Brèves de comptoir rose

Par Celine Thomas et Jean-René Derosas

Ce livre est le fruit d'une introspection audacieuse, un voyage à travers les méandres de la passion et du désir. Il est un hommage à l'amour sous toutes ses formes, avec ses hauts vertigineux et ses bas abyssaux. Chaque poème est un instantané de vie, capturant l'essence des frissons, des soupirs et des étreintes fugaces.

Fortement inspiré par les expériences qui ont marqué mon parcours sentimental, et légèrement fantasmé pour enflammer l'imagination, ce recueil est une invitation à explorer les confins de la sensualité. Les illustrations viennent sublimer les mots et donner vie à l'imaginaire. La poésie se fait charnelle, les images et les mots se fondent dans un érotisme à la fois fort et subtil.




À PROPOS DE L'AUTRICE

Céline Thomas est née en 1983 dans le nord-est de la France, où elle vit toujours.

Passionnée de littérature de l’imaginaire depuis son plus jeune âge, elle a dévoré un nombre incalculable de romans SFFF.

Elle affectionne, d’ailleurs, tous les médias du genre, du cinéma aux séries TV, en passant par la BD et les jeux vidéo,

Elle a toujours écrit. Des poèmes, enfant et adolescente, puis des textes musicaux. Elle s’est ensuite lancée dans l’écriture de fiction, ce qui s’est avéré être une véritable révélation pour elle : elle avait trouvé sa voie.

Depuis, elle ne s’arrête plus d’écrire. Elle a créé sa propre maison d’édition en 2016 – Nutty Sheep, qui promeut la SFFF francophone. Puis son agence éditoriale, Empreinte.

• Langue: Français
• Éditeur: Ô Plaisir
• Date de sortie: 25 avr. 2024
• ISBN: 9782385723484

Aperçu du livre

Céline Thomas

Brèves de comptoir rose ...

Illustrations : Jean-René Derosas

Éprise

Comme une envie de sortir de moi-même, de déchirer le voile de mes oppressions.

D’arracher mon cœur blessé de mes ongles peints et de le piétiner de mes talons.

Écartelée par le désir de fuir mes fantasmes où je ne vois que tes yeux, pour me perdre dans les bras d’autres que toi, jusqu’à étouffer mon cœur trop tendre, jusqu’à limer ton nom gravé dans la chair encore saignante.

Vas-tu fuir ma douce folie, mes caresses par trop exaltées ?

Ou le souvenir de ma peau, de mes cheveux glissant sur ton désir est-il