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K.I.K.Y. Aventures - Tome 3: Roman d'aventures
K.I.K.Y. Aventures - Tome 3: Roman d'aventures
K.I.K.Y. Aventures - Tome 3: Roman d'aventures
Livre électronique783 pages11 heures

K.I.K.Y. Aventures - Tome 3: Roman d'aventures

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À propos de ce livre électronique

L'aventure continue pour ces quatre frères et soeurs différents des autres...

Vous êtes des anges d’avoir pu lire les deux premiers bouquins ! Je sais maintenant que la fin va vous plaire ! Si vous saviez le plaisir que j’ai de penser qu’un vieillard de mon âge ait pu vous intéresser de si longues heures ! Sachez qu’à 24 jours des 93 ans je suis fier d’être encore là avec vous !
Faites bien attention à vous. Ne tentez pas de déraciner les arbres qui sont aux bords des routes. Ils ne sont là que pour donner de l’ombre ! Et non pas pour faire des cercueils !

Observez la nature !
Prenez le temps de penser !
Et si un jour vous doutez de vous ?
Pensez à ce que disait en chanson Jean Ferrat ?
Que la montagne est belle ! Un vol d’hirondelles et le printemps est arrivé !

Et dire qu’un jour proche sans doute, après un si long séjour sur notre planète. Il va nous falloir quitter votre compagnie !

Encore merci ????


Découvrez le troisième tome de ce roman d'aventures palpitant mêlant relations fraternelles et pouvoirs paranormaux !

À PROPOS DE L'AUTEUR

Florent Le Guyader - Que dire de ce nouvel auteur : qu’il a quatre-vingt-douze ans! Qu’il a toujours aimé apprendre ?
En mille neuf cent quarante il avait treize ans. La guerre un certificat d’études, trop jeune pour travailler. Un an en plus d’études ! Menuisier ! Intérimaire ! Sapeur au génie ! peintre ! Agent d’assurance ! Docker ! Représentant ! Poissonnier ! Pour finir une vie de labeur ! Ramoneur !
Des hobbys, la pêche, le bricolage, monter des toiles, les peindre, et le dernier écrire ? En espérant vous avoir fait passer un bon moment. Merci de votre compréhension !
LangueFrançais
ÉditeurPublishroom
Date de sortie25 nov. 2020
ISBN9791023617191
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    Aperçu du livre

    K.I.K.Y. Aventures - Tome 3 - Florent Le Guyader

    LEGUYADER-Kiky-T3-COUV-recto.jpg

    Florent Le Guyader

    K.I.K.Y...

    tome 3

    Ecrire est une prétention !

    Si c’est pour vous relire l’effort est minime !

    Si c’est pour faire connaitre vos sentiments auprès d’une personne aimée ? Plus élaboré et plus intime !

    Si en plus vous avez la pédanterie d’intéresser des lecteurs cela devient une acrobatie.

    Un vieil ordinateur en 2007.

    Un homme né en 1927

    Une envie de s’amuser en essayant de réapprendre l’écriture !

    Un couple ! Un drame ! Une fratrie ! Une disparition momentanée ! Un retour surprenant !

    C’est l’histoire d’une fratrie

    A l’âge de deux ans ils ont vus leurs parents partir en fumée.

    A trois ans ils disparaissent quarante-huit heures, commencent les découvertes ? Un fou évadé de l’hôpital, un voleur de voitures, un pédophile, deux braqueurs de banque, à leur contact décèdent d’arrêts cardiaques. Pourquoi ?????

    Nous personnages imaginés avons horreur des gens qui tuent pour le plaisir ou l’argent.

    Nous aimons tous quatre qu’ils se fassent plutôt hara-kiri.

    C’est un moyen plus pratique évitant le problème d’encombrement des prisons.

    A Salon de Provence

    Réunion de gens qui avaient une chance

    sur dix mille de se rencontrer ?

    Samedi ! Onze heures le soleil est là. Tout les acteurs de ce cour intermède ont étés prévenus. C’est la fête pour tout le monde Christine avec les sept filles libérées ! Sa bande d’amis, Julie ! Martine ! Françoise ! Sylvie ! Jules ! André ! Francis ! Robert ! Fabien ! Aussi ! Les grands-parents ont invités, Maurice champion des ondes ! Sophie la maquilleuse ! Mireille l’habilleuse ! Sont de la fête. L’équipe de rugby est au complet !

    Nôtre kidnappée héroïne, est rayonnante. Ayant éliminé les effets de la drogue.

    –Heureusement que je vous ai connue. J’étais déshonorée ! Vous m’avez sauvée. Sans vous j’étais mal barrée. Ils m’avaient tendu un traquenard ! La rencontre en ville d’un Adonis un début d‘après midi il m’avait invitée à prendre un verre. J’ai choisie ma boisson ! Comme toutes les femmes rencontrant pour la première fois un homme plaisant, je me suis rendu aux toilettes. Au retour nos verres étaient sur la table nous avons trinqués, discutés deux minutes ! Ensuite plus rien ne subsiste dans ma mémoire.

    –Ils vous ont droguée. La drogue des violeurs.

    –Yvan ! Ce n’était pas pour cela ?

    –Non ! Ce n’était pas que pour cela ! Christine nous avons eu l’occasion de discuter avec le patron ! Le maître ! Le tas de graisse ! Et cela en privé ! Avant qu’il ne se noie en se remplissant le ventre de sa drogue mélangée à l’eau de ta piscine !

    –Irénée ! Pourquoi parler de ma piscine ? Je ne me souviens de rien.

    –Christine ! Ils t’avaient piqué ta baraque, pour l’hélicoptère elle avait une importance énorme, l’espace devant les anciens bâtiments servait de piste d’envol ! Les bâtiments comme entrepôts de drogue ! Qui serait venu voir dans la propriété d’une gradée de l’aviation ? En plus ta crèche est isolée en campagne ! Et enfin sa surface qui leurs permettait d’entreposer les filles qui croyaient au Père-Noël !

    –Se sont-elles qui sont là. Yvan ?

    –Oui ! Se sont-elles ! Elles ont eu chaud ! Où plutôt auraient eu chaud ! Si ? Tu ne t’étais souvenu d’un certain Kévin ! Nous n’avons toujours pas compris comment droguée tu as pu te souvenir de son numéro ?

    –Ne cherche pas Katêle ! Je me souviens ! Je l’avais noté en mémoire sur le portable le jour que votre départ avec le général. Je me souviens que Kévin m’avait invité. En me disant ! Si un jour tu viens par chez nous ! Par réflexe j’ai du appuyer dessus. C’était quel jour ?

    –Le lundi dernier, nous sommes aujourd’hui jeudi.

    –En effet Kévin ! Je me suis fait draguée samedi en début d’après midi ! Je ne reprenais mon service qu’a quinze heures.

    –Voilà un point éclairci Christine ! Tu ne te souviens de rien ils t’ont fait pourtant bosser, ta mémoire était suffisante pour leurs distribué des conseils de pilotage de nuit avec un hélicoptère.

    –Rien n’est resté dans ma mémoire Yvan ! C’est effarent de faire des choses réelles sans souvenirs ! Les filles à qui ça arrive d’être violées. Je les plains elles doivent avoir du mal à comprendre ! Ensuite ? Yvan. Qu‘ont-ils fait.

    –Ensuite et bien ils ont accaparés ta propriété entreposés de la drogue ! Des armes ! Parqués les filles avec trois gardes accompagnés de gros clébards. Leur hélicoptère avait trouvé sa place dans l’ancienne ferme.

    –Mais si j’étais revenue ? Katêle ! Ou mes chefs ! S’ils avaient fait une descente ! Comment auraient-ils fait ?

    –Ils avaient prévu Christine ! Ils ont ! Non ? Ils t’ont fait téléphoner à la base, pour demander d’être mise en disponibilité ! Ainsi que de préparer ta retraite anticipée ! Ils étaient couverts.

    –Mais Kévin ! Ce n’est pas possible de faire des choses pareilles. En plus sans mon consentement.

    –J’ai téléphoné à ta base. Pourtant c’est exactement ce que tu as demandé ! Christine ? Veux-tu ? Essaye prends ton téléphone appelle la base.

    D’apprendre sa demande de radiation de l’armée, Christine est catastrophée déconnectée !

    –Que vais-je faire ? Kévin ! Je n’ai que cela pour vivre ! J’aime ce travail ?

    –Ne panique pas Christine ! Kévin ne t’a pas dit que nous avions contactés notre ange gardien ! Oui ! Celui qui t’avais accordé ce petit galon de commandant.

    –Qu’a t’il dit Irénée ! Tu parles du général ! Dit moi ! Si j’ai signé des papiers officiels c’est râpé ! Je suis foutue !

    Heureusement j‘ai le bien de mes parents.

