Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé: Accéder à l'inconscient pour se libérer des blocages et des poids de la lignée
Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé: Accéder à l'inconscient pour se libérer des blocages et des poids de la lignée
Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé: Accéder à l'inconscient pour se libérer des blocages et des poids de la lignée
Livre électronique406 pages6 heures

Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé: Accéder à l'inconscient pour se libérer des blocages et des poids de la lignée

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Nous échangeons des informations qui interagissent en résonance avec nos histoires respectives.
Elles dessinent un code qui régit nos relations familiales, sentimentales, sociales et professionnelles.
A notre insu, elles nous contraignent dans nos choix qui vont parfois à l'encontre de nos désirs conscients ; comme un programme informatique qui serait hors de contrôle.
Ce code perverti nous pousse à la répétition, aux blocages et à l'impasse.
Nous pensons avoir compris, maîtriser notre chemin, Mais nous continuons à souffrir sans savoir pourquoi.
Combien sommes-nous à rester bloqués devant un mur :"j'ai conscience de mon problème et cela ne change rien, que faut-il que je fasse?
Le transfert Quantique permet une actualisation et une reprogrammation de l'inconscient afin de prendre pleinement notre place. Il s'adresse à toutes les personnes en quête de réalisation de soi et de liberté.

Myriam Yahimi Fassio et Olivier Fassio sont tous deux psychanalystes.
C'est parce qu'elle ne parvenait pas à comprendre les symptômes d'une de ses patientes, que Myriam Yahimi Fassio a inventé un méta-langage : une voie pour accéder à son histoire, ses émotions et comprendre l'origine de ses blocages.
Le Transfert Quantique lui a permis de se libérer définitivement de ses blocages.
Olivier Fassio, psychanalyste transgénérationnel, l'a rejointe pour poursuivre l'aventure "Transfert Quantique".
Quantique, parce que nous sommes tous intriqués, sans considération d'espace, de temps et de distance.
Quantique, car la gestion de l'information est liée aux intentions, aux pensées, et aujourd'hui, nous savons que nos convictions guident et crée notre vie malgré nous.

Rien n'est immuable, notre réalité n'est que la symphonie de nos intentions.
LangueFrançais
Date de sortie30 juin 2020
ISBN9782322177448
Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé: Accéder à l'inconscient pour se libérer des blocages et des poids de la lignée
Auteur

Myriam Yahimi-Fassio

Myriam Yahimi Fassio est née à Nancy (Meurthe et Moselle) le 18 juillet 1969. Elle est psychanalyste-pédopsychanalyste à Montpellier dans le Sud de la France. elle est également conférencière, auteure et formatrice. Après avoir diriger un institut de Psychanalyse freudienne pendant des années, elle a expérimenté et acquit de nombreux outils en vue d'accéder au continu de l'inconscient. Cette détermination la menée à l'élaboration de ce nouvel outil qu'est le Transfert Quantique permettant d'accéder à l'inconscient pour optimiser la résolution de tous les conflits possibles Elle vous propose dans cet ouvrage de faire le voyage de cette découverte.

Auteurs associés

Lié à Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé

Livres électroniques liés

Développement personnel pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Transfert Quantique, L'inconscient dévoilé - Myriam Yahimi-Fassio

    sciences.

    1

    Comment est né le Transfert Quantique

    Ce jour de mars 2012, je reçois à mon cabinet une jeune fille de vingt ans. Ses longs cheveux cachent un joli visage aux traits fins. Ses lèvres rouges brillent sous l’effet d’un baume. Aurélie est plutôt grande et son intelligence hors norme contraste avec une timidité très infantile. Elle utilise des mots précis lorsqu’elle décrit ses symptômes. Depuis plus de trois ans, Aurélie éprouve d’énormes difficultés à se confronter au monde extérieur. Prise de malaises à répétition, elle n’en comprend pas les raisons et n’accepte plus de rester enfermée dans une prison aux barreaux invisibles qui condamne sa jeunesse. Je l’interroge et pousse les investigations aussi loin que je peux pour tenter de déchiffrer sa détresse. Ma jeune patiente souffre d’agoraphobie, de phobie des médicaments, de phobie des hôpitaux et de tout ce qui se rapporte de près ou de loin au médical. Elle ne peut pas non plus s’éloigner physiquement de sa mère sous peine de perdre connaissance. Je suis confrontée à un vrai problème et je ne peux pas utiliser mes outils habituels avec Aurélie. Elle ne supporte pas d’être touchée. Le contact physique lui provoque des malaises, des crises d’angoisse, des contractions musculaires et des crises de spasmophilie. Elle suffoque et manque d’air jusqu’à perdre parfois connaissance. En quelques années, Aurélie a développé un syndrome dépressif, difficilement supportable sans médication. Malgré nos séances d’investigation, je n’en trouve pas l’origine et encore moins la solution. La frustration me gagne…

