L'Histoire Qui N'a Jamais Existé

Par Nancy Fonda

L'Histoire Qui N'a Jamais Existé est une romance mafieuse palpitante qui explore l'amour, la loyauté, la trahison et les frontières floues entre le bien et le mal. Isabella, une femme forte et indépendante, se retrouve impliquée dans le monde dangereux de Luca, un chef de la mafia notoire avec un passé torturé. Après avoir été témoin d'un crime violent, elle est forcée de pénétrer dans son monde, où le pouvoir, le danger et la passion se heurtent.

Alors qu'Isabella navigue dans ce monde souterrain sombre, elle commence à voir Luca sous un nouveau jour – sa vulnérabilité, son honneur et les cicatrices de son passé. Mais à chaque pas qu'elle fait dans son monde, les enjeux augmentent, et leur attraction croissante devient une source de conflit intérieur. Déchirée entre sa morale et ses sentiments, Isabella se retrouve face à des choix impossibles. Peut-elle faire confiance à Luca, un homme qui prospère dans la violence, ou son monde la détruira-t-il ?

De l'action palpitante à des moments intimes de vulnérabilité inattendue, L'Histoire Qui N'a Jamais Existé offre des montagnes russes d'émotions. Le voyage d'Isabella et Luca est rempli de trahisons dangereuses, de loyauté farouche et de sacrifices déchirants. À mesure que leur relation se renforce, ils sont confrontés au prix de l'amour dans un monde où la loyauté est primordiale et où la survie n'est jamais garantie.

Remplie de rebondissements, de douleur et d'un climax explosif, cette romance mafieuse est faite pour ceux qui recherchent une histoire d'amour aussi dangereuse qu'irrésistible. L'amour peut-il survivre lorsque le monde autour de vous est construit sur la violence ? Découvrez-le dans ce conte inoubliable.

• Langue: Français
• Éditeur: Nancy Fonda
• Date de sortie: 27 janv. 2025
• ISBN: 9798230195955

Aperçu du livre

Table des matières

Chapitre 1 : La rencontre inattendue

Chapitre 2 : Une invitation dangereuse

Chapitre 3 : Un aperçu du monde de la mafia

Chapitre 4 : Une alliance réticente

Chapitre 5 : Le premier goût du danger

Chapitre 6 : Le passé caché

Chapitre 7 : Faire confiance à l'ennemi

Chapitre 8 : Moments intimes

Chapitre 9 : La loyauté familiale

Chapitre 10 : Tension croissante

Chapitre 11 : L'attraction interdite

Chapitre 12 : La trahison

Chapitre 13 : Le prix de la loyauté

Chapitre 14 : L'ennemi intérieur

Chapitre 15 : Une alliance improbable

Chapitre 16 : Le pouvoir de l'amour

Chapitre 17 : La première perte

Chapitre 18 : Obligé de choisir

Chapitre 19 : L'évasion

Chapitre 20 : En état de siège

Chapitre 21 : Un sombre accord

Chapitre 22 : Une lueur d'espoir

Chapitre 23 : La trahison finale

Chapitre 24 : Le test ultime

Chapitre 25 : Sacrifice par amour

Chapitre 26 : Reconstruire l'Empire

Chapitre 27 : Une nouvelle famille

Chapitre 28 : Une proposition dangereuse

Chapitre 29 : Un prix payé

Chapitre 30 : Un amour au-delà de la mafia

Remerciements

Je tiens à remercier chaleureusement tous ceux qui m’ont soutenu tout au long de la création de ce livre. Je remercie tout particulièrement mes lecteurs pour leur soutien continu : leur enthousiasme et leur intérêt sont ce qui me motive à continuer d’écrire.

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Les ombres du désir

L'histoire qui n'a jamais existé

Si vous vous êtes retrouvé captivé par cette histoire, je vous encourage vivement à explorer ces autres récits captivants, où le pouvoir, le danger et une alchimie indéniable s'entremêlent, dans le contexte sombre du monde de la mafia, où la loyauté est mise à l'épreuve et l'amour brûle férocement au milieu de la trahison et du secret.

Merci encore pour votre soutien. Cela signifie beaucoup pour moi.

Chapitre 1 : La rencontre inattendue

Isabella avait toujours pensé que la vie était faite de moments simples et prévisibles. Une tasse de café le matin, le ronronnement du moteur de sa voiture alors qu’elle se rendait au travail, la routine de sa vie trépidante en ville. Mais ce soir-là, alors qu’elle rentrait chez elle après sa réunion habituelle avec ses amis, tout a changé. Les rues, d’habitude si familières et confortables, lui semblaient différentes – plus sombres, plus calmes, comme si le monde lui-même avait changé sans qu’elle ne s’en aperçoive.

