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Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie
Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie
Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie
Livre électronique265 pages2 heures

Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie

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À propos de ce livre électronique

Apprendre à se connaître, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie
LangueFrançais
Date de sortie20 sept. 2012
ISBN9782312004716
Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie

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    Aperçu du livre

    Apprendre à se connaitre, à communiquer, à réussir sa scolarité et sa vie - Joseph Idjus

    vie…

    Introduction

    Origines lointaines de la gestion mentale

    Fonctions :

    – du cerveau droit.

    – du cerveau gauche

    Depuis l’antiquité, les penseurs et les philosophes, de toute obédience, ont cherché à percer le « secret » de la genèse de la pensée. De nombreuses hypothèses ont été avancées. Il faudra attendre le développement des neurosciences* et l’invention des moyens techniques d’investigation du cerveau, tel que l’I. R. M. *, pour enfin confirmer certaines théories, vieilles de plus de deux millénaires. Le principe d’un fonctionnement reposant principalement sur l’image ou la parole était connu par Platon, mais il fallait localiser les centres régissant ces dispositions naturelles. Les chercheurs en neurosciences ont défini les fonctions des deux hémisphères du cerveau droit et gauche. Ils ont décrit les deux types de fonctionnement, grâce à la localisation des neurones actifs, dans un type d’activité donné. Voici une synthèse concernant les deux hémisphères.

    Fonctions du cerveau droit et gauche

    Les principales fonctions cérébrales

    de l’hémisphère droit,

    touchent les domaines suivants

    a. la compréhension (esprit intuitif, qui généralise à partir de l’expérience).

    b. la représentation en trois dimensions (gestion de l’espace).

    c. les dons artistiques (danse, peinture, sculpture, architecture).

    d. l’imagination (représentation visuelle des idées par le biais de l’image mentale).

    e. les dons musicaux (composition, vision des effets musicaux, interprétation).

    f. la commande de la main gauche.

    Toutes ces fonctions sont régies par l’évocation* des perceptions* en images mentales visuelles, dans notre cerveau. Cela signifie que je comprends au moyen d’un exemple, d’une image vue dans ma tête (a) à condition de gérer mes images mentales* selon mon type* de fonctionnement visuel. Je suis capable de me représenter une pyramide en relief (b), j’ai la possibilité de lire visuellement une partition dans ma tête ou d’évoquer une séquence musicale sous forme de clip (c) ou de film (d). Tout mot entendu produit en moi une évocation visuelle. Je peux voir le mot écrit dans ma tête, sa signification m’étant donné par le biais d’une photo ou d’un dessin (d). Le cerveau droit est prédominant dans ce cas .Il commande la partie gauche du corps. Les gauchers* sont sous son influence bien qu’ils ne soient pas obligatoirement de type visuel. Nous analyserons ce problème dans le chapitre concernant les fonctionnements particuliers (dyslexiques, gauchers, précoces, hyperactifs).

    L’image mentale*, traduit dans notre tête, la réalité perçue qui est fonction de la qualité constitutive de nos cinq sens. Une défaillance importante de l’un ou de plusieurs d’entre eux peut en altérer la netteté. Dans ce cas, grâce à la plasticité du cerveau capable de changer de structure et de fonctions, les sens valides viennent à la rescousse pour palier la défaillance .Nous remarquons chez les aveugles un développement accru de l’odorat, du toucher et de l’ouïe. L’attention*, déterminant l’intensité de la perception, participe à l’élaboration des images mentales et de la pensée. Notre cerveau reçoit en permanence un flot d’informations transmises sous forme d’impulsions électriques par les neurones, associés aux organes sensoriels. Il procède à un premier tri en ne retenant que les perceptions pertinentes. Si celles-ci sont nouvelles ou importantes, elles sont amplifiées et dirigées vers les différentes aires sensorielles associatives en vue de former les images mentales*.

    L’hémisphère droit* confère à tout individu, fonctionnant selon ses critères, une aptitude à résoudre des problèmes rapidement et le prédispose à un sens créatif développé. Son fonctionnement repose principalement sur l’image se formant dans les aires qui gèrent l’espace* et la vision*. Les individus fonctionnant sur ce mode perçoivent l’univers comme un tout. Ils font confiance à leur intuition*. Ils éprouvent une grande curiosité de leur environnement matériel et vivent le moment présent avec intensité.

    Ils se servent de leurs yeux pour faire une provision d’images qui alimenteront leur imagination débordante. Ils préfèrent traiter les informations d’ordre visuel .Ils sont gouvernés par les émotions et l’affectivité, ce qui peut les faire passer de l’extase au désespoir.