    Quelques mois plus tard, à leur demande, je reçois les parents de ma jeune patiente. Peut-être pourront-ils me donner de nouvelles informations pour comprendre ce mal étrange dont souffre leur fille. Sans résultats, aucune information ne m’éclaire. J’ai beau réfléchir : je ne sais pas comment accéder aux informations de l’inconscient d’Aurélie pour l’aider. Pourtant, il va falloir que j’y parvienne. Hors de question de rester sur un tel échec. J’y songe après mes journées de consultation et surtout tous les soirs avant de m’endormir. Je veux trouver une solution et je la trouverai. J’y pense sans relâche.

    Deux mois plus tard, EUREKA ! Je suis réveillée au petit matin par une idée lumineuse qui pourrait être enfin la clé du problème. Tout est clair dans mon esprit. Je pense avoir trouvé le moyen d’accéder aux informations tapies bien profond dans l’inconscient de la jeune fille. Il ne me reste plus qu’à mettre mon idée en pratique. Je frappe à la porte du cabinet d’une de mes collègues psychanalystes, Sandrine Derblum, qui travaille depuis longtemps à mes côtés. Nous avons suivi les mêmes formations. Nous avons une douzaine d’années de différence et je me reconnais en elle au même âge, avec la même passion pour notre métier. Nous avons un lien de confiance extrême l’une envers l’autre. Elle peut compter sur moi comme je peux compter sur elle. Son cabinet est contigu au mien. Lorsque j’ai changé de lieu d’exercice, elle m’a toujours suivie pour que notre collaboration perdure. Sandrine est une psychanalyste freudienne qui observe ma pratique avec une certaine distance et beaucoup d’objectivité, dans le respect des croyances de chacune. Ce fameux matin, je lui explique brièvement le cas de ma jeune patiente et surtout ce que je me propose de faire. Comme Sandrine a participé avec moi à des constellations systémiques, il m’est plus facile de lui expliquer ce que j’ai imaginé. Je vois dans son regard un sourire étonné et amusé. Elle m’interpelle : « Non mais tu te rends compte de ce que tu dis ?! » Sa curiosité prend finalement le dessus et elle relève le défi : « OK, on y va ».

    Mon idée est simple : puisque je ne peux pas accéder à l’inconscient d’Aurélie qui est censuré par Aurélie elle-même et surtout parce que c’est la nature même de l’inconscient de l’être, il suffit que je le transfère sur une interface humaine, Sandrine en l’occurrence, pour y trouver des réponses. Pour cela j’utilise le processus des constellations systémiques élaboré par Bert Hellinger¹. Il faut au préalable fixer un objectif précis pour indiquer à l’inconscient la zone d’informations à explorer et à actualiser. L’inconscient est censuré pour ne laisser aucun accès à la remontée intempestive d’informations anxiogènes refoulées. Si je réussis à le transférer sur Sandrine, logiquement, il n’y aura pas de censure. Le principe repose sur l’empathie. L’empathie est une capacité à ressentir de manière résonante les émotions de l’autre. Plus une personne est sensible, plus son empathie est développée. Sandrine est une personne très sensible donc elle est parfaite pour ce rôle. Je vais l’interroger comme si elle était Aurélie. Après la collecte des informations nécessaires à la compréhension du problème, nous pourrons modifier toutes les informations négatives. En d’autres termes, nous allons procéder à une mise à jour des programmes inconscients et des données, comme on le ferait sur un ordinateur. Comme un disque dur, l’inconscient nécessite une défragmentation, un tri des programmes, une mise à jour, la suppression des données inutiles et l’intégration de nouveaux programmes qui correspondent aux ambitions du patient. Pour ce faire, j’ai élaboré un protocole de thérapie quantique qui nécessite l’énonciation d’intentions que j’intègre par le biais du centre émotionnel situé au niveau du cœur. L’action vise à envoyer une information correctrice qui permet la mise à jour d’une information erronée par le biais d’une intention réparatrice. Ces intentions sont des petits programmes de mises à jour que j’ai écrits et d’autres qui m’ont été donnés. La mécanique quantique décrit très bien les phénomènes d’intention, notamment lorsque la présence d’un observateur modifie les résultats d’une expérience. Mes recherches, lectures, conférences et congrès sur le sujet de la quantique m’ont beaucoup aidée. J’écris régulièrement les idées que je développe dans le but d’améliorer mes résultats, autant de pistes et réflexions que je consigne dans une sorte de petit grimoire en cuir.

