Ouvrir la Boîte de Pandore de la Religion

Par Anthony Newman-Miriam

La première partie du livre, la plus grande partie, explique les nombreux termes qui apparaissent dans le bouddhisme tibétain, ils traitent de l'approche de la mort, des différents événements oculaires qui se produisent lorsque la mort approche et des événements que l'on vit juste après son appariti

• Langue: Français
• Éditeur: Book Savvy International Inc.
• Date de sortie: 31 mai 2024
• ISBN: 9798891901827

Aperçu du livre

EN UN MOT

Les êtres humains sont composés de conscience (qui pourrait vivre éternellement) et d’un corps, qui mourra certainement. Pour survivre, cette combinaison adopte une méthode d’action auto-protectrice que nous appelons ego. Étant donné que les êtres humains ont le libre arbitre, la partie ego adopte également une dimension auto-plaisir, que Freud a appelée ça.

Étant essentiellement axé sur l’auto-service, l’ego crée facilement du karma négatif qui, lorsqu’il revient, provoque la souffrance de l’entité. Cela, ainsi que l’ignorance, sont les racines de la souffrance.

Le seul remède à cela est la règle d’or, bien qu’elle soit combinée à la sagesse (ne pas inviter un tueur en série à dîner).

NOUVELLES PENSÉES SUR LES AVATAR

Comme on l’a souvent dit, le commencement de la religion réside dans le fait et la crainte de la mort, ainsi que dans l’assurance d’aller vers le lieu correct et heureux dans l’au-delà ! Beaucoup naissent dans une famille où la religion est injectée dès leur plus jeune âge, avec l’idée que c’est la seule vraie foi, le seul chemin vers les sphères célestes. Beaucoup sont remplis de sentiments de culpabilité vis-à-vis du péché et pensent que seule cette religion peut pardonner les péchés. Certains ressentent de la pitié ou de la colère envers les non-croyants, de la fierté d’être le défenseur de la foi et de la honte d’être indigne de porter l’étendard. Il est très difficile d’abandonner tous ces sentiments de colère et de rejet de sa famille et de ses amis, la peur de la damnation, et souvent un manque de résolution. Certains sont équipés d’une sorte de réalité infantile pour affronter les défis de la vie.

Le côté sombre de l’éducation religieuse est consommé à la fois par les livres saints de la religion et par la tache de l’histoire mondiale avec leurs préjugés de pensée.

Ces pensées reposent sur une expérience absolument nulle des véritables principes spirituels, mais, étant donné qu’elles traitent de l’éternité, elles sont défendues avec une férocité ésotérique et parfois avec violence. La foi sombre se mêle au type d’ego portant une grandeur et une colère-violence avec lui. Certaines personnes sont en phase avec les mœurs religieuses de l’époque, d’autres remontent jusqu’à 3000 ans en arrière, montrant des caractéristiques d’une mentalité tribale, voire même de l’ère des hommes des cavernes. Les croyances scientifiques, ouvertes à la preuve, posent beaucoup moins de problèmes car elles peuvent être prouvées ou non et ne sont pas mêlées à la volonté de Dieu. Il est temps d’améliorer la religion. La nouvelle ère l’exige !

Ce qui se passe après la mort est le stimulant ultime des croyances féroces, car on veut être juste. En effet, on doit être juste pour garantir l’entrée dans des sphères supérieures. C’est le vrai nœud gordien de la religion qui ne peut être tranché qu’avec un haut niveau de sagesse, de détermination et de grâce. La clé pour trancher est la méditation à un niveau profond.

Si l’on croit en d’autres univers, alors peut-être pouvons-nous dire que la religion est sur le point de passer de la foi à l’expérience, et que d’autres univers ou galaxies, peut-être dans notre passé lointain, ont été au même point.

En fin de compte, la religion doit répondre à la question de la souffrance: pourquoi y a-t- il de la souffrance, d’où vient-elle et peut-elle être arrêtée?

La foi est l’une des marques de l’ère des Poissons. Il est très probable que l’ère du Verseau entre dans l’ère de la religion en tant que science sincère par le biais de ses pratiques mystiques (à discuter en détail dans cet article).

Nous ne sommes pas encore complets, pas encore un avec l’univers ou Dieu, si vous préférez. Combien de temps tout cela prendra-t-il? Les Hindous suggèrent un demi-million d’années par âme ! Y a-t-il un moyen de raccourcir ce processus?