    Ils ressentent profondément la signification de l’existence et cherchent à faire partager leurs sentiments aux autres. Ils reconnaissent facilement les visages mais retiennent plus difficilement les noms gérés par le cerveau gauche. Ils agissent par instinct et affectionnent les questionnaires à choix multiples, les exercices à trous qui présentent une connotation spatiale. Ils ont besoin d’un environnement plaisant, décoré à leur goût avec soin, pour pouvoir se décontracter et évoquer.

    Le cerveau droit a été longtemps considéré comme l’hémisphère muet car il ne détient pas l’usage du langage parlé qui est l’apanage du lobe gauche. Ses véritables fonctionnalités (contrairement à celles du cerveau gauche, étudiée au XIXe par Broca*) n’ont été mises à jour que très récemment. La plupart des cerveaux étudiés dans les siècles passés, semblaient appartenir à des hommes. Or, ceux-ci fonctionnaient majoritairement sur l’hémisphère gauche car les études secondaires et supérieures étaient dominées par le raisonnement et la déduction. C’est pourquoi, seule une minorité de femmes, fonctionnant sur le cerveau gauche, arrivait à s’imposer dans les études. En outre, l’éducation pseudo-militaire à laquelle les garçons étaient soumis, privait ceux-ci de sensibilité et d’émotion favorisant ainsi le développement de leur cerveau gauche. Les cerveaux droits devront attendre la civilisation de l’image, du film et de la télévision, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, pour enfin trouver grâce aux « yeux » du monde.

    De nos jours où l’éducation des garçons et des filles est pratiquement identique, du fait de la mixité scolaire, la répartition « cerveau droit/cerveau gauche » s’équilibre entre hommes et femmes. Nous rencontrons de plus en plus de garçons « manqués » chez les filles et de filles « manquées » chez les garçons. Cela signifie que le cerveau droit, dit féminin, n’est plus l’apanage des filles et le cerveau gauche, dit masculin, celui des garçons.

    Il est communément admis qu’il y a une part féminine chez les hommes et une part masculine chez les femmes. Ces particularités, occupent une place plus ou moins importante en fonction, de l’héritage génétique, transmis par le père et la mère, du type d’éducation pratiqué dans le milieu familial, du cercle des relations à dominance masculine ou féminine, fréquenté.

    Un garçon, cerveau droit, élevé dans un milieu féminin, développera plus facilement son côté féminin, de même qu’une fille, cerveau gauche, élevée dans un milieu à dominance masculine développera son côté masculin.

    Des difficultés, susceptibles de provoquer des gênes, aux individus fonctionnant prioritairement sur l’hémisphère droit, peuvent se produire dans :( D’après Antoine de la Garanderie* « Renforcer l’éveil au sens », Chronique Sociale. Lyon. 2006).

    1. l’organisation temporelle et le déroulement des opérations avant, pendant, après. Cela s’explique par le fait que les visuels gérant la simultanéité avec aisance n’éprouvent pas le besoin de décomposer la marche du temps. L’espace est tridimensionnel alors que le temps est unidimensionnel et linéaire.

    2. la compréhension de l’abstrait et du symbolique, si ceux-ci ne sont pas codés en images visuelles. (En algèbre par exemple, remplacer (a) par pomme et (b) par poire pour qu’une formule prenne corps dans la tête dans le but d’activer la compréhension).

    3. l’évocation, du présent et de l’avenir, qu’ils ont du mal à distinguer du fait de leur gestion de la simultanéité.

    Les fonctions cérébrales de l’hémisphère gauche touchent principalement

    a. le traitement du langage écrit.

    b. la capacité à compter (gestion de l’abstraction et des nombres).

    c. l’aptitude à la conduite du raisonnement sans l’aide de l’image.

    d. le développement du langage parlé qui est traité dans les aires de WERNICKE et de BROCA. Les mots sont compris dans la première et reproduits dans la seconde (grand dictionnaire du Cerveau).

    e. les compétences scientifiques (dominance de la règle).

    f. la commande de la main droite (conséquence logique de la gestion croisée des deux hémisphères, le droit commandant la moitié gauche du corps et le gauche, la moitié droite).

    g. le traitement du son, des onomatopées et de la voix.

    Les sons perçus par l’oreille, traités par le cerveau, conduisent à l’image mentale qui se traduit par une évocation descriptive à partir de mots entendus intérieurement (a) donnant l’impression de la présence matérielle de l’objet traité (c). En fait c’est la description de l’objet en mots, phrases, textes, onomatopées entendus dans la tête qui constitue le corps de l’image mentale auditive (d).