    Je convoque Aurélie au cabinet. Sa mère l’accompagne mais reste, dans un premier temps, dans la salle d’attente. Sandrine ne sait rien de l’histoire de ma jeune patiente, en dehors des symptômes qu’elle présente. Ma consœur demande à la jeune fille si elle accepte de lui confier son inconscient. Aurélie accepte. La jeune fille s’assied face à elle. Sandrine se concentre, les yeux fermés, sur le nom et le prénom d’Aurélie. Très rapidement, Sandrine est prise d’étranges sensations très désagréables. Debout, les yeux fermés, elle commence à décrire ce qu’elle ressent : « Je me sens comme un sucre qui fond dans l’eau. Elle continue en expliquant que ses jambes deviennent très cotonneuses. Fébrile, elle est prise d’un mal-être général et une grande angoisse monte dans sa poitrine. Elle se plaint de douleurs aiguës dans les reins. Alors que Sandrine continue de parler, Aurélie confirme que c’est précisément ce qu’elle ressent depuis trois ans. Sandrine décrit ensuite une pièce étroite et une étagère sur laquelle se trouvent des médicaments. Elle se sent enfermée, elle a l’impression d’étouffer et est prisonnière de cette petite pièce. Je ne comprends pas ce dont il s’agit. Ma jeune patiente non plus. Sandrine s’enfonce dans un état d’angoisse qui empire de seconde en seconde, comme si elle sentait mourir. Aurélie valide : c’est ce qu’elle éprouve chaque fois qu’elle est victime de malaises. Je me tourne vers elle et lui demande qui est mort dans la famille et qui a provoqué un drame ? Elle éclate alors en sanglots. Après avoir pleuré à chaudes larmes, elle finit par nous confier que son oncle Jacques, le petit frère de sa mère, est décédé à l’âge de onze ans. Elle n’en sait pas plus. Elle pleure comme si l’événement venait de se produire. Puisqu’elle est concernée au premier plan, je propose à Aurélie d’aller chercher sa mère qui est dans la salle d’attente. Dans un premier temps, Aurélie s’y oppose. Elle craint que je remue les souffrances de sa mère. Elle ne tient pas vraiment à cautionner cela. Je réponds à Aurélie que le désir de sa mère, comme toutes les mères aimantes, est de voir sa fille heureuse, joyeuse et vivre une vie normale. C’est la demande explicite que sa mère m’a formulé personnellement.

    J’invite alors sa mère à nous rejoindre dans le cabinet de consultation. Je lui pose la même question, à savoir comment est mort son petit frère et surtout dans quelles circonstances. À son tour, la mère d’Aurélie s’effondre en larmes, de la même manière que sa fille, comme si l’événement avait eu lieu la veille. Je lui demande depuis combien de temps il est décédé. Elle me répond trente-cinq ans. Je suis très surprise de l’intensité de sa souffrance après tout ce temps passé. Visiblement, le deuil est loin d’être fait. L’information qui suit est capitale : quand le petit frère Jacques est décédé à l’âge de onze ans, sa grande sœur (la mère d’Aurélie) avait exactement dix-sept ans, l’âge auquel les malaises d’Aurélie ont débuté. Jacques s’était cassé le bras. La fracture nécessitait une intervention chirurgicale pour une pose de broches. Son père et sa grande sœur l’emmènent à l’hôpital, tandis que sa mère reste à la maison. Sur la table d’opération, Jacques succombe malheureusement à l’anesthésie générale. C’est dans le couloir de l’hôpital que les médecins annoncent le décès du petit Jacques à son père et à sa grande sœur qui s’effondrent. Ils rentreront à la maison où la mère les attend, sans Jacques. Avec ce récit, je comprends totalement le scénario dans lequel est enfermée Aurélie. La tragédie n’a pas été acceptée, digérée et dépassée par sa mère. Trente-cinq années plus tard, le traumatisme est intact. Elle sanglote encore et encore comme si le décès venait d’avoir lieu. Cette relation fusionnelle qu’entretiennent la mère et sa fille provoque une forte intrication qui permet la circulation des informations d’un inconscient à l’autre.