Tout avait commencé comme une soirée ordinaire. Elle avait dîné tard avec sa meilleure amie, Claire, dans un petit café. Elles avaient ri en plaisantant, parlé de leurs journées et fait des projets pour le week-end. C'était un moment de soulagement, une petite oasis dans sa vie par ailleurs trépidante. Mais maintenant, alors qu'Isabella avançait dans l'étroite ruelle qui coupait les ruelles de la ville, ses pensées commençaient à dériver vers un sujet plus troublant. Elle avait entendu des rumeurs, des murmures au sujet de la famille mafieuse qui contrôlait cette partie de la ville. On disait qu'ils opéraient dans l'ombre, leur présence était ressentie mais jamais vue. Isabella n'y avait jamais vraiment prêté attention, jusqu'à maintenant.

Elle avait toujours été prudente, consciente de son environnement, mais ce soir-là, elle ne parvenait pas à se défaire du sentiment d'être surveillée. Les poils de sa nuque se dressèrent et ses pas s'accélérèrent alors qu'elle passait devant une rangée de bâtiments plongés dans l'obscurité. Le vent frais soufflait dans l'allée et ses talons résonnaient sur le trottoir, la faisant se sentir de plus en plus isolée. Son téléphone vibra dans sa poche, la sortant de ses pensées. C'était Claire, qui lui demandait si elle était déjà rentrée chez elle.

Encore quelques pâtés de maisons, répondit Isabella en essayant de se rassurer que tout allait bien.

Puis, le bruit des pneus qui crissaient violemment la fit s'arrêter brusquement.

Tournant la tête, Isabella vit avec horreur une voiture noire et élégante déraper au coin de la rue. Le moteur s'emballa de manière menaçante et avant qu'elle ne puisse réagir, la voiture s'arrêta brusquement à quelques mètres d'elle. La portière côté conducteur s'ouvrit et un homme en sortit, grand et d'un air d'autorité inabordable. Il était vêtu d'un costume sur mesure, ses cheveux noirs lissés en arrière et ses yeux bleus perçants scrutaient l'allée comme un prédateur surveillant sa proie.

Le cœur d'Isabella s'emballa. Elle n'avait aucune idée de qui était cet homme, mais elle sentit un frisson lui parcourir l'échine lorsque ses yeux croisèrent brièvement les siens. Il y avait quelque chose de dangereux chez lui, quelque chose qui lui donna instinctivement envie de fuir. Mais avant même qu'elle ne puisse faire un pas, le bruit des coups de feu fracassa l'air.

Elle s'est figée.

L'homme en costume, dont elle pouvait maintenant voir qu'il avait une expression calme, presque détachée, se déplaça rapidement sur le côté, sortant quelque chose de sous sa veste. D'un mouvement fluide, il tira plusieurs coups de feu sur un groupe de silhouettes qui étaient apparues dans l'ombre derrière lui. Elles se dispersèrent comme des rats, hurlant en essayant d'échapper à la précision mortelle de ses tirs. Isabella resta là, figée, incapable de comprendre ce qui se passait juste devant elle.

Pendant ce qui lui sembla une éternité, elle regarda le chaos se dérouler. L'homme ne semblait jamais perdre son sang-froid, comme s'il l'avait déjà fait d'innombrables fois. Il ne regarda même pas les corps qui tombaient au sol avec un bruit sourd et écœurant. C'était comme s'il était déjà au-delà de la violence, son attention fixée sur quelque chose – ou quelqu'un – d'autre.

Isabella avait le souffle coupé lorsqu'elle fit un pas en arrière, maudissant silencieusement sa décision de prendre ce raccourci pour rentrer chez elle. Elle avait vu des choses – des choses que les gens ordinaires n'auraient pas dû voir. Mais ça ? C'était d'un tout autre niveau. La violence, la vitesse, la cruauté – c'était terrifiant. Et pourtant, il y avait quelque chose de magnétique chez cet homme, quelque chose qui la maintenait clouée sur place, incapable de détourner les yeux.

Les coups de feu cessèrent et le silence retomba dans l'allée, à l'exception du léger sifflement de la respiration de l'homme et des sons ténus des sirènes au loin. Il se retourna lentement, ses yeux scrutant la zone, comme pour s'assurer que tout était en ordre. C'est à ce moment-là qu'il la vit.

