JEAN-LOUIS AUBERT À CŒUR OUVERT
Paris Match. Vous vous étiez lancé dans une tournée solo stoppée à cause du Covid. Et votre vie s’est arrêtée quelques mois plus tard…
Jean-Louis Aubert. Oh oui ! Tout avait bien démarré, c’était incroyable. J’avais commencé au théâtre de l’Œuvre, une toute petite salle parisienne, en acoustique, puis dans des petits théâtres en France, et de fil en aiguille j’ai monté cette tournée avec des hologrammes. J’ai joué au Bataclan au moment de la sortie du disque, puis après, toujours en solo, dans les Zénith. Mais à Amiens, au cinquième concert, tout s’est arrêté. J’ai réuni mon équipe dans la cantine, les larmes coulaient quand on a vu les camions partir. Mais j’ai quand même récupéré une partie de mon matériel, parce que je ne voulais pas arrêter de jouer.
Vous avez beaucoup joué pendant le confinement pour les internautes…
« POUR MOI, L’HÔPITAL,
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits