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La Nature est notre Amie: L’Éveil à l’Omniprésence de la Pure Conscience
La Nature est notre Amie: L’Éveil à l’Omniprésence de la Pure Conscience
La Nature est notre Amie: L’Éveil à l’Omniprésence de la Pure Conscience
Livre électronique247 pages2 heures

La Nature est notre Amie: L’Éveil à l’Omniprésence de la Pure Conscience

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À propos de ce livre électronique

La Nature est notre Amie.
L’Éveil à l’Omniprésence de la Pure Conscience

L’art de découvrir la Paix
dans la vie quotidienne, dans la pollution, l’agitation des villes
comme dans un environnement naturel.

« En nous établissant dans la Lumière de la Pure Conscience silencieuse, la Paix Omniprésente, nous découvrirons que l’existence des Deva-s, de ces « Formes de Conscience » qui président aux lois de la création, ne sont pas le fruit d’une projection du mental, qu’ils ne relèvent pas d’une croyance… qu’ils ne sont pas le produit de l’imagination, du besoin de merveilleux », nous explique Jean-Philippe Galdi. Leur existence n’est pas une question négligeable sur la Voie de la Non-dualité, Advaïta-Vedanta.
Les Divinités de la création ne demandent qu’à communiquer avec l’humanité, à lui apporter aide et soutien. C’est en se tournant vers le Silence de notre « Être Véritable » que nous permettons au principe de pureté, d’équilibre et d’harmonie, de prédominer dans les cinq éléments de la nature.
Des pratiques, des supports de « Méditation » sont offerts au lecteur, le Gāyatrī - mantra dans la compréhension de son « sens interne », l’« Adorable Présence », la Science des « Sept Attentions », l’Hymne des Deva-s, l’Arbre Maître, les couleurs de l’instant présent…
LangueFrançais
Date de sortie10 juin 2022
ISBN9791029012105
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    La Nature est notre Amie - Jean-Philippe Galdi

    cover.jpg

    La Nature est notre Amie

    Jean-Philippe Galdi

    La Nature

    est notre amie

    L’Éveil à l’Omniprésence

    de la Pure Conscience

    Les Éditions Chapitre.com

    31, rue du Val de Marne 75013 Paris

    © Les Éditions Chapitre.com, 2014

    ISBN : 000-0-000-00000-0

    Du même auteur

    L’Éveil et la Nature. Dans la Conscience des Deva-s, des Lois Subtiles de la Nature. Les Éditions du Net.

    Infinie Reconnaissance

    À Krishnamurti

    « … C’est dans sa Présence,

    lors de randonnées silencieuses dans la nature,

    que se produisit le grand Rendez-vous avec la Vie…{1} »

    À Swāmi{2} Brahmānanda

    « Frère Spirituel » de Paramahansa Yogananda

    À Bābāji, cette « Grande Âme »,

    cet Éternel « Témoin silencieux » qui,

    par Compassion pour l’humanité,

    demeure dans le « Secret » de l’Himalaya…

    « C’est à Swāmi Brahmānanda

    que je dois de précieuses révélations concernant

    l’Omniprésence de la Conscience,

    l’Unité des « Mondes Sensibles de la Nature »…

    Il me transmit la Science du Gāyatrī-mantra{3}

    et me demanda d’enseigner.

    À ces « Grandes Âmes » qui, par la richesse de leur diversité

    et la Grâce de leur rencontre,

    m’apportèrent cette compréhension…

    Comme une « Grande Famille » 

    lorsque la nuit venue,

    nous pouvons Contempler

    ces myriades d’Étoiles,

    ces « Grandes Âmes » qui,

    dans l’Unité,

    scintillent dans le « Ciel-de-la-Conscience…

    témoignent de l’Unique Lumière… »

    OṂ… SHĀNTI SHĀNTI SHĀNTIHI{4}…

    OṂ… PAIX

    pour le bonheur de tous les êtres,

    de toutes les « Formes de Vie ».

