L'inconnu du Train: Roman Jeunesse

Par Danie Lonca

Enfin les vacances de Noël sont là ! Direction la Suisse, après un très long voyage dans le beau train panoramique qui va les emmener à Verbier, un mystérieux contrôleur va les interpeller. Que veut-il ? Tous les enfants sont inquiets. Que se passe-t-il ? Nos pequeños vont devoir résoudre plusieurs énigmes. Heureusement, avec l’aide de Poupy, ils pourront élucider le mystère qui les entoure. Venez rejoindre nos petits explorateurs dans cette aventure. Après la découverte de la grotte des Cavaliers sur la plage d’Anglet et leur voyage au Pérou, ils seront vos guides pour cette belle aventure neigeuse en Suisse. Qui n’a pas envie de lire un livre où un voyage dans le monde sera accompagné d’un mystère !?

À PROPOS DE L'AUTEUR

Originaire de la région parisienne, mais vivant à Évian pendant son adolescence, Danie va développer un engouement pour l’art. Tout au long de sa carrière professionnelle dans l’immobilier, sa vie sera rythmée par la musique, le chant et les voyages. Mais ce n’est que tardivement qu’elle mettra en scène dans ses contes, ses quatre petits-enfants.

• Langue: Français
• Éditeur: Libre2Lire
• Date de sortie: 20 sept. 2021
• ISBN: 9782381571577

Aperçu du livre

Introduction 

Je me demandais, après avoir rédigé mon dernier conte, par quelle astuce inespérée et encore non exploitée, j’allais pouvoir débuter une nouvelle histoire. Je venais de flâner tout un après-midi dans une librairie et avais feuilleté quantité de livres pour enfants. Mon unique envie était d’emporter dans ma besace tous ces trésors. J’avais besoin de m’isoler afin de commencer à dialoguer avec mes personnages. Je dois bien vous l’avouer, cela est devenu une addiction et peut-être ma thérapie de bien-être.

Depuis un an, j’ai créé un blog. Je vais au-devant d’artistes connus ou en passe de le devenir. Je filme en les interviewant, puis je retranscris leurs pensées sur papier.

J’ai toujours eu l’habitude d’écrire de modestes mots pour mes amis lors de leur anniversaire. Puis un jour, j’ai compris que mes quatre petits-enfants étaient ma source d’inspiration imaginaire, et que grâce à eux je voyageais dans l’enfance, que je n’ai pu malheureusement goûter. Faute d’insouciance, j’ai dû me projeter très rapidement dans l’univers des adultes, mais tous les soirs, dans mon lit, je pouvais rêver en lisant la Comtesse de Ségur (la Bibliothèque rose), ou les romans de George Sand. C’était mon moment.

Ma vision de l’enfant

Lorsque nous arrivons sur terre, nous sommes pris en charge par nos parents biologiques. Pour la plupart, et en principe, nous recevons la même éducation qu’eux, mais améliorée au fil du temps. Enfin, « améliorée » n’est pas réellement le terme exact. Je devrais dire l’éducation qui va correspondre à notre époque.

En effet, de tout temps, nos inventions nous apportent souvent des avantages, mais aussi des inconvénients.

Actuellement, que serions-nous sans notre tablette et sans notre téléphone ?

Nous pouvons parler et nous voir à toute heure, que nous soyons en Europe ou en Océanie. Il n’y a plus de barrières. Et pourtant si !

Nous nous refermons sur nous-mêmes. Nous n’osons aller de l’avant, de peur de ne pas être à la hauteur.

Nous sommes élevés par nos parents qui désirent reproduire la même éducation que la leur, avec de temps à autre quelques modifications. Soit parce que nous pensons qu’elle ne correspond pas à notre époque, ou bien qu’elle n’est pas adaptée à notre mode de vie. Nous voulons y apporter notre touche personnelle, et souvent nous avons en nous nos us et coutumes.

Il y a ceux qui n’en ayant pas eu durant leur enfance, essaient à leur tour de créer leurs propres traditions.

En principe, nous sommes presque tous scolarisés, et tentons d’entrer dans la vie active avec notre niveau d’études, tant bien que mal pour certains. Il est très difficile de se projeter à 16 ans et de décider d’une carrière pour toute notre existence.

Il y a souvent des barrières pour certains, car déjà tout petits nous ne sommes pas assez armés.

Un manque de confiance, une appréhension, la peur du regard des autres.

Chaque enfant est unique, il ne peut recevoir les mêmes informations.

C’est un diamant brut qu’il faut polir, afin qu’il puisse briller de mille feux.

L’enfant est une denrée rare, il est un regard, un petit être rempli d’empathie, sans aucune animosité vis-à-vis de l’autre, rien ne l’arrête. Mais dès qu’il franchira les portes de l’éducation scolaire, il deviendra malheureusement une éponge. Celle-ci sera plus ou moins utilisée. Si nous devons l’essorer, c’est qu’il