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L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire
L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire
L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire
Livre électronique219 pages3 heures

L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire

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À propos de ce livre électronique

Humoristique et philosophique, ce livre est une véritable bouffée de fraîcheur à l’heure où notre système de santé est plutôt mal en point. Des patientes impatientes veulent prendre une pause de leur ménopause. Elles ont pris rendez-vous avec le généreux Dr Vautmieux Henrire, un médecin exceptionnel qui les écoute et les aide à guérir. Son secret : dédramatiser les malaises causés par ce passage obligatoire et stimuler en elles leur propre pouvoir de guérison. Ce livre s’adresse aux femmes ménopausées ou en voie de le devenir, à leurs filles qui hériteront de cette soi-disant pause, ainsi qu’aux hommes qui veulent mieux comprendre la femme de leur vie afin de mieux l’aimer.
LangueFrançais
Date de sortie15 mars 2013
ISBN9782922598780
L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire
Auteur

Johanne Fournier

Détentrice d’un baccalauréat en enseignement et diplômée en lettres, Madame Fournier enseigne à Québec à la Commission scolaire des Découvreurs depuis 1984. Fine psychologue dans l’âme et très sensible aux relations humaines, elle s'intéresse à la santé des femmes. Son esprit de communication la porte naturellement à écrire.

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    Aperçu du livre

    L'art d'accueillir la ménopause avec le Dr Vautmieux Henrire - Johanne Fournier

    Préface

    L’univers de la pratique du Docteur Vautmieux Henrire nous transporte dans un monde fantastique où tout devient possible.

    À travers cette magie, nous découvrons le quotidien de la vie d’un médecin qui a consacré sa carrière à la santé des femmes. Les conseils de prévention sont inspirés d’une grande sagesse comme, par exemple, dans la peine d’amour de Morgan où il lui dit : « La seule personne qui puisse vous guérir, c’est vous ». Il touche ensuite une dimension beaucoup plus profonde : la spiritualité, laquelle est souvent oubliée dans le conseil médical quotidien. C’est pourquoi il recommande fréquemment la prière et la méditation. Bref, pour bien vivre, il faut savoir s’arrêter…

    La grande trame de fond du Docteur Henrire, et de ce roman, est l’humour qui permet de désamorcer les tensions. Son humour est tout à fait respectueux. C’est tout un art d’utiliser l’humour en consultation et, cerise sur le gâteau, il accompagne cet humour de petits cadeaux qu’il remet à ses clientes : rose, CD, certificats…

    Oui, tout cela est à des années — lumière de la pratique médicale actuelle, mais elle apporte l’espoir au médecin qui est en nous, car la guérison commence par « tomber en amour avec soi ».

    Docteur Jean Drouin

    Prologue

    Mes premiers bobos ont commencé à poindre lorsque j’ai eu mal aux genoux après avoir lavé mes planchers de bois franc à quatre pattes. C’était l’été. Et, comme chaque été quand je tombe en vacances, je fais le grand ménage, pour ainsi dire le ménage en grand ! En enseignant, j’ai l’habitude d’être active et quand arrive juillet, ça me prend quelque temps à décompresser, trop habituée à dépenser de l’énergie durant l’année scolaire. Le syndrome prémenstruel aidant, ça brasse et ça brosse dans ce temps-là ! C’est tellement propre chez moi que je pourrais manger par terre. Mais il faudrait que je relave le plancher, alors il vaut mieux continuer de manger dans une assiette que de me remettre à quatre pattes comme un petit chien !

    Quand je me suis relevée après le grand nettoyage, j’avais l’impression que mon genou droit était aplati. Le lendemain, je me suis dit que tout serait rentré dans l’ordre, mais franchement… il n’en fut rien, même si l’ordre régnait partout dans la maison. Mon genou était rentré par en dedans, comme gêné ou renfermé.

    Peu de temps après, le mal s’est déplacé derrière mon genou. J’ai pris ce remède si populaire sur les tablettes des pharmacies : la glucosamine… jusqu’à ce que mon cas empire. J’avais de la misère à descendre les escaliers. Étais-je handicapée ou soudainement devenue une vieille bonne femme ? La ménopause me rentrait dedans telle une colporteuse sans invitation.

    J’ai consulté mon médecin de famille qui s’est plus tard spécialisé en gynécologie : le Dr Vautmieux Henrire, celui qui m’a vue grandir, qui m’a surtout vue vieillir… Il m’a dit que je devais faire un début d’arthrose comme mon père et il m’a fait prendre rendez-vous avec une physiothérapeute pour voir ce qui pouvait bien occasionner cette boule derrière le genou, ce qui m’empêchait de me plier, de me placer en petite bonne femme ; bref, ce qui m’empêchait de prendre certaines positions… même au lit !