    Je tente d’expliquer à la mère d’Aurélie que son inconscient agit comme une box wifi, qu’il correspond à une sorte de signal émetteur provoquant chez sa fille une réactivation de la disparition de Jacques avec l’intégralité des affects vécus. Ce drame n’ayant pas été exprimé, il s’est imprimé dans ses gènes et a été transmis à sa fille. La science a identifié ce que l’on nomme des « gènes de comportement », qui transportent les traumatismes. Il est difficile de nier l’évidence : lorsque son frère a disparu, la mère d’Aurélie avait dix-sept ans. Les malaises ont débuté chez ma jeune patiente au même âge. Le petit frère étant décédé d’une intolérance aux produits utilisés lors de l’anesthésie, la prise de médicaments est devenue impossible pour Aurélie puisque son inconscient les juge mortels. Étant donné que Jacques est mort dans un hôpital, il est inenvisageable pour la jeune fille de faire confiance aux médecins et de se rendre dans une structure hospitalière. Tout ce qui est inhérent aux soins et à la prise en charge hospitalière est potentiellement mortel. Tout s’éclaire et me semble logique. J’ai enfin accès à la source des souffrances de ma patiente. La mère d’Aurélie n’a pas fait le deuil de son petit frère et ce traumatisme agissant est à l’origine de toutes les angoisses de sa fille. Je lui conseille vivement de travailler sur ce deuil au plus vite, afin de libérer sa fille de cet enfermement qui dure depuis trop d’années. Elle me fait part de son angoisse de faire le deuil et de ne plus penser à lui avec tristesse, comme si elle le trahissait en ne pensant plus à lui en pleurant.

    Le Transfert Quantique est né ce jour-là, avec Aurélie. Elle a pu reprendre une vie normale une semaine après la séance. Ces notes que je prenais inlassablement avaient fait leur chemin et m’avaient permis d’aider cette adolescente enfermée dans une histoire qui n’était pas la sienne mais qu’elle avait gentiment décidé de porter. Par amour pour leur future descendance, les poids sont portés dès la gestation vers le cinquième mois. C’est une manière de délester les futures lignées, comme si on sortait de chez soi et qu’on en profitait pour sortir les poubelles pour les soulager. Si on cherche du sens à cet acte d’amour, on peut parler d’honneur envers ses parents et ancêtres. Rien n’est transmis : c’est l’enfant qui décide de soulager les étages du dessous. Mon côté un tantinet obstiné et ma curiosité pathologique ont fait que, de ce qui aurait pu être un échec thérapeutique, j’ai fait un outil. C’est cela l’alchimie !


    ¹ Bert Hellinger est un psychothérapeute allemand né en 1925. Après quelques années passées comme missionnaire en Afrique, il se spécialise dans les relations familiales et développe l’outil des constellations familiales.

    2

    Le Transfert Quantique

    TRANSFERT : transport de quelque chose d’un endroit à un autre (transfert des données de l’inconscient d’un individu à un autre dans le cas du Transfert Quantique).

    QUANTIQUE : description du comportement des atomes et des particules expliquant quelques propriétés du rayonnement électromagnétique.

    On utilise aussi l’intrication, ou échange et modification des informations dans l’inconscient par l’observation « non matérielle-biophotonique » du thérapeute.