    –Accroches toi aux branches Christine ! Nous n’avons pas tout dit.

    –Tu ne vas pas faire l’oiseau de mauvais augure Kévin ! Pas toi ?

    –Il faut que tu saches tout. Nous ne savons pas comment mais ils avaient trouvés le moyen de vendre tes biens. Pas à n’importe-qui ? Au sous-préfet de la région, il en était jusqu’à ce matin légalement propriétaire de tes biens.

    –Pourquoi dis-tu était ! Yvan ! Si je comprends bien ta phrase. Il ne serait plus ? L’aurait-il cédé à d’autres personnes. N’ayant plus la jouissance de ma maison.

    –Christine ! Non !

    Juste à ce moment la commissaire passe en courant !

    –Sylvie ? Pourquoi coures-tu aussi vite ! Le feu est dans la baraque.

    –Yvan ! Ne m’en parle pas ? Je viens de recevoir un coup de fil de la brigade, il nous arrive un autre emmerdement ! Notre sous-préfet ! Tiens je te le donne en mille ? Devine !

    –Sylvie deux secondes de réflexion, il serait partit pour l’Arctique ?

    –Irénée non ! Il viendrait de se suicider. Se foutre en l’air ce con avec toutes les emmerdes que nous avons ! Il est dingue.

    –Sylvie ! Il était dingue ? Explique-nous ? Comment a-t-il fait ! Se foutre en l’air ? En se mettant une fusée dans le cul. Serait-il partit sur la lune ? Ce n’est pas grave ! Ce n’est une grosse perte. Il va redescendre.

    –Yvan ! Tu rigoles ? Redescendre ? Il ne le peut il est allongé. Avec un trou d’une cartouche de quarante cinq millimètres dans la tempe ! Il est descendu aux enfers ! Il paraîtrait que les enquêteurs en entrant chez lui. Ils ont trouvés une confession sur un imprimé officiel signé, donnant des détails accablants de manigances avec la pègre. Ce qui explique son geste désespéré ! Il faut que j’aille !

    Les ondes se remettent au boulot !

    (Vous aviez vu un pétard dans son bureau les filles ? Vous auriez pu me dire. J’aurais laissé le cordon dans le tiroir de la cuisine)

    (Yvan ! Niet ! Pas de pétard. Nous avons pourtant par sécurité regardé s’il y avait un double fond aux tiroirs ! Pour moi ! Ce Jocrisse avait du le planquer sous l’oreiller ! Quel idiot mettre du sang partout)

    –Si c’est afin de le ranimer ! Ou ? Constater son décès ! Il vaudrait mieux dire à Françoise de t’accompagner

    –Tu trouves le moyen de blaguer Katêle ! C’est quand même une personne représentative de la loi.

    –Etant soit disant le propriétaire de la maison de Christine. Tes opinons sont les même.

    –Yvan trois fois merde ! Excuse-moi ! J’avais complètement oublié ce document que vous avez trouvé là-bas. Tu as bien fait de ranimer la flamme de ma mémoire. Pour lui mes hommes suffisent. Je reste avec vous. Mais j’y pense ! Yvan vous avez été vous balader ? Ne serait-ce pas vous qui l’auriez ?

    –Sylvie s’il nous faut un papier signé pour sortir, comment allons-nous faire.

    –Commissaire si je comprends bien ! Changement de programme pour Christine ? Si le faux propriétaire à signé un faux document ! Le n’y a plus d’autre propriétaire que toi. Amie s’il te plait arrête de réfléchir ! Pour pouvoir profiter de la présence de tes amis pour être heureuse. Ce sera une journée formidable. Tu es la reine de la fête.

    –Merci Kévin ! Je ne pourrai jamais oublier ce que vous avez fait pour moi ! Merci encore à vous quatre ! Vous êtes des anges.

    Les ondes télépathiques très courtes s’entrechoquent.

    (Kévin ! Dit le sage de la fratrie ! De combien de corps de disparus ! Les anges sont-ils cette fois encore responsable ? Comment sont les démons dans la liturgie ?)

    (Le compte final ! Irénée ! Arrêté à douze. Avec ce dernier nous avons rarement fait mieux ! Le général va être content son boulot simplifié ! Réintégration de notre commandant assurée)

    Il se passa quelque chose que les personnes présentes ont remarquées, croyant à une mise en scène d’un ou plusieurs des invités, deux hommes déguisés en laquais du siècle dernier, portant un rouleau énorme sur un charriot. Ils s’arrêtèrent à la porte du restaurant, défirent l’enveloppe en tissu, et déroulèrent un long tapis rouge de l’entrée au milieu de la salle.

    C’est enfin la loi

    Sans la foi

    Qui fait

    La fête

    Ils sont tous réunis dans la salle de l’ancien cabaret. A ce moment de l’histoire un orateur de poids ? Non ! L’orateur n’est pas monté sur une chaise. Elle ne supporterait pas son poids ! Mais campé sur ses jambes. Marcel ancienne terreur du vieux train. Ancien chauffeur de maître. Garde du corps des truands ! Maintenant associé gérant du restaurant ! Grand adorateur amoureux de Katêle. En monsieur loyal ! A entrepris afin de mettre de l’ambiance ! De narrer l’histoire de sa reconversion.

    –Mes nouveaux amis ! J’étais accompagné de ma bande de six Bancroches ! J’étais le roi de ses Rastaquouères. Jusqu’à ce jour je faisais la loi comme souvent par désœuvrement et afin de nous amuser avec des Béjaunes. Nous étions montés ce jour là dans notre train préféré. Ce samedi après-midi mon petit demi frère avec deux copains nous avait quitté pour draguer dans les wagons de la tête du convoie. Je me fais une joie de narrer cet épisode de ma triste vie. Ceci afin que les grands parents de nos reines du jour. Sachent pourquoi tous les hommes qu’elles rencontrent tombent amoureux d’elles. J’adore une de ses déesses blondes et en ce jour je mets ma vie entre ses mains.

    –Petit Valétudinaire ! Abrège un peu ton laïus. Il y a des gens qui vont s’endormir.

    –Que Veux-tu insinuer par Valétudinaire mon prince ! Oui j’emploie un titre. Ce qualificatif n’est pas exactement employé. Ceux qui ont la chance de faire partit de ses amis le nomme ? Zut ! Le terme a quitté ma mémoire !

    –C’est le corsaire ! Marcel ! et le mot employé veut dire un chétif ! Il faudrait que tu fasses des progrès de mémoire. Si tu veux rester à ma cour.

    –Merci princesse ! J’étais dans le wagon j’allais réprimander une fille qui soit disant avait avec l’aide d’un galant avait osé gifler mon frère.

    –Il était dans les pomme ton frangin. Il avait pris une tourniole du baraqué. Celui-ci se trouvait assis dans le wagon de ma frangine.

    –Sois gentil ? Yvan ! Laisse Marcel raconter son histoire autrement pour se venger, il bouffera tout les dessers. C’est un gourmand !

    –Je disais donc que le chevalier servant de la princesse allait m’affronter de ses poings. Soudain ! Une voix de petite fille attardée m’a traitée de tous les noms d’animaux minuscules comme hippopotame. Eléphant. Et bien d’autres. Je sentais soit disant mauvais. Bref ! Elle a réussi à me mettre en pétard. Je m’apprêtais à la gifler gentiment.

    –Tu rigoles Marcel ! Mamie regarde ses battoirs ! Sa patte de velours couvrirait cinq des tiennes !

    –Irénée laisse parler Marcel il est gentil ce jeune homme.

    –Merci madame ! Vous dites que c’est Irénée qui a parlé comment faites vous pour les reconnaître aussi facilement. Enfin je reconnais que j’avais levé la main sur elle et bien croyez moi je n’ai rien vu venir, c’est la divine qui m’a prévenu que ma main était percée de part en part qu’elle l’avait fait avec un doigt, j’avais des doutes sur ce qu’elle disait. Voyant mon incertitude elle a eu la gentillesse de me prévenir que mes bijoux de famille allaient exploser.

    –Katêle ! Est-ce vrais ce que dit André.

    –Mais non mamie ! Je n’ai pas dit explosé ! Seulement qu’ils seraient indisponibles pour un moment. Tu sais mamie que Marcel est un brodeur.

    –Mamie assise à coté du mastodonte. Voyant la taille impressionnante ! Il fait deux mètres dix de haut une masse de muscle de cent vingt kilos. Elle à de la peine à croire que sa petite fille à la voix de fausset ait put battre un athlète de cet acabit. Pourtant ! Les détails décri par celui-ci la cicatrice de sa main transpercée par le doigt de Katêle sans oublier les conseils qu’elle lui donnait avant chaque coup font rougir mamie. En entendant la voix du colosse. Elle se dit que le raconteur abusant de son vocabulaire de loubard ajoute ses mots à lui.