    La physio n’a rien trouvé d’anormal, mais elle m’a donné une série d’exercices que j’ai faits à contrecœur malgré mes bonnes intentions. J’aurais voulu un changement instantané ou une opération pour qu’enfin le mal s’en aille chez le diable. Les cornes ont commencé à pousser sur mon front parce que je n’avais plus de patience ; je me voyais dépérir de jour en jour et ça me mettait en rogne. Oui, mon signe du Zodiaque est le Capricorne, mais j’ai le droit d’être en colère contre mes genoux et surtout contre le fait de vieillir, même si c’est une fatalité, euh… une réalité pour tous et une des seules justices en ce monde.

    Le début d’un long processus maladif commença et les malaises se sont mis à me courir après, comme si les gens autour de moi étaient contagieux, comme si mes anticorps faisaient défaut dans mon propre organisme et que j’attrapais tout… ou presque.

    J’ai dramatisé, vu et revu des spécialistes suggérés par le Dr Henrire, pris et repris des médicaments. Voyant apparaître plus d’effets secondaires que de guérisons primaires, j’ai vraiment ri de moi-même. J’ai pris conscience un bon matin que je n’arrêtais pas de me plaindre. J’ai revu mes tantes et mes parents comme s’ils avaient été tour à tour mon miroir. Dire que je riais de mes proches, que je me disais qu’ils exagéraient sûrement, qu’ils en rajoutaient pour qu’on prenne soin d’eux parce qu’ils avaient besoin d’attention ou pour qu’on les prenne en pitié et qu’on s’en occupe. Qui a dit qu’on mettait du temps à redevenir jeune ? J’étais en forme à l’époque, je ne pouvais pas comprendre que le corps vieillit et que, peu à peu, les facultés diminuent. Maintenant, je comprends. C’est la faute de la ménopause ! Elle en a large sur le dos avec ses symptômes qui n’en finissent plus et qui, au contraire, surgissent les uns après les autres.

    Comme le chante Michel Fugain et le Big Bazar : « La jeunesse, ça s’en va… comme un beau matin quand s’éteint la fête. On se dit toujours que ça reviendra, pourquoi pas ? ». La fête ne fait que commencer et je ne veux aucunement laisser ma santé s’éteindre un beau matin !

    C’est avec humour que je vous donne rendez-vous avec le Dr Vautmieux Henrire. C’est, et de loin, le médecin le plus agréable qu’il m’ait été donné de rencontrer. Il prend le temps d’écouter les dames, c’est le spécialiste de la Femme à Québec. Tour à tour généreux, philosophe et blagueur, il donne confiance et guérit presque sur-le-champ. N’est-ce pas fantastique alors qu’en réalité il faut attendre plusieurs heures quand on se présente à l’urgence ou à une clinique sans rendez-vous ?

    Ça vaut la peine de faire des kilomètres et des kilomètres pour rencontrer ce médecin exceptionnel, que ce soit en vélo, en train, même en avion s’il le faut ! C’est lui que j’ai vu la première fois, après avoir pris l’autobus pour m’y rendre, à seize ans, afin qu’il me prescrive la pilule anticonceptionnelle qui me permettrait d’avoir mes premières relations sexuelles avec mon premier vrai chum. C’est un médecin sympathique et attachant. Son seul défaut, c’est de ne pas en avoir ! Raison de plus pour accourir à son bureau au moindre malaise. J’ai compris que c’était lui le seul et unique spécialiste. Durant un certain temps, il a pris congé et il m’a tellement manqué ! Il aurait été malade, mais je n’en sais pas plus. On dit même qu’il aurait subi une opération, mais sur quelle partie de son corps ? Ça reste un mystère. Puisqu’il est irremplaçable, il n’était toutefois pas question que je change de médecin alors, j’ai attendu son retour.

    Ça me tente toujours d’aller dans la salle d’attente, car elle se veut plutôt une salle de détente tant elle est invitante. J’y entends une musique d’ambiance zen. Les huiles essentielles dégagent un arôme extraordinaire. D’habitude, j’évite les salles d’attente, mais celle-ci m’invite.

    Chaque fois que je viens, des fleurs coupées dégagent une odeur qui pique les narines et aide à la relaxation. En plus, les lectrices ont à leur disposition des livres de détente, de pensées positives, de proverbes et de citations, d’histoires cocasses et de blagues ; pas de ces revues de mode où des modèles coupés au couteau me rendent folle et coupent ma confiance en deux. Ces photos sont truquées et retouchées… voyons, ça saute aux yeux ! Ces femmes, trop parfaites pour être vraies et authentiques, m’enlèvent le plaisir de les regarder. Il vaut mieux jaser avec les autres clientes et s’en faire des amies sincères plutôt que regarder ces faussetés en silence.

