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Un bout de vie d'elles: Poèmes, #1
Un bout de vie d'elles: Poèmes, #1
Un bout de vie d'elles: Poèmes, #1
Livre électronique102 pages1 heure

Un bout de vie d'elles: Poèmes, #1

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À propos de ce livre électronique

Elle était à son dernier mois de grossesse, lorsque Nafissatou se rendait à l'hôpital, il est vrai qu'elle n'était pas à terme, il était fixé pour la fin du mois de mars mais la sage-femme lui avait donnée un dernier rendez-vous de routine. Cette grossesse n'était pas vraiment désirée, elle ne l'avait pas préparée, elle ne l'attendait pas!

Nafissatou avait déjà 4 enfants, à son habitude, elle planifiait ses grossesses, mais celle-là, elle ne l'avait pas vu venir. Néanmoins elle décida de n'est pas la gardée parce qu'elle le voulait , la société et sa religion le lui imposait. Il n'est pas toujours évident pour une femme de décider de ce qu'elle veut faire, les pressions de l'entourage la conduise des fois là où elle s'y attend le moins. Cet enfant elle avait appris à l'aimer, à le porter, à l'écouter. Très croyante elle ne voulait pas désobéir à son Dieu.

Il était environ 12 heures lorsqu'elle fût reçue par la sage-femme une consultation faites de manière sommaire à la fin elle la rassura en lui disant que la grossesse se déroulait normalement mais qu'elle était obligée à une surveillance médicale de prêt vu que son col utérin était ouvert et elle risquerait d'avorter d'ici peu. Nafissatou n'était pas inquiète cet car il avait confiance de l'hôpital elle le connaissait déjà, elle y avait eu ses quatre premières enfants toutes ses grossesses n'arrivaient pas à terme bien qu'elle n'eût jamais accouchée prématurément. 

LangueFrançais
Date de sortie28 oct. 2022
ISBN9798223875987
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    Aperçu du livre

    Un bout de vie d'elles - Orphélie philippine Menié

    Orphélie philippine Menié

    UN BOUT DE VIE D'ELLES

    Editions Parujekad

    UN BOUT DE VIE D'ELLES

    Octobre 2022

    Droits de reproduction, de traduction et d'adaptation réservés pour tous les pays. Le code de propriété intellectuelle n'autorisant, aux termes de l'article L, 1225, 2º et 3º a, d'une part, que les « copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective » et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, « toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite » (art. L, 122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelconque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon, sanctionnée par les articles L, 335-2 et suivants du code de la propriété intellectuelle.

    Sous la direction de :

    Jean Kady Kadima

    © Orphélie philippine Menié

    Éditions Parujekad

    Tél : +243 859 360 064

    E-mail : jeankady0@gmail.com

    République Démocratique du Congo

    Prologue

    Des mariages plus ou moins fréquents et des mises en couple plus tardives, des divorces en progression rapide, de plus en plus de naissances avant mariage... En trente ans, le paysage de la conjugalité a radicalement changé : il est devenu mouvant, fragile, triste, ennuyeux, complexe. État des lieux.

    La période qui suit la Seconde Guerre mondiale jusqu’à la fin des années 1960 a parfois été qualifiée d’âge d’or du mariage car le mariage triomphait avec les élites conjoints , le célibat n’ayant jamais été si rare ni si doux et, même si les divorces étaient déjà fréquents dans certains pays, ils étaient très souvent suivis d’un signe de remariage. Les couples se mariaient pour avoir des enfants ou lorsqu’un enfant avait été conçu plus ou moins volontairement comme en témoignaient les proportions croissantes de conceptions prénuptiales observées à cette époque.

    Les naissances avant le mariage, alors qualifiées d’illégitimes, n’étaient le fait que d’une population marginale et semblaient en voie de disparition. Vu les points susmentionné Orphélie philippine Menié se place à la bonne cime de la littérature pour nous écrire son œuvre littéraire sur UN BOUT DE VIE D'ELLES un livre de ces ouvrages qui retrace un bon trajectoire de la vie des conjoints.

    Éditeurs Editions Parujekad

    Chapitre I :

    Femme endurante, l’Epreuve de la mort

    Elle était à son dernier mois de grossesse, lorsque Nafissatou se rendait à l’hôpital, il est vrai qu’elle n’était pas à terme, il était fixé pour la fin du mois de mars mais la sage-femme lui avait donnée un dernier rendez-vous de routine. Cette grossesse n'était pas vraiment désirée, elle ne l’avait pas préparée, elle ne l'attendait pas!

