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Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles
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Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles
Livre électronique139 pages2 heures

Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles

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À propos de ce livre électronique

Stéphanie est une jeune employée ambitieuse et déterminée. Elle ne tremble pas devant son patron, Noah, malgré son comportement froid et sa stature imposante. En réalité, son regard d'acier est loin de la laisser indifférente et cache bien des mystères sur la personnalité de cet homme. Quel rôle jouera Bob, un jeune séducteur, dans leur relation et la vie de Steph ?Cette intégrale est composée des nouvelles suivantes :Entre le jour et la nuit 1 : Un homme mûr Entre le jour et la nuit 2 : Une femme amoureuseEntre le jour et la nuit 3 : L'Aube qui approche Dominique 1 : Je m'appelle Dom Les Ardeurs de Sophie vol. 1 : Endors-toiLes Ardeurs de Sophie vol. 2 : Une passion retrouvée Les Ardeurs de Sophie vol. 3 : Le Retour-
LangueFrançais
ÉditeurLUST
Date de sortie25 août 2021
ISBN9788726945041

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    Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles - Ashley B. Stone

    Ashley B. Stone

    Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles

    Lust

    Un homme mûr et 7 histoires érotiques sensuelles

    Image de couverture : Shutterstock

    Copyright © 2021, 2021 Ashley B. Stone et LUST

    Tous droits réservés

    ISBN : 9788726945041

    1ère edition ebook

    Format : EPUB 3.0

    Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite, stockée/archivée dans un système de récupération, ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, sans l'accord écrit préalable de l'éditeur, ni être autrement diffusée sous une forme de reliure ou de couverture autre que dans laquelle il est publié et sans qu'une condition similaire ne soit imposée à l'acheteur ultérieur.

    Les Ardeurs de Sophie vol. 2 : Une passion retrouvée

    France tenait la main de Pedro qui dormait quand Sophie entra dans la chambre. Elle se leva et la prit dans ses bras. Elle avait l’air fatiguée mais heureuse.

    « Il dort ?

    — Oui laissons-le se reposer, dit France. Il devra prendre ses médicaments dans 20 minutes de toute façon. »

    France et Sophie s’assirent sur un canapé en se tenant les mains, émues.

    « Tu m’as manqué, dit France.

    — Moi aussi », dit Sophie, les larmes aux yeux. L’amour qu’elle avait pour France prenait tout l’espace de la chambre. Elle était soulagée que Pedro soit sorti du coma, pour elle, la responsabilité qu’elle ressentait, pour France qui pourrait sa vie avec lui. Tout rentrait dans l’ordre. Enfin, presque tout. Elle y avait encore l’histoire avec Manu.

    Elle se demanda si elle devait en parler avec France mais ce n’était pas le moment.

    « Comment te sens-tu ? demanda-t-elle.

    — Fatiguée, heureuse, soulagée, dit France.

    — Pas amoureuse ? » La voix de Pedro se fit entendre, encore faible. Il rit.

    Les deux femmes s’empressèrent à son chevet.

    Sophie le serra dans ses bras.

    « Mon dieu, comme tu nous as manqué, dit-elle, les larmes aux yeux, émue.

    — J’avais juste besoin de prendre une petite siesta, ma belle, dit Pedro. Maintenant je me suis assez reposé.

    Il lui serra la main. France m’a raconté ce qui s’est passé. Heureusement Justine est maintenant en prison.

    — Manu n’est pas mort, dit Sophie.

    — Quoi ? s’exclama France.

    — Je vous donnerai les détails une autre fois, dit Sophie. L’important est que maintenant elle ne restera en prison que pour l’attaque à Aledes.

    — C’est quand même quelque chose, dit France.

    — Oui, dit Sophie, et elle caressa la main de Pedro. Tu nous as manqué, tu sais. Elle venait tous les jours passer sa pause avec toi, et les weekends elle s’installait ici. »

    Pedro regarda France, ému.

    « Bon, je vais vous laisser », dit Sophie, ne voulant pas trop s’immiscer dans leur couple.

    France se leva et l’accompagna jusqu’à la porte.

