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Le secret de la vie (traduit)
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Livre électronique179 pages2 heures

Le secret de la vie (traduit)

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À propos de ce livre électronique

- Cette édition est unique;
- La traduction est entièrement originale et a été réalisée pour l'Ale. Mar. SAS;
- Tous droits réservés.

Une maladie ? C'est le déséquilibre oscillatoire des cellules, qui provient de causes extérieures. Et, en particulier, la lutte du rayonnement microbien contre le rayonnement cellulaire. Parce que le microbe, un être unicellulaire, agit également par son propre rayonnement. Si le rayonnement microbien triomphe, c'est la maladie et, au bout de la résistance vitale, la mort. Si le rayonnement cellulaire la surmonte, c'est le retour à la santé.
L'intérêt de ma théorie apparaît d'autant plus réel qu'elle est mieux confirmée par des expériences récentes qui, avec la guérison des plantes cancéreuses, semblent ouvrir la voie à une nouvelle thérapie du cancer, cette terrible maladie que l'on a essayé en vain de combattre. Les applications de ma théorie, qui permettent de rendre aux cellules toute l'activité vitale de leur rayonnement, donneront, à mon avis, un traitement spécifique du cancer, en particulier, et des maladies dues à la vieillesse en général. Aucune limite ne pourrait être fixée à l'avance, à l'heure actuelle, à ces progrès remarquables que ma théorie nous permet d'envisager. J'espère que l'avenir me donnera raison.
En dehors de ces applications pratiques immédiates, ma théorie permet d'expliquer, grâce à la fonction du rayonnement pénétrant, le processus de l'origine de la vie, la différenciation des cellules et des espèces vivantes, le problème de l'hérédité, en un mot, tous les problèmes sérieux qui constituent ensemble la science biologique.
LangueFrançais
Date de sortie19 juil. 2021
ISBN9788892864580
Le secret de la vie (traduit)

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    Le secret de la vie (traduit) - Georges Lakhovsky

    PRÉFACE

    - A quoi pensez-vous, Faraday ?

    - Si je vous le disais, mon cher Deville, vous me traiteriez comme un halluciné.

    Telle est la légende.

    Plus sûr de lui que Faraday, M. Lakhovsky me fait part de ses idées sur les rayonnements et les êtres vivants. Il pensait, à juste titre, qu'ils ne pouvaient pas déranger un expérimentateur qui, depuis trente-cinq ans, étudie l'action des ondes hertziennes de toutes longueurs sur les animaux et les microbes.

    En ce qui concerne la recherche scientifique, il est bon d'encourager les idées qui semblent plus farfelues.

    J'ai vécu dans l'intimité de deux maîtres : Claude Bernard et Brown-Sequard, qui ne s'en sont certainement pas privés. Cela n'a certainement pas empêché leur succès !

    Les phénomènes de résonance sont depuis longtemps connus des physiologistes. Qui ne connaît pas les résonateurs acoustiques de l'orgue de Corti, les résonateurs

    depuis les célèbres travaux de Helmholtz ? Et à une époque plus proche de nous, les résonateurs biologiques de Charles Henry ? Lapicque, Latzareff, etc... et moi-même, avons invoqué, à mille reprises, les phénomènes de résonance cellulaire pour expliquer l'action de l'agent nerveux ou d'autres agents physiques dans les êtres vivants.

    Depuis longtemps, je suis convaincu que l'espace est sillonné par des forces inconnues de nous, que les êtres vivants émettent des radiations ou des effluves auxquelles nous ne sommes pas sensibles, mais qui impressionnent certains d'entre eux. Tout est possible. Mais il n'est pas nécessaire d'admettre que ce qui est démontré expérimentalement. Les idées d'un fou ne diffèrent pas des conceptions d'un homme de génie, sauf par l'expérience qui infirme les premières et confirme les secondes.

    M. Lakhovsky, encouragé par ses travaux et les résultats obtenus, se soucie avant tout de ce que ses théories suscitent la curiosité et les expériences des chercheurs indépendants. Elles constituent ce que Claude Bernard appelait des hypothèses de travail.