    Les magazines avec mille et une publicités sur l’art de perdre du poids et sur les vedettes brillent par leur absence. De toute façon, je veux m’occuper de moi, pas savoir la couleur du soutien-gorge qu’a porté Véronique Cloutier au dernier gala télévisé. Les régimes ont fait place aux livres de recettes donnant des idées pour cuisiner des repas sains et équilibrés. J’y retrouve sur les tables et les babillards les horaires des piscines du quartier, des salles d’entraînement, question de me donner le goût d’aller nager, de m’inciter à bouger et à faire de l’exercice.

    La motivation de ce médecin unique ? Faire rire et dédramatiser les malaises. Certains prétendent que c’est sa façon de se guérir lui-même qui l’anime. Il est bon pour aider les femmes, pour les écouter, pour les soigner, mais pour parler de lui, c’est une autre affaire. C’est un homme, après tout. Cependant, son oreille est presque féminine.

    Dr Henrire m’a confié qu’il prendrait sa retraite dans quelques mois. Alors, pour qu’il ne nous oublie jamais, j’ai décidé avec des amies, des femmes de ma famille, des collègues féminines de travail et leurs amies de faire un compte rendu des rendez-vous qu’elles ont eus avec lui, histoire de garder en souvenir sa sagesse par écrit. Ce cadeau lui sera offert le soir de la réception de sa retraite afin que tous les invités voient qu’il existe encore des médecins exemplaires. Donc, toutes les conversations que des femmes ont eues avec lui ont été consignées par écrit par des femmes de cœur qui voulaient lui rendre hommage. J’ai chapeauté le projet d’en faire un compte rendu en guise de gratitude envers cet homme aux qualités exceptionnelles, ce médecin d’ici qui mériterait bien un prix Nobel.

    Dans cette clinique médicale située sur la rue Castonguette, les secrétaires puisent leur bonne humeur dans leur joie de vivre. Le sourire aux lèvres en permanence, elles sont d’une patience d’ange. Dans cette ambiance feutrée, les patientes ne sont jamais impatientes comme dans d’autres cliniques. Sur un tableau blanc, une pensée hebdomadaire fait du bien, porte à réflexion… comme celle d’aujourd’hui, composée par Voltaire : « J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé. »

    Certains soirs, des films comiques sont présentés ; on a même droit à du maïs soufflé. Sans beurre. Des émissions Drôles de vidéos et Juste pour rire nous font rigoler en attendant que les médecins se libèrent. Ça fait changement des soaps américains qui ne font que passer un savon aux gens avec leur air faux et prétentieux. Je prends plaisir à aller chez le docteur et je n’ai pas besoin d’être ultra maquillée comme à la télé. Ici, c’est la réalité et c’est la beauté de l’âme qui prime.

    À gauche, près de la fenêtre, une petite fontaine procure un bruit de fond très relaxant. La musique où les vagues divaguent me fait croire que je suis étendue sur une plage du Sud. Attendre ainsi détendue dans cette atmosphère, c’est être juste là, bien dans le moment présent. C’est à ce moment-là que j’ai été appelée.

    Déjà, juste en entrant dans le bureau de ce médecin extraordinaire, j’observe des teintes douces et tendres. Le fleuve Saint-Laurent me fait un clin d’œil et rend charmeur un paysage attrayant. J’ai l’impression de flotter dans un espace infini, comme submergée d’un coup de foudre ou envahie d’une étrange passion. Charles Baudelaire a écrit : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté. »

    Son bureau en merisier couleur brandy donne le goût de m’asseoir avec lui et de prendre un petit coup en sa compagnie. Des cadres avec des photographies représentant sa femme et ses deux enfants me font entrevoir un monde parfait. Il a le couple par-dessus le marché. Sa femme, fort jolie, semble épanouie, telle une fleur au milieu du jardin où elle est assise. Sans aucun trucage photographique !

    Ses diplômes de médecin laissent présager que c’est un vrai de vrai ; il n’a rien d’un narcissisme encadré ; il est toute vérité. Il en a fait des études pour être docteur, mais pas besoin d’études pour être un « doc-cœur ». C’est accueillant, j’y vois des plantes, de vraies fleurs dans un pot, j’y respire la verdure et la chlorophylle, j’y respire la vitalité à l’état pur. Quelques articles de sport personnalisent son bureau. Loin de faire mal, ça fait mâle, ça fait homme viril. Je le devine sportif, bien dans sa peau et en forme. J’aime imaginer, en l’attendant, ses yeux, ses oreilles qui écoutent et qui voient plus loin que le bout de son nez. Son non verbal communique sa personnalité sans artifice : un être de cœur m’attend.