    Jean-Philippe Galdi

    Prashānta{5}

    SHRĪ{6} BĀBĀJI{7}

    est la « Forme silencieuse de la Connaissance », Vidyā,

    Lumière Infinie…

    img1.jpg

    « Toute action juste dans la nature génère,

    en retour, une Paix… »

    Message de Bābāji

    MAHĀVATAR{8} BĀBĀJI

    est cette « Grande Âme »,

    cette « Présence silencieuse »,

    « au-delà du nom et de la forme »,

    du sens illusoire de la séparation

     créé par le mental,

    qui divise l’humanité…

    Il est la Lumière de la Compassion Infinie qui,

    dans l’Unité

    illumine

    la « Porte du Prāna{9} »,

    du « Souffle de Vie »,

    et l’« Œil interne{10} »,

    le Témoin silencieux,

    le coronal{11} s’ouvre sur l’Infini.

    Selon les époques, au-delà des cultures, le message transmis par Shrī Bābāji en parfaite Unité avec la Parampara{12}, la Lignée Ininterrompue de tous les Sages d’Orient et d’Occident, révèle le « sens interne » de la Connaissance, Vidya¯, qui est soit perdue, soit oubliée, soit dispersée

    Bābāji est l’« Étoile Silencieuse de la Conscience »… simplement… seul l’Être déjà Accompli peut le rencontrer… l’ego, asmitā, aucun désir, rāga, aucun refus, dvesha, ne peuvent entrer en « Lui », dans sa Divine Présence…

    SWĀMI BRAHMĀNANDA

    img2.jpg

    OṂ… SHĀNTIHI… OṂ… SHĀNTIHI… OṂ… SHĀNTIHI…

    OṂ… PAIX… pour le bonheur de tous les êtres.

    L’intellect a ses limites : 

    la réalisation du « Mental Universel{13} »

    donne accès à l’Ultime compréhension…

    La Paix est la Vérité…

    La « Vérité », Satya,

    n’est ni orientale,

    ni occidentale…

    Swāmi Brahmānanda

    Sur cette photo, Swāmiji{14} fait semblant de s’appuyer sur une clôture qui n’est, tout simplement, qu’une peinture… C’est ainsi qu’avec cet humour qui pour lui rimait avec Amour, il rappelle que le monde est l’illusion, māyā{15}, et que la plupart des êtres, comme dans l’état de rêve, dans l’oubli de leur « Véritable Nature{16} », recherchent la vérité, la sécurité et le bonheur en s’appuyant sur les créations de leur propre mental.

    OṂ… PRASHĀNTĀYA{17} NAMAHA{18}

    OṂ… Hommage respectueux à la « Paix Suprême », Prashānta,

    Cela, Brahman, « qui est Plénitude de Paix »…

    L’OISEAU ET SON IMAGE

    C’était une belle journée ensoleillée. Une voiture était garée dans l’allée centrale de l’āshram{19} de Swāmiji{20} et le chant d’une multitude d’oiseaux emplissait la tiédeur de l’été.

    Soudain, un petit oiseau noir et blanc, au bec effilé, plein de vie, se précipita, innocemment dans le rétroviseur de la voiture. Attiré par sa propre image et la prenant pour un autre oiseau, il tentait de rencontrer ce qui nétait que son propre reflet. Il entama ainsi une sorte de ballet qui ne pouvait que lui être fatal. On entendait son bec heurter durement et de façon répétitive, le miroir du rétroviseur. Il prenait à nouveau du recul, s’immobilisait un instant, battant des ailes, le regard fixe. Puis, avec toute la vitalité qui le caractérisait, mobilisant toutes ses forces, il plongeait en avant pour se cogner à nouveau, stoppé net dans son élan. Ainsi, désespérément et inlassablement, il recommençait vainement ce va-et-vient.

    Quelques disciples de Swāmiji remarquèrent aussitôt cette scène qui leur parut quelque peu surprenante. Ils furent vite préoccupés, ne sachant s’ils devaient intervenir pour libérer l’oiseau qui ne comprenait pas que ce piège, qui le conduirait à un grave traumatisme et à un épuisement certain, était le produit de son propre mental…

    C’est alors que l’on entendit la voix puissante, douce et chaleureuse de Swāmiji : 

    « La plupart des êtres se comportent ainsi dans le monde. Dans l’oubli de leur « Véritable Nature », ils courent sans cesse, éperdument, sans en comprendre les vraies raisons. Ils s’agitent dans tous les sens, sans jamais atteindre les objets de leurs désirs qui ne font que croître ; ils n’ont que leurs émotions comme seule nourriture. Ils prennent le reflet de leur mental pour la réalité et s’épuisent ainsi pour rien, comme le fait ce petit oiseau… »

    Les disciples de Swāmiji restèrent un moment silencieux, imprégnés par ces Paroles et comprenant le caractère unique de la situation, l’importance de cet instant béni. Puis, l’un d’eux, d’un simple geste, libéra l’oiseau qui s’enfuit pour rejoindre sans hésiter ses semblables qui gazouillaient, protégés par d’épais feuillages. Swāmiji nous répétait souvent que notre vie est une réussite lorsque « l’Essentiel est l’Essentiel ».