    –Mamie votre petite fille n’avait pas dit ce mot, je le retire. Mon récit finit par la perte de trois dents que je n’ai d’ailleurs jamais retrouvées.

    –Un grand silence à la fin du récit ! Yvan en catimini c’est approché de notre narrateur il lui chuchote a l’oreille.

    –Mamie ne te croit pas attends un moment je vais prévenir ma sœur tu choisis un moment où ma sœur se lève ! Tu te jettes dans ses bras ! Ne te casse pas la tête je la préviens.

    Marcel est assis il déguste la moitié d’un gigot d’agneau il guette le moment propice. Croit ce moment arrivé ! Se lève ! S’élance ! Croyant aller vers sa fée. Arrivé à deux mètres d’Irénée ! Saute à pieds joints s’élève à cinquante centimètres du sol.

    –Messieurs dames tenez bien vos verres le sol va trembler !

    –Irénée ! Surprise ! N’a pas compris la combine de son frère. Elle n’ouvre pas les bras. Cent vingt kilos ! Même sur du carrelage ça fait du bruit ! Marcel est dépité de se trouver étalé.

    Soudain ! Partit du néant ! Éclatant dans tous les azimuts ! Du sans doute ! A la résonance de la salle ! Un rire ! Est-ce un rire ? Cet éclat énorme qui vient d’éclater. Un roulement de batterie ? Une grosse caisse ? Le rire n’en finit plus. Le silence après la chute des cent vingt kilos a été pulvérisé.

    Ce rire étranger vient d’une forme humaine sur un cheval blanc, qui se trouve dans l’ombre de l’entrée. Qui pourrait oser troubler cette réunion de nouveaux amis.

    Tous les regards sont braqués. Dans l‘ombre un invité ! Et quel invité ! Incroyable ? Que personne ne l‘ai vu entrer. L’intermède d’André notre acrobate a servit à camoufler cette intrusion !

    Le personnage qui vient de descendre de cheval, est comme un personnage de légendes ! Il se tient un moment immobile campé les jambes écartées. Et le cavalier de noir vêtu tenant par la bride son cheval blanc avança sur le tapis rouge jusqu’à hauteur de madame Kérraudrin ! Il porte sur le crane un énorme sombrero lui dissimulant le haut du visage qui est mat, il porte un collier de barbe noire et des moustaches de conquérant.

    Une de femmes.

    –C’est quoi ce mec ? Jules ! Tu l’aurais inventé ?

    Les ondes s’entrecroisent !

    (Yvan ? Ne serait-ce pas dans tes cordes de trouver un Zorro ! Afin de ramasser le Marcel !)

    (Katêle ? Ne serait-ce ? Le conquistador à Papy !)

    (Yvan ! Il me semble que tu as deviné juste ! C’est notre pirate celui que papy a bouché le trou de balle ! Le Sanchez Piétros ?)

    (Bravo les filles ! Chapeau à toi corsaire ! Il est très fort le mec il ne manque pas d’air ! Il faut admettre que papy choisissait ses patients blessés par balle)

    (C’est un trou de balle qui valait le coup de rafistoler)

    Décrivant le personnage de légende, qui porte sur les épaules ! Une cape ! Un bleu comme celui d’un océan un soir d’été. Le revers de cette cape ! D’un rouge sang ! Une chemise blanche à jabot un gilet jaune avec le barrant sur sa largeur des grosses chaînes en or. Aux pieds l’apparition porte des bottes noires ! Fixés aux pieds des étriers avec molette crantées ! Le pantalon noir d’une largeur démesurée sur les bottes ! Des médailles sur les plis du pantalon elles étincellent dans la lumière ! Tenant de la main gauche couverte d’un gant de cuir noir une rêne de cuir noir. En bout de ces tresses de cuir blanches vient le cheval blanc paré d’une selle de cuir avec de gros clous dorés, les étriers brillent ainsi que tout son harnachement.

    Quel silence dans cette salle où il y a quelques secondes éclatait ce rire énorme. Papy vient de se lever en prenant au passage la main de son épouse ils se rendent au devant du conquistador.

    –Piétros ? Merci ? Mon ami tu es venu. Tu es là. Notre plaisir est immense. Ton entré improvisée. Réussie ! Quelle heureuse surprise.

    –Saint pierre j’ai enfin le plaisir d’offrir ce cheval blanc à celle qui t’accompagne depuis de nombreuses années et dont tu me vantais les mérites !

    En parlant Piétros à pris dans ses bras Odette pour l’embrasser. En même temps lui remettant dans les mains les rênes du cheval.

    –Madame Odette me ferez-vous l’honneur d’accepter mon premier cadeau.

    Mamie se tient au coté de son mari ! Elle a fait un pas ! Et prenant Sanchez par le cou elle l‘embrasse.

    –Monsieur Christ ! Pardon monsieur Sanchez ! Je suis impardonnable. Je ne parle pas votre langue mais je la comprends ! Je suis heureuse que vous soyez des nôtres !

    –Madame vous me voyez comblé de tant d’attentions de votre part ! Le plus surpris ! C’est votre serviteur ! J’entre dans votre fête sans être invité ! Je suis reçu comme un hôte de marque ! Je suis confus.

    Papy ainsi que le nouvel arrivant ont parlé dans la langue de Sanchez. Ils sont trois debout au milieu de la salle.

    Toute l’assemblée debout applaudit ! La fratrie se tenant la main se dirige vers le groupe et s’incline. Katêle en espagnol.

    –Seigneur quelle surprise ! Au rire tonitruant ne seriez-vous pas par hasard l’homme qui un jour fut percé d’un trou de balle ? Et rafistolé par notre papy ?

    Devant la surprise du Cavalieros !

    –Prince ! Ayez l’obligeance d’accepter les excuses d’une petite-fille de celui qui vous a recousu ! Dorénavant considéré que je suis là pour vous servir. Je vais avoir le privilège de vous présenter les membres du clan par rang d’âge ! Voici Kévin ! Le plus vieux il est celui qui tourne dix sept fois la langue dans sa bouche avant de parler ! La princesse Irénée, qui soit disant à une petite ressemblance avec votre laquaise ! Enfin celui qu’il faudrait créer s’il n’était déjà là ! Le meilleur celui que nous ne pouvons remplacer. Le bricoleur corsaire ménestrel troubadour ! Yvan le grand !

    –Prince de la mer ? Celle qui à cause de sa beauté, ne peut faire un pas sans accrocher le cœur des hommes ! À son actif elle à fait autant de victimes que vous avez de médailles cousues à votre pantalon ! Elle se nomme Katêle ! Son principal défaut ne pas aimer parler ! Ayant plusieurs fois entendu nos grands parents faire de vous l’éloge et voir qu’ils portaient à votre personne autant d‘admiration ! La fratrie a décidée d’un commun accord de vous nommer ? Tonton Christobal !

    –Yvan ! Tu n’aurais pas du le lui dire aussi vite. Notre tonton est décontenancé ! Et sa surprise est telle de nous découvrir tel que nous sommes ! Qu’il ne sait plus quoi dire ! Regarde Yvan tu as coupé le sifflet de tonton Christobal le pirate.

    Le début de ce rire particulier ! Démarre en sourdine, comme une entrée de batterie ! Puis les grosses caisses, ont amplifiées le son pour devenir ! Le grondement d’une caravane de chevaux sortant de nulle part ! La puissance du son a croulé ? Ensuite venant de loin il a roulé ! Comme un orage. Et soudain comme les sons d’une dizaine de contrebasses ! Il a éclaté, le rire tonitruant a fait comme un feu d’artifice ! Se terminant de gerbes de roucoulades ! Le cavalier les joues inondées de pleurs ! Laisse éclater sa joie ! Pour se mortifier. Il se tape le ventre !

    –Mon ? Saint-Pierre mille excuses de ne pas avoir compris ton embarras devant ma bêtise ! Tu me parlais de petits enfants ! Se sont des lustres de lumière divine ! Ils sont inqualifiables tes petits.

    –Piétros ! Ce n’est peut-être pas le juste mot ! Mais serait-il inconvenant de te demander de nous parler en Français. Pour que tous les convives te comprennent !

    –Mais Saint-Pierre ! Katêle et Yvan parlent l’Espagnol mieux que moi ! C’est la raison pour la qu’elle j’ai continué à pérorer dans cette langue. Messieurs dames je vous prie de vouloir bien excuser. Ce manque de civilités pour ceux qui n‘auraient pas compris !

    –Tonton Christobal nous avons une interprète qui au fur et mesure de votre péroraison à traduit notre conversation ! Il me semble prince pirate que vous avez eu le plaisir de connaitre notre commissaire Sylvie.

    –Serait-ce ce policier qui avait la charge des femmes disparues.