    Il n’y a rien qui existe dans ce monde qui ne soit régi par les lois quantiques. Ce terme dérange dans le milieu thérapeutique car il n’est pas maîtrisé, à la fois par les spécialistes et par le reste du monde. « Tout est quantique » car la lumière existe dans tout ce qui est vivant et en perpétuel mouvement. La mécanique quantique est d’après nous la théorie du monde spirituel. Le Transfert Quantique est un outil qui agit sur les trois parties qui constituent l’humain : le corps, l’âme et l’esprit. La séance de Transfert Quantique s’opère en trois temps : le patient expose sa problématique et le thérapeute procède à ce qu’on appelle l’anamnèse. Une liste d’informations précise lui est demandée. Le thérapeute sert d’interface à l’inconscient du patient, comme l’écran sert d’interface à un disque dur d’ordinateur pour accéder aux données. Il peut procéder à la lecture des informations, qui apparaissent sous quatre formes :

    - Des images mentales qui sont de la même nature que celles que nous avons en rêve.

    - Des émotions ressenties en temps réel.

    - Des pensées claires.

    - Des douleurs dans le corps qui sont des codes biologiques indiquant une symbolique de conflit (responsabilité : douleur à l’épaule, culpabilité : douleur cervicale, etc.)

    Ces informations sont accessibles par une connexion à la banque de données du sujet, que l’on nomme « préconscient » en psychanalyse. Le prénom et le nom du sujet suffisent à l’interface pour accéder à la connexion. Ils agissent comme une IP informatique, comme une connexion à une box wifi et fonctionne d’ailleurs selon les mêmes critères, c’est-à-dire de manière ondulatoire et fréquentielle. Le nom et le prénom sont les clés d’accès.

    La fonction utilisée est celle de l’empathie. L’empathie est la résonance des émotions d’un individu à l’autre, comme un échange de données entre deux ordinateurs. Il n’est pas nécessaire d’y mettre de la morale. Ce n’est pas le sujet. La morale a peu de place dans le système par défaut de l’inconscient. Il appartient à des programmes de conditionnement vécus ou hérités. Il est régi par des lois qui sont plutôt binaires comme « autorisé/non autorisé », ce qui est très loin des notions « gentil/méchant » ou « bien/mal », et ce qui nous rapproche un peu plus du monde informatique. Tout est mathématique dans la nature, et surtout algorithmique. L’inconscient est doté d’algorithmes incroyables qui reposent sur des principes simples assez binaires en répondant par deux propositions en matière de réponses : la même chose (répétition) ou le contraire. La machine n’est pas compliquée, elle est complexe et utilise uniquement la logique. Le Transfert propose de sortir de la réponse binaire pour proposer un changement d’état. Une troisième possibilité se dessine, mue par les désirs du sujet directement. Un changement d’état est un saut quantique. Exemple : les humains qui perdent leurs poils sur tout le corps à cause des changements climatiques et autres changements environnementaux passent obligatoirement par ce saut quantique.

    Le format de lecture pour tous les patients comprend plusieurs points de connexion, listés ci-dessous :

    - L’image résumée qui détermine l’état émotionnel du patient.

    - Connexion aux différents prénoms portés.

    - Connexion à la mère.

    - Connexion au père.

    - Connexion à la fratrie.

    - Connexion à l’image de soi.

    - Connexion au monde extérieur.

    - Connexion à l’image du couple.

    - Connexion à l’image de l’homme et/ou de la femme.

    - Connexion au conjoint.

    - Connexion aux enfants.

    - Connexion à l’argent.

    - Connexion à l’activité professionnelle.

    - Connexion au chemin de vie.

    Toutes ces informations sont actuelles et agissent dans le temps présent. Certaines sont figées à des âges antérieurs à l’âge actuel : on les nomme « cristallisations ». Ce sont ces données qui doivent faire l’objet d’une actualisation car elles sont erronées et ce sont elles qui entraînent des situations de conflit ou de blocage en boucle dans le présent du patient. Toutes les informations délivrées sont actuelles. Elles agissent dans le temps présent. Chaque connexion est expliquée au patient dans le détail. Le nombre d’informations capté est phénoménal, et souvent avec beaucoup de précisions. Il est possible d’ajouter des connexions comme des traumas, des abus, des décès, des évènements, des éléments et des personnages qui posent problème dans la vie actuelle du patient.