    « Tu rentres à ALEDES ?

    — Non, je ne rentre pas encore. »

    France mit son doigt sous le menton de Sophie qui mettait son manteau et elle l’examina avec intérêt.

    Sophie ne pouvait se cacher, son regard en disait long.

    France la regarda avec amour, et son cœur se gonfla de chagrin comprenant le chemin difficile que Sophie allait devoir parcourir avant de rentrer enfin chez eux.

    « Nous serons là, nous t’attendrons », dit-elle et elle se pencha pour l’embrasser.

    Les deux femmes échangèrent un baiser tendre, comme le font les amoureux qui se séparent à un aéroport. Un baiser qui rappelle que quelque part dans le monde, quelqu’un est là pour toi, quelqu’un t’attend.

    Si seulement je ne me sentais pas si fatiguée, quel bonheur, pensa Sophie, et elle sortit dans le couloir blanc de l’hôpital.

    France se retourna et vit Pedro la dévisageant de haut en bas avec un sourire aux lèvres.

    « Ah non, tu es encore trop faible, dit-elle et elle s’assit près de lui.

    — Mon amour, regarde, dit Pedro plaintivement en montrant la bosse sous les couvertures. Il n’y a pas besoin de faire des acrobaties. Une petite caresse de tes lèvres, toucher ton sein, c’est tout ce dont j’ai besoin.

    — Et moi dans tout ça ?

    — Je m’occuperait de toi aussi, c’est évident. »

    France rit.

    « Tu sais combien de fois je me suis endormie près de toi et je me suis réveillée chaude, ma main sur ton pénis, ou en plein rêve érotique ? J’ai dû me retenir pour ne pas abuser de toi.

    — Viens près de moi, raconte-moi. »

    France s’allongea près de lui et il souleva la couverture et guida sa main rapidement dans son pyjama.

    « Voilà, comme ça, dis-moi, réclama-t-il.

    — Je voulais fermer la porte et me fourrer entre tes jambes, chuchota France en le caressant.

    Je voulais réveiller ton corps, voir la vie frémir en toi, malgré ton sommeil. Je fantasmais et me masturbais près de toi, imaginant te lécher sous les couvertures et sentir ta bite grandir. »

    Pedro qui avait France dans ses bras, guida sa main sur ses fesses et serra.

    J’imaginais qu’une fois au garde-à-vous, je m’empalais dessus, lentement, langoureusement, et prenais ta main pour me masturber la queue.

    — Tu n’avais pas envie d’abuser de moi ?

    — Si, je m’imaginais te tourner sur le côté, et insérer ma queue en toi en te masturbant. Incapable de bouger mais conscient du plaisir. »

    France sentit la mouille sur sa main et eut une idée.

    « Quand tu reviendras à la maison, je vais t’attacher de partout, tu ne pourras pas bouger un muscle. Tu seras à ma merci. »

    Pedro soupira et France continua :

    « Je vais attacher tes pieds et tes mains au chevet du lit, exposant ton cul et je vais te baiser selon mes désirs. »

    Pedro ouvrit les yeux, il était prêt à jouir. France prit sa main et la posa sur sa bite en érection.

    Pedro frotta par-dessus le tissu la bosse qui craquait les coutures.

    « Et quand tu jouiras mon Pedro, je t’enfilerai ma bite dans la bouche pour étouffer tes gémissements, et je te laisserai attaché comme ça après, pendant que je prendrai ma douche. »

    Pedro retint son souffle et France sentit une vague d’énergie et de plaisir l’envahir en voyant son homme jouir. Elle mit sa main dans sa culotte et se masturba en inspirant fortement et en saccade entre ses dents. Pedro poussa un soupir bruyant et elle jeta les couvertures de côté juste à temps pour voir Pedro éjaculer en l’air et sur sa main. Il serra le cul de France et laissa échapper un gémissement, ce qui déclencha l’orgasme de France qui se tourna et frotta sa bite sur celle de Pedro gauchement. Leur sperme se mêla et les deux amants s’embrassèrent en riant de bonheur.

    « Tu m’as tellement manqué, toi et ton esprit pervers », dit Pedro.