    –Bonjours ! Piétros me reconnaissez-vous ?

    –Oui ! Sylvie ! Attendez ! Oui c’est ça ! Commissaire de police mais si vous êtes là pour m’arrêter. Je vous demande la permission de déjeuner avant de me conduire en cellule !

    –Sir ! Votre plumage n’est rien en comparaison de votre langage ! Mais serait-ce trop vous demander si vous avez dans votre besace le don d’avoir le même vocabulaire dans toutes les occasions de votre vie ! Ou êtes-vous un Caméléon moderne ?

    –Madame ? Voudriez-vous parlez de cet animal qui a l’avantage de changer de couleur. Le savez-vous ? Qu’il a un autre atout et non des moindre. Que nous les hommes. N’avons pas ?

    –Signor ! Piétros ! Voudriez-vous parler de cet attribut qui chez lui repousse ! La cause serait-elle que vous auriez perdu quelque chose !

    –Commissaire vous me prenez la main dans le sac ! Mais croyez chère madame, qu’il me serait facile vu votre beauté de vous prouver le contraire ! Mais trêve de baliverne ! A vous voir aussi heureuse et décontractée commissaire ! Auriez-vous réussi à boucler votre enquête ?

    –Oui Piétros ! Et je vais demander aux sept femmes libérées de s’incliner ! Car vous avez apporté votre pierre à notre réussite ! Encore merci !

    Le fauteuil à dossier qui fût placé en bout de table reçu le Caballero porté en triomphe. Piétros a les yeux brillants, il est ému de cet accueil ! Le rire encore lui sert d’échappatoire, il renaît pour la troisième fois !

    –Tonton Christobal ! Avez-vous déposé un brevet pour cet intermède bruyant ! Ou Est-ce une marque Bolivienne ?

    Sur cette répartie de Katêle ! Notre ôte a faillit mourir étouffé par son morceau de dinde.

    –Katêle ! Veux-tu voir notre hôte mourir d’asphyxie ! Arrête de l’asticoter ! Il est là ! Autant le garder en bonne santé un certain temps.

    –Merci ! Puis-je vous appeler Odette ! Comme font les gens qui se trouve autour de cette table ?

    –Piétros avec plaisir faites comme nos amis. Arrêtez de dire vous. Tu ! Est tellement plus intime.

    –Odette ! Comment expliquer pour les petits enfants ils seraient des hercules ils m’ont portés à bout de bras comme si je pesais un kilo.

    –Piétros il ne faut pas vouloir tout connaitre en un jour. Si tu as la patience d’attendre ils te l’expliqueront ! Profite du moment présent.

    La fête continue. Le repas terminé. Les tables rangées la musique prend le relais ils ont besoin de détente.

    Applaudissements nourrit à la suite d‘un tango argentin. Le couple qui vient sur la piste de mériter ces acclamations nourries ! N’est autre que le conquistador ! Tenant courbée sur son bras droit mamie les cheveux frôlant le carrelage de la salle.

    –Yvan ! Troubadour toi qui pourfends le cœur des femmes ! Tu ne devrais pas porter Marcel sur tes épaules ! S’il tombait ? Que penserait de nous le tonton qui c’était fait flingué !

    –Quelle tirade princesse ! Vous me feriez rougir ! Si connaissant votre penchant en faveur des hommes grands forts ! zut ! Je suis coincé ne sachant plus terminer.

    –Saint-Pierre y a t’il un domaine où nous pourrions avoir des chances de les surpasser.

    –Cherche Piétros tu as la vie devant toi.

    Seul anicroche de la journée fut ! Beaucoup des joueurs de rugby invités par Jules ! Ne connaissant les quadruplés que par l’histoire de Marcel. Certains ont pensés que le récit de l’ancien truand était un conte récité pour plaire ! Au cours de la soirée la musique la boisson. Les filles sont belles et moins nombreuses que les hommes ! Toujours Est-il qu’Irénée serrée de près par un équipier de Jules. Qui ayant certainement abusé du bon vin veut l’embrasser.

    –Arrêtes Jacques, il y a d’autre fille tu n’es pas mon genre. Sois sage mes grands parents ne seraient pas contents !

    –Pourquoi ! Ne Veux-tu pas, tu ne me trouves pas assez bien pour toi !

    Il récidive de plus belle avec des gestes devenant déplacés ! En plus il a l’ivresse mauvaise ! Elle tente de le repousser le plus délicatement possible ! Voyant qu’il ne veut pas comprendre elle le quitte, le laissant planté en plein milieu de la piste de danse, il se trouve vexé d’être abandonné ainsi ! Il la rattrape c’est un joueur de rugby il fait quand même près de cent kilos. Voulant la reprendre de force dans ses bras. Elle temporise ne voulant pas créer d’histoire mais l’homme se croyant irrésistible se vexe.

    Automatiquement les ondes télépathiques se mettent à gambader dans ce lieu de fêtes !

    (Kévin regardes l’autre chétif il veut bousculer notre frangine ! Il va lui arriver des bricoles attention aux éclats)

    (Nous devrions les séparer qu’en pense notre petite sœur)

    (Non Kévin laisses ! Il va se calmer si vous vous en mêlez. Ça pourrait devenir une bagarre générale)

    (Bougez pas les garçons j’envoie le petit Jules raisonner ce trublion)

    Le couple se trouve à trois ou quatre mètres de la table ou se trouve papy mamie et Piétros Sanchez. La musique couvre les bruits. Jules mandaté par Katêle se dirige vers son ami excité, il se trouve géné par des danseurs. Le balaise au comble de l’énervement fait une chose qu’il ne faut jamais faire avec les sœurs.

    –Je vais te claquer la gueule petite gonzesse prétentieuse !

    La main est levée pour la gifler, il fait dans les un mètre quatre vingt dix ! Planté sur ses guiboles écartées la paluche est partie, la puissance qu’il a mis dans le geste le fait pivoter, pour se trouver face à Irénée souriante.

    Un silence est tombé lourd comme une tonne de plomb.

    –Alors mon gros ! Tu te calmes ou je m’occupe de toi ! J’ai horreur de gros lards comme toi qui pensent faire la loi. Tu ne vois pas clair. Tu es bourré arrêtes tes âneries ! Va te coucher.

    –Parce que c’est toi qui va me donner des ordres, petite gouine.

    Alors là ! Mes amis comme un boulet de canon. Il n’a rien vu venir la gifle lui est arrivée sur la joue. Le claquement sec a retentit celui-ci à couvert la douce musique du tango ! Tous les regards se sont portés dans leur direction.

    Piétros ! Notre colombien chatouilleux ! Capable d’égorger un ennemi reconnaissant Irénée la petite fille de son sauveur ! Se lève brusquement faisant chuter sa chaise ! Papy lui posant la main sur le poignet.

    –Du calme Piétros ! Laisse mon ami ! Regardes ses frères ne bougent pas ! Tu vas comprendre pourquoi ! Toi l’aventurier qui as vu beaucoup de combats de rue assoies-toi ! La suite va t’amuser.

    Les danseurs forment un cercle les convives encore assis à leur table se sont levés. Jules se précipite vers son ami essaye de le calmer l’autre d’un geste rageur le repousse durement. Jules se retrouve sur le derrière dans le milieu de la salle de danse.

    –Tu l’auras voulu pauvre connard !

    Cette voix forte est celle de Marcel qui en taille domine les participants de la fête ! En direction des spectateurs il lance

    –Je vous conseille gentiment de vous tenir tranquilles ! Regardez cet abrutis il va se faire déculotter comme moi écartez-vous vous pourriez recevoir des éclats ! Il va voler le mec ses cent kilos ne pèseront pas lourd. Je connais cette demoiselle. S’il vous plait princesse ne tapez pas trop fort ! Ne l’esquintez pas de trop il a une rencontre demain.

    –Merci Marcel ! Moi c’est Irénée.

    –Notre mastodonte sent une présence à ses cotés qui lui prend la main, en disant.

    –Marcel ! Tu avais tout faut ! Pourtant nous ne nous ressemblons pas regardes son foulard est vert c’est ma grande sœur mon mignon ! Observes elle va lui apprendre au gamin ! Ne serait-ce que se tenir devant les jeunes gamines fragiles. Tu ne voudrais quand même pas être le seul.

    –Princesse ! Jeunes ! Oui ! Fragiles ça reste à voir.

    Le belliqueux outragé la marque des doigts fin imprimée sur sa joue démarre se lançant en direction de celle qui ne veux pas de lui, bêtement il n’a pas regardé devant lui, ily avait un pied ancré dans le carrelage. Il se retrouve étalé de tout son long.

    –Que fais-tu étalé ! C’est une nouvelle danse ! Relève-toi écrase et rentre au bercail cuver ton vin ! Allez viens mon gros.