    Ainsi, au travers du Transfert se crée un dédoublement holographique de l’inconscient du patient qui se superpose à l’inconscient du thérapeute, permettant la lecture des informations. Cette théorie semble tout droit sortie d’un film de SF et pourtant c’est bien ce qu’il se produit. Le prénom et le nom de famille servent d’IP informatique et de point de connexion. L’interface commence donc à ressentir très rapidement, au bout de quelques secondes, des émotions et des sensations physiques. Elle peut alors accéder à des pensées qui appartiennent au patient. Les informations qui sont accessibles par l’interface doivent correspondre à l’objectif du patient. Dans un premier temps, le thérapeute livre ce qu’il ressent physiquement, ce qu’il perçoit en images mentales et les pensées qui le traversent. Ces informations forment le résumé de l’origine du problème à traiter. Il procède à toutes les connexions nécessaires à la compréhension du problème. Nous avons observé que le prénom porté pouvait induire une déviation de trajectoire de vie si, en usuel, il appartient à une autre personne. La charge peut être positive et s’avérer être un moteur, ou a contrario être négative s’ils portent le prénom d’un défunt mort tragiquement, d’un suicidé, d’une personne dépressive, alcoolique, malade, victime d’échecs professionnels ou affectifs. En ce qui concerne la gestation, il est important de savoir si le fœtus était seul ou pas. Il arrive que l’interface ressente une immense tristesse liée à la perte d’un jumeau, une grande joie d’être dans le ventre de sa mère ou encore des peurs et une angoisse à l’idée de sortir, voire d’autres émotions négatives ou positives suivant l’histoire de la mère. De même, nous vérifions si la naissance a été vécue comme un événement traumatique ou non. Dans le cadre d’une césarienne, si elle se fait d’urgence pour sauver la vie du bébé et planifiée par la mère et l’obstétricien, elle est vécue comme une délivrance.

    Ce rôle du thérapeute-interface est extrêmement exigeant. À la demande du patient, il est possible de procéder en deux séances distinctes. Parfois, un temps de réflexion est nécessaire avant de procéder à l’actualisation de l’information, après une première lecture de l’inconscient et une collecte des informations. Un seul objectif sera alors choisi par séance, afin d’optimiser la précision des données et la résolution des problèmes. Les données récoltées permettent d’élaborer une feuille de route qui donne l’ordre des résolutions à apporter. Une fois la collecte des informations effectuée, la phase suivante est appelée « phase d’intégration ».

    Le patient est allongé et le thérapeute, assis à ses côtés, toujours connecté à l’inconscient du patient, pose sa main sur le chakra du cœur et procède à l’intégration verbale d’intentions. Le thérapeute utilise une onde de liaison pour modifier les programmes erronés de l’inconscient. L’onde de liaison, aussi appelée « onde créative-assemblée » est ondulatoire et vibratoire. Elle est constituée de lumière et agit dans toutes ses dimensions du sujet : corps-psychisme-âme. C’est une zone d’assemblage qui sert à maintenir les informations nouvelles dans un ensemble joint, constamment en mouvement. L’onde de liaison possède la capacité intelligente de répondre à la demande et peut modifier, en partie ou en totalité, l’information sur laquelle elle est envoyée. Une fois les intégrations terminées, le thérapeute procède à une deuxième lecture de l’inconscient actualisé. On pourrait comparer l’appareil psychique humain à un ordinateur. L’écran représente le conscient et le disque dur, l’inconscient. L’inconscient est frappé d’intemporalité. Tout ce que nous avons vécu de notre gestation jusqu’à aujourd’hui y est enregistré et consigné. L’inconscient est construit en partie par notre point de vue et nos héritages génétiques. La façon dont nous percevons le monde et la réalité détermine nos programmes et nos informations.

    La façon dont on perçoit la mère détermine :

    - L’estime de soi.

    - L’image de la femme.

    - La vie affective.

    - Les relations avec la hiérarchie féminine (supérieures professionnelles, propriétaire, policière, etc.)

    La façon dont on perçoit le père détermine :

    - Les relations avec le monde extérieur et les autres.

    - L’image de l’homme.

    - La reconnaissance.

    - Le rapport à l’argent.

    - La réussite professionnelle.

    - Les relations avec la hiérarchie masculine (chef, banquier, patron, etc.)

    - Toutes les relations avec des hommes de plus de dix ans que soi.

    La façon dont on perçoit notre fratrie détermine :

    - Les relations avec les amis.

    - Les relations avec les collègues.

    - Les relations avec les voisins.

    - Les relations avec les associés.

