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Entre le Cœur et l'Âme: Recueil de cheminement personnel
Entre le Cœur et l'Âme: Recueil de cheminement personnel
Entre le Cœur et l'Âme: Recueil de cheminement personnel
Livre électronique305 pages3 heures

Entre le Cœur et l'Âme: Recueil de cheminement personnel

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À propos de ce livre électronique

Hélène Marie Chassé nous offre un recueil de réflexions nommé Entre le Cœur et l’Âme.

Dans ce livre, l’auteure nous partage des textes débordants de sensibilité et de sincérité où elle aborde des thèmes qui reviennent parfois nous hanter au fil des jours. Découlant de longues réflexions, ces textes ont pour objectif de nous engager à réfléchir et à opérer des prises de conscience essentielles à notre mieux-être – prises de conscience qui nous permettront certainement de mieux nous connaître et de cheminer en toute conscience, vers la joie d’être, l’équilibre et l’harmonie. C’est en plein cœur de l’orage que ce livre a peu à peu tracé son chemin dans les méandres de son cœur et de son esprit.


À PROPOS DE L'AUTEURE


Hélène Marie Chassé est une auteure québécoise. Elle est née au Bas-St-Laurent et a grandi dans l’Outaouais, avant de s’installer à Montréal, puis en Montérégie. Dès son plus jeune âge, elle a dû surmonter des épreuves déchirantes qui l’ont façonnée au gré des jours. Les nombreuses leçons qu’elle a su en tirer lui ont permis de s’épanouir et de cheminer vers l’harmonie et la paix intérieure. Aujourd’hui, elle se consacre entièrement à l’écriture de recueils de réflexions et de romans fantastiques.

LangueFrançais
ÉditeurTullinois
Date de sortie7 mai 2022
ISBN9782898091865
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    Aperçu du livre

    Entre le Cœur et l'Âme - Hélène Marie Chassé

    DÉDICACE

    Je dédie ce livre à mon père, Isidore Chassé,

    un homme simple et bon qui a été

    une étoile filante dans ma vie,

    et dont le tendre souvenir m’habite encore

    aujourd’hui.

    Avec tout mon amour.

    Remerciements

    Gratitude à mon frère Marcel, qui m’a soutenue à travers toutes les intempéries de la vie, avec gentillesse, patience et respect.

    Gratitude à mes amis pour leur amitié indéfectible et leurs encouragements.

    Gratitude à mes amis Facebook et à tous mes lecteurs et lectrices du bout du monde pour leurs encouragements et leur fidélité.

    Gratitude à ma féline amie et compagne Athéna qui m’a choyée de sa généreuse amitié durant ses seize précieuses années de vie. Ceux qui ont la chance d’avoir un animal de compagnie savent à quel point sa présence constitue un soutien précieux. J’éprouve pour elle une reconnaissance éternelle et un amour infini.

    Gratitude à l’univers de m’offrir tant de bienfaits.

    Et enfin, gratitude à mon éditeur, Monsieur Claude Rey des Éditions du Tullinois, ainsi qu’à son équipe, de croire en moi.

    Avertissement

    Ce recueil de textes de cheminement personnel repose sur les réflexions et les expériences personnelles de l’auteure, et ne se réfère à aucune biographie, essai ou traité de psychologie, de développement personnel, ou autres documents.

    Lettre à mon père

    Cher papa,

    Où que tu sois dans l’univers, je te remercie de m’avoir aimée, d’avoir fait partie de ma vie pendant ce moment si bref. Je me souviens encore de mes six ans, de ce jour maussade où tu es parti pour ne jamais revenir, et je te murmure aujourd’hui l’aurevoir que je ne t’ai jamais dit. Le jour où tu as marché vers la lumière a été jour de noirceur dans mon cœur et j’ai erré bien longtemps en portant le poids de mon chagrin. Depuis ce jour, tous les quatorze septembre ont exacerbé en moi la douleur de t’avoir perdu, la douleur de ne pas avoir pu empêcher ton décès. Mais aujourd’hui, pour la première fois depuis mes six ans, la tendresse l’a emporté sur la culpabilité, la plénitude sur le chagrin. Et tous ces regrets qui ont brisé une grande partie de mon existence s’en sont allés. La petite fille de six ans qui vit dans mon cœur s’est enfin libérée. Elle s’est pardonnée. En ce jour émouvant où mes yeux versent des larmes, mon cœur sourit tendrement à l’âme lumineuse qui veille sur mes jours. Aujourd’hui, je peux enfin te faire mes adieux et te remercier de m’inspirer, de me protéger et de me guider vers la Lumière. Je peux enfin sourire à la vie et parcourir la route de l’existence, en suivant les élans de mon cœur.