    Jean-Philippe Galdi

    .

    1

    Biographie

    La rencontre du Silence avec Krishnamurti

    et l’héritage spirituel de Swāmi Brahmānanda, Swāmiji.

    Né en 1949, Jean-Philippe Galdi a étudié la psycho-graphologie qu’il a exercée en approfondissant diverses formes de thérapie. Il connut un véritable bouleversement intérieur, une « mutation » de tout son être, après une série de « Causeries » que Krishnamurti donna à Paris, en 1966 ; il avait alors 17 ans.

    Il en parle en ces termes : « Krishnamurti me fit découvrir la Nature dans son immensité, là où la pensée, avec ses limitations et le sens de la séparation, s’évanouissent. Pourtant, ce qui est magnifique, la première rencontre avec le Silence au-delà des mots eut lieu dans la pollution, l’agitation et le bruit de la capitale.

    Je venais d’assister aux dernières causeries. Les jeunes étaient invités à le retrouver dans le salon d’un grand hôtel pour lui poser leurs propres questions. Les jeunes étaient, selon lui, « moins conditionnés, plus libres dans l’écoute ». Plongé dans mon intériorité, je devais participer à ce partage intense qui eut lieu entre Krishnamurti et cette jeunesse décidée à changer la société… « Mai 68 » se préparait dans les consciences…

    De retour dans la rue, alors que j’étais seul dans l’autobus, un changement se produisit dans mon mental et ce fut une véritable découverte. L’état de vigilance était là, mêlé d’étonnement, c’était lui qui m’invitait à être sans effort, dans la clarté des détails de l’instant ; présent dans le ressenti du corps comme aux multiples perceptions des scènes de la rue, qui habituellement m’apparaissaient ennuyeuses, devenaient passionnantes : les pensées perdaient leur emprise, laissant place à « l’inconnu »… J’étais sur les quais de la Seine en direction du Pont Neuf, du Quartier Latin quand les paroles, la profondeur et l’intensité du regard de Krishnamurti me revinrent en mémoire. Je levai les yeux et là, dans le vol d’une mouette perdue dans la pollution et le fracas de la capitale, « l’Incommensurable », pour utiliser un mot cher à Krishnamurti, était là dans son immensité. Plus de temps, plus de séparation, tout était vivant, le corps, la mouette, les bruits des boulevards, la grisaille et la saleté des pavés… Mes jambes ne pouvaient plus supporter cette intensité. Je m’assis sur un banc et me mis à pleurer en répétant : « Il n’y a rien d’autre… rien d’autre… c’est le But de la vie. » Je ne devais jamais parler à personne de ce changement intérieur, et j’ignorais que plus tard, Krishnamurti confierait à une personne qui faisait partie de son entourage : « Je veux voir ce jeune homme ». L’Appel de la Vie ne faisait que commencer… »

    Des circonstances exceptionnelles permirent à Jean-Philippe Galdi de le rencontrer dans l’intimité et, inspiré par ses paroles et par la nature, de lui poser directement les questions qui lui tenaient profondément à cœur. « Lorsque, pour la première fois, je pus m’entretenir avec lui, il me dit : « Monsieur, êtes-vous prêt à vivre dans l’inconnu… ? »

    Un jour, alors que je venais d’échanger avec plusieurs personnes sur le sujet concernant l’existence des « Esprits-de-la-Nature », des Deva-s{21}-mineurs, comme il avait l’habitude de le faire, d’une façon spontanée et inattendue, il me répondit simplement : … « dans la nature tout cela, Monsieur, je le vois mais je n’en parle pas… ».

