Découvrez des millions d'e-books, de livres audio et bien plus encore avec un essai gratuit

Seulement $11.99/mois après la période d'essai. Annulez à tout moment.

Poèmes à Chanter VI
Poèmes à Chanter VI
Poèmes à Chanter VI
Livre électronique185 pages1 heure

Poèmes à Chanter VI

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

L'auteur vous offre une cinquantaine de textes destinés à être mis en musique et à devenir des chansons. Si des compositeurs sont intéressés, qu'ils n'hésitent pas à le contacter. En attendant, bonne balade dans les mots qui font chanter la vie, avec ou sans musique.

LangueFrançais
Date de sortie11 sept. 2020
ISBN9791091164887
Poèmes à Chanter VI
Auteur

Michel Miaille

Né le 15 janvier 1951 à Orange (Vaucluse, France)Poète, auteur de sketches, de textes de chansons et de pièces de théatre, membre de la Sacem.A obtenu plusieurs prix dans différents concours, a participé à des anthologies de poésie, a publié des poèmes dans plusieurs revues et sur plusieurs sites internetEcrit également en langue provençale de la poésie et du théatre.Membre d'un jury de poésie dans le cadre de journées du livre.A une passion spéciale pour la poésie du Moyen Âge notamment la ballade dont il a lui-même écrit plusieurs recueils

En savoir plus sur Michel Miaille

Auteurs associés

Lié à Poèmes à Chanter VI

Livres électroniques liés

Poésie pour vous

Voir plus

Articles associés

Catégories liées

Avis sur Poèmes à Chanter VI

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Poèmes à Chanter VI - Michel Miaille

    cover.jpg

    Poèmes à chanter VI

    par

    Michel Miaille

    Published by Michel Miaille at

    Smashwords

    Copyright 2020 Michel Miaille

     Du même auteur :

    Sonnets pour le vingtième siècle (autoédition, 2010)

       Sonnets anglais (autoédition, 2010)

    Ballades botaniques (autoédition, 2011)

    Sonnets pour deux générations (autoédition, 2011)

    Rondeaux et rondels (autoédition, 2012)

    Poèmes anciens (autoédition, 2012)

    Haïkus et tankas (autoédition, 2012)

    Ballades des quatre saisons (autoédition, 2013)

    Chansons enfantines (autoédition, 2013)

    Poèmes à chanter (autoédition, 2013)

    Sonnets des six continents (autoédition, 2013)

    Ballades satiriques (autoédition, 2014)

    Poèmes à chanter II (autoédition, 2014)

    Sonnets de l’Histoire de France (autoédition, 2015)

    Poèmes coréens (autoédition, 2015)

    Sextines de tous temps (autoédition, 2015)

    Pantouns de France et d’ailleurs (autoédition, 2015)

    Chants royaux d’hier et d’aujourd’hui (autoédition, 2015)

    Sonnets pour une Provence mystérieuse (autoédition,2015)

    Sonnets pour un Paris mystérieux (autoédition, 2016)

        Sonnets pour la ville d’Orange (autoédition, 2016)

        Poèmes du monde entier (autoédition, 2016)

        Sonnets en assonance (autoédition, 2017)

        Sonnets pour les provinces de France (autoédition, 2017)

        Poèmes à chanter III (autoédition, 2017

        Poèmes à tout vent (autoédition, 2017)

        Poèmes du monde entier II (autoédition, 2018

        Poèmes pour célébrer les fêtes (autoédition, 2018)

        Poèmes à chanter IV (autoédition, 2018)

        Ballades d’aujourd’hui (autoédition, 2019)

        Sonnets pour la principauté d’Orange (autoédition, 2019) …

    Poèmes naturalistes (autoédition, 2020)

    Avant-propos

    Après avoir, dans un premier temps, offert au lecteur quelques vers destinés à devenir d’éventuelles chansons dans des recueils intitulés tout simplement Poèmes à chanter, je me permets aujourd’hui de récidiver ; en effet, écrire des textes qui ne sont pas des poèmes mais pas encore des chansons avec refrains et couplets peut sembler un exercice curieux et paradoxal en même temps mais il est aussi très formateur.

    Je soumets donc à nouveau au lecteur, aujourd’hui, cinquante autres textes destinés à faire chanter la vie même si ce n’est pas toujours forcément en rose. D’aucuns se diront peut-être en lisant mes mots : tiens, ça me rappelle quelque chose ; on dirait la chanson d’un tel, non plutôt celle de machin, allez donc savoir ; quoi qu’il en soit, ces textes sont entièrement originaux même, si, bien sûr, les thèmes sont souvent éternels et courent à travers les ans et les phrases sous des formes différentes.