    France rit.

    « Moi ? Ce n’est pas moi qui veux être chevilles et poings liés, plaisanta-t-elle. Tu es une grande pute mon Pedro, et j’adore.

    — Peut-être, dit-il en plaisantant. Il fit une pause et la regarda dans les yeux. Mais je veux qu’on essaye.

    — Le bondage ? France remettait son maquillage et elle s’arrêta pour le regarder. Tu es sûr ?

    — Seulement si ça te fait bander aussi », dit Pedro.

    France réfléchit un moment. Ils entraient dans un nouveau monde, qu’elle connaissait seulement par sa profession.

    « Essayons, nous verrons bien ce que ça donnera, dit-elle. Puis elle fourra sa langue dans la bouche de Pedro, avant de chuchoter Tu seras officiellement ma petite pute ? »

    Elle aimait Pedro de tout son cœur et voulait lui faire plaisir. Leur relation était un succès du fait qu’ils changeaient leurs rôles, et aimaient les mêmes choses.

    France entrait dans un univers qui n’était pas forcément le sien, un univers qu’elle visitait en touriste mais elle ne voulait pas forcément y vivre, ni être la dominante à perpétuité.

    Comme s’il pouvait lire ses pensées, Pedro tint son beau visage des deux mains et murmura :

    « Une exploration, mon amour. Je veux essayer toutes les choses dont j’avais honte. Mourir et revenir à la vie m’ont fait comprendre à quel point je veux vivre ma vie pleinement ! »

    France sourit et l’embrassa.

    « D’accord. Explorons. »

    Julien regarda son téléphone. Sabine était en retard pour la 4e fois ce mois-ci. Ils avaient trouvé un emploi temporaire dans le restaurant du coin, elle comme hôtesse et lui comme barman. La paye était bonne, les horaires courts et ça leur donnait un peu de répit avant de décider quel serait leur prochaine étape.

    Il décida de partir tout seul, il n’y avait aucune raison qu’ils perdent tous les deux leur emploi.

    Il entra dans le restaurant et commença à couper ses citrons, oranges, et à arranger ses verres quand Sabine entra en s’excusant auprès de leur patron.

    Elle passa son manteau et son sac à Julien qui les mit sous le bar.

    « Tu étais où ? »

    Sabine ne répondit pas et s’empressa de prendre son poste à l’entrée. Le restaurant se remplissait petit à petit et Julien se hâta de finir ses tâches.

    Les couples qui attendaient leurs tables s’asseyaient au bar et il surveillait leur consommation, remplissant leurs bols de pistaches, leurs verres d’eau et leurs verres de vin, cocktails et tequila.

    Au coin du bar, une femme attira son attention et pendant un bref moment il eut le souffle coupé, croyant que c’était Sophie, mais c’était une fausse alerte. Elle avait le même genre de stature, corps et cheveux, mais son visage et sa voix étaient différents.

    Elle lui fit signe et il s’approcha d’elle.

    « Encore un mojito, s’il vous plaît », dit-elle.

    Il alla préparer les feuilles de menthe et le sucre, et il remarqua son regard balayer la salle à la recherche d’hommes non-accompagnés.

    Une escortgirl, sourit-il intérieurement. Décidément, il avait un type.

    Il la trouvait très séduisante, et comme par instinct, il leva les yeux. Sabine qui avait vu la scène se retourna pour emmener les patrons à leur table. Julien aimait regarder Sabine bouger, elle avait un pas très particulier, qui donnait une impression d’assurance comme un jaguar qui traverse la jungle, sachant qu’elle lui appartient.

    « Elle te plaît beaucoup, je vois », dit la fille.

    Julien revint vers la femme, son mojito à la main.

    « Qui ?

    Elle fit un signe des yeux en montrant Sabine.

    Julien eut un moment de panique mais l’habitude de mentir prit le dessus très vite. Il rit naturellement et se pencha vers la jeune femme. Elle sentait bon.

    « C’est ma sœur. »

    La fille sans montrer la moindre surprise leva un sourcil, et Julien décida qu’il adorait ce trait.

    « Ah

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