    Les individus orientés sur l’hémisphère gauche, appartiennent à la majorité des droitiers (f), habiles de leurs mains. Ils possèdent une mémoire auditive particulièrement développée (c) et en tirent un bénéfice évident, dans les concours. Ils traversent la vie comme des ordinateurs (e). Ils sont capables d’emmagasiner et de traiter d’énormes quantités de données avec efficacité et méthode, étape par étape (b). Ils préfèrent les informations auditives qu’ils stockent en vue d’une réutilisation ultérieure (d). Leur écriture est souvent rigide, mécanique et linéaire.

    Comme l’enseignement privilégie la mémoire auditive, (gérée par le cerveau gauche), les individus fonctionnant sur cet hémisphère, ont des prédispositions pour les études théoriques. Ils se passionnent pour les sciences et principalement pour les mathématiques (b) et l’histoire. Ils se concentrent de manière remarquable sur un problème jusqu’à ce qu’ils en trouvent, la ou les solutions. Ils ne font pas confiance à leur intuition et préfèrent l’analyse et le raisonnement logique qu’ils poussent parfois à l’extrême (e). Ils sont souvent tendus, raides, maladroits quand il s’agit de se mouvoir dans l’espace. Ils sont capables d’écoute et se parlent beaucoup intérieurement. Pour eux, tout est affaire de raisonnement et de déduction. Bien qu’ils ne gèrent pas l’espace avec facilité, ils sont souvent d’excellents manuels et des bricoleurs soigneux. Ils ont une mémoire infaillible de la description des gestes à accomplir et une disposition naturelle à mettre en œuvre les notices d’emploi.

    Les difficultés, susceptibles de se présenter aux individus fonctionnant selon ce type (A. de. G. , l’éveil au sens) se rencontrent dans les domaines suivants :

    1. l’organisation de l’espace : le monde des auditifs étant dominé par les phonèmes et les sons (hémisphère gauche), il leur est difficile de visualiser (hémisphère droit)

    2. l’intuition des rapports de similitude ou de différence qui sont plutôt d’ordre spatiale.

    3. la compréhension de ce qui est donné visuellement car ils gèrent plus aisément l’abstraction.

    4. la perception de la simultanéité. Les auditifs, analytiques, décomposent le temps en 3 stades (avant, pendant, après) qu’ils gèrent l’un après l’autre, ce qui les rend inaptes à gérer deux situations en même temps, à la différence des visuels.

    Qui suis-je ?

    Genèse de ma découverte personnelle de la gestion mentale. Étude de l’influence du cerveau droit et gauche.

    La réponse à la question du titre, est inscrite dans la complexité du fonctionnement du cerveau. En effet, c’est lui qui détermine les pensées, les actions, les sentiments et par conséquent la conduite. J’ai toujours été subjugué depuis mon enfance, par l’innombrable variété des êtres que j’ai rencontrés au cours de mes pérégrinations en Europe. Je me suis toujours demandé, par quel moyen pratique, il était possible d’accéder, à la connaissance de leur fonctionnement intellectuel et par conséquent, de communiquer plus facilement avec eux.

    Ni la philosophie, ni la psychologie, ni la psychanalyse ne m’avaient apporté de solutions satisfaisantes. Je suis un admirateur de Goethe et mon constat rejoignait celui de Faust découvrant vers la fin de sa vie, la vanité de ses recherches et de son savoir.

    Cependant, ma solution, n’était pas la proposition de « Méphisto » dans Faust (la cession de son âme contre le rajeunissement), mais celle d’Antoine de la GARANDERIE* (A. de G.) qui au cours d’un stage, à Toulouse, dans les années 80 m’a révélé par la gestion mentale*, le moyen de comprendre les êtres et de communiquer avec eux à partir de la connaissance de soi. En évoquant cet instant précis, je ressens encore cet ébranlement de tout mon être, face au « tsunami » de solutions qui m’envahit : j’ai éclaté en sanglots et une chaleur voluptueuse m’enveloppa et m’apaisa. Je pris conscience que j’avais enfin trouvé ce que je cherchais depuis si longtemps… Je revois le maître, sa gestuelle et j’entends sa voix. Cette scène restera gravée dans ma mémoire, à jamais. J’ai fait de nombreux stages avec lui, et toutes les fois, c’était un enchantement car je prenais conscience de mon passé et je me projetais dans un avenir meilleur.