La religion se divise en trois domaines distincts: ceux traitant du complexe de la peur et de la colère, comme l’islam, certains aspects du catholicisme romain et du judaïsme archaïque; ceux traitant de la justice sociale, comme le judaïsme moderne et le christianisme; et enfin, ceux traitant de la connexion directe aux niveaux supérieurs, c’est-à-dire le mysticisme et le pouvoir des avatars (incarnations d’êtres parfaits), par exemple, les religions orientales en général. Tout succès dans l’obtention de l’un de ces pouvoirs d’avatar brisera des systèmes de croyances qui n’ont aucune base dans la réalité. Ces pratiques ont été codifiées il y a plus de quatre mille ans déjà, oui, sur cette planète, et sont en effet consignées dans des livres !

Nous ne sommes pas encore complets, pas encore un avec l’univers ou Dieu, si vous préférez. Combien de temps tout cela prendra-t-il? Les Hindous suggèrent un demi-million d’années par âme ! Y a-t-il un moyen de raccourcir ce processus?

La religion se divise en trois domaines distincts: ceux traitant du complexe de la peur et de la colère, comme l’islam, certains aspects du catholicisme romain et du judaïsme archaïque; ceux traitant de la justice sociale, comme le judaïsme moderne et le christianisme; et enfin, ceux traitant de la connexion directe aux niveaux supérieurs, c’est-à-dire le mysticisme et le pouvoir des avatars (incarnations d’êtres parfaits), par exemple, les religions orientales en général. Tout succès dans l’obtention de l’un de ces pouvoirs d’avatar brisera des systèmes de croyances qui n’ont aucune base dans la réalité. Ces pratiques ont été codifiées il y a plus de quatre mille ans déjà, oui, sur cette planète, et sont en effet consignées dans des livres !

1. En fin de compte, sur des milliers d’années, la religion évoluera, je pense, d’un système de croyances à un système de science sincère, s’associant à des êtres et réalités supérieurs par le biais de techniques spécifiques appelées yogas. Ce texte explore toutes ces possibilités.

2. La religion primitive ou ancienne est basée sur la protection contre les forces de la nature grâce à une confiance non expérientielle, mais souvent féroce, en des animaux, la nature ou des faits de la nature, c’est-à-dire des volcans, des esprits et/ou des totems. Les événements inattendus de la vie favorisent également une certaine croyance en l’invisible.

3. Depuis le début, il y avait/is une certaine espérance ou croyance en l’esprit survivant après la mort, certains pensent comme une réalisation de vœux.

4. Il y a environ quatre à cinq mille ans, l’Univers (Dieu) a envoyé des esprits très développés (avatars, ou peut-être des êtres extraterrestres bienveillants et développés) pour instruire l’humanité sur sa nature et celle de l’univers, ainsi que sur la façon d’éliminer la souffrance et ses causes. Il semble qu’il y en ait eu cinq, provenant de leurs propres actions, dons et manifestations: Krishna (hindouisme), Moïse (judaïsme), Lao Tseu (taoïsme), Bouddha (bouddhisme) et Jésus (christianisme).

5. Bien que simplement un étudiant, j’ai poursuivi des études avec des maîtres des traditions mystiques qui font partie des quatre premières traditions. Le christianisme n’a jamais eu une école aussi continue. (Térésa d’Avila et Madame Guyon sont deux noms qui me viennent à l’esprit parmi les mystiques importantes qui ont été réduites au silence par l’Église romaine.)

Ces enseignants s’accordent sur les points suivants: les esprits entrent et réentrent dans des corps pour se développer non seulement sur ce plan, mais sur des milliers d’autres dans l’univers; avec ce phénomène, un sentiment de séparation dualiste, de préservation de soi, de protection, de désir de plaisir, de peur de sa propre destruction et de colère envers toute personne ou chose contrecarrant ses souhaits est créé. Il y a peut-être trois colères fondamentales qui occupent la réalité incarnée: (1) celle d’être dans un corps avec ses limitations, douleurs, vieillesse et mort;

(2) celle de devoir prendre soin du corps avec de la nourriture et de la protection; (3) celle de le satisfaire, ce que certains appelleraient l’id de Freud. Celles-ci sont discutées dans les chapitres ultérieurs. Ce phénomène fondamental est bien sûr appelé l’ego.