Pendant un bref instant, le regard de l'homme s'attarda sur Isabella, et elle sentit une étrange sensation la traverser. Elle ne savait pas si c'était de la peur ou quelque chose d'autre. Quelque chose de plus compliqué. Son expression restait indéchiffrable, mais il y avait une lueur dans ses yeux, comme un regard entendu qui la déstabilisait encore plus.

« Tu ne devrais pas être ici », dit-il d'une voix basse, calme et presque pleine de regrets, comme s'il souhaitait qu'elle n'ait jamais croisé son chemin. Son accent était prononcé, le genre de ton italien riche qui faisait que ses mots sonnaient comme un avertissement, une promesse, ou peut-être les deux.

Isabella ne savait pas comment réagir. Elle ne savait pas si elle devait courir, crier ou simplement faire semblant de n'avoir rien vu. Mais avant qu'elle ne puisse prendre une décision, l'homme s'approcha d'elle. Sa présence pesait sur elle, la faisant se sentir petite et vulnérable. Il était dangereusement proche à présent, l'odeur d'une eau de Cologne coûteuse se mêlant à l'air frais de la nuit.

« Ne fais pas de bruit », continua-t-il, les yeux plissés tandis qu'il la regardait d'un air qui semblait la transpercer. « Éloigne-toi. Oublie ce que tu as vu. »

Isabella ouvrit la bouche pour parler, mais les mots restèrent coincés dans sa gorge. Son esprit s'emballait, essayant de traiter tout ce qui venait de se passer. Mais elle ne parvenait à se concentrer que sur ses paroles. Oublie ce que tu as vu.

Comment pourrait-elle oublier ? Comment quelqu'un pourrait-il oublier la violence, la froideur de son regard ou la puissance pure qu'il semblait dégager ?

« Je... je ne veux pas d’ennuis », réussit-elle enfin à balbutier en reculant prudemment d’un pas. « Je n’ai rien vu. Je vais m’en aller. »

Ses lèvres se retroussèrent en un demi-sourire et, pendant un instant, il y eut une lueur presque humaine dans ses yeux. Ce fut fugace, mais cela suffisait à faire se demander à Isabella qui était vraiment cet homme, sous tout ce danger et ce pouvoir. Avant qu'elle ne puisse dire un mot de plus, il leva la main pour l'arrêter.

« Je m’en assurerai, dit-il simplement. Mais tu dois comprendre que tu as été... remarqué. Et quand quelqu’un comme moi te remarque, les choses changent. »

Les mots flottaient dans l'air comme un épais brouillard, et le cœur d'Isabella battait fort dans sa poitrine. Elle était effrayée, terrifiée même, mais il y avait aussi autre chose. La curiosité, peut-être, ou une étrange attirance qui lui donnait envie d'en savoir plus. Qui était cet homme ? Et pourquoi avait-elle l'impression que sa vie venait de prendre un tournant qu'elle ne comprenait pas ?

Sans un mot de plus, l'homme se retourna et revint vers la voiture noire, ses pas résonnant dans l'allée. Isabella resta figée, le regardant disparaître dans la nuit.

Les sirènes se faisaient de plus en plus fortes et Isabella trouva enfin la force de bouger. Elle se retourna et s'enfuit, le cœur battant à tout rompre alors qu'elle sortait de la ruelle et s'engouffrait dans les rues animées. La rencontre n'avait duré que quelques minutes, mais elle lui semblait durer une éternité. Et lorsqu'elle jeta un coup d'œil par-dessus son épaule, elle ne put se défaire du sentiment que sa vie venait de changer irrémédiablement.

Chapitre 2 : Une invitation dangereuse

Isabella avait toujours été une femme de principes. Son esprit vif et indépendant étaient des qualités dont elle était fière. En tant qu’architecte à succès au cœur de la ville, elle avait gagné sa place, laissé sa marque et construit une vie qu’elle pouvait appeler la sienne. Mais les événements des derniers jours avaient démantelé tout ce qu’elle pensait savoir sur le contrôle, la sécurité et le monde dans lequel elle avait vécu. Sa vie ne lui appartenait plus. Quelque chose de bien plus grand pesait sur elle, quelque chose qu’elle n’avait même jamais imaginé.