    Nafissatou avait déjà 4 enfants, à son habitude, elle planifiait ses grossesses, mais celle-là, elle ne l'avait pas vu venir. Néanmoins elle décida de n'est pas la gardée parce qu'elle le voulait , la société et sa religion le lui imposait. Il n'est pas toujours évident pour une femme de décider de ce qu’elle veut faire, les pressions de l'entourage la conduise des fois là où elle s’y attend le moins. Cet enfant elle avait appris à l’aimer, à le porter, à l’écouter. Très croyante elle ne voulait pas désobéir à son Dieu.

    Il était environ 12 heures lorsqu’elle fût reçue par la sage-femme une consultation faites de manière sommaire à la fin elle la rassura en lui disant que la grossesse se déroulait normalement mais qu'elle était obligée à une  surveillance médicale de prêt vu que son col utérin était ouvert et elle risquerait d'avorter d'ici peu.  Nafissatou n'était pas inquiète cet car il avait confiance de l'hôpital elle le connaissait déjà, elle y avait eu ses quatre premières enfants toutes ses grossesses n'arrivaient pas à terme bien qu'elle n'eût jamais accouchée prématurément.

    Pour une multipare, Nafissatou était bien informer sur le déroulement de l’accouchement bien que tous les accouchements ne soient pas pareils chaque naissance est différente et unique. La douleur ressentie est indescriptible mais par amour les femmes acceptent de l’endurer à plusieurs reprises, c'est être audacieuse que de vouloir porter plusieurs grossesses sachant que le parcours auquel on s'apprête à suivre n'est pas facile mais elles acceptent pousser par une force invisible d'endurer et de porter à nouveau.

    ––––––––

    Il était 15h lorsque Nafissatou entra en salle de travail. Ce jour-là, la sage-femme de garde était Marème  connaissait la patiente car elle l'avait aidé à accoucher de son troisième enfant. Le travail d'une multipare pouvait durer en moyenne 08 heures de temps pour Nafissatou elle espérait ne pas mettre au tant de temps.

    Au bout de quelques heures les contractions utérine commencèrent, elles étaient irrégulières mais douloureuses la dame supportait comme elle pouvait. Deux heures de temps plus tard la douleur s’intensifiait ; Marème   tenait la main de sa patiente et l'encourageait ; la sage-femme était habituée à cette situation elle exerçait depuis 7 ans dans cet hôpital précisément dans le même service puis connaissait ce qu'il fallait dire à une femme en travail d'accouchement elle était habituée quoi que tout accouchement ne soit pas une routine.

    Deux heures plus tard Nafissatou n'avait toujours pas accouchée , Marème vérifia si les paramètres fœtaux et maternels étaient normaux, tout allait bien mais intérieurement, elle était inquiète, elle se rassura et retourna auprès de sa parturiente . Tout avançait normalement, la mère et le fœtus se portaient bien et quelques minutes plus tard après un examen elle annonçait a Nafissatou qu'elle était à une dilatation complète.

    Lorsqu'une dame arrive à une dilatation complète c'est un véritable soulagement pour la sage-femme, car la première étape a été franchi mais la dilatation complète ne rime pas avec accouchement imminent il faut, que toutes les modalités soient remplit : descente et rotation de la tête avec la coopération de la patiente qui déjà avait gardé son calme on pouvait espérer un accouchement rapide.

    ––––––––

    Il était 00 heure au moment où Marème installa sa patiente sur la table d’accouchement, à trois poussées elle accoucha et Marème pouvait enfin respirer,  Nafissatou aussi ; c'était l’arrêt de la douleur, du stress. La joie ressentie par la femme était tellement visible, elle le vivait aussi car intérieurement c'était une victoire un sentiment de satisfaction.

    La dernière partie de l'accouchement est la plus angoissante qu'il faut exécuter des gestes rapide et efficace pour la sortie du placenta il faut être vigilante et habile pour éviter une hémorragie c'est à ce moment-là que la femme risque le plus vite sa vie. Pour Nafissatou en moins de 10 minutes le placenta sorti, la sage-femme fini alors son accouchement en rassurant la femme que tout c’était bien passé .

    Il était 01 heure 30 minutes,  Marème vint une dernière fois auprès de sa patiente pour une surveillance des constantes elle lui demanda 

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