L’ego, répertorié comme l’une des parties constituantes d’un être humain dans le système spirituel indien, est nécessaire pour la survie aux stades inférieurs de l’évolution. Son domicile physique est la moelle allongée dans le cerveau. Fondamentalement préoccupé par lui-même, il est amical envers son partenaire sexuel et sa progéniture et se méfie de l’autre. Ses pensées négatives sont basées sur la peur, la colère, le désir et l’aversion; et il est ignorant de l’effet de rebond du karma. Il constitue un obstacle à l’avancement spirituel précisément en raison de ces qualités limitantes. La survie dans le monde à un stade plus avancé est poursuivie par l’ego qui essaie de ne pas nuire aux autres ni à lui-même, mais sans attachement aux résultats de ses efforts.

Finalement, chez un être plus évolué, l’ego doit disparaître. Il y a toujours besoin d’une petite quantité d’ego pour survivre dans un corps, même dans le cas d’êtres très avancés.

L’action volontaire appelée karma est la force activatrice fondamentale de l’univers. Une telle action revient toujours à l’acteur, bien que dans une vaste possibilité temporelle. Le retour donne à l’esprit, maintenant dans un corps, une chance de se voir, plus souvent dans la souffrance (car l’intérêt personnel vesti est la qualité première de l’ego), moins souvent dans une expérience agréable. Cette observation peut être utilisée pour faire progresser son propre développement. On peut parler du développement en deux parties: la première améliore l’ego, le rendant plus aimable, moins volontaire, moins vindicatif et défensif; la deuxième dissolve l’ego. Cela se fait non seulement par des actions au bénéfice de l’autre, mais par un très haut niveau de concentration associé à la non-attachement et à des pratiques yogiques très spécifiques qui impliquent toujours le canal central. (Ce canal spirituel divin s’élève de la base de la colonne vertébrale jusqu’à l’endroit entre les yeux à l’extrémité du nez et est appelé sushumna dans le système indien. Il est flanqué de chaque côté par deux autres canaux mondains appelés ida et pingala.) La zone où résident les guides spirituels (anges gardiens) est appelée luminosité par les Tibétains. Nous l’avons tous, bien qu’elle soit généralement nuageuse ! C’est là que réside notre imagination et s’épanouit dans notre esprit. Ces pratiques d’avatar génèrent environ dix-huit réalisations que tous les grands génies spirituels de l’histoire de l’humanité ont toutes réalisées et ont en fait démontré dans leur vie.

Nos figures imposantes, mentionnées ci-dessus, pouvaient faire les choses suivantes que l’homme ordinaire ne peut pas faire: parler avec d’autres entités spirituelles; prédire l’avenir; se souvenir du passé lointain ou inconnu; lire les pensées des autres et parler aux autres mentalement; guérir les maux physiques, spirituels et émotionnels des autres; défier les lois de la nature en contraignant la matière à faire leur volonté, marcher sur l’eau, léviter, générer un corps holographique pendant la vie qui, après la mort, est visible de tous, même en même temps et à des endroits différents; revitaliser leur propre corps et d’autres corps morts ou produire un corps matériel réel similaire après la mort; faire disparaître leur corps et le faire réapparaître dans un espace différent; produire de la chaleur dans la région abdominale, protégeant ainsi leur corps du froid.

D’autres choses que les avatars peuvent faire mais qui ne sont pas visibles comprennent ce qui suit: entrer consciemment dans leurs propres états de rêve et ceux des autres; forcer leurs propres esprits (âmes) à sortir de leur crâne à la mort; voir les vies variées et les karmas d’autres êtres, leurs morts et leurs réincarnations; entrer dans d’autres corps physiques de leur propre volonté; dissoudre les actions négatives des autres; posséder une paix complète et une joie spirituelle non conditionnelle; fusionner avec ce qui est appelé la lumière blanche au moment de la mort; éliminer le besoin d’entrer dans d’autres corps pour un développement ultérieur (contrairement à presque toute l’humanité). Notez combien de récents films de science-fiction intègrent certaines de ces caractéristiques. Il y a un réel intérêt du public ! Bientôt, nous pourrions avoir le cours de Lévitation 101 dans les cursus universitaires !

Les trois figures qui sont enregistrées dans leurs livres saints respectifs comme ayant accompli ces choses étaient les suivantes: Krishna, le Seigneur Bouddha et Jésus. Bien sûr, la manipulation (appelons cela du fanatisme) des paroles du maître est devenue quelque peu courante chez les étudiants moins avancés.