Elle n'avait pas eu l'intention d'assister au meurtre. Elle n'avait pas eu l'intention de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Elle rentrait chez elle, les pensées distraites par une échéance stressante au travail, lorsqu'elle avait pris un raccourci par une ruelle étroite. Le bruit d'un moteur de voiture qui ronflait attira son attention, mais il était trop tard. Les silhouettes étaient apparues de nulle part, entourées de la lueur caractéristique des armes à feu, et aussi vite que cela avait commencé, c'était fini. Une vie qui s'était éteinte en un instant.

Elle avait tout vu : l'échange de mots, la froideur dans le regard de l'homme, la précision délibérée avec laquelle il avait appuyé sur la gâchette. Son cœur avait battu fort dans sa poitrine alors qu'elle se cachait derrière les poubelles, priant pour qu'on ne la remarque pas. Les secondes s'étaient étirées pendant ce qui lui avait semblé être des heures avant que les hommes ne disparaissent aussi vite qu'ils étaient venus. Ce n'est qu'à ce moment-là, tremblante et luttant pour calmer sa respiration, qu'elle avait réalisé l'ampleur de ce dont elle venait d'être témoin.

L'homme au centre de la violence, celui qui avait donné les ordres, l'avait regardée – non, à travers elle – avant de partir. Isabella était certaine que sa vie venait de prendre un tournant auquel elle ne pouvait échapper. Elle était devenue le témoin de quelque chose qui dépassait sa compréhension, et l'idée de ce que cela signifiait l'avait terrifiée. Mais que pouvait-elle faire ? C'était elle qui avait fait le mauvais choix cette nuit-là, et maintenant, les répercussions étaient inévitables.

Deux jours s'étaient écoulés depuis, et Isabella était sur les nerfs, regardant constamment par-dessus son épaule alors qu'elle marchait dans les rues. Elle n'avait rien dit à personne, comment aurait-elle pu ? Il n'y avait pas de mots pour décrire ce sentiment que quelque chose, ou quelqu'un, l'observait. Elle devait continuer à avancer, à agir normalement, mais la panique était toujours juste sous la surface. Elle ne savait pas si elle avait plus peur que la mafia la trouve ou qu'elle la laisse partir.

Un après-midi, la sonnette retentit, la tirant de ses pensées. Elle regarda par le judas, s’attendant peut-être à un voisin ou à une livraison, mais au lieu de cela, elle vit un homme – grand, large d’épaules, avec un air d’autorité qui la mit immédiatement mal à l’aise. Son costume bien ajusté et la manière confiante avec laquelle il se tenait sur le pas de sa porte lui donnaient l’air d’un homme envoyé pour une raison bien précise.

Son souffle resta bloqué dans sa gorge.

Elle ne le reconnut pas, mais quelque chose chez lui fit sursauter son instinct. Elle hésita un instant avant de déverrouiller la porte, le bruit du clic résonna dans l'appartement jusque là silencieux. Lorsqu'elle l'ouvrit, l'homme n'attendit pas qu'on l'invite.

« Êtes-vous Isabella ? » Sa voix était basse, douce, avec un ton qui lui faisait picoter la peau.

« Oui », répondit-elle, sa voix trahissant la peur qu’elle essayait de cacher. « Qui es-tu ? »

Il ne répondit pas immédiatement. Au lieu de cela, il l'étudia avec une intensité qui lui donna l'impression d'être exposée, comme s'il pouvait voir toutes les pensées qui lui passaient par la tête. Ses lunettes de soleil, sombres et opaques, ne firent qu'ajouter au mystère, cachant toute trace d'émotion sur son visage.

« J’ai besoin que tu viennes avec moi », dit-il enfin, d’un ton qui n’était pas interrogatif, mais exigeant. « C’est important. »

Le cœur d'Isabella se mit à battre la chamade. Quelque chose dans son attitude lui faisait comprendre que ce n'était pas une simple demande. Elle sentit une vague de résistance instinctive. Pour qui se prenait-il pour se présenter ainsi à sa porte ? Que lui voulait-il ?

« Je ne crois pas que tu comprennes, dit-elle d’une voix tremblante mais ferme. Je ne te connais même pas. »

Les yeux de l'homme se plissèrent, mais il ne semblait pas menacé par sa réponse. « Tu n'es pas obligée. Mais tu comprendras bien assez tôt. »

Son pouls s'accéléra. « Que me veux-tu ? De quoi s'agit-il ? »

Il s'avança juste assez pour réduire la distance qui les séparait. « Tu as été témoin de quelque