    Il faut bien souligner que la gestion mentale et les neurosciences étaient dans l’air du temps depuis le milieu du 20e siècle. Les théories du « new âge », les recherches sur le comportement et l’éducation aux États Unis et au Canada s’étaient répandues en Europe. La Programmation Neurolinguistique de Bandler et Grinder* et la kinésiologie du Docteur Paul Denison* étaient en vogue, depuis les années 60. En France, Freinet* avait cherché à casser les dogmes immuables de la pédagogie, sans compter Binet (1857-1911)* qui, le premier a eu l’intuition des fonctionnements visuels et auditifs, grâce à l’étude du comportement de ses deux filles, l’une étant auditive et l’autre visuelle. Aux États-Unis, l’américain William James (1842-1910) décrivait les trois grands types de profils mentaux, visuels, auditifs et kinesthésiques que chacun utilise, selon lui, dans des proportions personnelles. Ces sont ces études qu’Antoine de la Garanderie poursuivra.

    En qualité d’enseignant, je me suis toujours demandé comment il était possible d’apprendre à connaître les élèves, les individus en général et de quelle manière il était possible de les aider dans leurs difficultés de compréhension et d’apprentissage. Ni les rencontres avec les parents ni même les conseils de classes ne me permettaient d’avancer.

    Je possédais une certaine intuition en qualité de visuel. Je savais à peu près aborder les différents types d’élèves et apporter des solutions à leurs problèmes d’apprentissage. Comme il ne m’était pas possible de généraliser, je devais toutes les fois, trouver une solution individuelle, alors que j’avais l’intuition* qu’il devait exister un moyen de regrouper les problèmes et leurs solutions en fonction d’un type d’individu donné. Au cours d’un stage pédagogique à Tübingen (Allemagne), j’avais suivi une conférence d’un chercheur, Fréderic Vester, dont le thème était : « Penser, apprendre, oublier », titre d’une de ses publications (dtv. sachbuch).

    Cet ouvrage expliquait le fonctionnement du cerveau, le mécanisme des apprentissages, les différents types de cerveaux, les résultats des recherches récentes, de façon très claire et exhaustive. Tous ces précieux renseignements pouvaient mettre en alerte le pédagogue que j’étais, sans lui apporter toutefois une véritable aide méthodologique, à la différence des études d’A. de G. (Abréviation pour, d’Antoine de la Garanderie).

     Dans mon enfance, ma mère m’avait déjà indirectement mis sur la voie. Elle fut éduquée en Croatie dans les années 20, par des enseignants influencés par les pères jésuites qui jouissaient d’une grande renommée dans le royaume d’Autriche-Hongrie. Elle avait vu en moi son double (à juste titre car je suis visuel comme elle) et me dispensait des conseils, très pertinents et efficaces, concernant mes méthodes d’apprentissage, alors que les mêmes conseils prodigués à ma sœur cadette échouaient lamentablement. Elle l’avait définitivement cataloguée d’anti scolaire comme l’avait été son époux, mon père, avec qui elle avait fait toute sa scolarité avant de l’épouser. Cependant, musicien, il était capable de rejouer de tête, un air qu’il avait entendu pour la première fois. J’ai su plus tard qu’il possédait l’oreille absolue. Ma sœur aînée, visuelle comme moi, réussissait brillamment.

    Toutes ces données me trottaient dans la tête et la première expérience visuelle sur le périmètre d’un jardin rectangulaire me marqua pour la vie. J’étais en primaire, en France depuis peu ; je n’arrivais pas à résoudre le calcul du périmètre d’un jardin rectangulaire car je percevais mal le sens des données.

    Ma mère, me fit faire le tour de notre propre jardin en m’indiquant que j’avais parcouru son périmètre. Je n’avais plus qu’à me le représenter dans la tête et le calculer en appliquant les données chiffrées.

    À partir de ce jour, je compris qu’il me fallait traduire non seulement, ma langue maternelle (vieux souabe-alsacien) en français mais aussi en image, une troisième langue en quelque sorte. J’appliquais ce processus jusqu’à l’université. Par la suite, pour comprendre, la langue en image me suffisait et je pensais en français. En évoquant ces faits je m’aperçois que l’expérience visuelle était doublée d’une expérience kinesthésique : notamment le tour du jardin à pied. En fait, j’adorais repasser mes leçons en parcourant le chemin de l’école ou en suivant le troupeau de moutons que je gardais les jours de congé, reproduisant inconsciemment la démarche d’ARISTOTE, philosophe péripatéticien grec.

    Ma mère, me faisait aussi revoir, au sens propre, mes leçons dans ma tête, stipulant que ceux qui ne les voyaient pas, comme mon père et ma sœur, avaient des problèmes de compréhension. Cependant cette explication me laissait perplexe car ma plus jeune sœur avait une mémoire prodigieuse.

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