

    J’ai lu votre livre et... il reste le livre que j’aurais aimé écrire… Vous avez décrit une voie à suivre... Merci pour votre importante contribution à la littérature dans le domaine de l’économie écologique.»

    Glenn Griffin MD, MSc, Med.

    Convaincu que le système économique actuel... [qui] ne peut pas nous aider à survivre à l’effondrement imminent de... la crise climatique, Derek Paul présente une nouvelle économie écologique pleine d’espoir, basée sur le principe de vie, la reconnaissance que toute vie ... est interconnectée et dépend de la Terre pour sa survie. L’économie écologique de Paul remplacerait l’actuelle économie du gaspillage par un système durable. Dans un texte bien organisé, avec des chapitres succincts et des références scientifiques utiles, il vise à promouvoir la discussion au niveau communautaire et politique.

    Phyllis Creighton (historienne, éditrice).

    ... En nommant les principaux éléments qui doivent changer… et les étapes clés de ce changement, le débat va au-delà de la fin du pétrole et s’oriente vers la forme émergente du nouveau paradigme. Je tiens à vous exprimer ma profonde gratitude pour votre travail...

    Bob Fugere, directeur d’une ONG.

    Bravo pour un effort extraordinaire pour voir les choses bien. Ce livre est à la fois modeste et immodérément visionnaire... mais il couvre une vaste étendue sans paraître superficiel. Au contraire, vous avez fait et résumé une grande quantité de diligence en abordant un sujet d’une portée et d’une complexité vraiment immense.

    Franklyn Griffiths, professeur émérite, sciences politiques.

    L’objectif de ce livre est certainement essentiel, et je me trouve en accord avec tous les grands thèmes exprimés et expliqués dans les 22 chapitres... Je ne manquerai pas de transmettre ce livre à mes amis pour qu’ils apprennent... l’important message exprimé si succinctement ici.

    J. Hellebust, biologiste.

    Un bond vers une économie

    écologique

    Deuxième édition

    Derek Paul

    Maison Hilton

    Une publication de Maison Hilton
    Imprimerie, distribution : Amazon Publishers Online
    Droits d’auteur et d’artiste ©Derek Paul 2023
    Tous droits de reproduction, d’édition, d’impression, de traduction, d’adaptation et de représentation, en totalité ou en partie, reservés. Reproduction interdite sans l’autorisation écrite d l’éditeur. Pour obtenir une telle autorisation, écrire à L Prim-Chorney, 3200 rue Omer Lavallée, appt 523, Montréal QC Canada H1Y 3P5
    Date de publication : août 2023
    Informations
    ISBN numéro 978-1-7761498-8-0
    ISBN numéro 978-1-7751498-9-7
    ISBN numéro 978-1-7390192-0-4
    Type : nonfiction : économie, changement de paradigme, capital, investissement, ressources, emploi, augmentations de richesses naturelles, industrie, recyclage, publicité, sociétés benefit, biens communs, population, agriculture, santé, militarisme, inégalités, indice économique, changement du climat, projections de pénuries, empreint écologique et biocapacité, décroissances de la vie sauvage, pénuries d’eau douce.
    Dépôt légal
    Bibliotheque national du Québec
    Dépôt légal
    Bibliothèque national du Canada

    Sommaire

    Remerciements
    Préface de L’auteur
    Chapitre premier Introduction
    Chapitre Deux Pourquoi le système traditionnel doit-il être remplacé ?
    Chapitre trois Caractéristiques d’un système économique écologique
    Chapitre quatre L’argent et la dette
    Chapitre cinq Capitaux et investissements
    Chapitre six Création de richesses
    Chapitre sept Maintenir le plein emploi
    Chapitre huit Mettre fin à la combustion des énergies fossiles
    Chapitre neuf Réduire, réutiliser et recycler
    Chapitre dix Objectifs écologiques pour le commerce et les industries
    Chapitre onze Mondialisation et transport
    Chapitre douze Publicité et consumérisme
    Chapitre treize Les sociétés benefit
    Chapitre quatorze Exigences bancaires
    Chapitre quinze Définir et restaurer les biens communs
    Chapitre seize L’épineux problème de la surpopulation
    Chapitre dix-sept Agriculture, alimentation et santé humaine
    Chapitre dix-huit Militarisme
    Chapitre dix-neuf Inégalités : Revenu et pouvoir
    Chapitre vingt Utilisation de nouveaux indices de richesse et de prospérité
    Chapitre vingt-et-un La Chine
    Chapitre vingt-deux Recommandations
    Annexe 1 La Terre et son climat
    Annexe 2 Projections importantes
    Annexe 3 Empreinte écologique
    Annexe 4 Biochar et changement climatique
    Annexe 5 Menaces d’extinction de la vie sauvage
    Postface
    Au sujet de l’auteur
    Index

