Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Le Lecteur d’âmes - Tome 2: L’Ombre du sept
Le Lecteur d’âmes - Tome 2: L’Ombre du sept
Le Lecteur d’âmes - Tome 2: L’Ombre du sept
Livre électronique249 pages2 heures

Le Lecteur d’âmes - Tome 2: L’Ombre du sept

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Johanna, 15 ans, a fait la rencontre l'an dernier d'Alexis, le "Lecteur d'âmes". Voilà que sa vie est bouleversée, d'autant plus qu'elle reçoit d'étranges messages sur son ordinateur...

« Je m'appelle Johanna et j'ai 15 ans. Ma rencontre l'année dernière avec Alexis, le « Lecteur d'âmes » a bouleversé mon existence. Aujourd'hui, je vis chez ma grand-mère avec mon petit frère Lilian. Nous pourrions nous sentir enfin protégés s'il n'y avait ces messages reçus sur mon ordinateur. Qui essaie de m'influencer ? Qui se donne le droit de jouer avec mes émotions ? Si j'en informe Alex, saura-t-il me conseiller ? Quelle est cette école où l'on veut m'envoyer, et où le chiffre sept revient sans cesse ?»
Le lecteur d'âmes est une histoire palpitante que l'on peut dévorer dès 12 ans mais sans aucune autre limite d'âge. En effet, ses différents niveaux de lecture en font un ouvrage également fort apprécié des adultes. Refusant de se cantonner à un genre en particulier, il mêle habilement le suspense, le fantastique, le policier et l'humour. Écrit en grande partie au présent et à la première personne, il se lit très facilement grâce à ses chapitres courts et dynamiques.
L'ombre du sept est le deuxième tome de la trilogie débutée avec Premières a(r)mes.

Quelle est cette mystérieuse école où l'on veut envoyer Johanna et où le chiffre sept revient sans cesse ?
Le second tome d'une trilogie fantastique palpitante, pleine d'aventures, d'humour et de rencontres, que l'on peut dévorer dès 12 ans mais sans aucune autre limite d'âge !


EXTRAIT

Tiens ! Justement ! Une nouvelle demande !
Et là, je reste scotchée. Ma main tremble sur la souris comme une souris sous la patte d’un chat. Mon index droit est pétrifié à quelques millimètres au-dessus du clic gauche.
Je lis :
FloV souhaite rejoindre votre groupe d’amis.
Un message personnel accompagne la demande :
— Bonsoir, Johlianna !
Johlianna est le surnom que me donnait ma mère quand j’étais petite. Personne d’autre ne m’a jamais appelée ainsi. Si c’est une blague, elle est d’un goût douteux. Je réfléchis aux quelques personnes qui pourraient être au courant de ce détail.
Mamy ? Elle est allergique à l’informatique.
Papa ? Pas le genre à prendre des chemins détournés pour me parler.
Reste Alex. Je lui ai toujours tout dit. J’ai certainement mentionné cet affectueux diminutif. Est-il capable de chercher à me contacter en se faisant passer pour le fantôme de maman ? Avec lui, rien n’est impossible.
Je clique sur le pseudo. Bien sûr, aucune information disponible. Pas de journal, pas d’amis communs, pas de photos ni de vidéos. Même la page est une page fantôme. La seule solution pour en avoir le cœur net est d’accepter la demande. Clic.

CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE - À propos du tome 1 :
Ça sonne juste d’un bout à l’autre, je n’ai relevé aucune fausse note, aucune lourdeur. C’est une chose suffisamment rare dans les premiers romans [...], preuve d’un réel talent de l’auteur et du sérieux de l’éditeur. - Blog Lecturepassion

À PROPOS DE L'AUTEUR

Alain Manuelle est pianiste, chanteur et compositeur. À la naissance de ses filles, il écrit des contes qu'il présente avec succès dans les écoles de métropole et d'outre-mer. De la chanson au conte et du conte au roman, il n'y a que deux pas, franchis allégrement par cet artiste aux multiples talents.
LangueFrançais
ÉditeurEx Aequo
Date de sortie22 avr. 2019
ISBN9782378736569
Le Lecteur d’âmes - Tome 2: L’Ombre du sept

Lié à Le Lecteur d’âmes - Tome 2

Livres électroniques liés

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Le Lecteur d’âmes - Tome 2

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Le Lecteur d’âmes - Tome 2 - Alain Manuelle

    cover.jpg

    Table des matières

    Résumé

    Prologue

    Johanna

    Onze mois plus tôt....