    Il a pris la main tendue ! En pensant !

    « Je vais l’attirer vers moi ensuite»

    Une petite voix dans son cortex, doucement lui dit.

    « Tu ne fais pas le poids mon bonhomme »

    En effet il s’est senti attiré ensuite il vole ! Pas loin il fait quand même ses quatre vingt dix neuf kilos, ceux-ci finissant en glissade sur le carrelage voyant se rapprocher le mu. C’est un sportif pour amortir le choc se met en boule. Ulcéré dans son orgueil ! Il se relève fonce sur la récalcitrante les bras ramassés plaqués contre lui ! Comme pour un essai sans rien dans les mains plus rien devant lui il bloque ses pieds part en glissade sent une douleur au coté droit il se retrouve couché sur le sol. La voix douce d’Irénée.

    –Jacques c’est marrant tu es plus souvent à plat ventre, que sur tes pieds ! Veux-tu une couverture tu pourrais piquer un roupillon sur place.

    –Je vais ! Je vais te !

    La douleur qu’il avait ressentie revient au galop ! C’est son foi qui a pris un coup en passant ! Il halète un son rauque sort de sa poitrine.

    –Une nouvelle chanson peut-être ! Que Veux-tu dire petit lapin rose ! Prends ton temps pour t’exprimer car tes amis ne comprennent plus, toi l‘invincible tu veux arrêter ! Signer l’armistice faire la paix.

    –Saint-Pierre Dis-moi que je rêve ? Ce n’est pas possible ! Je suis rendu sur une autre planète éclaires moi mon ami.

    –Je te l’avais dit ! Que tu serais surpris ! Il ne faut pas s’en occuper c’est de sa faute au gars tout se remettra en ordre et au moment où ma petite fille décidera. Ce qui ne devrait pas traîner Veux-tu que je lui demande la grâce.

    –Non ! Saint-Pierre ! Ma curiosité me pousse à voir la fin.

    L’homme a lancé son poing vers la figure d’Irénée qui à évité le direct, son petit poing est partit à la rencontre de la large poitrine, au niveau du plexus, la masse de muscles est tombée à genoux avant de s’écrouler sur le sol !

    Genoux en terre baisant la jolie main de la guerrière Piétros ! Déclamant en espagnol.

    –Vous êtes ? Irénée ! Une femme sachant se faire respecter ! Je vous admire demoiselle.

    La belle main qu’il tenait l’a relevé et gentiment.

    Piétros entend dans ses neurones une petite voix qui se faufile, lui parlant dans la langue de Servantes.

    « Tonton, si tu recommences à me vouvoyer, je me fâche avec toi » 

    Pour la énième fois de la soirée le rire tonitruant a éclaté dans cette salle.

    –Saint-Pierre elle m’a parlé dans ma tête ! Comment fait-elle ! Pourrais-tu m’expliquer.

    –Tu sais Piétros ! Que certains animaux sur terre se déplacent tellement vite que le regard de l’homme ne suit pas. Il faut pour comprendre repasser l’image au ralenti pour le discerner un exemple ! Le Lézard gobant une mouche ou un Crotale mordant une proie.

    –Tu veux dire mon sauveur ! Qu’ils font des gestes aussi rapides ?

    –Oui Piétros peut-être plus rapides ! C’est la raison pour la quelle un adversaire ne peut les toucher. Prends un exemple le coup de l’attaquant part, avant qu’il soit amorcé, ils ont déplacés leurs corps.

    –Tu te trompes Saint-Pierre ! Tu dis avant qu’il soit partit le coup ? Comment pourraient-ils ?

    –Tu es trop pressé mon ami ! Il te faudra beaucoup de temps pour analyser ! Ils ont entre autre le pouvoir de lire en nous !

    –Tes petits enfants Saint-Pierre lisent en moi ! Ce n’est pas possible ! Tu racontes des blagues ?

    « Tonton Christobal ! Yvan pour te servir ! Tes pensées en ce moment sont à coté de la plaque ! Laisses-nous une marge de mystère »

    « Katêle ! Tonton ! Je t’embrasse bien fort ! Arrêtes d’avoir des doutes sur ce que te dit le commandant »

    « Il faut te faire une raison Caballero ! Nous sommes ainsi faits ! Il faut prendre le paquet comme il est ! Kévin ! Te salut mon prince »

    –Qu’as-tu mon ami ? Tu parais complètement abasourdi que t’arrives t’il.

    –Réveilles-moi sauveur ! Je panique ! J’entends leurs voix ils m’ont parlés dans la tête crois-tu que ce soit normal ?

    –Ils t’ont adopté s’ils s’intéressent à toi s’est bon signe ! Si tes pensées avaient étés mauvaises ! Tu l’aurais aussitôt ! Ils te l’auraient dévoilé.

    –Entre vous deux les hommes ! Les messes basses sont-elles enfin terminées. Nous sommes là avec vous vous pourriez nous accorder votre attention.

    –Odette ! Je vous demande humblement pardon, je ne suis qu’un malotru me permettant de venir sans prévenir parmi vous ! Vous m’avez accueilli à bras ouverts vraiment je ne sais plus comment faire.

    « Christobal fais la danser ! Mamie aime ! C’est Katêle la plus faible des quatre qui te parle»

    Plus tard ! À l’extérieur de l’établissement une serviette emplie de glaçons sur la tête notre mauvais joueur, revient enfin à lui, il est étalé sur le gazon fraîchement tondu à l’arrière du cabaret.

    Apercevant notre ami Jules accroupis à coté de lui, il lui demande.

    –Jules ! Je suis arrivé comment ici ?

    –Nous t’avons traîné par les pieds ! Tu as pris un coup de poing de première, qui t’a descendu ! Cette raclé tu l’as bien méritée.

    –Je vais l’écraser cette !

    –Jacques un seul conseil ! Tu ne vas rien faire. Tu es un imbécile. Ou ! Plutôt si ! S’il te reste un poil d’intelligence je te conseille pour ta santé pour conserver notre amitié.

    –Que Veux-tu dire ?

    –Tu vas entrer seul dans le cabaret lui dire que tu t’es conduit comme un âne. Lui faire des excuses que ça te plaise ou non.

    –Sinon ?

    –Nous te laisserons seul ! Tu retourneras chez toi.

    –C’est toi Jules un copain ! Qui m’empêchera d’entrer ?

    –Oui mon vieux ! Si tu entrais sans faire d’excuses ! C’est nous qui te démolissons.

    Trop fier pour faire des excuses. Il est partit comme l’âne de la chanson « Brassens » il s’en est parti droit devant ! Il n’aura plus beaucoup d’amis n’étant plus accepté dans l’équipe de rugby il changera de ville. Plus de coupures dans le déroulement des festivités une pause dans les danses les tables accolées entre elles les chansons fusent ! Les blagues racontées font rire la tablée est animée ils sont heureux ! Penché vers Irénée l’homme au sombrero lui murmure !

    –Vous m’avez comblé cette fête restera dans ma mémoire ! Je ne savais pas en venant ici trouver ! Une nouvelle famille vous les filles êtes des sorcières trop belles ! Je ne vais plus pouvoir vivre seul sur cette terre.

    –Tonton Christobal ! Tu es plus souvent sur ton bateau que sur la terre ! Et lui il me semble ne possède pas de roues.

    –Venez me voir sur la mer pour que je puisse vous gâter.

    –Une voix lui susurre en espagnol ! Tonton Zorro ! Tu penses que nous te laisserions embarquer nos sœurs.

    –Kévin ! Je disais ! Vous tous ! Les six ! Il y a de la place à bords.

    –Pas de bol tonton ! Ce n’est qu’Yvan notre corsaire.

    –Comment faites-vous ! Irénée je ne me retrouve plus.

    La fête se terminera tard dans la nuit Jules a réussit à faire dormir à la ferme Piétros. Le matin réuni au petit déjeuner il y a de tout sur les tables, les quadruplés aident Jules encadré par Brigitte ainsi que Sylvie. Soudain apparaît celui arrivé avec son cheval, il a gardé le pantalon ! Avec les bottes et la chemise à jabot. Son regard est attiré par l’hélicoptère. L’Écureuil tout blanc posé les ailes basses dans un écrin de verdure. Il pointe le doigt !

    –C’est quoi cet appareil ! C’est à qui ?

    D’une des fenêtres de là haut, la voix de l’ancien capitaine de la marine !

    –Piétros je t’en ai parlé l’autre jour, et tu as cru a un jouet et bien comme tu le vois il est de grandeur nature.

    –Une petite voix nasillarde s’élève en espagnol.

    –Buenos Dias Tito ! Tu as bien dormi ?

    –Si Gracias ! Pequenine. Como un Lobo ! J’ai une faim d’ogre ! Katêle ! Ce jouet est à vous ?

