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Le journal du fils de Pacha
Le journal du fils de Pacha
Le journal du fils de Pacha
Livre électronique226 pages2 heures

Le journal du fils de Pacha

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À propos de ce livre électronique

Je n’aurais jamais imaginé que j’aurais telle audace pour écrire mon journal … qui pourrait déboucher á ma mort par des hommes qui connaissent pas de merci. Quoique j’ai dépassé soixante-dix ans d’âge, soi-disant vétéran, j’ai témoigné le décès de trois rois á partir du "règne de roi Faisal I", son fils Ghazi et enfin son petit-fils le roi Faisal II".

Peut-être la scène le plus sauvage que j’ai jamais vécu était le massacre de tous les membres de la famille royale sans merci par des iraquiens maçons qui prétendent le nationalisme et la liberté. Oui, des maçons … ramené par la Grande-Bretagne pour des raisons qui profite á cette organisation terroriste qui a couvé une grande rancune contre le royaume. Même la fuite de la dernière princesse héritière pour un endroit inconnu durant l’attaque contre le palais Al-Rehabe était une immense injure, au moment qu’elle souffrait l’amertume de meurtre de sa famille, endroit qu’on n’a décelé que peu après l’occurrence de ce malfaisant coup d’état républicain.

LangueFrançais
ÉditeurBadPress
Date de sortie2 mars 2020
ISBN9781393474500
Le journal du fils de Pacha

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    Le journal du fils de Pacha - RIYAD AL KADI

    Le journal du fils de Pacha

    RIYAD AL KADI

    ––––––––

    Traduit par adel kita 

    Le journal du fils de Pacha

    Écrit Par RIYAD AL KADI

    Copyright © 2020 RIYAD AL KADI

    Tous droits réservés

    Distribué par Babelcube, Inc.

    www.babelcube.com

    Traduit par adel kita

    Dessin de couverture © 2020 RIYAD AL KADI

    Babelcube Books et Babelcube sont des marques déposées de Babelcube Inc.

    « Le journal du fils de Pacha »

    Le fils de maçons

    Roman

    Riyad Al Kadi

    Traduit par: Adel S. Keita

    « L’état ne pourrait être régi par la grâce »

    ––––––––

    Sultan Ottoman Abdul Hamid II

    (1)

    Préambule

    Je n’aurais jamais imaginé que j’aurais telle audace pour écrire mon journal ... qui pourrait déboucher á ma mort par des hommes qui connaissent pas de merci. Quoique j’ai dépassé soixante-dix ans d’âge, soi-disant vétéran, j’ai témoigné le décès de trois rois á partir du règne de roi Faisal I, son fils Ghazi et enfin son petit-fils le roi Faisal II".

    Peut-être la scène le plus sauvage que j’ai jamais vécu était le massacre de tous les membres de la famille royale sans merci par des iraquiens maçons qui prétendent le nationalisme et la liberté. Oui, des maçons ... ramené par la Grande-Bretagne pour des raisons qui profite á cette organisation terroriste qui a couvé une grande rancune contre le royaume. Même la fuite de la dernière princesse héritière pour un endroit inconnu durant l’attaque contre le palais Al-Rehabe était une immense injure, au moment qu’elle souffrait l’amertume de meurtre de sa famille, endroit qu’on n’a décelé que peu après l’occurrence de ce malfaisant coup d’état républicain.

    Je m’installe pour le moment dans le chalet de mon père sa résidence estival avant sa mort qui se trouve dans l’un de locaux récréatifs auparavant fréquenté par mes parents ... cela se trouve au nord Iraq bien-aimé ... sachant que les Kurdes est un peuple formidable abritant des hommes fiables durant les temps durs, chose que j’ai touché en personne par expérience avec eux qu’ils ont fait preuve des bonnes mœurs en volonté de venir au secours des autres.