    Il examine dans cet ouvrage uniquement les ondes électromagnétiques, les ondes pénétrantes et les ondes inconnues.

    Il existe certainement de nombreuses autres façons de transmettre l'énergie que celles qui nous ont été révélées par Newton et Fresnel. Et c'est précisément en étudiant les êtres vivants que nous avons le plus de chances de les découvrir.

    Faisons donc des expériences sur eux en utilisant les méthodes des physiciens et des chimistes et essayons de trouver le détecteur spécial mentionné dans la conclusion de ce livre.

    INTRODUCTION

    Je voudrais indiquer ici ce qu'est, en quelque sorte, la philosophie de ma nouvelle théorie, dont l'exposé fait l'objet de ce livre.

    A quoi bon exposer une nouvelle théorie de la vie ? La philosophie et la science n'ont-elles pas prétendu mille fois nous donner une explication depuis l'origine du monde ? Et que reste-t-il de ces efforts généreux ?

    Je ne chercherai pas à démontrer au philosophe et surtout au métaphysicien l'utilité d'une nouvelle conception. Ils savent mieux que moi avec quel empressement nous accueillons tout espoir d'une meilleure explication, l'espoir d'un progrès dans la connaissance de l'absolu. La satisfaction du désir humain suffit à justifier la nouveauté de l'hypothèse.

    C'est l'homme en général, et surtout l'homme de science, que je souhaite convaincre. La connaissance humaine positive n'est pas simplement constituée, comme certains ont tendance à le croire, par l'accumulation de faits expérimentaux. Ces faits, en eux-mêmes, ne sont rien sans l'idée qui les cimente, qui les ordonne, qui les classe. L'avenir de la science réside essentiellement, dans son état de puissance en quelque sorte, dans le développement de ces idées directrices : dans l'hypothèse scientifique, pour parler clair.

    Chaque science en particulier est un champ d'expérience dont les relations avec les champs voisins, c'est-à-dire avec les autres sciences, sont plus ou moins rares et difficiles. La médecine, la biologie et les sciences naturelles entretiennent des relations intimes dont les ramifications s'étendent jusqu'à la chimie. En revanche, ils semblent encore séparés, parfois comme des compartiments étanches, des sciences physiques, notamment de l'électricité et de la radioélectricité.

    Chaque avancée sur le chemin ascendant de la connaissance révèle un nouveau point de vue, permet de mieux explorer l'étendue des différentes sciences, de reconnaître leur état d'avancement, de constater leurs relations mutuelles et l'aide qu'elles peuvent s'apporter.

    Les découvertes les plus récentes de la physique ont permis de ramener à l'unité les multiples phénomènes qu'elle prétend analyser par l'étude de toutes les radiations. Ce nouveau champ d'action est singulièrement fécond, si l'on considère que toutes les acquisitions les plus récentes de la physique, et par conséquent des sciences appliquées, appartiennent au domaine des radiations ; ioniques, électroniques et atomistiques, étude des radiations électromagnétiques habituelles ; radioélectricité, télégraphie et téléphonie sans fil, téléautographie, télémécanique.

    Jusqu'à présent, cette notion originale de rayonnement, qui semble être à la base de toute connaissance positive, n'a quitté le domaine des sciences physiques que pour celui de l'industrie, sans apporter de contribution importante aux sciences naturelles, dont le développement semble principalement limité à celui de la chimie organique.

    Je crois que le moment est venu d'élargir le champ et les moyens d'action de la biologie, en la dotant de nouveaux instruments empruntés aux derniers progrès des sciences physiques. Ma théorie de l'origine de la vie, qui fait l'objet de ce travail, doit être cette nouvelle idée qui relie deux domaines de la science qui ont été ignorés jusqu'à présent.