    –Oui tonton ! Nous l’avons étrenné pour venir, et si tu es sage tu pourras choisir ton pilote. Tu en as quatre pour obéir à tes ordres.

    ***

    Les suites de l’enquête sur la libération des jeunes femmes est surprenantes. Les termes des journaux sont ambigus sur les circonstances de cette hécatombe de morts ?

    ***

    Hebdomadaire de la ville

    La semaine dernière la police trouvait les corps de quatre jeunes femmes défigurées.

    Est-ce une revanche du destin, nous apprenons que grâce à la perspicacité de la commissaire Sylvie Bouvier ! La commissaire ayant persévéré dans son enquête avec une pugnacité hors du commun aurait réussit à déstabiliser les fondations de la pègre de notre ville. Créant de ce fait chez eux une grande fébrilité. Nous avons appris que les principaux acteurs de cette abominable fin de vie des femmes, ont trouvés la mort le même jour. Est-ce le destin ?

    Premièrement un enchainement. Un stupide accident sur une route départementale à la sortie d’une bourgade des environs. Deux automobiles occupées par sept personnes auraient percutées à grande vitesse un pont de pierre. Les deux véhicules incriminés, se seraient enflammées instantanément créant une fournaise, ne laissant aucune chance de survie aux passagers.

    ***

    Ensuite monsieur Mercalli patron d’une boite de nuit ! À voulu faire une sortie campagnarde avec ses deux fils.

    Ils se sont rendus en hélicoptère dans la même commune ou à eu lieu l’accident ! Est-ce pour prier au chevet des amis ? Monsieur Mercalli père, voulant sans doute profiter de la solitude du site, pour méditer la perte de ses amis, est partit marcher en tenant en laisse ses deux chiens. Pendant ce temps les fils sont sans doute partis avec l’appareil volant, faire un tour au dessus d’une grande surface boisée. Que c’est-il passé ? Le jeune des fils aurait-il voulu cueillir des champignons ? Toujours est-il qu’il aurait quitté l’engin volant. Pendant ce temps le chef de clan se promenant aurait été déséquilibré et serait tombé dans une piscine privé, et se serait noyé, et cela à la suite d’attaque de frelons sur les chiens. Ceux-ci redus fous furieux seraient partit vers la forêt, ils auraient tués le benjamin de leur maître. Le fils ainé aux commandes de l’hélicoptère aurait-il voulu secourir son frère ? Aurait-il fait une fausse manœuvre ? Toujours est-il que l’appareil est tombé, s’embrasant et causant le décès du pilote.

    ***

    Les enquêteurs se sont rendu à l’hôtel restaurant, Voir si un des personnages évoluant dans la sphère de Mercalli serait présent. Les lieux étant vides de présence. Dans leurs recherches les policiers ont découvert un document incriminant le sous préfet.

    Afin d’avoir des explications les enquêteurs munis d’un mandat se sont présentés au bureau de l’homme de loi qui était absent ! Les policiers se sont rendus à son domicile ! Ne répondant pas à leur demande, les représentants de la loi ne décelant aucun signe de vie dans l’appartement. Ont demandé au concierge qui muni d’un passe à ouvert. Les enquêteurs y ont fait une découverte macabre ayant retrouvés le sous-préfet sans vie dans sa chambre ! Il se serait suicidé. Sans doute le remord ?

    Les enquêteurs ont vérifiés les ouvertures étaient fermées de l’intérieur, une missive signée indiquant son intention d’en finir avec la vie. Celle ci ne laissant aucun doute sur son suicide.

    ***

    Quelle affaire notre ville n’ayant jamais connue une hécatombe comme celle-là ! Douze hommes disparus de mort violentes. Plus les corps de femmes suppliciés.

    ***

    Nous pouvons saluer ! Et remercier ! Le nouveau capitaine de la police madame Bouvier Sylvie ayant avec maestria mené son enquête.

    ***

    La gendarmerie a appris que cette route avait été ce jour là encombrée de bottes de paille sans doute tombées d’une remorque ce barrage se trouvait à environ deux kilomètres du lieu du terrible l‘accident.

    ***

    Pour nous journaliste ! Il parait incompréhensible que ce monde de maffieux se soit donnés rendez-vous en ce lieu pour mourir. Qui aurait pu les rassembler ? Que cherchaient-ils ?

    *** 

    Sylvie est fière d‘avoir réussit un exploit qui a demandé beaucoup de doigté et de diplomatie. Dans son rapport elle à réussit à mettre en une suite logique des faits irrationnels, les disparitions insensées, sans nommer les metteurs en scène.

    ***

    Autour d’une table.

    –Tu vois commissaire un petit détail peut défaire une certitude.

    –Que Veux-tu insinuer Yvan ?

    –Par exemple, l’accident un dérapage collision incendie. Sept morts par crémation. Il suffisait de repérer les bottes de paille dans l’autre sens pour que la gendarmerie ait des doutes. Il suffit souvent d’un brin de paille pour créer une catastrophe.

    ***

    Une flopée de convives installés dans la cour de ferme il y a les grands-parents a leur coté Piétros. Yvan. Kévin. Katêle. Irénée. Jules. Irénée qui a posé devant elle son téléphone portable son voisin a un geste brusque ! Le portable glisse sur la table se trouvant bloqué part un verre qui est celui de Tonton Christobal(Soudain une musique qui n’est autre qu’un morceau de piano ?) Tonton curieux prend le portable. Porte celui-ci a son oreille. Il entend stupéfait.

    –Bonjours ! Irénée ! Le général ? Comment allez-vous ?

    –Allô ! Quel général !

    –Excusez-moi monsieur ! Comment se fait-il que vous ayez en main un portable qui ne vous appartient nullement. Pourriez-vous s’il vous plait. Me passer Mademoiselle Irénée Kérraudrin.

    –Allô général ! Qu’elle bonne nouvelle de vous avoir en ligne ! Y aurait-il une catastrophe ! Une guerre de déclarée ou serait-ce notre absence ? N’ayez crainte. Général la personne qui vous répondait. N’est autre qu’un Bolivien nommé Sanchez. Que nous avons nommé Tonton Christobal. Papy aurait sauvé cet homme il y a une quarantaine d’années.

    –Irénée ! Vous me donnez des sueurs froides ! Cet hurluberlu qui répondait ? J’ai toujours peur d’apprendre ? Que cinquante chars ! Une centaine de canons avec cinq divisions de soldats armées ! Vous encerclant et posant un ultimatum au gouvernement Français. Nous demandant simplement de vider ses prisons !

    –Combien dites-vous Général ! Cinquante chars ! Une centaine de canons ! Des divisions armées ! Pour seulement vider les prisons Françaises afin de nous libérer ? Notre côte de valeur à la bourse monte. Là personne qui tenait mon portable est coiffée d’un sombrero, aux pieds il porte des bottes, il a ôté ses éperons.

    –Irénée ! Il porte des pistolets ?

    –Non général il a laissé ses pistolets dans sa chambre ! Ne cherchez pas ! C’est tonton Christobal ! Un riche Colombien que Papy aurait sauvé en cinquante et un il avait un trou de balle à hauteur du cœur.

    –S’il vous plait passez-moi votre grand-père ! Irénée ! Vous me menez en bateau ?

    –Général. Comment avez-vous deviné ! Il possède un yacht de trente cinq mètres en Méditerranée. Voila papy !

    –Joseph ! Merci pour ce que tu as fait !

    –Mais ! Pierre ! Je n’ai rien fait !

    –Joseph tout les jours j’avais le rapport des anges gardiens j’ai suivit les exploits des petits de loin !

    –Pierre dit moi que je rêve ! Ta petite fille invente des histoires abracadabrantes ! Si c’était Katêle j’aurais admis mais de la part d’Irénée je ne comprends pas ! Elle si pondérée si !

    –A quel sujet Joseph ! Si c’est à propos du sombrero de Piétros ! Je suis d’accord avec toi ! Il ne le porte pas ! Les pistolets non plus mais il existe cet aventurier ! Il à soixante ans il est Colombien vendeur de fruits ! Il a fait fortune en vendant des fruits qui éclatent facilement, et il possède un bateau.

    –Comment est il arrivé avec vous ! Vous l’aviez invité ?

    –Joseph si tu peux m’écouter dix minutes je vais tenter de t’expliquer ! Hier journée de repos pour tous ! Le dimanche en principe est fait pour cela ! Afin de fêter l’extinction de la grande famille. Nous avons fait un repas réunissant tous les protagonistes de l’épopée. Nous nous sommes permis de faire cela à l’intérieur de leur boite de nuit ! Ils nous devaient bien cela pour le déplacement ! Nous savions qu’ils ne viendraient plus nous déranger ! Au début du repas Piétros(Oui c’est notre invité) Est arrivé tenant par les rennes un cheval !

