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Trop sexy pour un bilan: Autobiographie d'une femme chef d'entreprise
Trop sexy pour un bilan: Autobiographie d'une femme chef d'entreprise
Trop sexy pour un bilan: Autobiographie d'une femme chef d'entreprise
Livre électronique87 pages1 heure

Trop sexy pour un bilan: Autobiographie d'une femme chef d'entreprise

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À propos de ce livre électronique

Le parcours d’une femme, chef d’entreprise

Depuis la création de sa première entreprise jusqu’à aujourd’hui, Annick Hercend nous relate dans un livre passionnant le parcours d’une femme, chef d’entreprise, dans l’industrie. Elle a vécu tous les séismes économiques, en a surmonté de nombreux ; elle a rencontré les grands patrons d’industrie, de l’automobile, de l’aérospatial ; elle a fondé plusieurs entreprises, en a acheté jusqu’au Canada, a commercé avec la Chine, le Maroc.

Un témoignage passionnant

EXTRAIT

Une chemise blanche, un ensemble pantalon noir ou bleu marine, une signature au genre non identifiable, c’était au début de ma carrière la manière de faire oublier que dans un monde à 98 % masculin, derrière le chef d’entreprise se cachait une femme.

Aujourd’hui, mon parcours professionnel atypique ne semble intéresser qu’à travers le prisme de ma féminité.

Que sont devenues mes illusions de Baby-Boomer qui pensaient que la liberté n’avait pas de sexe et que pour réussir, un seul ingrédient était essentiel : la volonté ?

Présidente de sociétés, membre actif d’un réseau d’entrepreneurs, responsable d’un club export, me voilà obligée de témoigner de mon parcours professionnel du haut de mes escarpins.

A PROPOS DE L’AUTEUR

Annick Hercend est de la trempe de ces chefs d’entreprises dont la motivation est à la fois la passion de leur métier et la sauvegarde des emplois qu’ils ont créés. Elle ne parle pas dividendes mais investissements, elle ne pense pas actionnaires mais opportunités de marché, elle ne réfléchit pas bas de bilan mais développements. Annick Hercend est de la famille des entrepreneurs, qui savent voir loin sans jamais oublier ceux avec qui ils parcourent le chemin de la réussite.
LangueFrançais
ÉditeurPublishroom
Date de sortie21 janv. 2016
ISBN9791023600414
Trop sexy pour un bilan: Autobiographie d'une femme chef d'entreprise

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    Aperçu du livre

    Trop sexy pour un bilan - Annick Hercend

    Annick Hercend

    Trop sexy

    pour un bilan

    logo Publishroom

    Depuis la création de sa première entreprise jusqu’à aujourd’hui, Annick Hercend nous relate dans un livre passionnant le parcours d’une femme, chef d’entreprise, dans l’industrie. Elle a vécu tous les séismes économiques, en a surmonté de nombreux ; elle a rencontré les grands patrons d’industrie, de l’automobile, de l’aérospatiale ; elle a fondé plusieurs entreprises, en a acheté jusqu’au Canada, a commercé avec la Chine, le Maroc.

    Annick Hercend est de la trempe de ces chefs d’entreprises dont la motivation est à la fois la passion de leur métier et la sauvegarde des emplois qu’ils ont créés. Elle ne parle pas dividendes mais investissements, elle ne pense pas actionnaires mais opportunités de marché, elle ne réfléchit pas bas bilan mais développements. Annick Hercend est de la famille des entrepreneurs, qui savent voir loin sans jamais oublier ceux avec qui ils parcourent le chemin de la réussite.

    Après des études électroniques, Annick Hercend travaille plusieurs années dans des bureaux d’études industriels. À 25 ans, elle s’installe en Normandie et crée sa première entreprise avec comme clients les PME et les grandes entreprises locales. En 1981, de retour à Paris, l’entreprise prend de l’importance et est transformée en SA ; des noms de clients prestigieux font confiance au savoir-faire de cette société comme Matra, Renault, Thomson, Alstom et bien d’autres. La RAM au Maroc et la FN en Belgique sont les premiers contrats gagnés grâce à une présence constante au salon aéronautique du Bourget.