    Cheikh Omar est d’origine kurde qui parle bien l’arabe avec son dialecte simple, il m’a bien accueilli, non seulement parce qu’un jour j’étais le fils de Pacha mais aussi pour les services que je lui ai rendu pendant les bons vieux temps et pour avoir réglé pour lui plusieurs affaires qui lui étaient insurmontables au niveau de services gouvernementaux ... de telles affaires je réglais par un simple coup de fil.

    Deux personnages ont laissés leurs empreintes dans ma vie privée... á savoir mon père et madame Sawsan. Mon père était un personnage fort et dur jouissant d’une grande influence dans l’état et courtisan du roi Faisal I.

    Quant à ma jolie amie madame Sawsan la quadragénaire, elle m’a tenu compagnie durant toute ma vie et m’a trop aidé pendant les échecs que j’ai eu durant ma jeunesse.

    Je me souviens de ces jours sombres á Londres lors de mon mariage d’une femme libanaise qui m’a trompé après un an de mariage, quand elle a retombé aux bras de son amant nègre après m’avoir subitement chassé de la maison en refusant de m’ouvrir la porte quand j’étais de retour á la maison..., á l’époque je n’ai trouvé abri contre le revers du temps que chez Sawsan qui est devenu graduellement mon amante et concubine. Je reviendrai sur cet incident ultérieurement.

    A ce jour moi et madame Sawsan vivons ensemble.

    Sawsan est une femme d’affaires iraquienne qui a eu un rôle important á jouer dans la mutation de ma vie... quoique j’ai perdu confiance aux femmes, mais elle était la personne gracieuse qui m’a fait regagner la confiance dans la vie, nous somme amants depuis une belle lurette et sommes venus á ce formidable endroit estival, á mon propre chalet, après que ma grande sœur a mis sa main sur ma propriété privée avec l’aide de son mari qui est son mineur de dix ans et qui a escroqué plusieurs hommes d’affaires et même l’état, celui est son huitième époux, qui pourrait être son permanent s’il n’aurait pas était massacré par la association secrète de Bagdad qui grouillait d’espions juifs et non-juifs á l’époque.

    Nous sommes venus, moi et mon amante, pour être seuls ensemble loin de ce monde impitoyable plein de trahison, fausses révolutions, meurtre et espionnage au prix des innocents. Nous nous ne sommes pas mariés... de par notre conviction que le mariage est un projet voué á l’échec et temporale, il joue par contre á rouiller le respect et l’amour après une certaine période et d’accroitre la routine entre les conjoints ... cela était notre conviction propres á nous.

    Quelle quiétude, pureté et floraison dans cette villégiature loin de Bagdad où règne le silence imprégné d’amour, moi et mon amante, avec le diable en troisième lieu comme dit-on, telle cordialité difficile á s’engendrer entre le mari et son épouse en ces jours passés. Tous est inchangé dans le chalet, vue que frère Omar prenait soin du chalet... et l’a gardé propre durant notre absence, où il a mis grand soin à maintenir nos propriété comme si elles étaient neuves... malgré que le décor se faisait en style européen le plus moderne, sauf ce lit qui sortait un grincement vieillard et que j’étais sur le point de changer en dépit de son luxe s’il n’était pas le fait qu’il était un souvenir des jours d’antan, les jours de galas et défoulement de pachas. A chaque fois que je renvoyais les invités, y restait avec moi la chanteuse Hayame, qui fut assassinée ensuite par l’un de politicien influent pendant le règne du roi Ghazi, on l’a trouvé tuée dans sa voiture Mercedes avec son chauffeur dans un quartier de Bagdad.

    Mon père « le Pacha » et une maçon de grade. Avant sa mort, il était bien avide à changer le cours des évènements dans l’état clandestinement par de complots visant á renverser la royauté en Iraq á cause des ambitions du roi Faisal d’ériger un Iraq fort.

    Mon père était d’un goût subtile et prenait soin de son apparence... il se plantait devant le miroir pour jeter un coup d’œil rapide pour s’assurer de son élégance, soliers bien vernis, papillon bien en place et que sa ténue est impeccable pour enfin sortir pour trouver le chauffeur á son attente pour le faire le salut matinal avant de précipiter de lui ouvrir la portière arrière de la voiture toujours avec un grand sourire affiché sur le visage.

