Metal Tod: Les Condottieres, #6

Par Franz Savigny

Astrid et Pierre, les deux héros principaux des Condottieres (une unité de forces spéciales ultra-secrète au service de la république) décident de se voter une petite pause.

 

Et comme ils ne font rien comme tout le monde, ils décident de partir au… Mexique !

 

Tu parles d'un endroit peinard…

 

Au début, ça se passe bien, et puis Astrid, belle comme le jour, mais avec un caractère de cochon épouvantable, décide de jouer la justicière.

 

Et c'est à ce moment-là que les choses vont partir en sucettes…

 

Affronter des bandes de narcos, faut vraiment avoir envie…

 

 

T'en as pas marre des thrillers avec une intrigue un peu bidon, des tueurs en série super-machiavéliques pas crédibles pour un sou ?

 

Tu n'en peux plus des flics picoleurs divorcés qui chialent sous la pluie ? Des villes de province et de leurs notables corrompus ?

 

Des quartiers de Paris ou de New York peuplés seulement de dealers, de racailles et de prostituées ?

 

T'as envie d'autre chose ?

 

De pays lointains, de technologie récente, d'humour et de panache ? Eh ben t'es à la bonne adresse. Dans cette série, tu vas découvrir déjà une fameuse équipe :

 

--) Pierre Dumont, ex-officier de gendarmerie, major de Saint-Cyr, viré pour avoir simplement voulu faire son boulot, malgré l'avis négatif de la femme du Président…

 

--) Astrid de Jumièges, sans doute la véritable héroïne de ce roman : ancienne des Forces Spéciales françaises, super-canon mégatop blonde, avec un passé pas folichon, spécialiste de l'action et des armes, parce que t'as pas besoin d'être moche pour savoir te défendre et sauver la veuve et l'orphelin…

 

--) Kevin Duglandu (oui, je sais, son nom, ça craint, mais on choisit pas toujours dans la vie…), ancien militaire du COS, spécialiste darkweb…

 

À tous les trois, ils forment Les Condottieres, une unité privée ultra-secrète, qui va remettre les pendules à l'heure partout où l'armée française ne peut pas, ou ne veut pas, mettre les pieds.

 

T'as intérêt à mettre ta ceinture : ça va à cent à l'heure, t'as à peine fini de te remettre de tes émotions que ça redémarre, en-veux-tu en-voilà, avec un style qui va t'en mettre plein la vue.

 

On est loin des narrations bidons et des phrases de rédaction fin de troisième : ça pétille, ça brûle, ça séduit, ça gueule et ça bastonne.

 

C'est sûr que si tu cherches une gentille histoire pour accompagner ta tisane, ça va pas le faire…

 

C'est le sixième volume de la saison 1. Mais tous les romans de la série peuvent se lire indépendamment du reste.

 

 

• Langue: Français
• Éditeur: Franz Savigny
• Date de sortie: 12 nov. 2021
• ISBN: 9798201611002

Aperçu du livre

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À tous les combattants de la vraie liberté... officeArt object

CE LIVRE EST UNE FICTION. Les personnages et les situations de ce récit étant purement imaginaires, toute ressemblance avec des individus ou des évènements existants ou ayant existé ne saurait être que fortuite. Toutes les informations techniques proviennent de sources librement consultables en ligne ou sur papier. officeArt object

T'en as pas marre des thrillers avec une intrigue un peu bidon, des tueurs en série super-machiavéliques pas crédibles pour un sou ?

Tu n'en peux plus des flics picoleurs divorcés qui chialent sous la pluie ? Des villes de province et de leurs notables corrompus ?

Des quartiers de Paris ou de New York peuplés seulement de dealers, de racailles et de prostituées ?

T'as envie d'autre chose ?

De pays lointains, de technologie récente, d'humour et de panache ? Eh ben t'es à la bonne adresse. Dans cette série, tu vas découvrir déjà une fameuse équipe :

—) Pierre Dumont, ex-officier de gendarmerie, major de Saint-Cyr, viré pour avoir simplement voulu faire son boulot, malgré l'avis négatif de la femme du Président...

—) Astrid de Jumièges, sans doute la véritable héroïne de ce roman : ancienne des Forces Spéciales françaises, super-canon mégatop blonde, avec un passé pas folichon, spécialiste de l'action et des armes, parce que t'as pas besoin d'être moche pour savoir te défendre et sauver la veuve et l'orphelin...