    Vole belle âme, vole dans la Lumière pour l’éternité.

    Je t’aime,

    Hélène Marie

    Introduction

    Entre le Cœur et l’Âme, c’est une expression que je me suis appropriée parce qu’elle me définit. C’est là que s’est déroulée la plus grande bataille de toute ma vie, une bataille entre les aspirations de mon âme et les émois de mon cœur. Aussi loin que me ramènent mes souvenirs, j’ai ressenti cet appel de l’âme à grandir dans la souffrance, comme si elle seule pouvait m’insuffler le courage et la détermination qu’il me fallait pour entreprendre l’aventure de la vie.

    La mort de mon père, que j’ai ressentie comme une faute grave, m’a incitée à me punir. Et je me suis punie, parce que je n’ai pas su composer avec cette intuition, avec ce message de mon âme qui m’avait annoncé sa mort au petit matin. Cette mort, je l’ai expiée avec toute l’ardeur de mon innocence, et à l’âge de six ans, j’ai plongé dans la colère et la culpabilité. Ma vie s’en est trouvée à jamais bouleversée. Ce jour maudit entre tous a ébranlé ma joie de vivre, et cette mort brutale, m’a à mon tour projetée vers une mort qui n’a pas voulu de moi.

    C’est lors de cet événement que pour la première fois, j’ai entrevu la lumière dans l’obscurité. Un fil invisible s’est tissé entre elle et moi, et je m’y suis accrochée, sans être tout à fait consciente de l’importance capitale de ce simple geste. Je me suis retirée longtemps en moi-même, sans rien attendre de la vie qu’une immense souffrance, sans même concevoir que je puisse vivre autre chose. J’avais le cœur brisé et j’ignorais ce que je devais faire pour m’affranchir de la souffrance, afin de renaître à la joie et au bonheur.

    J’ai donc entamé mon chemin au hasard des tourments, en portant un lourd fardeau sur mes épaules. Seules les larmes parvenaient à soulager ma peine et à ramener la lumière dans mon cœur. Lorsque mes larmes se tarissaient, j’émergeais peu à peu de l’obscurité et je me sentais enfin libérée. Cette libération m’a ramenée dans l’amour et c’est grâce à l’amour que j’ai amorcé le passage vers la guérison. C’est grâce à l’amour que j’ai retrouvé la joie de vivre.

    Ce voyage, je l’ai entrepris seule, sans le moindre soutien. Durant les heures qui ont précédé le décès de mon père, une terrible angoisse s’est emparée de mon cœur, et la certitude de sa mort imminente a forgé mon chagrin. J’étais si certaine que j’aurais pu l’empêcher, que j’ai commencé à me punir de ne pas l’avoir retenu à la maison ce jour-là. J’ai fait ce que font les enfants, je me suis sentie aussi responsable de la mort de mon père que si je l’avais provoquée.

    En ce quatorzième et détestable jour de septembre, mon univers s’est écroulé. Je suis restée avec un nœud au creux de l’estomac et la conviction que Dieu lui-même m’avait trahie. Oh que je lui en voulais de m’avoir pris mon père. J’étais en colère car je refusais de croire qu'il était parti pour toujours. Et plus je me rebellais contre cette évidence, plus je me sentais submergée par le chagrin et la culpabilité. Dans les jours qui ont suivi cette mort maudite, une seule pensée m’habitait : mourir aussi pour que le chagrin s’efface enfin.

    Les funérailles de mon père se sont déroulées sous la pluie comme si le ciel était en deuil lui aussi. J’ai lâché la main de ma mère et j’ai essayé de monter sur le cercueil, car je voulais m’endormir avec mon père et ne jamais me réveiller. Mais on m’en a empêchée. Les jours suivants, j’ai attendu en vain que mon chagrin s’étiole. En peu de temps, ma peine est devenue un étang, puis un lac, puis un océan.

    Quelques jours après le décès de mon père, mon ventre s’est mis à se tordre de douleur. C’était si douloureux que je croyais qu’il allait se déchirer comme la coque d’un navire. La mort m’appelait, mais quelque part en moi, l’appel se taisait. On m’a soignée et peu à peu, la vie a repris ses droits. Si j’ai survécu à la mort de mon père, ce n’est pas parce que j’avais accepté sa mort, mais parce que j’avais accepté de vivre, même si je sentais que la vie ne m’accorderait qu’une vague accalmie avant de me déchirer à nouveau.

