Comprendre l'invisible: Comment faire briller sa lumière intérieure et découvrir les mondes subtils qui nous entourent

Par Stéphane Vaillant

Accédez à la pleine conscience de votre être !

L'être humain est un iceberg.

Il se compose de sa partie apparente (la matière), celle tournée vers l'extérieur, celle qu'il montre, celle qui le représente dans le monde visible.Puis il y a sa partie immergée, bien plus vaste que la première (le subtil). Celle tournée vers l'intérieur, son intérieur, celle qu'il se défend de montrer, celle qui lui ouvre la voie dans le monde invisible.

Car l'être humain n'est pas que chair et sang. Il est bien plus que cela. Et pour en prendre conscience, il n'a qu'à se laisser aller jusqu'au plus profond de lui où il découvrira son êtreté avec tout ce qui l'entoure. C'est ainsi qu'il trouvera ses réponses aux questions existentielles. Notre vie sur Terre ne se résume pas à ce que nos sens physiques perçoivent. Et c'est ici le message que veut passer l'auteur. Rien de ce que vous vivez n'arrive pas hasard, par chance ou bien par malchance. Vous êtes le maître de votre vie, vous dans votre entièreté : corps-esprit-âme. Une fois l'enfant intérieur retrouvé et la conception de la Vie comprise avec tout ce que cela comporte – les capacités extrasensorielles, les rêves, les signes, les messages, etc. –, à ce moment-là, alors, vous deviendrez le metteur en scène de votre existence terrestre.

Un ouvrage accessible pour apprendre à déceler les signes cachés de notre existence.

EXTRAIT

N’avez-vous jamais eu cette impression de reconnaître un endroit alors que vous n’y avez jamais mis les pieds ?
N’avez-vous jamais eu cette impression de déjà connaître une personne que vous rencontrez pour la première fois ?
N’avez-vous jamais eu ce ressenti que quelque chose de grave allait arriver ?
[...]
N’avez-vous jamais eu l’impression de voler au-dessus de votre corps lorsque vous dormez ?
Vous vous trouvez dans l’une de ces situations et cependant vous n’avez aucune explication à apporter. Pourtant, vous aimeriez comprendre ce à quoi cela correspond.
Alors je ne peux que vous féliciter d’avoir choisi ce livre que je dédie à toutes celles et ceux qui sont en phase d’éveil et qui se posent beaucoup de questions sans pour autant avoir les réponses à apporter.

CE QU'EN DIT LA CRITIQUE

L'auteur transmet ses connaissances acquises tout au long de son parcours grâce à son éducation, ses relations, ses rencontres, ses expériences de vie, ses guides spirituels et son expérience de magnétiseur et d'holothérapeute, tout en laissant bien sûr à chacun son libre arbitre et sa capacité de discernement. - Blog de Marie Mainville

À PROPOS DE L'AUTEUR

Ancien officier dans l’Armée de Terre, Stéphane Vaillant exerce en tant qu'holothérapeute et magnétiseur depuis sept ans.

• Langue: Français
• Éditeur: La Vallée Heureuse
• Date de sortie: 16 avr. 2018
• ISBN: 9782366960822

Aperçu du livre

QUI SUIS-JE, QUEL EST MON PARCOURS ET POURQUOI ÉCRIRE ?

Je crois que c’est la partie la plus difficile, la plus délicate à écrire que de devoir se présenter sans tomber dans le voyeurisme, l’égocentrisme ou quelque chose qui ne me correspond pas. Je suis sincèrement désolé de vous infliger cela car c’est sans doute la partie la plus soporifique du livre, et je vous demande d’ores et déjà de bien vouloir me pardonner. C’est cependant une démarche qui est importante de manière à mieux appréhender les raisons qui m’ont amené à écrire ce livre.

Partons du présent. Je suis aujourd’hui agent de maîtrise sur un gros entrepôt logistique et, parallèlement, j’exerce une activité de magnétiseur en tant qu’autoentrepreneur. J’ai exercé ma première partie de carrière comme officier dans l’armée de terre que j’ai quittée en 2007 pour acheter un pub à Lorient.

Lorsque j’ai quitté l’armée, il me semblait alors que j’avais fait le tour du sujet, car je savais que pour pouvoir continuer à monter en grade, il me fallait passer des concours et entrer en scolarité. Moi qui avais toujours été allergique à l’école (j’avais eu mon bac aux forceps) et peut-être un peu fainéant, je l’avoue bien volontiers, j’appréciais moyennement cette perspective. J’ai donc décidé de bénéficier d’une mesure spécifique qui consistait à démissionner tout en touchant le pécule, une somme d’argent assez conséquente.