    Puis, le voici… en chair et en os avec des yeux bruns et rieurs agrémentés de pattes d’oie qui volent la vedette et trahissent un peu son âge, mais si peu. Une bouche, qui a dû embrasser plus d’une fois, me fait toujours un sourire charmeur. C’est le vrai portrait de l’acteur Richard Gere. Imaginez son visage ! Je guéris presque à le regarder tant il m’éblouit avec ses cheveux fournis et grisonnants, ses lunettes rondes à la John Lennon et son petit air espiègle. Je crois rencontrer un étudiant sorti tout droit de l’École de médecine, et fier de lui, portant toujours des vêtements remarquablement repassés et des chaussures bien cirées. Un parfum aux huiles essentielles titille mes narines, je suis transportée, juste à le humer, sur le chemin de la guérison. Ça sent bon, ça sent la santé. Je suis souvent intimidée par tant de beauté. Enfin, je suis venue ici non pas pour le regarder bouche bée, mais parce que j’ai besoin de lui et de ses précieux conseils médicaux.

    J’ai la chance de vivre le rêve de toutes les femmes, celui d’avoir un médecin qui prend le temps, qui m’écoute, qui ne fait pas juste « tchik — tchik » avec ma carte d’assurance maladie. Ce n’est ni la carte, ni le numéro écrit dessus qui comptent pour lui. C’est le visage qui y est photographié. Quand elle est là en personne, la patiente est loin d’être un numéro. Docteur Henrire se souvient toujours du nom de ses clientes. Pour lui, chaque femme est unique et importante. Il se préoccupe de chacune, les renseigne et sait comment leur donner l’heure juste avec franchise et tact. Il s’intéresse plus à l’être humain qu’aux symptômes et aux pathologies.

    Je cesse de vous faire languir, voici le résumé de ma dernière rencontre avec lui avant qu’il ne prenne sa retraite.

    Arthrose et acné rosacée

    Moi : Bonjour Docteur, je viens vous voir parce que depuis plusieurs mois, comme vous êtes au courant, j’ai mal aux genoux. Ma difficulté à les plier et à prendre certaines poses m’ennuie vraiment.

    Dr Henrire : Bonjour Johanne ! Qu’est-ce qu’ils ont ces petits bijoux de genoux ?

    Moi : Je sens une raideur et on dirait que j’ai une bosse derrière chacun.

    Dr Henrire : Je vous ausculte et je ne sens aucune bosse. Pliez vos genoux et dépliez-les… Ah ! Je vois ! Vous ne vous mettez pas suffisamment à genoux. Alors, engagez vos genoux à l’exercice. Êtes-vous allée voir la spécialiste comme prévu ? La fée Carabosse n’a-t-elle pas fait son travail de guérisseuse ?

    Moi : Oui, mais mon mal persiste. C’est vous qui détenez le secret de ma guérison.

    Dr Henrire : Voici ma prescription. Faites chaque soir une génuflexion sur ce beau coussin rembourré et chauffant que je vous offre en cadeau. Durant ce temps, lisez, écoutez vos téléromans ou faites plaisir à votre amoureux ! Chaque jour, faites des marches quotidiennes et puis le soir, priez. Vous ne priez pas assez souvent ! Vous verrez, ces simples exercices viendront à bout des genoux les plus endoloris. Ils deviendront plus forts. Et vous, plus croyante. En étant active, vous oublierez votre mal et vous vous concentrerez sur votre guérison. Les petits bijoux de genoux vont retrouver leur air de jeunesse. Et ne lavez plus les planchers à genoux, laissez cela à votre conjoint. Les genoux des hommes sont plus solides. Gardez les vôtres pour des besognes plus agréables, comme le jardinage, par exemple, quand l’été reviendra. La terre, sous vos genoux, vous ancrera, vous ne voudrez plus vous lever tellement vous communierez avec la vie. À ce stade, le petit coussin chauffant ne vous sera plus d’aucune utilité, à moins que vous vous asseyiez dessus de temps en temps !

    Moi : Mais j’ai d’autres problèmes, Docteur, des problèmes de peau.

    Dr Henrire : Quoi, vous manquez de peau ?

    Moi : Mais non, regardez ma peau, j’ai encore de l’acné rosacée, des boutons et des kystes, de la couperose et de l’eczéma à mon âge. Mais que se passe-t-il dans mon système ? On dirait que j’ai un coup de soleil à l’année ! J’ai peur qu’on m’appelle « la pizza »

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