    1. Le début des haricots

    2. Demande d’amitié

    3. Tombée de dent

    4. Esprit es-tu là ?

    5. Tombés dans les pommes

    6. Aller-geek

    7. Ramener sa fraise

    8. Ramener ses fraises

    9. Rêve-Heure

    Alexis

    10. Voiture à pédales

    11. Réflexe et réflexion

    12. Telle est vision

    13. Fâchée, Lama

    14. Apprendre de ses échecs

    15. Conception

    16. Palpitations

    17. Arriver en fumée

    18. Partir en fumée

    19. Text'ho !

    20. Compte à rebours

    21. Décollage imminent

    22. Fusée

    23. Redécollage

    24. Pars, cœur !

    25. Pas si simple

    26. Soutien de famille

    Johanna

    27. Gare

    28. Regard

    29. Re-gare

    30. Égards

    31. Jugée, partie

    32. Décision éclair

    Alexis

    33. Au poste

    34. Troublant

    Johanna

    35. Sept fois...

    36. Suivez le guide

    37. Sept à dire

    38. Preuve par sept

    39. Mal aux mollets

    40. Face au profil

    Alexis

    41. Braves de comptoir

    42. La beauté est dans l’œil de celui qui regarde

    43. Batracien, animal à sang froid

    44. Conscience

    45. Encore au poste

    46. Pat Poker

    Johanna

    47. Esprit critique

    48. Éhontée

    49. Cour intérieure

    50. Cours intérieur

    51. Déchiffrage

    52. Repas chaud

    53. Du nouveau

    Alexis

    54. Photos de voyage

    55. Projet de voyage

    56. Cadeau de voyage

    57. Vie amoureuse !?

    58. Sept huitres

    59. Encore du nouveau

    Johanna

    60. Évaluation

    61. Des vies et des visages

    62. Ami calmant

    63. Fiables fables ?

    Alexis

    64. Expédition, explications, excuses

    65. Pourquoi ?

    66. Médiateur

    67. Mère amère

    68. D’homme à homme

    Johanna

    69. Point d’appui

    70. Mur mûr

    71. Multiplications

    72. L’ombre du sept !

    73. Son et lumière

    74. Le corbeau et le pinson

    75. Chanter et déchanter

    76. Le croassement de la corneille

    Alexis

    77. Physionomie de l’âme

    78. Appât

    79. Honteux et confus ?

    80. Le croassement croît

    Johanna

    81. Bonnes pousses et mauvaises herbes

    82. Sept professeurs, discours

    83. Combien de temps ?

    Alexis

    85. Inquiétude

    86. Qui, où et quand ?

    87. Pas du gâteau !

    88. Salade de fruits

    89. Binaire

    90. Les sept dernières minutes

    91. Une pour sept…

    Épilogue

    Johanna

    Remerciements

    Du même auteur

    Dans la même collection

    Résumé

    « Je m'appelle Johanna et j'ai 15 ans. Ma rencontre l'année dernière avec Alexis, le « Lecteur d'âmes » a bouleversé mon existence. Aujourd'hui, je vis chez ma grand-mère avec mon petit frère Lilian. Nous pourrions nous sentir enfin protégés s'il n'y avait ces messages reçus sur mon ordinateur. Qui essaie de m'influencer ? Qui se donne le droit de jouer avec mes émotions ? Si j'en informe Alex, saura-t-il me conseiller ? Quelle est cette école où l'on veut m'envoyer, et où le chiffre sept revient sans cesse ?»

    « Le lecteur d'âmes » est une histoire palpitante que l'on peut dévorer dès 12 ans mais sans aucune autre limite d'âge. En effet, ses différents niveaux de lecture en font un ouvrage également fort apprécié des adultes. Refusant de se cantonner à un genre en particulier, il mêle habilement le suspense, le fantastique, le policier et l'humour. Écrit en grande partie au présent et à la première personne, il se lit très facilement grâce à ses chapitres courts et dynamiques.

    « L'ombre du sept » est le deuxième tome de la trilogie débutée avec « Premières a(r)mes »

    Alain Manuelle est pianiste, chanteur et compositeur. À la naissance de ses filles, il écrit des contes qu'il présente avec succès dans les écoles de métropole et d'outre-mer. De la chanson au conte et du conte au roman, il n'y a que deux pas, franchis allégrement par cet artiste aux multiples talents.

    Alain Manuelle

    Le Lecteur d’âmes

    Tome 2 : L’Ombre du sept

    Roman fantastique

    ISBN : 9782378736569

    Collection : Aventures

    ISSN : 2104-9696

    Dépôt légal : avril 2019

    © Couverture Annabel Peyrard pour Ex Æquo

    © 2019 Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction intégrale ou partielle, réservés pour tous pays

    Toute modification interdite

    Éditions Ex Æquo

    6 rue des Sybilles

    88370 Plombières Les Bains

    www.editions-exaequo.com

    Prologue

    Journal G7 07/07

    Mon prénom commence par la septième lettre de l’alphabet et comporte sept lettres. Mon anniversaire tombe le septième jour du septième mois de l’année. Ma mère accoucha prématurément, à sept mois de grossesse. Mes parents sont morts dans un accident de voiture lorsque j’avais sept ans.