Après une réflexion assez rapide et un tour de France, je décidais de devenir commerçant et achetais un pub à Lorient. J’ai engagé un avocat d’affaires pour m’aider à ficeler mon dossier et me protéger car mon père, qui avait été commerçant quelques années avant, s’était planté et avait perdu sa maison, réquisitionnée pour payer les dettes, ce qui lui avait d’ailleurs valu de divorcer de ma maman.

En 2008, me voici donc propriétaire d’un magnifique pub à Lorient, j’habite au-dessus, je coule des jours intenses et heureux, fier d’être indépendant et mon propre patron. Mais voilà que fin 2008, la première crise économique mondiale survient et, comme tout le monde, je commence à être impacté… Mon affaire tient tant bien que mal…

En 2010, mon bail commercial arrivant à expiration, j’en demande le renouvellement par voie extrajudiciaire, ce qui m’est refusé par le propriétaire des murs.

C’est là que les ennuis commencent…

Lorsque j’ai acheté le pub, le bail commercial était quasiment à sept ans et, en théorie, lorsqu’un bail est à sept ans, tous les intervenants (en l’occurrence j’avais mon avocat d’affaires, l’agence immobilière qui vendait le bien, deux banques, mon expert-comptable) doivent s’assurer que le bail sera bien renouvelé. Or, cette fois-ci, personne n’avait pris cette précaution. En effet, dans le commerce, on parle de bail trois-six-neuf ; le bail est reconduit de manière tacite, mais au-delà de neuf ans, même si le bail est reconduit, il faut en demander le renouvellement car, le cas échéant, le propriétaire des murs peut déplafonner le loyer, c’est-à-dire l’augmenter à sa guise. Or si le bail est renouvelé, les tarifs du loyer restent encadrés par l’indice du coût de construction.

Me voici contraint de vider les lieux car lorsqu’un bail commercial n’est pas reconduit, le commerce en soi ne meurt pas mais est juste transféré. Le propriétaire des murs doit alors le prix du fonds de commerce (indemnité d’éviction) complété par les frais de déménagement.

À presque 40 ans, n’ayant plus d’outil de travail ni de logement, je pars habiter chez ma sœur puis chez mon père… En tant que commerçant, je n’ai bien sûr pas le droit au chômage et comme mon chiffre d’affaires était supérieur à 80 000 euros TTC, je n’ai pas le droit non plus au RSA. Pour la petite histoire, j’avais vécu une rupture sentimentale en 2008 d’une femme dont j’étais éperdument amoureux…

Je vous avoue que se retrouver sans travail, sans toit, sans ressources n’est pas une expérience très jouissive, et ce n’était que le début…

Les banques m’ont réclamé les échéances des emprunts que j’avais contractés mais, sans aucune ressource, je n’étais pas en capacité de rembourser. De fait, j’ai dû faire appel à la Banque de France pour me protéger des créanciers et des huissiers par le biais du surendettement.

Quant à l’indemnité d’éviction, il a fallu quatre années de tractations judiciaires pour finalement ne rien récupérer, si ce n’est que mes dettes ont été annulées.

Je dis toujours aux personnes qui viennent me consulter qu’il faut toujours voir le côté positif des choses et que lorsque quelque chose se termine, c’est quelque chose d’autre de mieux qui arrive derrière. Je raconte aussi l’histoire de ce marin dont le bateau coule et qui m’a toujours fait bien rire, car voyant le côté positif des choses, il disait à ses collègues en panique qu’il suffisait de tout boire et que le problème serait réglé.

Je dois avouer qu’à cette période, je n’avais pas la même façon de voir les choses et je n’étais pas prêt à tout boire. Alors, même si je ne suis jamais allé consulter un médecin ou un psy, j’ai sombré dans une profonde dépression, perdant toute confiance en moi, toute envie, tout besoin et glissant dans l’alcoolisme…

Très bizarrement, après quelques mois, j’ai découvert fortuitement que je pouvais soulager les gens avec mes mains même si, d’une certaine manière, je me suis toujours senti un peu différent des autres…

J’ai commencé tranquillement à essayer mon magnétisme en momifiant de la viande, des fruits et puis sur ma famille, sur des amis. Je précise que je n’ai momifié que la viande et les fruits… pour la famille et les amis, il s’agissait de soins. (La momification consiste à tester son magnétisme sur une orange par exemple. Après quelques séances, l’orange perd son jus, se réduit et devient toute légère, vidée de sa substance vitale, et elle ne pourrit plus jamais.)

Finalement, je me suis aperçu que ça marchait plutôt pas mal.

En 2011, sur les conseils d’un ami, je me suis rendu dans la région de Rennes, où j’habite toujours, pour trouver du travail, ce que j’ai trouvé d’ailleurs rapidement sur cette fameuse plate-forme logistique. En parallèle, je décidai de me déclarer comme autoentrepreneur et j’ai commencé à exercer comme magnétiseur pour aider les autres.