—) Kevin Duglandu (oui, je sais, son nom, ça craint, mais on choisit pas toujours dans la vie...), ancien militaire du COS, spécialiste darkweb...

À tous les trois, ils forment Les Condottieres, une unité privée ultra-secrète, qui va remettre les pendules à l'heure partout où l'armée française ne peut pas, ou ne veut pas, mettre les pieds.

T'as intérêt à mettre ta ceinture : ça va à cent à l'heure, t'as à peine fini de te remettre de tes émotions que ça redémarre, en-veux-tu en-voilà, avec un style qui va t'en mettre plein la vue.

On est loin des narrations bidons et des phrases de rédaction fin de troisième : ça pétille, ça brûle, ça séduit, ça gueule et ça bastonne.

C'est sûr que si tu cherches une gentille histoire pour accompagner ta tisane, ça va pas le faire...

C'est le sixième volume de la saison 1. Mais tous les romans de la série peuvent se lire indépendamment du reste.

C'est pour toi si tu aimes les ingrédients suivants :

—) les thrillers d'espionnage et politiques

—) les romans policiers et les polars, avec des méchants que l'on pourchasse (et où les flics sont remplacés par des militaires)

—) le suspense !!!

—) les forces spéciales...

—) et l'humour ! (pas toujours très fin, mais bien poilant).

1

Ouah, que calor dans ce bled ! Tu veux savoir où on se prélasse, la miss et moi ? À Acapulco. Ouais, tu as bien lu, Acapulco, au Mexique, la vraie carte postale de folie.

Tu te souviens que dans le dernier volume de nos aventures (Chaos Kommando, que je ne peux que te recommander si tu ne l'as pas encore dévoré...) Astrid délirait totale avec sa nouvelle fixette, le Mexique. Je ne sais pas pourquoi ce subit attrait pour le pays des tacos et des narcos, sans doute une overdose de conneries sur Netflix, bref, elle ne me lâche pas, et moi, finalement, je suis tellement raide dingue d'elle que j'ai craqué, j'ai signé les yeux fermés et nous voilà dans la patrie des sombreros et des enchiladas.

C'est certain que ça nous change de Versailles... Surtout dans notre hôtel cinq étoiles (on ne se refuse rien), c'est un festival de vieux Américains gâteux en shorts et de naïades mega-boobsées t'en crois pas tes yeux. Tu oscilles en permanence entre immondes sourires refaits et bombasses fluo.

Moi, je m'en tape, Astrid suffit à mes rêves, fantasmes et bonheur, mais je vois certains quadras égarés dans notre rade qui écarquillent les mirettes à s'en choper une conjonctivite forever.

Ça fait du bien les vacances, après tout. D'origine, je suis plutôt casanier, j'aime bien la routine du quotidien, pas besoin de découvrir sans cesse de nouveaux trucs ou d’autres humains. Mais là, avec le plein cagnard, le babil de ma muse, la bouffe et la picole à volonté (sans compter nos séances canailles), on frôle le nirvana, la félicité, je ne me préoccupe de rien.

Notre bon vieux commandant Bernicle apprécie pas trop qu'on se barre à des milliers de bornes de la casa, genre s'il doit faire appel à nous dans les deux heures pour sauver le monde.

Mais tu commences à connaître Astrid, quand elle a un truc dans le citron, bon courage pour la dissuader. Le pauvre homme a jeté l'éponge fissa afin de retrouver la paix.

Astrid veut se perfectionner en plongeon. Ça tombe bien, ici tu peux te balancer du haut des falaises, c'est un peu une spécialité locale, je suis sûr que t'as déjà vu ce truc à la téloche ou dans les films.

En attendant, tous les matins, elle enfile son maillot une pièce et se tape une dizaine de sauts avec un prof particulier.

Pendant ce temps-là, je lis la presse internationale pas très loin, dans une chaise longue.

Puis, elle revient vers moi, épuisée, fabuleuse, épanouie, avec son sourire nordique qui t'arrache le slip et brise ton cœur en mille morceaux.

Je lui tends sa serviette, et elle s’étend près de moi.

― Alors, comment c'était ?

― De mieux en mieux.

― Mais encore ?

―