    –Pourquoi un cheval ! Pierre tu charries ! Tu me parlais de bateau !

    –Oui ! Joseph c’est compliqué ! Pourquoi offrir un cheval à Odette ! Je devine ta perplexité si tu viens nous voir à la maison à notre retour, nous pourrons te raconter toute l’histoire.

    –Je me trouve à ce moment devant le chemin qui mène à la ferme. Vois-tu le camping-car !

    –Les enfants le général est dans le camping-car que vous apercevez au bout du chemin.

    –Pouvons-nous, nous joindre à vous je suis en compagnie des anges gardiens.

    –Les membres de la fratrie ont jaillis de leurs sièges un cent mètre record. Les filles portent au dessus de leurs têtes à bout de bras ! Le général assis dans un siège pris au passage. Le camping-car suit piloté par Nicole. Quelle arrivée ! Piétros est impressionné de voir la joie qu’ils ont de retrouver cet homme ! Que les filles portent avec tant de facilité ! Se sentant soudain si petit !

    ***

    Posant le journal sur la grande table de la cuisine. Jules vient de lire les dernières nouvelles.

    Il embrasse sur le front notre nouvelle promue. Les dix neuf personnes rassemblées. Sont Jules et sa sœur Brigitte, il y a Sylvie, Christine, Piétros, le Général, les deux anges gardiens, et cinq joueurs de rugby. Et la famille Kérraudrin au complet.

    Le Général se lève.

    –Commissaire ! Sincères condoléances pour les morts en série. Je recommande aux truands de partir en vacance si une certaine fratrie se trouve dans leur ville.

    –Joseph que Voulez-vous insinuer ?

    –Odette ce n’est de ma part qu’une constatation ! Mais le plaisir que j’éprouve à être en votre compagnie, ne doit pas me faire oublier que je me suis déplacer, afin d’effacer certaines contraintes faites a notre amie Christine. Le commandant se trouvait simplement en vacances ! Elle reprendra son service !

    Christine est radieuse !

    –Général. Me donnez-vous la permission de vous embrasser !

    Tout bas a son oreille !

    –Christine ! Vous souvenez-vous de ce qu’un soir je vous narrais devant un verre ! Le record des disparitions ayant des causes paraissant normales provoquées par vos élèves ! Ce record se trouve erroné car dans les deux affaires réglées chez vous ! Vingt deux inutiles disparus de morts violentes plus trois chiens ! Il faut le faire. Se sont des amis qu’il faut garder.

    Sylvie justement se dirige vers Yvan. L’embrassant sur la joue. Avoue tout bas à son oreille.

    –Yvan ! J’ai bien fait de t’écouter l’autre nuit. Les honneurs la nomination. Sont pour moi. Alors que toi et le reste de la fratrie rien.

    –N’en crois rien Christine notre carnet d’adresses d’amis se garnit nous reviendrons en vacances chez vous.

    –Au journal local ils ne sauront jamais que c’est vous qui avez orchestrés l’hécatombe. je suis ravie de vous avoir connus.

    –Nous luttons contre des nuisibles ! Les juges les garderaient avec espoir de les voir se transformer ! Ils ont tors ses gens ont dans le sang des gènes du virus de l’argent gagné facilement. Ils tuent pour se le procurer. Nous, nous décidons souvent qu’il vaudrait mieux les voir se faire hara-kiri pour la paix des hommes le plus difficile mon amie. Est de trouver le moyen de les faire se supprimer sans contraintes.

    –Yvan jure le moi de ne pas les avoir aidé un peut.

    –Commissaire Sylvie ! Je le jure sur leurs têtes !

    A peut de distance se trouvant aux cotés de Kévin. Christine avoue.

    –Je suis heureuse d’être ton amie. Grâce à mon appel téléphonique sur ton portable ! Je suis en vie ! J’ai toujours ma maison ! Mon travail ! Sans avoir à danser et servir de poule de luxe dans un autre pays.

    –Sache une chose Christine ! Que nous serons toujours là le jour ou tu auras besoin de notre aide.

    –Kévin un général m’a confié. Parlant de cette tentative de vol d’appareils militaires. Je comptais les cadavres si je m’en souviens bien. Ils étaient au nombre de dix en riant il m’a avoué avoir vu plus de cadavres que ça dans certaines histoires réglées par vous, je reconnais que ce jour là j’avais de la peine à le croire. Je reconnais qu’il avait raison sous votre apparence de gentils garçons, être votre ennemie équivaut à une place réservée dans un cimetière.

    –Christine ! Tu me promets de ne pas le répéter mais ! Il y a énormément de gens qui sont encore en vie, sans pour cela nous aimer.

    –Kévin mon ami. Vous n’avez rien qui fasse qu’une personne puisse vous haïr.

    –Écoute Christine ! Les cimetières ne sont plus les seuls à avoir la cote beaucoup de gens se font incinérer. Prends un exemple cette fois sur le nombre des douze disparus. Neuf ont préférés se faire rôtir ! Les Columbariums sont des lieux tranquilles.

    –Kévin ! Comme les cimetières en principe sont des lieux payants !

    –Oui les rôtissoires aussi sont payantes ! Et pourtant ! Je le jure sur ta tête que nous n’avons pas d’actions dans ces lieux cités.

    ***

    –Détective ! Tu as fait nettoyer l’eau de la piscine. Il me semble qu’elle était polluée.

    –Écoute Kévin ! La propriétaire de cette habitation étant en voyage depuis dix jours sur le bateau d‘un ami. Nous avons fait le nécessaire !

    ***

    Le cabaret racheté par la municipalité a été revendu il appartient désormais à trois associés. Nos amis Jules et sa sœur Brigitte ainsi que Marcel l‘ancien loubard.

    La vente faite devant notaire à été couverte en argent récupérée aux truands. Plus la somme restante versée par Piétros Sanchez ou « Tonton Christobal » Pour soit disant services rendus….

    Le général est partit vers de nouveaux dossiers accompagné des anges gardiens !

    Le tonton à regagné son grand bateau avec huit femmes ! Sans les anges !

    ***

    Douce farniente du lundi neuf octobre mille neuf cent quatre vingt quinze ! Ils sont réunis dans la grande pièce de l’ancienne ferme de l‘ami Jules.

    ***

    Mardi dix octobre ils ont fait une demande de vol. Sanchez avait fait promettre au papy qu’avant de regagner leur domicile. Que toute la famille fasse un saut de puce avec l’engin volant au large du cap de la Couronne en mer méditerranée. Avec l’Écureuil à vol d’oiseau une toute petite cinquantaine de kilomètres les sépares.

    Les grands-parents avec les quatre pilotes ! Sont sur le départ. Les ailes de l’oiseau blanc tournent lentement au poste de pilotage Irénée. Sur la prairie Jules les herbes volant autour de lui.

    –Go Jules ! Nous mettons les voiles les ceintures sont mises en route dans le ciel !

    Le ciel est bleu l’appareil s’élève à la verticale les mains s’agitent salutations une dérobade sur la droite ils sont partit le plan de vol en règle une demie heure de vol prévue.

    Mamie est émerveillée de voir avec qu’elle facilité sa petite fille manie les commandes.

    –Nous sommes des privilégiés commandant ! D’avoir la possibilité de nous promener ainsi piloté par notre petite fille.

    En vol ils ont aperçus sur la gauche la ville de Lançon saint Chamas ! L’oiseau blanc survole maintenant le lac de Berre. La carte sur les genoux Katêle.

    –C’est la ville d’Istres que vous apercevrez sur la droite, vous verrez un peu sur la gauche Martigues, nous faisons un saut au dessus d’une bande de terre, maintenant vous pouvez apercevoir la ville de Carro. Et nous voila u dessus de l’eau.

    Le bleu de la mer défile sous les pales.

    –Nous sommes en contact radio avec l’objet de luxe nous devrions l’apercevoir à l’horizon regardez ! Le voilà.

    –Tu ne te poses pas tout de suite, laisses nous profiter de la vue Irénée quel décor ! Pierre ! Il est grand le rafiot de ton ami.

    –Odette ! Je le découvre mieux d’en haut !

    –Il est un peu plus grand que le tien papy.

    –Si peu ! Katêle ! Il ne fait que trente huit mètres en plus.

    –Le pont du bateau avec le rond pour l’appareil, stabilisation a vingt mètres au dessus, le capitaine du bord donnant du geste les indications pour se poser, deux hommes d’équipage aussitôt fixent les patins de l’oiseau les pâles de la libellule se stabilisent. Le tapis rouge est déroulé par un des hommes d’équipage s’étendant jusqu’à l’entrée de la cabine ou sur le seuil attend tout de blanc vêtu le maître du bateau.

    Télépathiquement.