Avec le recul, je m’aperçois aujourd’hui que la personne que je devais aider c’était moi avant tout, car je n’étais pas complètement sorti de cette dépression qui m’avait envahi.

« Aide-toi, le Ciel t’aidera » est-il dit dans les Évangiles. Je pense effectivement que la condition préalable et indispensable à pouvoir aider les autres, c’est d’abord d’être bien soi-même et en alignement, mais j’y reviendrai un peu plus tard.

Nous sommes en 2017, et cela fait maintenant sept années que j’exerce mon activité en parallèle d’une activité professionnelle traditionnelle. Vous l’aurez compris, ce livre est le fruit de mon expérience vécue, de ma sensibilité, mais il est aussi et avant tout une réponse aux nombreuses interrogations posées par les personnes qui viennent me consulter et auxquelles il manque des réponses, sur la maladie, sur la vie, sur la mort. Mon vœu est qu’il puisse vous apporter quelques clés qui vous permettront d’ouvrir les portes de votre Moi supérieur et ainsi reprendre possession de votre potentiel quasi illimité.

Je crois sans prétention que la grosse claque que j’ai prise dans la vie m’a remis sur le chemin, un peu comme un wagon qui a déraillé que vous remettez sur son rail, qu’elle m’a permis de prendre du recul par rapport aux choses, de m’introspecter et d’aller au plus profond, même si l’armée m’avait déjà permis de découvrir des facettes de moi que je ne soupçonnais pas en m’emmenant au bout de moi-même dans l’effort. J’ai pris un recul énorme et repris contact avec la vie et avec mes guides.

Prendre une grosse claque n’est pas nécessaire pour reprendre contact avec soi-même et avec ses guides, il faut juste prendre le temps et être prêt, c’est à la portée de tout le monde. Mais, de la même manière que pour connaître le bien, il faut avoir exploré le mal, il me semble qu’avoir connu la misère apporte une autre dimension, une autre vision et permet de relativiser et de perdre cette anxiété que l’on peut avoir face à la vie. Et puis il y a cette crédibilité, cette légitimité que l’on acquiert plus facilement (à tort ou à raison d’ailleurs) lorsque l’on veut parler de quelque chose et que l’on a vécu ces choses ; c’est un principe pédagogique de base : pour faire passer un message il faut déjà savoir de quoi on parle. Sans mettre les gens dans des cases et mettre tout le monde dans le même panier, il apparaît aujourd’hui que si vous voulez parler de la misère, vous trouverez plus facilement des oreilles attentives parce que vous avez vécu cette misère que si vous êtes riches comme Crésus et que vous ne l’avez jamais vécue. Cela peut paraître injuste, mais c’est pour autant factuel.

« L’échec est le fondement de la réussite. »

— Lao Tseu

« La chute n’est pas un échec, l’échec c’est rester là où l’on est tombé. »

— Bouddha

« L’homme a besoin de ce qu’il y a de pire en lui s’il veut parvenir à ce qu’il a de meilleur. »

— Friedrich Nietzsche

« Nul ne peut atteindre l’aube sans passer par le chemin de la nuit. »

— Khalil Gibran

PRÉAMBULE

N’avez-vous jamais eu cette impression de reconnaître un endroit alors que vous n’y avez jamais mis les pieds ?

N’avez-vous jamais eu cette impression de déjà connaître une personne que vous rencontrez pour la première fois ?

N’avez-vous jamais eu ce ressenti que quelque chose de grave allait arriver ?

Ne vous arrive-t-il jamais de penser à une personne puis subitement la rencontrer dans la rue ou entendre votre téléphone sonner et voir son nom apparaître sur l’écran ?

Ne vous arrive-t-il pas régulièrement de regarder votre montre et voir des heures miroirs comme 19 h 19 ou 20 h 20, ou 11 h 11, 22 h 22 ?

N’avez-vous jamais l’impression de vous sentir observé chez vous ou de ne pas être seul et parfois d’entendre des voix ?

N’avez-vous jamais eu l’impression de voler au-dessus de votre corps lorsque vous dormez ?

Vous vous trouvez dans l’une de ces situations et cependant vous n’avez aucune explication à apporter. Pourtant, vous aimeriez comprendre ce à quoi cela correspond.

Alors je ne peux que vous féliciter d’avoir choisi ce livre que je dédie à toutes celles et ceux qui sont en phase d’éveil et qui se posent beaucoup de questions sans pour autant avoir les réponses à apporter.

Ce livre, je l’espère, vous apportera les réponses que vous attendez, mais il n’a pas vocation à répondre à toutes les questions. Je n’en ai d’ailleurs pas la prétention. En effet, tous les sujets qui vont être abordés ne sont pas LA vérité mais UNE vérité. C’est en toute humilité et avec mon cœur que je vais essayer de vous transmettre les connaissances acquises tout au long de mon parcours grâce à mon éducation, mes relations, mes rencontres, mes expériences de vie, mes guides spirituels et mon expérience de magnétiseur et d’holothérapeute.