    Jean-Philippe Galdi se rendit fréquemment en Inde et effectua en France de nombreuses retraites auprès de Swāmi

    Brahmānanda, qui partageait avec Paramahansa Yogananda l’« Amitié Spirituelle », dans la Lumière Éternelle de Bābāji, cette « Grande Âme », appelée l’« Étoile de la Conscience{22} » qui, par Compassion pour l’humanité, demeure dans le « Secret » de l’Himalaya. Swāmi Brahmānanda lui demanda d’enseigner et lui transmit le Gāyatrī-mantra{23} de Bābāji, en sanskrit{24} ancien, en lui révélant son « sens interne » qui met en évidence l’Omniprésence de la Conscience dans la nature, dans notre environnement naturel et dans l’Immense, l’Univers.

    Très jeune, Jean-Philippe Galdi fut inspiré par la Nature. Il en parle ainsi : « La présence des Deva-s-mineurs était toujours au Rendez-vous que nous offre la Nature. Lorsqu’un de ces premiers Rendez-vous conscients eut lieu, je ne devais pas avoir dix ans. Je passais mes vacances dans une grande propriété à Biarritz, le pays des hortensias. On me demanda d’aller acheter du pain. C’était la première fois et dans une ville que je ne connaissais pas. Je me perdis un moment dans le parc de la propriété ne sachant quelle allée emprunter parmi toutes celles qui le traversaient. Tenant à la main le petit papier sur lequel figurait l’adresse de la boulangerie, je pénétrai dans une immense forêt d’hortensias. Attiré, je m’assis au pied de ces plantes qui m’apparaissaient comme de véritables arbres, et je levai les yeux vers le Soleil d’été filtré par des teintes infinies de bleu, de violet et de mauve…

    Je m’interrogeai pour savoir comment sortir de cette situation. Mon esprit était confus quand subitement, au creux des racines et des branchages, sortant de l’ombre et de la lumière, apparurent de petits hommes verts. Leurs formes se précisèrent et devinrent aussi nettes que si elles étaient perçues avec les yeux physiques. La couleur verte de leur corps fait d’énergie était d’une extraordinaire pureté, et leurs grands yeux allongés, de la couleur indigo, lumineux et profonds, étaient empreints de cette Paix, de cette stabilité qui caractérise la Terre mais aussi l’Amour. Ils étaient tous de taille différente. Ils se rapprochèrent lentement et l’un d’eux, le plus grand, qui devait mesurer une vingtaine de centimètres, posa une de ses mains sur ma main droite. Je ressentis le contact physiquement. J’étais à la fois fasciné et rassuré et mon esprit devint clair et serein. Ce fut, avec ces êtres et avec la nature, comme une communion, un dialogue silencieux qui dura plusieurs minutes. Puis leurs formes s’estompèrent dans les couleurs de la végétation en un mouvement qui rejoignit la Terre.

    Je me levai sans hésitation et, guidé par l’intuition, j’empruntai l’allée qui me conduisit à la bonne sortie, là où se trouvait la boulangerie.

    Cette expérience m’apparut comme naturelle et c’est beaucoup plus tard que je compris que je venais de vivre ma première rencontre consciente avec les Gnomes{25}, « Ceux-qui-demeurent-dans-la-Terre », et détiennent la Connaissance…

    Combien d’histoires ensuite pourrais-je vous raconter sur ce que j’ai vécu lors de promenades solitaires, les yeux ouverts ou fermés. Les forêts se révélèrent être des palais enchantés. »

    Swāmi Brahmānanda reconnaissait l’existence des Deva-s-locaux, des « Esprits-de-la-Nature » : « les petits hommes… les Deva-s, oui bien sûr, cela existe » dit-il avec un sourire empli de joie et d’affection. Il précisa : « pour vous c’est naturel… mais pour la majorité des êtres, ce n’est pas toujours bon de leur en parler pour la stabilité de leur mental… ».

    Ces témoignages n’ont pas pour but de dresser un « culte » aux « Esprits-de-la-Nature »… Dans la tradition des « Enseignements Révélés de la Forêt », Jean-Philippe Galdi enseigne, essentiellement lors de Rencontres, la Voie directe de la Connaissance de l’Être. Ainsi cet ouvrage a pour but de clarifier l’existence et le rôle exact des « Esprits-de-la-Nature », des Deva-s-locaux, dans la Pure Conscience. Il n’est pas question d’imaginer, de projeter quoi que ce soit, de dévier en sombrant dans l’animisme, l’absence de discernement, mais de développer une relation consciente avec notre environnement : l’Immense nous est alors révélé.

    Swāmiji disait : « La Paix est

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