    Mon père adore le vin, il jouissait d’une grande influence dans la cour royale en plus il était l’artisan de décisions cruciales de la cour. Son rapport avec roi Faisal I dépassait de loin ses fonctions. Il a témoigné la naissance de son fils Ghazi, l’a porté dans ses bras étant nourrissant et a observé avec joie ses premiers pas déséquilibrés et les prémisses de ses balbutiements infantiles.

    Mon père « le pacha » était de grand gabarit mais svelte, brun de teint, élégant et chic. Je le voyais en costume blanc sharkskin ample sur une chemise blanche de cols amidonnés avec cravate en nœud en petit triangle sur des soliers Anglais de couleurs noir et blanc, y sortir avec ma mère pour aller dans un club de nuit pour passer une soirée joueuse après une semaine de travail fastidieux en me laissant avec la gouvernante qui aménageait la maison et surveillait les serviteurs en toute rigueur.

    Mon père était un maçon et je l’admet, il s’est réuni á plusieurs reprise avec l’idole juif « Mustafa Kemal Atatürk » á Londres soit sur rendez-vous ou « á l’improviste » ... quand le dernier était membre au parti d’union et progrès. Ils se sont rencontrés á Londres pendant que mon père savait que cet homme abritait des ambitions sérieuses et vise á détruire et miner le califat islamique á l’époque qui était en voie de décadence et s’érodait par la corruption pendant les deux derniers siècles de l’âge de l’empire. A l’époque s’acharnait Atatürk pour détrôner le dernier de califes musulmans qui était déjà précaire ... et abolir pour toujours le califat ottomane afin d’engager les plans des ennemis qui se comploter pour en finir avec l’homme malade, et s’infiltrer dans la nation arabe et enfoncer le premier clou dans le cercueil de l’état palestinien que nous allons revendiques somptueusement sans aucune doute par ma foi á la promesse d’Allah.

    Mon père « le Pacha » était proche des Anglais... raison pour laquelle on l’a planté á la cour royale et l’ancrer á la famille au pouvoir, bien avant que mon père soit brutalement assassiné d’une façon grossière par des inconnus en dépit de son âge avancée.

    **************

    Je me souviens jusqu’aujourd’hui comment on a conspiré contre le roi « Faisal II », le premier attentat pour renverser le régime royal qui a eu lieu au 14 juin 1958 s’était survenu suite á sa tentative de sortir de l’hégémonie Anglaise et former des nouvelles alliances solides avec d’autres états.

    L’Iraq était resté sous l’hégémonie Anglaise pour des décennies et l’indépendance de pays en 1932 n’a pas réussi á désintégrer cette hégémonie. Pour s’échapper á tel engrenage, le nouveau jeune roi Faisal II a pensé, avec l’aide de son oncle maternel Abdul Ilah et l’homme fort de l’état á savoir Nouri Al Sayeed, à faire recours aux Etats Unis étant qui était le pouvoir mondial émergeant, essayant de gagner son amitié et conclure des accords avec. Lorsque le roi a pris connaissance de manifestations de développement, progrès et civilisation aux Etats Unis, il a lancé sa fameuse citation »je ferai de mon mieux pour faire de mon pays et patrie une effigie de ce que vous avez réalisé en progrès et développement ».

    Cette vocation n’a pas plu á la grande Bretagne et elle se mis a comploter contre lui et mettre les plans pour renverser ce régime et ces trois symboles á savoir « Faisal, Abul Ilaah et Nouri Al Sayeed ».

    **************

    Il se fait que Nouri Al Sayeed a demandé l’annexion de Kuwait á la fédération Hachémite, et cela était l’une de raisons majeure pour renverser le régime royale en Iraq, á l’époque Nouri Al Sayeed était le président de la fédération Hachémite, et Kuwait état sous protectorat britannique et faisait encore partie de l’Iraq. Une fois que

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