    La couverture du livre

    La couverture de ce livre est la reproduction d’une peinture à l’huile de l’auteur. C’est une métaphore du livre lui-même, à savoir le passage du connu à l’inconnu, puisque rien de tel qu’une économie écologique n’a été expérimenté ces 300 dernières années, sauf à l’échelle locale. La jeune ballerine de l’image, circa 1978, sans chaussures, vêtue de son uniforme scolaire et protégée de la pluie par un parapluie alors qu’elle s’envole dans les airs, a déjà entamé la descente de son grand jeté. Son envol vers des pâturages plus verts est également une métaphore d’une meilleure société humaine qui résultera d’une économie écologique dynamique. Dans le cas de la danseuse, cependant, elle ne sait pas exactement quelle sera la qualité du terrain sur lequel elle devra se poser, la pluie ajoutant à l’incertitude, mais elle doit atterrir—autre élément de la métaphore.
    (La danseuse n’est pas apparentée à l’auteur).

    Remerciements

    Mes remerciements les plus chaleureux vont à Lee Soderstrom et Sam Lanfranco, dont les commentaires et l’aide ont été les clés des changements nécessaires dans cette nouvelle édition; et à Lilya Prim-Chorney, qui m’a assisté de très nombreuses fois quant aux choix de phrases, un travail sans lequel cette édition n’existerait pas.
    Mes remerciements répétés vont à ceux qui ont contribué aux éditions précédentes de ce livre : Robert Hoffman (décédé depuis), Adam Newns, David Millar, Matthew Kiernan, Don Chisolm, Don Hudson, Paul Prechner, Robert Fugere, Phyllis Creighton, Louis Robichaud, Ortiz Cabrera, Frank Feather, Metta Spencer, Adele Buckley, Adrian Kuzminski, Yves Bergeron, Ted Mann, Sheila Murray et Robert Murray (décédés depuis), Cymri Gomery, Sam Lanfranco, Matthew Chapman et, surtout, Lilya Prim-Chorney. Une grande partie de leurs commentaires utiles est encore bien visible. Mes remerciements vont également à Sylvie Rochette pour ses encouragements et ses nouveaux contacts et à Mathis Wackernagel pour son soutien et son aide.

    Préface de L’auteur

    Chère lectrice, cher lecteur,

    Votre rôle dans la mise en place d’une nouvelle forme d’économie est plus important que vous ne l’imaginez peut-être en ouvrant ce livre. Certes, chaque chapitre peut vous apporter quelque chose d’utile, mais personne ne sait encore comment réunir l’ensemble pour en faire un système viable. Cela est dû à l’immense complexité de tout système à l’ère technologique, associée à la formidable opposition à tout changement important dans un monde où chaque individu a appris que l’argent et le profit sont les éléments importants dont il faut s’occuper pour survivre.

    Le problème est que nous, les humains, avons vécu de manière beaucoup trop extravagante et que nous avons eu tendance à l’ignorer au profit de la commodité et du confort que la production moderne nous offrait. Vers 1969, la population mondiale a commencé à exploiter plus de ressources qu’elle ne pouvait se permettre et à polluer plus que ce que la planète pouvait absorber. Ce fait n’était pas connu avant le développement du concept d’empreinte écologique, qui était nouveau en 1992, et qui a mis des années à donner naissance à une discipline quantitativement utile.

    Depuis une vingtaine d’années, nous n’avons plus d’excuse pour continuer l’extravagance et le gaspillage. Nous avons également appris que les extravagances des pays riches étaient déjà très grandes en 1969, alors que de nombreux pays sous-développés utilisaient beaucoup moins de ressources.

    Pire encore, l’utilisation du charbon et des produits pétroliers était particulièrement polluante, et la combustion de ces ressources est la cause de la menace climatique actuelle.

    Nous, les humains, devons donc vivre de manière beaucoup moins extravagante et nous abstenir de brûler tout ce qui émet du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Nous devons aussi procéder à ces changements de manière rapide et efficace.

    Il est évident qu’un défi aussi difficile à relever exige une coopération internationale de la plus haute qualité.

    Nous vivons dans un monde surpeuplé, dans lequel il faut cultiver et distribuer de la nourriture pour huit milliards de personnes—un défi majeur, même dans un monde en paix. Mais la guerre se déclare ici ou là comme une infestation non-voulue et, indépendamment de l’intensité de sa violence, elle est en opposition avec tous les objectifs mentionnés ci-dessus.

    Nous sommes tous impliqiés. Il y a beaucoup à faire.

