Le Cororona Virus : Un appel au changement pour l'autonomie des peuples

Par Janise Voltaire

Depuis 6 mois une pandémie s’installe en maitre dans le monde. Des millions de malades, des centaines de milliers de décès enregistrés partout et des milliards de personnes sont confinés pour essayer d’éviter la propagation de la pandémie. Les puissances économiques sont ébranlées et se demandent comment redresser la barre. Le monde est totalement perdu dans un tourbillon inattendu et désespérant. Les citoyens n’ont plus d’objectif, sinon de tout faire pour rester en vie. Tous les rêves sont devenus angoissants, des désillusions. C’est un vrai cauchemar qui a frappé en plein cœur la planète terre.
Au milieu de tout ça, il y a des messages et des leçons à tirer. Les homos sapiens vont-t-ils comprendre les messages ?
Il semble qu’un appel vient d’être lancé au monde entier pour une reconsidération des choses. Allons-nous profiter pour emboiter le pas et refaire les choses différemment ?
Quels sont ces messages sur lesquels que l’auteur semble attirer l’attention ?
Qu’est-ce qui doit être reconsidéré ?

• Langue: Français
• Éditeur: Les Éditions du Net
• Date de sortie: 2 juil. 2020
• ISBN: 9782312073941

Aperçu du livre

9782312073934

Le Cororona Virus :

Un appel au changement pour l’autonomie des peuples

Janise Voltaire

Le Cororona Virus : Un appel au changement pour l’autonomie des peuples

LES ÉDITIONS DU NET

126, rue du Landy 93400 St Ouen

© Les Éditions du Net, 2020

ISBN : 978-2-312-07393-4

Chapitre I

L’histoire du monde, qu’elle soit considérée sur le plan biblique ou sur le plan scientifique, montre que les hommes sont liés l’un à l’autre au point que la mauvaise action de l’un peut avoir des répercussions sur l’autre. Sur le plan biblique, le péché est rentré dans le monde par un seul homme et tout le reste devient pécheur (genèse).

Sur le plan Scientifique l’homme a connu différentes générations. Il y a 2,5 million d’années qu’il y avait l’homo habilis (l’homme habile), qui passe ensuite a l’homo erectus (l’homme debout), cette génération date de 1,8 millions et la deniere en date qui est l’homos sapiens (l’homme savant), d’environ 300 000 ans et que nous faisons parti. De toutes ces générations, l’homme a toujours vécu en interdépendance.

Historiquement, nos ancêtres ont peuplé et gagnent toute l’Afrique ainsi que les zones non gelées de l’Asie, puis l’Océanie et enfin l’Europe et l’Amérique.

Ainsi, différents évènements surtout des changements climatiques avec les différentes glaciations ont poussé l’homme à s’adapter et à laisser des zones inhospitalières pour des zones plus vivables et productives.

Quant à l’histoire de couleur, les différentes études ont d’abord appuyé l’hypothèse que la glaciation serait à la base de la différenciation de notre couleur.

Une dernière étude plus complète réalisée par une équipe Internationale conduite par Sarah Tishkoff, de l’université de Pennsylvanie, à Philadelphie, a permis de rassembler la plus grande base de données associées à la couleur de la peau. Les chercheurs ont constitué des génomes de 2 092 Africains d’origine variée, vivant en Éthiopie, Tanzanie et au Botswana, et les ont comparés à des génomes de populations ouest-africaines, eurasiennes et australo-mélanésiennes.

Les résultats des travaux ont ainsi montré que la différenciation entre les couleurs de peaux est apparue il y a 300.000 ans (avant les homos sapiens). Ils ont suggéré que des variants de deux gènes connus pour être associés à des yeux, une peau et des cheveux clairs chez les Européens seraient en fait apparus il y a un million d’années en Afrique. Ils se seraient ensuite répandus en Europe et en Asie, où on les retrouve aussi.

Le Scientifique Paul Verdu declare pour sa part que « Certaines mutations responsables de la diversité des couleurs sont apparues rapidement après la perte des poils et font donc partie de la boîte à outils génétique depuis longtemps. Elles se seraient transmises différemment dans les différentes populations sous l’effet de sélections diverses ou du hasard. »

Dans cette étude, les biologistes ont aussi confirmé des hypothèses déjà proposées, comme les migrations « back to Africa », un variant de « dépigmentation » du gène SLC24A5, lié à une peau pâle et connu pour s’être répandu en Europe, s’est révélé fréquent en Afrique de l’Est, même chez des individus à la peau sombre (signe que ce variant n’agit pas seul pour donner une peau claire). Ce variant serait apparu en Eurasie assez récemment, il y a environ 29 000 ans, s’y serait totalement répandu il y a 6 000 ans, et aurait migré en retour depuis le Moyen-Orient vers l’Afrique de l’Est.

En fait, des scénarios complexes sont à envisager pour l’histoire de chaque mutation. Celles du gène MFSD12 sont intéressantes. Deux mutations identifiées sur ce gène en diminuent l’expression et sont associées à une couleur de peau foncée, ce qui a été confirmé par des modèles de souris et de poisson-zèbre. Or, ces mutations se retrouvent chez des populations mélanésiennes et aborigènes australiennes. Cela confirme l’hypothèse de la sortie de l’Afrique, il y a 80 000 ans par la corne de l’Afrique, après l’apparition de ces mutations. Des populations ont migré vers le Pacifique ou l’Eurasie et ces mutations ont été maintenues ou non selon les régions, résume Paul Verdu. « Tout ceci reste à valider par des études encore plus