    - Toutes les personnes sans lien de hiérarchie.

    - Toutes les relations avec des hommes de plus de dix ans que soi.

    Nous sommes tous entièrement responsables de notre réalité, consciemment ou inconsciemment. Nous sommes intriqués aux éléments de notre réalité (personnes, évènements ou autres) au travers de fréquences basses ou hautes suivant la nature du point de vue.

    Un triptyque s’opère de cette manière :

    Point de vue => Émotion => Fréquence

    Dans les fréquences hautes, on retrouve l’amour, la joie et la paix. Dans les fréquences basses, on retrouve la culpabilité, la peur, la colère et la tristesse. Le but du Transfert Quantique est de remplacer les fréquences basses par des fréquences hautes et de sortir d’une boucle de répétition de blocages et les conflits pour actualiser les informations et les programmes erronés. Ces phénomènes d’intrication sont expliqués par la théorie de l’épigénétique qui appartient au champ quantique. Pour ne plus souffrir dans notre vie, nous devons être en paix intérieurement avec tous les membres de notre clan d’origine et nos gènes porteurs de l’histoire de nos lignées. L’idée n’est pas d’aimer sa famille, là n’est pas la question, mais d’accepter « l’autre » tel qu’il est en vérité, inconditionnellement, c’est-à-dire sans attente. Aimer est une question particulière dans le sens où le choix d’aimer est une illusion. Qui choisit d’aimer ou pas une personne, une musique, de la nourriture ou autre ? L’appétence s’impose ou pas à nous, malgré nous ! Nous ne choisissons pas grand-chose dans notre vie d’un point de vue conscient. Nous sommes plutôt soumis à des algorithmes inconscients qui nous orientent malgré nous. Le Transfert Quantique participe grandement à ouvrir la latitude du choix, à reprendre pleinement les rennes de notre vie et à se réapproprier sa pleine liberté. Nous sommes soumis par défaut au choix réactionnel de l’inconscient, qui propose, lui, uniquement deux propositions qui sont la même chose ou le contraire, sachant que la même chose ou le contraire donne le même résultat. Par exemple, si vous arrosez une plante avec un litre d’eau par jour pendant un mois, elle meurt ; si vous ne l’arrosez pas du tout pendant un mois, elle meurt également.

    Nous avons identifié quelques règles intrinsèques à l’inconscient :

    - Qui juge répète.

    - L’autre n’existe pas.

    - Je deviens mère, je deviens ma mère.

    - Je deviens père, je deviens mon père.

    - La peur d’une chose attire la chose.

    Qui juge répète : Par exemple, si vous grandissez en vous répétant, « je ne ferai jamais comme ma mère », vous fabriquez un programme qui vous mènera inconsciemment à la même situation.

    L’autre n’existe pas : « L’autre » n’est que le reflet de notre intériorité consciente et non consciente de ce que nous sommes ou ce que nous croyons être. Par exemple, je pense que ma patronne en a après moi mais je ne sais pas pourquoi. Je suis en permanence en conflit avec elle. Elle me fait sans cesse des réflexions injustes à mon sens. Je me sens harcelée et mal traitée. Explication : comme la mère est symbolisée par la patronne, cela signifie que j’ai une mauvaise relation avec ma mère, de manière conscientisée ou pas et que je la reproduis avec ma supérieure. La situation vient de moi et de mes basses fréquences. En modifiant ces fréquences, je change imparablement ma relation avec ma patronne. Un autre exemple plus simple : je suis dans un parc, je lis un livre sur un banc et tout à coup je me retrouve nez à nez avec un chien terrifiant sans maître.

    a. J’ai peur des chiens : il me grogne dessus car il ressent mes fréquences basses (peur) et réagit également par la peur donc il grogne pour se défendre.

    b. J’adore les chiens : il remue la truffe car il ressent mes fréquences hautes (amour) et réagit en fonction.

    Imaginons maintenant que je sois dans ma salle de bain pour me maquiller et que je me mette du rouge à lèvre tout autour de la bouche. Je me regarde dans le miroir et me rends compte que ce n’est pas possible et que j’ai ne l’ai pas mis au bon endroit. Comment est-ce que vous réagissez si je vous dis que, pour régler le problème, je vais acheter un autre miroir ? Si vous êtes sains d’esprit, vous allez me traiter de « dingue », non ? Voilà ce qu’il se passe lorsque nous sommes face à une personne qui se comporte mal ou qui ne nous aime pas, etc. Tout le monde part du principe que le problème vient de la personne en face de vous et non de vous : erreur. Changer de miroir ne sert à rien, il faut changer à l’intérieur de vous.