    Chapitre premier

    Introduction

    L’objectif de ce livre est de présenter les changements nécessaires à apporter aux fondements des économies contemporaines afin que l’espèce humaine puisse surmonter sa série de crises actuelle. La plus grave des crises est à long terme ; il s’agit du changement climatique. Et il faut s’y attaquer dès maintenant, car c’est urgent (voir l’annexe 1), cependant, beaucoup de gouvernements ainsi que l’opinion publique ont ignoré la menace ou l’ont mise de côté pendant beaucoup trop longtemps. Certains économistes ainsi que d’autres chercheurs ont progressivement reconnu que le problème du changement climatique ne peut être traité en présence des systèmes économiques « traditionnels » et qu’en raison de l’urgence de la situation, il est vital de changer nos manières de penser et de faire marcher l’économie. Puisque j’aimerais développer le sujet de la nouvelle économie écologique avec un minimum de digression, les sujets importants du changement climatique et d’autres risques existentiels se trouvent principalement en annexes.

    Le plus important des changements économiques nécessaires devra être profondément ancré dans les esprits partout dans le monde — un changement de paradigme. De nos jours, le mot paradigme est souvent utilisé de façon vague, pour signifier simplement une idée ou un concept. Cependant, un paradigme est beaucoup plus qu’une idée ; il fait référence à un système de pensée caché que l’on apprend premièrement de sa famille, puis par le contact avec des amis, des enseignants, et d’autres sources d’influences y compris les médias. La plupart d’entre nous ne sommes pas même conscients de ce système, mais il joue un rôle majeur en déterminant nos attitudes. Personne ne mentionne jamais les origines de cette pensée. Toutefois, le paradigme classique, c’est-à-dire, le cadre ayant favorisé l’émergence de la pensée économique à partir de l’Europe du XVIIe siècle, est à l’origine du développement du système économique traditionnel tel qu’il fonctionne actuellement. Ce système n’était pas présent partout dans le monde, mais s’est répandu dans un nombre croissant de cultures au fur et à mesure qu’elles acquéraient l’industrie moderne et les idées qui l’accompagnent. Il ne sera pas possible de changer le système économique sans changer le paradigme qui le sous-tend. Nous devons donc examiner le paradigme classique et la nécessité de son remplacement. Une collègue et moi avons récemment réécrit un article consacré à ce thème [1].

    Voici les croyances sur lesquelles reposait le paradigme classique [2] :

    nous devons être rationnels et rejeter les superstitions ;

    l’homme, étant distinct et supérieur aux animaux, s’est vu accorder la « domination » sur la nature et a le droit et le devoir de la contrôler ;

    La croissance (de l’industrie, de la civilisation, etc.) est bonne en soi, y compris la croissance de la population humaine ;

    le progrès technologique est bon en soi.

    Dans le nouveau paradigme, il ne reste de l’ancien que l’exigence de rationalité, et en son centre on trouve la nécessité de respecter la Terre et de soutenir toute vie dans sa plénitude de diversité [1]. Le nouveau paradigme reconnaît ainsi l’interdépendance des espèces, dont nous, les humains, ne sommes qu’une parmi tant d’autres. Et c’est là que se situe le conflit entre l’ancienne et la nouvelle économie proposée. Alors que l’économie traditionnelle nous permet d’exterminer les morues, les loups et les abeilles et de remplir des bouvillons d’hormones de croissance, le nouveau paradigme exige le respect de la vie, tout comme la nouvelle économie. Les manifestants d’aujourd’hui contre les exterminations font partie de l’avant-garde de la nouvelle pensée.

    Bien sûr, le nouveau paradigme n’est pas vraiment nouveau, puisque les peuples autochtones, dans leur évolution ont appris à respecter la Terre et ses espèces, et beaucoup de gens, même dans la civilisation occidentale, l’ont également fait ; mais ces derniers n’étaient pas les moteurs du système économique.

    Le changement de paradigme et donc d’attitude s’impose désormais à nous comme une nécessité parce que, si nous ne changeons pas, nous sommes voués à la catastrophe. Certains des sages indigènes d’Amérique ont vu l’effondrement de la civilisation occidentale comme un phénomène inévitable, tandis que l’auteur canadien Ronald Wright a qualifié l’économie traditionnelle de machine à suicide [3].