Dans le cas de la Gita et des 108 volumes des enseignements et des méthodes du Bouddha, les étudiants ayant enregistré les informations et auxquels elles étaient destinées devaient être avancés, car toutes les pratiques majeures nécessitent le Samadhi (un état de méditation parfaitement concentré, nécessitant au moins vingt-cinq mille heures de pratique pendant lesquelles l’ego disparaît, du moins dans la méditation). Ce qui nous est parvenu sous le nom de la Bible contient à la fois les paroles éclairées de grands maîtres et des informations et opinions non éclairées.

Dans la description hindoue des principaux avatars (ceux qui sont complètement unis à l’univers, n’ayant pas besoin de s’incarner, n’ayant pas besoin d’enseignants), ces trois entités sont mentionnées, ainsi que des figures assez méconnues qui manquaient de reconnaissance publique et de rencontres publiques. Les deux premières ont vécu parmi des étudiants spirituels ayant accompli de longues pratiques de méditation, ce qui inclurait la première grande étape de fusion avec (aucune séparation entre) ce qui est perçu ou entendu pendant la méditation; et la deuxième étape, qui est la méditation avec l’arrêt de la respiration, provoquant une béatitude non conditionnelle et une absence totale d’anxiété ou de souffrance.

Toutes ces réalisations sont associées au yoga, qui fait partie de la tradition spirituelle de l’hindouisme et du bouddhisme, et qui sont disponibles dans des textes contemporains, et qui peuvent être étudiées et (généralement avec l’aide de quelqu’un qui les a accomplies) pratiquées. Dans le sens le plus large, un état mental apaisé produit la possibilité de parler à ses propres guides spirituels et de recevoir des réponses. C’est le premier développement qui viendra à un chercheur qui a assez pratiqué une méditation sincère. Rappelez-vous comment nous parlons des anges gardiens, mais nous suggérons des médicaments si nous prétendons entrer en contact avec eux !

Avec des états mentaux plus calmes, on peut parler mentalement par télépathie à ceux qui ont un développement similaire (Karl Jung était un défenseur de la pratique de la télépathie).

Un canal central traverse les sept principaux chakras (à la base de la colonne vertébrale, à trois pouces en dessous du nombril, au plexus solaire, au cœur, à la gorge, au troisième œil ou juste au-dessus du milieu des yeux, et à la couronne), et à l’intérieur de ceux-ci se trouve une série de nœuds à chacun des points, qui doivent être dénoués pour accomplir les autres qualités d’avatar dont nous venons de parler. De chaque côté du canal se trouvent des tubes de canal plus petits à travers lesquels passe l’énergie de la perception ordinaire quotidienne: ces énergies doivent pénétrer dans le canal central et sont les plus facilement pénétrées par le processus de visualisation de la chaleur-feu à chaque point chakrique ou de visualisation de la respiration entrant à chaque point chakrique. Les détails des pratiques du canal sont disponibles à travers les traditions suivantes: la tradition tibétaine, c’est-à-dire les Six Yogas de Naropa, facilement accessibles dans des textes (par exemple, Les Six Yogas de Naropa, Glenn H. Mullin, Snow Lion Press), les mêmes ou des pratiques similaires dans l’école indienne appelée Kriya Yoga, avec des descriptions de la respiration dans un ou deux textes et qui doivent être étudiées avec un praticien accompli pour être apprises. (Voir les textes de Lahiri Mahasay, Sri Yukteswar et Yogananda [Autobiographie d’un Yogi] et Swami Giri.)

Le préalable de base pour toutes ces pratiques est l’atteinte d’une grande concentration dans la vie normale et la méditation (la puissance de concentration d’une personne moyenne est d’environ 35 %, par opposition aux 95 à 99 % de concentration nécessaires pour une version de haut niveau des pratiques méditatives).

Les exercices du canal central sont beaucoup plus complexes et sont décrits avec leurs noms comme suit:

•Chaleur intérieure: celui qui se concentre sur le canal central en dessous du point du nombril en générant une vision du feu et visualise l’énergie des canaux latéraux entrant dans le canal central. Lorsque cela réussit, cela produit non seulement une chaleur réelle, mais une béatitude qui imprègne toute la conscience. Recherchez tummo sur Google et consultez des démonstrations réelles de cette technique sur YouTube.