    De nombreuses hypothèses, sur lesquelles nous n'insisterons pas, ont été proposées pour expliquer l'origine de la vie et des phénomènes biologiques. Nous signalons seulement que les plus récentes imaginent de simplifier le problème en ramenant ces phénomènes complexes à des phénomènes purement chimiques ou mécaniques. En effet, par rapport au développement sans précédent des nouvelles acquisitions si fructueuses en physique, les dernières hypothèses biologiques apparaissent quelque peu simplistes. Et enfin, critère suprême, ils ne donnent aucune explication satisfaisante de certains phénomènes primordiaux, que ma théorie parvient à expliquer.

    Jetons un coup d'œil à ces points obscurs de la biologie, sur lesquels nous souhaitons faire la lumière.

    Parmi les faits les plus étudiés par les naturalistes et les entomologistes, nous trouvons tous ceux qui se réfèrent au problème de l'instinct ou du sens surtout des animaux ; malgré l'accumulation de ces faits expérimentaux précis et indiscutables, aucune explication claire n'a été donnée. Ma théorie du rayonnement des êtres vivants, confirmée par l'expérience affirmative, s'accorde avec ces faits, dont elle découvre le sens caché.

    De même, l'orientation du vol des oiseaux, les problèmes de migration trouvent leur explication dans les phénomènes d'auto-élection des êtres animés.

    Quel est donc le rayonnement universel des êtres vivants ? Ma théorie se contente d'énoncer ses principes fondamentaux et de révéler sa nature. S'appuyant sur les plus récentes découvertes de la science dans le domaine des radiations, il démontre, à l'aide d'analogies très élémentaires, que la cellule, organisme essentiel de tout être vivant, n'est qu'un résonateur électromagnétique, capable d'émettre et d'absorber des radiations de très haute fréquence.

    Ces principes fondamentaux englobent l'ensemble de la biologie.

    La vie ? C'est le déséquilibre dynamique des cellules, l'harmonie de ces multiples radiations qui réagissent les unes sur les autres.

    La maladie ? C'est le déséquilibre oscillatoire des cellules, provenant de causes externes. Et, en particulier, la lutte du rayonnement microbien contre le rayonnement cellulaire. Puisque le microbe, un être unicellulaire, agit également par son rayonnement. Si le rayonnement microbien triomphe, c'est la maladie et, au bout de la résistance vitale, la mort. Si le rayonnement cellulaire l'emporte, c'est le retour à la santé.

    L'intérêt de ma théorie apparaît d'autant plus réel qu'elle est mieux confirmée par des expériences récentes qui, en guérissant les plantes cancéreuses, semblent ouvrir la voie à une nouvelle thérapie du cancer, cette terrible maladie que l'on a essayé en vain de combattre. Les applications de ma théorie, qui permettent de rendre aux cellules toute l'activité vitale de leur rayonnement, donneront, à mon avis, un traitement spécifique du cancer, en particulier, et des maladies dues à la vieillesse en général. Il ne serait pas possible à l'heure actuelle de fixer à l'avance une quelconque limite à ces progrès remarquables que ma théorie nous permet d'envisager. J'espère que l'avenir me donnera raison.

    En dehors de ces applications pratiques immédiates, ma théorie permet d'expliquer, grâce à la fonction du rayonnement pénétrant, le processus de l'origine de la vie, la différenciation des cellules et des espèces vivantes, le problème de l'hérédité, en un mot, tous les problèmes sérieux qui constituent ensemble la science biologique.

    J'ai volontairement donné à cet exposé une forme très simple afin qu'il soit accessible à tous ceux qui souhaitent pénétrer plus avant dans les secrets de la science. J'ai banni toute phraséologie inutile ainsi que la plupart des termes techniques spéciaux si nombreux dans le vocabulaire des sciences biologiques et électriques.

    Au vocabulaire particulier de la physique, et notamment des sciences du rayonnement, je n'ai emprunté que quelques mots, bien connus à l'heure actuelle de tous les amateurs de radiophonie, et ils sont légion. Ces mots sont : auto-inductance, qui caractérise l'induction électromagnétique d'un circuit ; capacité, qui caractérise son induction électrostatique ; résistance électrique, qui caractérise l'opposition du circuit au passage du courant ; longueur d'onde et fréquence, quantités inverses qui caractérisent la nature du rayonnement. Les formules mathématiques ont été complètement écartées. Les explications scientifiques utiles sont données en notes de bas de page et ne sont pas indispensables à la compréhension de l'ouvrage.