    Les lecteurs qui ont lu l’essai «L’essentiel du changement de paradigme» [1] auront remarqué l’élément de féminisme qu’il contient et qui, du point de vue de l’auteur, parle de faire revivre l’égalité sociale entre les femmes et les hommes qui existait dans l’ancienne Europe avant 4300 avant J.-C. [4]. La preuve la plus récente de cette égalité vient de la société de l’ancienne Crète, qui a réussi à éviter la prise de contrôle de l’Europe par des sociétés guerrières dominées par les hommes jusqu’à ce que, vers 1500 avant J.-C., la Crète soit tombée aux mains de la Grèce. La Crète avait toutefois subi deux invasions antérieures au cours desquelles les vainqueurs avaient découvert que la civilisation crétoise était préférable à la leur et avaient adopté les coutumes crétoises. L’adoption du nouveau paradigme ne peut abolir le souvenir de guerres épouvantables, mais elle peut produire un état d’esprit qui écarte définitivement la guerre, ainsi que son armement. Aujourd’hui, la guerre, où qu’elle soit, nous empêche de lutter contre le changement climatique et entrave le développement d’une économie durable.

    Au cours des trois derniers siècles, l’économie a évolué, l’adjectif néolibéral s’est appliqué à la phase qui a débuté vers 1980, lorsque les banques ont été fortement déréglementées. Ce livre n’est pas une tentative d’inverser les tendances des 30 dernières années ou plus, mais de remplacer toute la gamme de variantes de l’économie qui découlent du paradigme classique. J’avais besoin d’un mot pour les décrire collectivement, et j’ai choisi le mot traditionnel. Toutefois, le mot néolibéral apparaîtra dans ces pages, surtout pour faire référence aux excès de ces dernières années. Une autre expression courante de nos jours est celle d’économie régénératrice, désignant une économie d’un nouveau genre qui respecte la Terre et ses créatures. Pourquoi n’ai-je donc pas appelé ce livre Un saut vers une économie régénératrice des 2017? À l’époque, je n’avais pas vu toutes les caractéristiques d’une économie entièrement écologique dans la littérature sur l’économie régénérative. Si la différence a aujourd’hui disparu, tant mieux.

    Ce livre a été fortement influencé par le travail de feu Hazel Henderson. Son livre de 37 pages, Mapping the Global Transition to the Solar Age (2014), peut encore être téléchargé sur internet.

    Si ce livre suscite la controverse, il aura au moins ouvert d’importants débats. Le texte est conçu pour susciter la discussion tant au niveau des communautés qu’à celui de l’élaboration des politiques. Pour obtenir le meilleur avenir possible, il faut envisager cet avenir et tracer le chemin qui nous mènera d’ici jusque là.

    Autres menaces

    Le changement climatique n’est en aucune manière la seule menace majeure pour l’humanité. Beaucoup plus près dans le temps se trouvent des menaces telles que l’effondrement de la civilisation, une guerre mondiale et l’effondrement des économies nationales individuelles.

    Pour éviter l’effondrement d’une civilisation, il faut suivre les mêmes prescriptions que pour faire face aux changements climatiques, qui intègrent une évolution majeure vers la coopération internationale.

    Éviter la guerre, en particulier une guerre mondiale, requiert aussi de passer de la confrontation et de la compétition technologique à la coopération (voir chapitre dix-huit). Les échecs économiques nationaux doivent, pour l’instant, être traités cas par cas, avec compréhension, générosité et, dans la mesure du possible, en évitant les déplacements massifs de populations.

    Ce qui suit

    Le chapitre deux décrit le caractère de l’économie traditionnelle et les raisons pour lesquelles elle doit être remplacée. Le chapitre trois énumère quinze domaines dans lesquels une économie écologique doit différer de l’économie traditionnelle. Le chapitre quatre est un abécédaire de la monnaie, de la création monétaire et de la dette. Le chapitre cinq explique le rôle central du capital dans l’économie et commente ce que peut être l’investissement en actions dans une économie écologique en vue de rendre l’économie durable. L’autre sens du mot investissement, à savoir investir pour accroître la richesse naturelle et les infrastructures, est traité au chapitre six, qui, avec les chapitres sept à vingt, décrit ce qui doit ou pourrait être fait pour parvenir à une économie entièrement écologique. Viennent ensuite un chapitre sur la Chine, inséré en raison de l’importance de son économie et de ses énormes émissions de gaz à effet de serre, et un chapitre de recommandations.

    Bon nombre des notes font référence à des ouvrages écrits dans le langage de l’économie traditionnelle, un processus de réflexion que j’essaie d’éviter. Il est nécessaire, cependant, de reconnaître les bonnes idées, même si elles proviennent d’un ancien mode de pensée.

    Notes

    1. Phyllis Creighton et Derek Paul « The Essential Paradigm Shift » (Le changement essentiel de paradigme) 2020 : https://www.derekleverpaul.ca

    2. La deuxième et la troisième de ces déclarations sont reconnaissables comme étant d’origine biblique.

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