•Corps illusoire: basé sur le concept de vacuité, c’est-à-dire sur l’interdépendance de tous les phénomènes et leur non-permanence ultime, cette pratique générera non seulement un corps holographique qui peut apparaître à d’autres après la mort, mais favorisera également l’expérience de toutes choses comme semblables à un rêve, ce qui produit ensuite l’expérience de la joie par la libération de l’attachement. Cette pratique est réalisée par un homme avec une femme, nécessite une pénétration sexuelle sans orgasme et diverses visualisations pendant le processus. On peut immédiatement penser à Marie-Madeleine comme éventuelle compagne de Jésus pour cette pratique ! On peut également projeter ce corps illusoire mais conscient n’importe où dans l’univers !

•Lumière Claire: ce yoga vise à produire l’expérience d’être conscient dans les rêves. Cette pratique consiste à visualiser des lumières de couleurs variées dans les zones de la gorge et du cœur au moment de s’endormir et/ou à s’endormir directement à partir d’un état de Samadhi. L’application ultérieure se fait au moment de la mort, où l’on est capable de rester conscient pendant les huit étapes de la mort (mentionnées dans les livres mentionnés ci-dessus).

•Transfert de conscience: cette pratique force la conscience de l’âme à sortir de la région de la couronne et coïncide avec le moment de la mort, permettant à l’entité de transférer sa conscience à un niveau plus élevé, voire bouddhique. Cette pratique est également décrite en détail dans le Livre tibétain des morts. La pratique se fait en élevant la conscience depuis le bas du canal central avec certains syllabes, la plus courante étant hic, et en poussant vigoureusement l’esprit hors de la fontanelle.

•Projection forcée: une ramification de la pratique précédente, le praticien vise à placer sa conscience dans un autre corps, généralement dans le but d’aider les autres en se réincarnant dans un corps plus adapté, sans avoir besoin de renaître !

•Bardo Yoga: l’objectif ici est d’atteindre des niveaux plus élevés d’illumination après la mort en restant conscient et en reconnaissant les phénomènes (entités négatives et positives) qui surviennent après la mort comme faisant partie de sa propre conscience.

Ces pratiques sont indubitablement de niveau extrêmement élevé en termes de compétence et de virtuosité dans la pratique et ne peuvent être entreprises même de manière élémentaire sans le niveau requis de concentration très élevée, ainsi que l’énergie et les bénédictions de ses enseignants et en effet de l’univers lui-même.

Comme les deux avatars précédents, Krishna et le Bouddha, il est très probable que Jésus ait enseigné ces techniques à tous les étudiants qualifiés pour les recevoir, probablement très peu, et a essentiellement travaillé sur l’amélioration à travers la Règle d’Or, plutôt que sur la dissolution de l’ego de la plupart de ses disciples. Comme les anciens avatars qui ont atteint ce grand niveau de spiritualité par des vies d’effort spirituel, il est probable que Jésus a fait de même, a enseigné à ses disciples intérieurs (avancés) qu’ils devraient (doivent) faire de même, et leur a donné des exercices à ce niveau. L’humanité progresse ensuite au cours de centaines de milliers d’années, passant d’un état semblable à celui des hommes des cavernes à l’unité avec l’univers ou Dieu, partiellement grâce aux accomplissements des yogas mentionnés ci-dessus.

La première Église catholique romaine, incapable de comprendre vraiment qui était Jésus (comme un débutant en piano écoutant un virtuose accompli), a commencé par écrire des histoires à son sujet pour convertir les autres, concoctant enfin des déclarations trop belles pour être vraies telles que le pardon des péchés par la confession à un prêtre (un concept totalement incompatible avec le judaïsme, d’où est issu le christianisme) et un état céleste permanent accessible simplement en croyant en Jésus. La réincarnation (une croyance du judaïsme du début de notre ère et avant, était également courante dans le christianisme primitif jusqu’à ce qu’elle soit condamnée comme hérésie au VIe siècle par un synode) était mauvaise car elle enlevait le pouvoir du christianisme primitif (une vie et un état éternel au paradis ou en enfer) et a donc été condamnée. Bien sûr, si nos erreurs sont pardonnées simplement par la confession, l’humanité en commettra simplement davantage, sachant qu’elles peuvent être pardonnées. Le pouvoir du karma est alors effacé !

Alors que les principes scientifiques peuvent être