    (Mes Aïeux les gaulois se marrent de nous voir reçus de la sorte. C’est une fête ! A nous les deux journées à passer. Deux jours à vivre comme des rois)

    (Yvan ! Corsaire as-tu bien aiguisé ton sabre d’abordage. Le seigneur du transat nous attend)

    Descente sur le pont

    –Piétros ! Mon ami nous sommes intimidés d’êtres reçus de la sorte. Seriez-vous Machiavélique au point de vouloir nous faire adopter le farniente jusqu’à notre mort ?

    –Déesse qui régnée sur mon sauveur. Il ne tient qu’a vous de rester ! Sur ce modeste bateau.

    La modernité du bateau est visible. Partout au sol les tapis. Des meubles. L’eau de la piscine. Est-elle chauffée à l’aide de panneaux solaires.

    –Tonton ! Nous donnez-vous la permission de prendre un bain !

    –Pourquoi me posez-vous la question ? Vous êtes les petits enfants de mon maître. Donc ce bateau vous appartient. La piscine est à vous.

    Cinq minutes plus tard ! Nos jeunes amis ! Sortent sur le pont en vêtements de bain ! Un clin d’œil amusé des enfants aux grands parents ?

    –Tu as pris un risque Piétros. Encore une surprise pour toi ! Trop tard ! C’est partit !

    Les quadruplés ont démarrés sur le pont ! Ils partent comme des fusées. Passant largement par dessus le bastingage de quatre vingt centimètres. Les formes ont disparues devant l’étrave ! Pas un bruit a leur entré dans l’élément liquide. L‘eau bleu les a absorbé. Ils ne réapparaissent qu’une cinquantaine de mètres plus loin ! Sortant de l’eau comme des dauphins. Replongeant aussitôt. Ils réapparaissent trente mètres plus loin ! Piétros tient le bastingage fixant la surface de l’eau. Il est émerveillé ! Rendu à une centaine de mètres du bateau. Ils ont fait la course pour le retour. Soudain arrivés à vingt mètres. Ils ont disparus entre deux eaux. Le marchand d’arme suit les quatre formes qui se dirigent sur des rochers. Une deux trois ! Minutes pour lui c’est long !

    Sur le bateau dans la crique. Le propriétaire panique de voir s’éternisé la plongé ! Il lance un ordre bref.

    –Marcos ! Le hors-bord à l’eau ! Tu les repêches.

    –Piétros ! Pas de panique. Le pont de ton bateau va se trouver inondé demande que l’on roule le tapis.

    –Pierre ! C’est trop long cette plongé ils ont fait un malaise.

    –Tonton ? Caballero ! Aimez-vous les moules !

    –Le tonton baroudeur n’en croit pas ses yeux ! Les quatre baigneurs sont debout dégoulinants à un mètre derrière lui ! Riants aux éclats les bras chargés de moules énormes !

    –Nous ne voulions pas remonter les mains vides. Tonton le cuistot sait cuire des moules !

    Piétros est paumé.

    –Odette ! Pierre ? Comment ont il fait ! Le pont du bateau se trouve a huit mètres du niveau de la mer il n’y a pas d’échelle de coupé sur l’avant d’un bâtiment. En plus ? Le poids des moules ?

    –Encore des questions qui resteront sans réponses ! Nous ne pouvons t’expliquer Piétros ! Mais écoutons Katêle qui veut dire quelque chose.

    –Tonton ! Ce n’est pas compliqué nous copions les dauphins quant ils font des bonds. C’est facile à faire ! Nous t’apprendrons !

    –Katêle ! Les dauphins ? Tu me crois naïf a ce point ! Même eux auraient de la peine à s’élever de huit mètres au dessus des flots.

    –Si tonton contrairement à ce que tu penses, ils sont capables de le faire ! Il est prouvé que ! Si ! Un barrage se trouve devant eux ils le passent.

    –Yvan ! Tu es sur de toi ! Je me renseignerai.

    –Tonton ! Nous allons faire une cagnotte. C’était Kévin ! Et si Kévin le dit ? Inutile de faire des recherches. C’est vrai ! Yvan est derrière ! Il se marre.

    –Qui es-tu fille de la mer déjà habillée impossible de vous reconnaitre ? Serait-ce Katêle la blagueuse ! Ou ? Irénée la sérieuse, Odette princesse. Aide-moi s’il te plait ?

    –Facile Piétros ! C’est Katêle.

    –Saint-Pierre ! Comment font-ils. Ils sont pourtant normaux tes petits enfants.

    –Tonton nous pédalons plus vite, le turbot nous donne de la puissance. Nous volons.

    –Ils sont heureux et le font voir en exécutant trois sauts périlleux arrière. Ils viennent de disparaitre dans la piscine. Une ! Deux ! Trois ! Longueurs de bassin à une vitesse de compétition. Une petite poussée sur le fond de la piscine ils se posent doucement sur le pont.

    –Tu vois mon ami pour eux c’est simple.

    –Tonton ! Nous sommes normaux. La seule différence nous avons la possibilité de multiplier par cinq la vitesse de nos gestes nous pensons que tout un chacun. Avec de l’entrainement pourrait faire la même chose.

    ***

    Dans la douceur du soir allongé dans des fauteuils sur le pont. Papy se trouve seul avec Piétros. Les petits enfants se sont couchés, mamie aussi a préférée gagner sa cabine fatiguée de cette journée.

    –Pourrais-tu Saint-Pierre me donner quelques éclaircissements. Pourquoi de nos rencontres au long des années. Jamais au grand jamais ! Tu ne m’as parlé de tes petits enfants ! Pourquoi ce mystère ! Raconte ?

    –Mon ami ne m’en veut pas ! Il y a maintenant de cela dix neuf ans Marc mon fils ! Marié avec une Irlandaise travaillait dans une usine d’armes de guerres. Ils avaient fait une découverte. J’oubliais de te dire que tous deux étaient ingénieurs.

    –Pierre ? Tu connais ce qu’ils avaient découvert ?

    –Oui Piétros ? Plus ou moins. C’était un rayon ! Ils ont été sacrifiés sur l’hôtel des profits. Leur véhicule un matin devant Odette et les enfants a explosé ! Ils avaient trois ans. J‘étais en mer à bord. Je ne l’ai appris que deux jours plus tard.

    –Excuses moi Saint-Pierre ! T’obliger à revivre ses tristes évènements.

    –Je voulais t’en parler ! J’ai passé quelques jours à terre avec eux ! Deux mois plus tard dans la propriété qui était close de toute part. Ils jouaient à dix mètre de la cuisine, Odette avait le moral qui remontait la pente ! Elle a voulu les faire rentrer ! Ils avaient disparus ?

    –Tu dis ! Qu’ils avaient disparus. Trois ans ? Qu’ils avaient ? En pleine ville. Que c’était-il passé.

    –Voilà le mystère ? Piétros ! C’est que nous n’en savons rien. Quarante huit heures plus tard. Au même endroit. Ils jouaient sur la pelouse.

    –Mais ce n’est pas possible ! Saint-Pierre ! Ce que tu me racontes. Les enquêteurs n‘ont rien trouvés sur place ?

    –Mon ami rien pas un indice ! C’est la vérité. Odette était seule. Pense un peu mon ami. La joie qu’elle a eu de les retrouver.

    –Et la police a trouvée quelque chose.

    –Non. Les enfants ne se souvenant de rien pour eux aucun problème. Ils n’avaient pas bougés de la pelouse.

    –Continu Pierre, je veux connaître la suite.

    –Il y a deux évènements importants qui se sont passées à ce moment là. Deux faits incompréhensibles pour les enquêteurs. Ils ont portés Odette qui de joie c’était évanouie, sur dix mètres !

    –Rien d’anormal ? Pierre.

    –Si ce n’est ! Odette curieuse a demandé ce qui c’était passé ? Katêle à expliqué. Mamie tu es tombée sur la pelouse dans les bras des garçons. Ensuite tous quatre nous t’avons transportée dans la maison.

    –Formidable initiative de leur part !

    –Te rends-tu compte de ce que tu dis ! Quatre petits enfants de trois ans ? Transportant une adulte de cinquante kilos et cela sur dix mètres.

    Là ! Le propriétaire du bateau commence à réaliser qu’il n’a rien compris. Ses yeux expriment de l’incompréhension. Bien sur Saint-Pierre ? Je suis fou ! Pas possible une chose pareille tu me mènes en bateau.

    –Et bien non mon ami ! Odette leur à demander de refaire les mêmes gestes ! Les trois policiers étaient présents.

    –Tu as des preuves.

    –Le rapport des gendarmes, et du docteur ! Le sergent étant une femme ayant des enfants plus âgés a posé une question. Madame ? Vos petits enfants parlaient ils quand ils ont disparus.

    –Odette a

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