    Ce drame a eu lieu il y a quarante-deux ans.

    Je fête ce soir mon quarante-neuvième anniversaire. Sept fois sept, le carré parfait.

    L’enfant me fait face, souriant.

    Le couteau est dans ma main...

    ...Si une vie doit s’envoler ce soir, j’espère que l’une des sept jeunes filles la recevra. Le garçon qui voit les âmes vous la désignera.

    Johanna

    Onze mois plus tôt....

    ***

    1. Le début des haricots

    Je range mon VTT contre le mur de la maisonnette. Le gravier n’a que légèrement crissé sous mes roues, mais je sais que ma grand-mère à l’ouïe fine. « La vue basse, mais l’oreille haute ! » aime-t-elle à répéter à qui veut l’entendre. Je sais aussi que, mon pied à peine posé sur les tomettes de l’entrée, je me verrai confier une tâche ou l’autre. J’entends déjà la phrase : « Johanna, tu peux m’aider à suspendre le linge ? » « Johanna, tu veux bien éplucher quelques carottes ? » « Johanna, la vaisselle doit être sèche, ce serait gentil de la ranger. »

    — Johanna, on mange des haricots verts du jardin ce soir. Ils ne demandent qu’à être effilés.

    Tiens, celle-là c’est une première.

    — Tu veux dire quoi par « effilés » ?

    — Enlever les fils ! Et les bouts aussi.

    — Jamais fait ça. Tu me montres ?

    Elle me garde volontairement constamment occupée pour que je ne puisse pas ruminer mon chagrin. Je suis consciente de son entrain forcé. Elle me sourit à longueur de journée. Jamais un mot plus haut que l’autre. Jamais triste. Du moins en apparence. J’en arrive presque à oublier qu’elle a perdu sa fille le jour où j’ai perdu ma mère.

    — Na !

    Le premier mot de Lilian, mon petit frère. Je sais ce qu’il veut dire et corrige :

    — Jo-han-na ! Comment il va le bébé ?

    — Na !

    Question conversation, c’est encore un peu limité. Je vais persévérer. Objectif : deux syllabes.

    Je prends vite le coup de main. Entailler un bout du haricot sans le couper complètement, le tirer délicatement vers l’autre extrémité en essayant de ne pas casser le fil qui suit le mouvement, et ensuite répéter l’opération de l’autre côté du long légume vert. Lilian suit nos gestes du regard avec beaucoup d’attention. Du haut de sa chaise d’arbitre de tennis il tourne la tête à droite ou à gauche selon qui de mamy ou moi vient d’attraper le prochain coupable. Coupable qui, comme chacun le sait signifie : que l’on peut couper. J’aurais pu dire guillotinable ou décapitable mais ces deux adjectifs n’existent pas.

    Et voilà, je me surprends à nouveau en flagrant délit de jeu de mots débile. Et, comme chaque fois, je repense à Alex. Il ne faut pas. Je ne veux pas. Je dois rester en colère contre lui. Même s’il n’a jamais voulu ce drame, il est coupable d’avoir joué avec la vie des autres. Et là, coupable prend tout son sens.

    L’assombrissement de mes réflexions doit se lire sur mon visage, car super-mamy s’empresse de me détourner de mes funestes pensées.

    — Joh ! Tu devrais essayer de lui donner un morceau de haricot. Juste pour voir ce qu’il va en faire.

    — Comme ça ? Ils ne sont même pas cuits.

    — Tu n’as jamais goûté un haricot vert fraîchement cueilli et croquant à souhait ?

    — Jamais cru.

    — Teste. Tu m’en diras des nouvelles.

    Je plonge mes doigts dans le tas de mikados effilés reflétant nos efforts et en retire deux. Dès que je lui tends le sien, Lilian s’empresse de le porter à sa bouche. Je l’imite plus timidement. Le goût n’est pas désagréable. J’irais jusqu’à dire que je le préfère cru à cuit. J’en informe ma grand-mère qui me répond :

    — Ta maman les mangeait comme ça aussi. Il fallait l’arrêter si l’on voulait qu’il en reste pour le dîner.

    Le silence mélancolique qui suit cette déclaration est soudain rompu par un bruit de mastication. Même avec trois dents au compteur, Lilian déchiquette méthodiquement le pauvre légumineux. Nous voyant sourire à son manège, il se met à gazouiller en mâchonnant de plus belle. Vu de l’extérieur, nous donnons certainement l’image de deux enfants venus passer l’été chez grand-maman. Comme j’aimerais qu’il en soit ainsi. Que les vacances finies nous retournions vers nos parents, si heureux de nous revoir que leurs étreintes nous étoufferaient.

