Valse de la destinée providence

Par Leucoséphobe

Une poétesse s’invite au temple de la renommée.

Leucoséphobe est un auteur de poésie minimale verticale. C’est le quatorzième livre de Leucoséphobe. Pendant que vous dormez, nous poétisons votre monde !

• Langue: Français
• Éditeur: Leucoséphobe
• Date de sortie: 10 déc. 2021
• ISBN: 9781005685454

Leucoséphobe

Leucoséphobe est un auteur émergent de treize titres de poésie minimale verticale. Pendant que vous dormez, nous poétisons votre monde !

Aperçu du livre

introduction

Une poétesse s’invite au temple de la renommée.

partie un

un

Elles secouent le joug de la misandrie ;

Car elles se délivrent du poids moral de la misogynie

C’est la rédemption par la mansuétude

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Elles connaissent leurs délivrances que par la miséricorde

Elles font face à l’absurde névrotique ;

Parce qu’elles gardent enfin l’espoir

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Elles questionnent le sens dans leur salut

Elles se désaliènent surtout de la rancœur

Oui, elles remettent en liberté la tendresse

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Nous nous étonnons toujours de la mort de l’ego

On s’ébaubit du démantèlement de l’image de soi ;

Car nous détonnons sur les remords à gogo

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On laisse pantois tous les partisans de la honte ;

Tous les zombies de l’écartèlement qui endommagent la soie ;

Car la faiblesse s’apitoie toujours en courtisan les comtes

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Les gentilshommes, eux, ils se montrent vulnérables

Ils ont recours au bal des destins propices

Ils mettent en œuvre la valse de la destinée providence

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Les galants hommes, eux, ils s’exercent au slam funambulesque ;

Ils font appel au pitre des Azimuts ;

Afin de déployer l’oaristys incréée

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Les gentlemen, eux aussi, ils prennent conseil de leur docte sœur ;

Ils consultent l’auspicieuse flagrance

Ils poétisent l’art épiphanique

deux

Les amants de cœur, eux, ils apportent une issue inespérée ;

Ils manifestent la soudaineté de ce qui était caché ;

Ils donnent naissance à l’attendrissement inédit

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Les princes épiques, eux, ils célèbrent le vénuste jamais vu ;

Ils versifient la poésie du vrai ;

Ils louangent ainsi l’hymen de la folle du logis

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Les poètes nuptiaux, eux, ils tressent des lauriers à la sublimité ;

Ils lyrisent un dithyrambe à la simplicité bluffante ;

Ils portent aux nues l’innocence incorruptible

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Nous mettons sur un piédestal notre dulcinée

Nous sommes épris de notre valentine, Ida

Nous nous commentons dans un récital pour la fasciner

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On expose notre fragilité à conter