    Je me souviens qu’aux premiers jours de décembre, la joie m’est enfin revenue. Ma mère est rentrée à la maison avec un bébé dans les bras. En le voyant pour la première fois, j’ai su que j’allais l’aimer autant que j’aimais mes autres frères, de mignons petits garçons aux bouclettes blondes et aux taches de rousseur. Ce fut un beau Noël malgré tout.

    Avec le temps, j’ai fini par enfouir ma peine au plus profond de mon cœur. Mais le ressentiment et la colère se sont incrustés dans ma vie, et sans trop savoir pourquoi, je me suis mise à percevoir les autres comme une menace. Je me sentais vulnérable, et lorsque la nuit m’étreignait enfin, la terreur me poursuivait dans mon sommeil, où j’étais assaillie de cauchemars. Le matin, je me réveillais avec la sensation d’avoir survécu au chaos. Mais au lieu de me détruire, le chaos m’a rendue forte, et au fil du temps, j’ai commencé à devenir une sauveuse d’âmes en peine, alors que j’ignorais comment me préserver moi-même.

    Je me suis mise à écrire aussitôt que j’ai su former des mots. J’étais si heureuse de pouvoir enfin étaler mes chagrins, bien à l’abri des regards. Aujourd’hui, je peux affirmer que la lecture et l’écriture m’ont sauvée. Mais à part les livres scolaires et le vieux dictionnaire à la jaquette verte que l’institutrice m’avait remis, il n’y avait pas de livres à la maison. Alors tous les jours, je lisais le dictionnaire. À l’adolescence, en élève timide et solitaire, je me suis mise à fréquenter la bibliothèque de l’école avec assiduité. J’y ai acquis une véritable passion pour les livres.

    Certes, ma vie n’a pas été de tout repos. Mais les leçons qu’elle m’a offertes sont une grande richesse. Elles m’ont permis de mieux me comprendre et de trouver ma place dans le monde. Elles m’ont permis d’apprendre à m’aimer et à aimer ceux qui m’entourent, sans rien attendre d’eux. Chacun naît pour partager quelque chose d’unique : la richesse de son âme. C’est en écrivant que j’ai fini par conquérir ma vie. C’est en écrivant que le désir d’être a pris racine dans mon cœur. C’est en écrivant que j’ai cessé peu à peu de nourrir mes blessures, et que j’ai entrepris de nourrir mon âme.

    En 2006, épuisée par un stress prolongé, mon corps s’est écroulé. Après avoir supporté le climat désagréable de mon milieu de travail, j'avoue que je me sentais vidée de toute mon énergie. C’est lourd le vide quand on ne peut plus s’accrocher à rien d’autre. J’ai toujours senti que ma vie serait un parcours parsemé d’épreuves. Et ça l’a été. Ça l’a été aussi longtemps que je l’ai cru, ça l’a été jusqu’à ce que ma vie ne tienne plus qu’à un fil... et même après.

    Je voyais venir la fin de ma vie, et loin d’en éprouver des regrets, je me disais que c’était bien au fond, que j’allais enfin quitter cette vie douloureuse, sans joie, sans bonheur, et sans réussite, pour un monde qu’on m’avait promis meilleur. Mais encore une fois, la mort n’a pas voulu de moi. Et j’ai compris que cette mort que je croyais imminente, était un clin d’œil du destin. C’était le début d’une nouvelle vie. Je ne pouvais plus continuer à essuyer les tempêtes. Je devais jeter l’ancre quel-que part. Une chance m’était offerte, de prendre soin de moi, de m’épanouir et d’être enfin heureuse.

    Cette descente sauvage qui m’a jetée dans l’abîme de la maladie m’a offert l’occasion inespérée de transformer ma vie. C’est à travers les nuits sans sommeil, les moments de lassitude intense, et le supplice des examens médicaux, que j’ai retrouvé le goût de vivre. C’est lorsque la vie a failli me quitter qu’elle m’est enfin revenue et que j’ai commencé à prendre conscience de ma propre richesse intérieure. C’est à ce moment-là que j’ai cessé de me rejeter moi-même et que j’ai entrepris mon véritable processus de guérison. Ça n’a pas été de tout repos, mais au fil des jours, j’ai peu à peu remonté à la surface. Je me suis consolée, soignée, aimée, comme si j’accueillais chaque jour une nouvelle fleur dans mon jardin.

    Puis je me suis mise à écrire comme je ne l’avais encore jamais fait. J’ai écrit avec joie, avec amour, avec passion. Et cette fois encore, comme si souvent dans ma vie, l’écriture m’a sauvée. Et moi qui ne m’étais jamais accordé le droit d’être heureuse, j’ai commencé à sentir vibrer le bonheur en moi. J’ai commencé à le nourrir, à le construire, et surtout, à y croire.