    ***

    2. Demande d’amitié

    Mamy est au lit, Lilian aussi. J’ai regagné ma chambre. Pas de lumière allumée. L’obscurité est à peine atténuée par le halo de l’écran de mon ordinateur. Je suis sur Facebook. Plus par habitude que par envie. J’y ai peu d’amis. Peut-être parce que je n’accepte comme amis virtuels que mes amis réels.

    Le réseau social de Mark Zuckerberg me sert avant tout à rester en contact avec les ex-élèves de ma classe de troisième. Je ne suis d’ailleurs plus vraiment le fil d’actualisation de leur journal, vu qu’il a tendance à tourner en boucle sur des sujets people, futiles et insipides.

    J’ai régulièrement des demandes d’ajout, envoyées par des amis d’amis. Elles sont en général motivées par le besoin compulsif d’augmenter leur cheptel. Plus j’ai de noms sur ma liste d’amis, plus je suis quelqu’un d’important... Quand je pense qu’il y en a qui y croient vraiment !

    On devrait chercher un terme nouveau pour désigner les individus avec qui l’on correspond sur les réseaux sociaux. Cela permettrait de rendre sa véritable valeur au mot « ami ». Un ami, c’est quelqu’un sur qui on peut compter, qui vous soutient lorsque votre moral vise plus le carrelage que les nuages et qui parvient à vous faire rire quand vos canaux lacrymaux sont pourtant prêts à déborder.

    Essayez de demander ça à un ami d’ami sur Facebook.

    Tiens ! Justement ! Une nouvelle demande !

    Et là, je reste scotchée. Ma main tremble sur la souris comme une souris sous la patte d’un chat. Mon index droit est pétrifié à quelques millimètres au-dessus du clic gauche.

    Je lis :

    FloV souhaite rejoindre votre groupe d’amis.

    Un message personnel accompagne la demande :

    — Bonsoir, Johlianna !

    Johlianna est le surnom que me donnait ma mère quand j’étais petite. Personne d’autre ne m’a jamais appelée ainsi. Si c’est une blague, elle est d’un goût douteux. Je réfléchis aux quelques personnes qui pourraient être au courant de ce détail.

    Mamy ? Elle est allergique à l’informatique.

    Papa ? Pas le genre à prendre des chemins détournés pour me parler.

    Reste Alex. Je lui ai toujours tout dit. J’ai certainement mentionné cet affectueux diminutif. Est-il capable de chercher à me contacter en se faisant passer pour le fantôme de maman ? Avec lui, rien n’est impossible.

    Je clique sur le pseudo. Bien sûr, aucune information disponible. Pas de journal, pas d’amis communs, pas de photos ni de vidéos. Même la page est une page fantôme. La seule solution pour en avoir le cœur net est d’accepter la demande. Clic. Plus qu’à attendre le prochain message. Je vais avoir un peu de mal à m’endormir. J’éteins l’ordinateur pour ne pas être tentée de le consulter toutes les cinq minutes et vais me coucher. À demain...

    ***

    3. Tombée de dent

    Six heures du matin et mes yeux refusent de rester fermés. Adolescente en vacances réveillée aux aurores, je suis en passe d’entrer dans le livre des records. Déjà dix fois que je me retourne sur mon matelas. Les draps chiffonnés ressemblent à un accordéon. Le soleil de l’aube parvient à glisser un rayon à travers le volet vieillissant. Un petit trait de lumière qui vient comme par hasard se poser sur l’écran de mon PC.

    J’essaie de trouver de raisonnables raisons de ne pas bouger. Il était tard quand j’ai accepté la demande. Il est tôt. Les chances pour qu’il y ait du nouveau sont minces. Allez ! Dans une heure, je me lève.

    Trente secondes plus tard, je suis devant l’ordinateur qui prend son temps pour démarrer. Le logo de Microsoft, la page d’accueil, Facebook.

    Nouveau message de FloV.

    Clic.

    Claque.

    — Bonjour, ma Johlianna. Tu m’as manqué. N’aie pas peur. Je suis là pour t’aider.

    Mes yeux glissent vers l’onglet des discussions instantanées. Le petit rond vert en face de FloV m’indique que mon fantôme est connecté. À la fois curieuse et nerveuse, je tape mon texte :

    — Alex, si c’est toi, ce n’est pas drôle du tout.

    En face du pseudo de mon correspondant, trois points de suspension m’indiquent qu’il est en train d’écrire.

    Je fixe ces petits caractères, comme si l’intensité de

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1