    Dans les années 2000, un contrat avec Bombardier Aéronautique ouvre les portes de l’Amérique à la société, durant cette période, le groupe créé par Annick Hercend compte une bonne centaine d’employés. Après le Canada et les États-Unis, Annick Hercend se tourne vers la Chine et le centre spatial de X’ian.

    Sommaire

    Préface

    Tout ça pour ça

    Société en nom propre 1971

    Dans les années quatre-vingt

    Le patron d’une SARL, c’est…

    Dans les années quatre-vingt-dix

    Sous le soleil du Maroc

    Pas assez sexy pour un bilan

    Les start-up en 2000

    Les consultants Yaka

    L’arrivée des rapaces

    Waïmea, notre filiale au Canada

    En 2000

    Acquisition

    Ce n’était donc pas une blague !!!

    Le 11 septembre, le monde se réveille dans l’horreur.

    19 octobre 2001

    21 octobre 2001

    22 octobre 2001

    23 octobre 2001

    Mercredi 24 octobre 2001

    Jeudi 25 octobre 2001

    Vendredi 26 octobre 2001

    Samedi 27 octobre 2001

    Lundi 29 octobre 2001

    Mardi 30 octobre 2001

    Mardi 6 novembre 2001

    Mercredi 7 novembre 2001

    Jeudi 8 novembre 2001

    Mardi 13 novembre 2001

    Mardi 20 novembre 2001

    Mars 2003

    C’est la confiance de ces clients qui a permis à l’entreprise de repartir et de renouer avec les bénéfices !

    Redressement spectaculaire de l’entreprise

    X’IAN centre spatial en CHINE

    Menace de mort d’un PDG

    Au tapis par KO

    Stand-by de 2011 à début 2012

    Mon meilleur souvenir

    2012 de nouveau dans l’arène

    Et puis après

    Préface

    J’ai rencontré Annick au comité Richelieu* il y a une dizaine d’années. Elle s’occupait de la commission internationale, toujours partante pour aller prêcher la bonne parole, convaincre ici et là les grands groupes qu’il fallait travailler avec les PME innovantes et les PME qu’il fallait travailler ensemble ! Un entrepreneur au féminin car, la parité n’étant pas malheureusement encore de mise dans les PME, elle était une des rares femmes du Conseil d’administration du comité.

    J’ai toujours porté sur ces femmes entrepreneurs un regard bienveillant voir admiratif. Annick fait partie de ces femmes qui ont l’ADN de l’entreprise ancré en elle.

    Dans les années soixante-dix, il n’y avait, pas d’Internet, pas de micro-ordinateurs, pas de logiciels, d’e-mail et de mobile, pas de start-up, bref, c’était un temps que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître ! Nous étions loin de la transition digitale ! Une époque où travailler dans l’industrie avait encore un sens et une certaine forme de noblesse, un monde d’entrepreneurs artisans, mais aussi disons-le, profondément masculin et souvent machiste. Mai 68 avait simplement annoncé l’éclosion d’un nouveau monde et surtout la fin d’un autre, le crépuscule des trente glorieuses, de l’industrie en France et des PMI.

    L’arrivée du Digital a tellement changé notre univers professionnel, personnel et nos habitudes que, même pour ceux qui ont vécu cet « avant », il est presque difficile de s’en souvenir.

    Annick nous ouvre son carnet de notes, son journal de bord et de vie, sans prétention ni fard, sans nostalgie ni regrets, avec la simplicité et la naïveté de ceux qui ont simplement œuvré à entreprendre, qui ont cherché à produire de la valeur, à innover pour mieux servir leurs clients ou se différencier des concurrents, qui n’ont pas hésité à partir à l’étranger, et surtout, qui n’ont pas hésité à prendre des risques.

    Il n’y a que dans les contes de fées pour entrepreneurs de la génération Y que le risque que l’on prend se paye avec l’argent des autres. En ce temps-là, quand on prenait un risque et que ça tournait mal, tu le payais cash.

    Il fallait du courage et de la passion, en plus du talent pour avoir le droit de jouer à entreprendre. Ce carnet de notes

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