    Ma seule ambition est, en fait, que mon travail puisse être compris par tous, même par ceux qui ne sont pas habitués à la lecture d'ouvrages scientifiques. Je serais trop heureux si je pouvais le satisfaire.

    La deuxième édition de L'origine de la vie est un miroir fidèle de l'évolution, depuis trois ans, de ma théorie de l'oscillation des êtres vivants.

    D'une part, j'ai transporté cette hypothèse dans l'ordre purement théorique, en étendant ce principe pour qu'il devienne celui du rayonnement universel. L'essence de ce rayonnement universel, c'est l'universion, c'est-à-dire la promiscuité spatiale dispersée dans l'océan cosmique, c'est la généralisation de la notion trop confuse de l'éther des physiciens.

    Dans un ouvrage qui porte précisément ce titre de l'Universion, conception qui ramène l'univers cosmique aux deux notions essentielles de l'ion et de l'onde, j'ai montré comment ce milieu idéal, que je définis avec précision, permet d'expliquer à la fois les phénomènes électriques et magnétiques, la propagation des radiations notamment autour de la terre, et l'émission et la réception des ondes, de la chaleur et de la lumière, des radiations intersidérales. J'ai également démontré la relativité des phénomènes à la lumière de l'Univers et indiqué comment ce milieu se présente nécessairement comme le support de la vie et de la pensée.

    D'autre part, j'ai poursuivi, depuis la première édition de L'origine de la vie, les expériences qui devaient être la contrepartie logique de ces théories, et j'ai eu la satisfaction de reconnaître que, dans la mesure où des résultats positifs ont été recueillis jusqu'à présent, l'observation des faits expérimentaux corrobore pleinement les hypothèses formulées.

    Ces essais dans le domaine de la pratique sont en revanche d'une nature très différente.

    J'ai tout d'abord démontré l'influence des taches solaires sur la vie et la santé et, de manière plus générale, sur la biologie. En particulier, comment les années remarquables de bonnes récoltes de vin coïncident avec la période de plus grande activité des taches solaires, ce qui implique déjà, dans l'ordre physique, des perturbations de nature électrique, magnétique et électromagnétique.

    J'ai ensuite étendu le champ de mes recherches au traitement du cancer dont la première édition de L'origine de la vie relatait mes premières expériences sur le pélargonium inoculé par la Bacterium tumefaciens et guéri avec succès au moyen de circuits oscillants.

    En étudiant la répartition géographique du cancer selon les statistiques officielles, j'ai pu constater que la densité des manifestations cancéreuses était étroitement liée à la nature géologique du sol. J'ai montré quelle était la relation de cause à effet entre ce dernier phénomène et le premier, en révélant la fonction des ondes cosmiques, dont le champ à la surface du sol est modifié par la nature du sol, selon qu'il est isolant ou conducteur d'électricité.

    J'ai pu déduire une méthode rationnelle de l'équilibre oscillatoire des êtres vivants, par l'application de circuits oscillants représentant le rôle de filtres et de régulateurs des ondes cosmiques.

    L'ensemble de mes travaux sur l'influence du sol sur la carcinose, en relation avec l'altération du rayonnement cosmique, a été publié dans ma brochure : Contribution à l'étiologie du cancer, que le professeur d'Arsonval a présentée à l'Académie des sciences le 4 juillet 1927.

    Compte tenu des nouveaux résultats sur la connaissance des radiations cosmiques ainsi que sur les influences qu'elles exercent sur les êtres vivants, j'ai pu donner un développement considérable à mes premières expériences de guérison du cancer, déjà rapportées dans la première édition de L'Origine de la Vie.

    De nombreuses recherches cliniques ont été entreprises tant en France qu'à l'étranger, et principalement par des médecins hospitaliers et des cancérologues, sur l'efficacité des circuits oscillants que je préconise pour rétablir l'équilibre oscillatoire

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