    Je deviens mère, je deviens ma mère : Lorsqu’on met au monde un enfant, les conflits vécus dans la relation mère-enfant vous reviendront frontalement dès lors que vous endossez le rôle de mère. Par exemple : ma mère ne s’est pas occupée de moi lorsque j’étais nourrisson. Elle ne se levait pas la nuit et n’était pas dans une relation d’amour avec moi. Lorsque je vais mettre au monde ma fille, je vais être victime de sentiments profonds de tristesse et j’ai du mal à m’occuper de mon bébé, malgré moi, comme si je n’arrivais à me connecter à lui. Cela vient du fait de la répétition de la situation. Je suis ce nourrisson et je revis cette relation dramatique de non-amour. Si l’on est conscient de cela, on peut proposer une version différente, plus juste.

    Je deviens père, je deviens mon père : Nous sommes enclins à revivre la même relation avec nos enfants que celles que nous avons vécue avec notre père ou son exact contraire. Exemple : Mon père était très sévère avec moi, j’ai subi son autorité abusive toute mon enfance. Je me suis senti frustré et souvent injustement puni. Lorsque je deviens père, malgré moi, je vais répéter une situation similaire ou être un père laxiste concernant le cadre éducatif. Si l’on est conscient de cela, on peut proposer une troisième version qui est la voie du milieu.

    L’acceptation s’oppose au renoncement. Il s’agit d’un cheminement intellectuel et émotionnel, un apaisement des tensions et une compréhension suffisante qui mène à la paix par la neutralisation de la situation de conflit, alors que le renoncement résulte du dépit, de la fatalité et de l’abandon par nécessité de survie, ce que l’on appelle de mon point de vue le « lâcher-prise ». C’est une résolution partielle qui laisse un arrière-goût d’amertume et de frustration. Bien souvent, les attentes non nourries créent le lien qui, sans elles, n’existerait plus et maintiendrait le lien négatif. À chaque modification de fréquence, le thérapeute peut vérifier en direct les transformations dans l’inconscient. C’est un aspect innovant de l’outil Transfert Quantique. Aucune thérapie « classique » ne propose ce bonus de vérification en temps réel de la résolution du problème. Au fur et à mesure de la séance, les éléments ou programmes négatifs sont travaillés et transformés. Les émotions négatives font place à l’apaisement, l’équilibre et la libération. Certaines images apparaissent transformées pour donner vie à de nouveaux modèles dans l’inconscient, comme l’image de l’homme, de la femme et du couple, le plus important étant le positionnement par rapport aux parents, à savoir le niveau d’émancipation.

    Peu à peu, le scénario se modifie et se transforme, pour réécrire l’histoire du sujet à son avantage. La séance est close quand l’inconscient sature aux changements de l’inconscient. Le niveau de transformation dépend directement de la plasticité de l’inconscient, sachant que plus le sujet est de nature « contrôlante », plus les changements sont difficiles. En effet, le contrôle est un mécanisme de défense contre le sentiment d’insécurité. Le temps de mise à jour des données dans l’inconscient est d’environ quatre-vingt-trois heures. Dans certains cas, il est possible que plusieurs séances soient nécessaires pour atteindre la résolution complète du problème. Les enfants réagissent fortement aux séances car leur inconscient est encore assez neuf et peu noué par les conflits vécus, vu leur jeunesse. La plupart du temps, leurs problèmes proviennent d’héritages de lignées qu’il est facile de libérer. L’innovation du Transfert Quantique vient du fait qu’il permet d’accéder aux origines des problèmes. On ne soigne plus à l’aveugle et on gagne un temps fou. Les changements sont observables de manière évidente et il n’y a jamais aucun résultat. Tous les champs sont possibles : fœtus, nourrissons, enfants, ados et adultes sans limite d’âge. Le Transfert Quantique nous apprend que le fœtus, dans sa vie intra-utérine, pense et ressent de l’amour, entre autres sentiments. Amusez-vous à

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1