Poèmes

Ce livre titré Transcendance nous présente quelques choses qui fait face à la réalité qui nous décrit le haut et le bas, le passage de la vie à la mort, transcende la vérité, la raison en absence des mots qui pleurent, et qui cachent dans l'ombre de tout. En dépit de toute contrainte qu'on subisse dans ce pays à travers cette terre charnelle, cette terre de l'enfer, cette terre guerre qui accouche dans ce bas monde au fond de cette univers une entrave qui secoue les cœurs par toutes sortes de douleur, de peine, de maladies, chasse l'amour par-dessus de tout. La cadence de la mort triomphe avec la puissance de l'au-delà par des assassinats, par des complots, par des manifestations qui pleurent leur sors et gémissent dans un coin de cercueil. Dans cet extrait de texte: << Ce soir où ma tête repose sur mon lit de planche La nuit Le jour Au sommeil insaissable Au milieu de la sollitude inanimé Hante les couloirs des mystères Impalpables.... >> De nos jours dans notre pays personnes n'est avisé par la mort. Je pénètre jusqu'à travers la vie l'envie de ce qui est dans l'au-delà comment est le sens de la vie dans leur monde. Dans ce cauchemar qui nous regarde à l'horizon je poursuis le bonheur par un sourit trafiquant par l'hyprocrite.  <> Malgré tout nous sommes un peuple de combat résistant on s'élève nos voix par des chants qui vaincre la bataille. On se souvient du passé de ce peuple qui est devenu si misérable, piétiné par des opposants, par des traitres de la patrie. Parfois on pense à l'extrême des mots pour voir la force de la parole qui s'éclate la vérité comme cette portion d'écriture : << Elle invite la terre à surpasser le temps Et dépasse la réalité L'émotion par un refus de la language >> Même à traver les portes qui s'ouvrent partout et ailleurs viennent quelques choses qu'on ne s'attendent pas. << Derrière la porte qui ferme Derrière la porte du ciel Derrière la porte de l'ombre Vient un éclat De tonnerre.....>> Sidney Dino NARCISSE 

Dans ce livre l'Auteur vois ces maux s'affecter, ce déstabiliser. Le jour au jour ils s'empiraient. Il ne pouvais rien. Car il pouvais pourtant faire quelque chose, mais il n'a pu rien. L'auteur songe à faire ce qu'il pouvais, mais il n'a pu rien. Les jeux levés vers le ciel, il pouvais que prier. L'auteur se confiai et passai tous ces jours à contempler la belle nature détruite et réduite en mille. D'autres par il se confiai à soi-même parce qu'il n'en pouvait plus de moi : il criais et récriais, personne n'en criait, pourtant les hommes y étaient, ils y sont et me voient hennir.  Notre y jeunesse sacrifiée est sacrifiée, personne n'a pu rien. Les femmes sont violées, les hommes décapités, les enfants kidnappés, mais nous nous taisons, et par peur, nous nous détruisons. Les femmes et les enfants contraints d'assister aux scènes macabres de leurs parents dénudés, alors que nous prônons la « démence-crois-tu ».  Ces enfants kidnappés par les troupes armées rebelles ou ennemies qui sèment la terreur et l'horreur devenaient des enfants soldats, formés pour semer la terreur, l'horreur des fils des romains, les romanes, hybridés parfois sont des Hannibal, alors que nous ne cessons de prôner la « démence-crois-tu » aux médias et aux tribunaux fictifs devant lesquels les pauvres comparaissent et sont sacrifiés tant au niveau national qu'international, les mendiants des noix dans le noir.   La logique d'un chef qui répond aux besoins de siens fond et facilite la compréhension poétique, à la fois prose et classique dont l'intermédiaire est le réflexe du « duxisme ». 