    Alors si vous le voulez bien, je vous emmène, à nouveau, en promenade ou en balade, dans le monde des mots, des vers, des refrains, de la musique, tout ce qui fait partie depuis toujours de la même famille, celle de la vie. Et puis, si ma petite expérience vous intéresse, vous pourrez vous aussi, la tenter en taquinant la muse et les mots, en chantant bien entendu.

                                                                                  Michel Miaille

    Tous les textes qui suivent ont fait l’objet d’un dépôt auprès de la SACEM dont l’auteur est membre sous le numéro 00145859735

    Adieu ma France

    Adieu le ciel de mon pays

    Adieu tous mes amis d’ici

    Adieu tous mes beaux jours d’enfance

    Mes bateaux s’en vont loin du port

    Sans savoir où mène leur sort

    Loin d’un passé auquel je pense

    Là où m’attend qui sait la mort (bis)

    Mes hommes déploient leurs efforts

    Pour hisser les voiles dehors

    Adieu mes souvenirs de France

    Adieu mes ruisseaux mes forêts

    Quand j’emporte tant de regrets

    Je pars découvrir l’Amérique

    De nouvelles terres magiques

    Est-ce que je verrai le retour

    Vers ma terre pour mes vieux jours

    Je pars découvrir l’Amérique

    Qui sait des rêves chimériques

    Pour ramener l’or et l’argent

    Dont je rêve depuis longtemps

    Mes hommes déploient leurs efforts

    Pour mettre les voiles dehors

    Quand j’emporte tant de regrets

    Adieu tous mes beaux jours d’enfance

    Au magasin des souvenirs

    Au magasin des souvenirs

    Mon grenier pourrait frémir

    Entre mes livres défraîchis

    Et tout un tas de vieux habits

    Des trucs qui m’ont fait rêver

    Des objets oubliés

    De la poussière entassée où je me suis égaré

    Au magasin des souvenirs

    Mon grenier pourrait frémir

    En oubliant l’avenir

    Et toutes ces choses qui détonnent

    Quelques photos de mon enfance

    Auxquelles je repense

    La photo de tous mes copains d’école

    Tous ceux qui jouaient à faire les pitres

    Plutôt que de plancher sur le pupitre

    En ce temps les maîtres avaient la main dure

    Et savaient frapper les doigts avec une fermeté  sûre

    Au magasin des souvenirs

    J’aime bien y revenir

    Pour passer une heure ou deux

    Avec madame nostalgie

    Puis je repars vers le présent

    Et tout ce qui m’attend

    Où demain ne fait guère de cadeaux

    Au magasin des souvenirs

    Mon grenier pourrait frémir

    En pensant aux jours en allés

    Qui depuis se sont fait la malle

    Pour ce qui est à venir

    Je peux ramer ou courir

    Le futur fera tout ce qu’il voudra

    De tous ces petits rien que je n’oublierai pas

    Autrefois maintenant

    Autrefois je courrais le monde

    Aux jours bénis de mes vingt ans

    Le cœur avide insouciant

    Lorsque la folie vous inonde

    La terre me semblait petite

    Je voulais en faire le tour

    Défiant les mois et les jours

    D’une façon héroïque

    À présent mes propres enfants

    Se moquent de l’air et du temps

    Ils entreprennent des voyages

    Que je ne peux faire à mon âge

    Les voilà par monts et par vaux

    Accomplissant mille travaux

    Mais que font-ils donc à présent

    De leur bon temps

    De leurs vingt ans

    De leurs vingt ans

    Je cherchais un sens à ma vie

    Et voulais rencontrer l’amour

    Pour quelques jours ou bien toujours

    Pour une existence bénie

    J’ai cherché longtemps cette femme

    Suivant la chance ou le hasard

    Caché ici-bas quelque part

    Un peu comme une flamme

    Aujourd’hui mes propres enfants

    Me rappellent mon jeune temps

    Lorsque j’ai rencontré leur mère

    Comme un miracle qui s’opère

    Lorsque souvent je les entends

    Je revois mon ciel de jadis

    Tous ces jours qui se sont enfuis

    Et qui sourient

    À leurs vingt ans

    À leurs printemps

    À leurs printemps

    Maintenant je fais le bilan

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1