    Cette renaissance m’a donné envie d’écrire ce livre. Je l’ai écrit pour moi, pour vous, et pour tous ceux qui sont hantés par des traumatismes profonds. À toutes ces personnes, je souhaite qu’il apporte réconfort et espoir.

    Le but de ce livre n’est pas de m’épancher sur le parcours compliqué de mon existence, mais de partager l’incroyable expérience spirituelle que j’ai la chance de vivre aujourd’hui. C’est en toute humilité que je vous livre, d’âme à âme et de cœur à cœur, les leçons et les enseignements d’une vie ponctuée de défis et de petits bonheurs.

    Hélène Marie Chassé

    Entre le Cœur et l’Âme

    « Écoute ton cœur. Il connaît toute chose parce qu’il vient

    de l’Âme du Monde et qu’un jour, il y retournera. »

    Paulo Coelho

    Entre le Cœur et l’Âme, il y a l’espoir, l’espoir d’atteindre le bonheur, l’espoir de s’accomplir, de partager des sentiments sincères avec ceux que nous aimons, l’espoir de réaliser nos rêves et d’être aimés pour ce que nous sommes, l’espoir de partager nos joies et nos peines, sans avoir à présenter un autre visage que celui de notre vérité. Entre le Cœur et l’Âme se trouvent notre fragilité et notre force, nos peurs et nos espoirs, nos doutes et nos certitudes, notre ombre et notre lumière. Cette intériorité, nous seuls en détenons la clé. Nous seuls pouvons en connaître l’essence, nous seuls pouvons en découvrir les secrets. Et si nous vivons toute notre vie entre le Cœur et l’Âme, c’est pour découvrir et accomplir la mission la plus importante de notre existence terrestre : réaliser la parfaite harmonie de notre Corps, de notre Âme et de notre Esprit. C’est pour réaliser cette extraordinaire mission que nous avons choisi d’emprunter une route où seul notre cœur est en mesure de nous guider avec justesse, car le cœur est la voix de l'âme… l’unique voix que nous puissions écouter avec la certitude de suivre la route qui nous est tracée de toute éternité.

    Capter la Joie

    « Le plaisir est toujours quelque chose qui provient de l’extérieur alors que la joie nous vient de l’intérieur. »

    Eckhart Tolle

    Chaque jour, peu importe le flot d’événements perturbants qui défile sous mes yeux, je m’efforce de capter la joie. Ça me fait un bien fou, surtout lorsque mon cœur croule sous le poids des tensions. Capter la joie, ça permet de mieux gérer le stress et de relever plus facilement les défis de l’existence. Les dangers et la violence qui planent autour de nous, ne doivent pas nous faire oublier que nous avons le pouvoir de faire des choix, de nous accomplir, de nourrir positivement nos relations avec les autres, de nous interroger sur le monde. Les personnes que nous aimons doivent elles aussi gérer leurs inquiétudes, leurs épreuves, et les événements déstabilisants qui se bousculent autour d’elles. Nous vivons une époque profondément troublée, une époque qui nous oblige à opérer des prises de conscience auxquelles nous aurions peut-être accordé moins d’importance auparavant. Nous devons faire face aux malaises, aux résistances, et aux peurs qui nous secouent chaque jour. Voilà pourquoi nous devons aussi nous bercer d’espoirs, de rêves et de joies, car malgré les épreuves qui nous heurtent parfois, nous pouvons être heureux, nous pouvons partager notre bonheur. Rappelons-nous aussi qu’il y a autour de nous des personnes auxquelles nous tenons, des personnes que nous nous efforçons de soutenir, même quand leurs opi-nions ne s’arriment pas aux nôtres, des personnes qui ont besoin de nous et qui sont là elles aussi pour nous. De chacun et chacune de notre bout du monde, nous regardons le soleil se lever, et son clin d’œil est une ode à la vie, à la foi, à l’espoir, et à l’amour. Capter la joie illumine notre cœur avec la même intensité. C’est aussi magnifique que de voir une fleur éclore dans la rosée du matin.

    L’Univers me Traitera Bien

    « Le passé détient les clés du présent.

    Chaque chapitre de l’évolution…

    laisse ses traces sur les chapitres suivants. »

    Hubert Reeves

    Un matin, je me suis réveillée convaincue que l’univers me traiterait bien, que les fleurs embaumeraient mon jardin, que le soleil brillerait derrière le rideau de pluie furieusement ballotté par le vent, qu’il n’y aurait en ce jour ni malheurs, ni souffrances, ni regrets, que tout le monde serait heureux et bien dans sa peau. Et puis soudain, le téléphone a sonné et j’ai enfin reçu la nouvelle que j’attendais, la nouvelle que

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