Elle était à son dernier mois de grossesse, lorsque Nafissatou se rendait à l'hôpital, il est vrai qu'elle n'était pas à terme, il était fixé pour la fin du mois de mars mais la sage-femme lui avait donnée un dernier rendez-vous de routine. Cette grossesse n'était pas vraiment désirée, elle ne l'avait pas préparée, elle ne l'attendait pas! Nafissatou avait déjà 4 enfants, à son habitude, elle planifiait ses grossesses, mais celle-là, elle ne l'avait pas vu venir. Néanmoins elle décida de n'est pas la gardée parce qu'elle le voulait , la société et sa religion le lui imposait. Il n'est pas toujours évident pour une femme de décider de ce qu'elle veut faire, les pressions de l'entourage la conduise des fois là où elle s'y attend le moins. Cet enfant elle avait appris à l'aimer, à le porter, à l'écouter. Très croyante elle ne voulait pas désobéir à son Dieu. Il était environ 12 heures lorsqu'elle fût reçue par la sage-femme une consultation faites de manière sommaire à la fin elle la rassura en lui disant que la grossesse se déroulait normalement mais qu'elle était obligée à une surveillance médicale de prêt vu que son col utérin était ouvert et elle risquerait d'avorter d'ici peu. Nafissatou n'était pas inquiète cet car il avait confiance de l'hôpital elle le connaissait déjà, elle y avait eu ses quatre premières enfants toutes ses grossesses n'arrivaient pas à terme bien qu'elle n'eût jamais accouchée prématurément. 

Les derniers temps seront mauvais et difficiles entend-on souvent dire à cause des visons apocalyptiques de la fin du monde telles qu'annoncées par les prophéties les plus pessimistes. Dès le début de l'humanité déjà le ton avait été donné. Nous n'avons pas besoin d'être adepte d'une quelconque religion, fût-elle révélée ou non pour savoir que depuis le crime crapuleux de Caïn contre son frère de même sang, Abel, les temps ont pris une coloration de tragédie irréversible. Ainsi depuis que la genèse ne nous a pas caché ce premier.    Meurtre dont la raison reste une véritable énigme pour l'anecdote des origines de l'humanité, il n'y a pas un temps qui aie pu se trouver sur la voie de la perfection pouvant changer ou amener le genre humain à se métamorphoser pour prendre la teinte d'un humanisme réconciliateur avec le caractère parfait de notre créateur. Je ne me suis pas poser la question parce que d'autres se sont chargés de la poser à ma place. Quant à moi, je me suis continuellement demander ceci :   Pourquoi un créateur, je dis bien un créateur et non un engendreur peut-il donner vie à une procréation aussi fourbe et vile comme l'homme ? Autrement dit, qu'est-ce qui a bien pu se passer pour que Dieu dans sa magnanimité, de son omniscience, par son omnipotence et mu de son omniprésence que balaie à la fois le temporel et l'intemporel a-t-il pu laisser cette anomalie se glisser insidieusement dans son œuvre éponyme ? on me répondra : l'amour et son corollaire, le libre arbitre ou la liberté consentie à l'homme de choisir le chemin de sa rédemption.

Dans son œuvre poétique l'auteur explique la puissance qu'à l'amour et l'intérêt en paraphrasant aisément que celui qui aime est esclave de ses sentiments . D'ailleurs, la libération conscient (e) de sentiments envers autrui détermine combien de fois est fort et nécessaire de noué cet acte amoureux et plein de l'intérêt. Cependant, l'âme est le consommateur de l'amour et rien n'est au-dessus de cet amour de Dieu qui transcende le tout . Remadji Mbaïrareou Michael préfère toucher le ciel sans fusée grâce à son cœur serré sans avoir envie de s'amuser . Dans son bouquin, il exprime énormément l'idée de n'est pas sucer ni de baiser ; ce qui lui intéresse dans cette aventure, c'est son avenir et ceux de son entourage littéraire ayant des ailes des proches . Prêts à se soutenir , il s'en fou des mauvaises bouches qui ne cessent de faire mouche sur tout ce qui bouge.

Hier peut être aujourd'hui si, Le temps enlace nos souvenirs, Les rêves suspendus dans l'infini, Tissent des ponts vers l'avenir. Les étoiles tracent leurs chemins, Éclairant nos routes obscures, Chaque instant est un lendemain, Dans ce ballet de nuits pures. Les fleurs épanouies d'hier, Parfument encore nos pensées, Leurs couleurs dansent en arrière, Dans l'éclat des heures passées. Les rires et les larmes d'alors, Sont les reflets de notre âme, Ils sculptent les contours de l'essor, Et tissent une trame calme. Les vents emportent les regrets, Comme des feuilles au vent légers, L'espoir naît dans le présent, Et guide nos pas déterminant. Hier peut être aujourd'hui si, Nos cœurs osent le renouveau, Dans l'instant, tout s'épanouit, L'amour et le temps sont nos flambeaux.