Ainsi il convient de bien conserver votre libre arbitre et votre capacité de discernement. Tout au long de la lecture, vous allez vous apercevoir que certaines choses qui sont écrites vont vous parler et vous allez vous reconnaître en elles. Peut-être vont-elles éveiller votre curiosité et vous inciter à pousser plus loin vos recherches sur certaines interrogations de la vie. Mais vous allez aussi remarquer que certaines choses n’entrent pas en résonance avec vos croyances ou vos convictions ; cela ne veut pas dire que ce qui est écrit est faux, mais peut-être que ce n’est pas encore le moment et que vous n’êtes pas encore prêts à recevoir certaines informations. Il faut juste accepter que les choses arrivent quand nous sommes prêts et qu’on le veuille ou non, que tout arrive au juste moment. J’y reviendrai beaucoup plus longuement dans le livre.

Il faut alors considérer ou admettre, selon le terme que vous préférez, que nous passons des caps, franchissons des paliers. Ces caps et ces paliers sont des niveaux de conscience qui nous élèvent, qui nous éveillent. L’homme ne voit jamais plus loin que ce qu’il a compris. Nous sommes limités par nos connaissances, nous nous limitons par nos croyances.

« Souvent les gens ne veulent pas voir, entendre et parler de la vérité parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites. »

— Friedrich Nietzsche

Prenez le temps de remarquer tous les progrès effectués par l’humanité : lorsque Copernic a inventé l’héliocentrisme au XVe siècle, il a remis le soleil au centre de l’univers et dit que c’est la terre qui tournait autour de lui alors que les croyances de l’époque mettaient la terre centrale et immobile. Cette théorie avait déjà été abordée par Aristarque de Samos (– 280 av. J.-C.).

Bien avant et pendant de nombreux siècles, la croyance était que la terre était plate. Des religieux défendant le géocentrisme (théorie selon laquelle le soleil tourne autour de la terre) se sont occupés de condamner comme hérétique Galilée (1564-1642) qui, lui, était adepte de l’héliocentrisme. Pourtant, la preuve que la terre est ronde existait bien avant puisque les marins de Magellan avaient déjà effectué leur tour du monde en 1522. Il semblerait même que Christophe Colomb possédait un ouvrage, Le Traité du ciel d’Aristote, écrit au IVe siècle avant J.-C., et où la sphéricité de la Terre était démontrée. C’est à l’époque de la Grèce antique que remonte le premier savant connu, Thalès de Milet (– 625, – 547 av. J.-C.) qui a tenté d’étudier la forme de la terre.

Qu’en est-il alors bien plus tard de la découverte de l’ADN ? Le 25 avril 1953, Francis Crick, 36 ans, et James Watson, 24 ans, à l’époque jeunes chercheurs, ont publié les fruits de leurs recherches sur la structure en double hélice de l’ADN.

Cette découverte est passée presque inaperçue, et il a fallu dix ans pour que la communauté scientifique prenne conscience à quel point la science allait évoluer. On sait aujourd’hui ô combien est importante cette découverte, et même si on considère 90 % de l’ADN comme un ADN junk (inutile), il y a fort à parier que nous avons encore un cap à passer, une prise de conscience, qui nous éveillera sur les potentialités de notre ADN. On commence d’ailleurs déjà à découvrir que notre ADN peut être reprogrammé par certains mots ou certaines fréquences.

Si nous nous plaçons au niveau de l’univers, la physique quantique a fait plus de progrès ces dix dernières années que dans toute l’histoire de l’humanité. On sait aujourd’hui que notre système solaire se déplace à la vitesse de 828 000 km/h dans l’univers et qu’il lui faut 220 millions d’années pour faire le tour de notre galaxie. On sait également qu’il y a plus de planètes dans l’univers que nous connaissons, que tous les grains de sable de toutes les plages de la terre réunis… On parle même aujourd’hui de « multivers », superposition de plusieurs univers où plusieurs types de réalité seraient représentés. La physique quantique nous prouve également aujourd’hui, par le biais du biocentrisme, que la mort n’est qu’une illusion. Roberto Lanza, scientifique américain de la Wake Forest School of Medicine de Caroline du Nord, affirme détenir des preuves que la vie après la mort existe bien. Par l’expérience des fentes de Young, il a déterminé qu’une particule peut changer son comportement selon qu’on la regarde ou pas et en a déduit que la réalité est un processus qui implique notre conscience. « La mort n’existe pas dans un espace spatio-temporel. L’immortalité ne signifie pas une existence perpétuelle dans le temps, mais réside entièrement