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Cristaux des dunes’
Cristaux des dunes’
Cristaux des dunes’
Livre électronique195 pages1 heure

Cristaux des dunes’

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À propos de ce livre électronique

"Cristaux des dunes’" est une réflexion approfondie sur un microcosme où les observations et les études de l’écosystème se conjuguent à travers une grammaire symbolique, tout en restant comparative. Elle se concentre sur la sensibilité et la sensualité des sens, mais intègre également l’observation du poète à travers sa cognition sociale rapide qui fait émerger une qualité quantitative d’émerveillement dans la conscience. Ce processus donne naissance à de nouvelles émergences, notamment dans le domaine musical et visuel, qui transcendent le temps. Ce domaine ontologique peut être illustré par la citation de Jo Aitnanu : « Et tu offris à celui qui a attendu à plusieurs reprises, le laurier savoureux apollinien nietzschéen… »




À PROPOS DE L'AUTEUR

Par sa plume, Jo Aitnanu met en exergue une fusion complexe de domaines tels que l’anthropologie cognitive, la futurologie transculturelle, l’érotisme poétique et la phénoménologie. Il explore également les liens entre les époques passées, actuelles et à venir, donnant vie à un univers symbolique et utopique, riche en interprétations et en rêveries, qui explore les horizons de la temporalité et de la signification linguistique.
LangueFrançais
Date de sortie11 avr. 2024
ISBN9791042218584
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    Aperçu du livre

    Cristaux des dunes’ - Jo Aitnanu

    … Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…

    L’ek-zistence parvint à dire que celle-ci est une beauté

    à respecter pareillement à

    l’illusion neutre d’un poète sous les mécaniques huileuses

    de notre temps.

    Combien d’heures l’illusion régressive ménagea-t-elle

    le regret en métal massique ? Et de sa fabrication inachevée encore ?

    Puis, de son amour éphémère comme les Amours éphémères ?

    Ainsi, se recherche sempiternellement la ligne de conduite

    hyperbolique à suivre dans son cheminement de vie Parménidien ;

    et cette ligne de conduite est mise au contact des paramètres sentimentaux

    se confrontant

    psychologiquement et philosophiquement

    entre eux, –

    au même titre qu’ils demeurent indécis dans leur cognition sociale, –

    sont-ce l’esquisse à la brillance

    informelle représentant – tout de même ! – une image « sage »

    comme un bon point gagné !

    … Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…

    Mais si et tellement si, laborieusement difficile à décrire – ah… femme…

    face à ce que tu souhaites tu deviens la putain d’un Poête « vulgaris »

    Et puis, ta sensibilité qui sommeille en ton sein, cette sensibilité

    est tellement étrangère à mes sens,

    cette sensibilité qui est Tienne

    et

    qui

    est

    Autre.

    Femme. Mon bonheur, ma forme promptement Vôtre,

    ma souffrance, ce cœur de corps dénudé courbé vers la lumière vitale

    pigmentée de formes figuratives corporellement et chaireusement souples

    ô plantes thérapeutiques

    parce que,

    – plantes aphrodisiaques –

    évanouissant ma conscience pour renaître en « conscience phénoménale »

    qui est l’égale du quale révélé ainsi adroitement

    mais aussi si abstraitement entr’aperçu…

    tu es belle femme, –

    à en crever cet abcès le tracé de mon regard qui peut se satisfaire

    en la réception séduisante ou indifférente unique

    de tes yeux humblement posés sur les miens mais aussi

    terriblement vicieux ;

    ma somptueuse contradiction de pensée et d’agir et de comportement sadomaso…

    Mon amphore dont le contenu érectile

    est pareil au goût amère du songe pornographiquement

    ininterrompu… et jouissivement à tout va le vent le veut…

    rempli de sagesses épanouies entre les vrais repas amicaux hédonistes,

    éblouis par le calme, la paix, mais aussi par les orgies,

    par contre,

    pas

    la philosophie

    Épicurienne…

    – « Puisque, Épicure prônait la modération des plaisirs…

    Ah ! Ce foutu bonheur ! Ce foutre bonheur ! – euhh ! – non ! – pardon !

    Cet inégalable bonheur Épicurien ! – N’est-ce pas ? »

    Me diriez-vous :

    – « Mais… Monsieur Jo Aitnanu, desquels de plaisirs s’agit-il ? Au juste ? »

    – « Ne soyons pas hypocrites Maître Épicure ! » dirai-je.

    Puis, argumenterai-je encor’, par :

    – « N’avez-vous pas été influencé par l’École des Cyrénaïques

    dans votre jeunesse par causalité hasardeuse ? Hein ? Maître Épicure ? Que sais-je encor’… ? »

    Ainsi, la femme est dotée de charmes pas plus secrets que ceux

    de son congénère…

    Elle fait semblant de ne pas vouloir les partager avec l’autre…

    … voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…

    Parmi les vols bleutés de colibris,

    – et des senteurs très discrètement insoupçonnées comme celles d’une femme mouillante –

    sont-ce des souches vieilles de Pins d’Alep du Liban qui exhalent

    autrement leurs intégrités parfumées en volutes dans les temps passés…

    Ô femme. Proto-Femme-fleur.

    Je t’envoie normalement ce souffle

    de foi, et j’envie ton Corps

    normalement aussi’

    et sans autres manières’

    qui trahiraient

    ton comportement

    contradictoire – ;

    car, me confie-t-il, ce souffle de foi,

    son secret existant depuis des ères qui est la simplicité

    mais aussi qui est a contrario – la simplicité non simple, –

    la toute – simplicité symétrique – recherchée par certains Hellènes

    d’un côté se conformant

    aux règles de conduite contradictoires féminines,

    et, la non-simplicité asymétrique intemporelle, d’un autre côté…

    Regard noir contourné de Khôl’ tracé en pointe…

    et ce flou de la conscience accompagnant le geste en paix

    qui s’harmonisa avec la chaleur de l’Ãstre Circulaire : Ô Sappho…

    … Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…

    Aimant recevoir la technique du corps des massages érotiques

    d’avec l’utilisation substantiellement cosmétique à Vous ! de vos huiles essentielles,

    je ne pourrai résister donc longtemps

    assez – encore’ –

    à la tentation « coïtale » buccale

    que la catin accueille entre ses lèvres serrées en forme de ventouse

    caverneuse son Allégorie fantasmatique…

    Alors, mon choix est celui-ci – malgré tout et malgré moi –

    pour ainsi faire plaisir

    à

    cette

    anima

    mauvaisement pieuse…

    C’est ici même, que m’ordonne d’exécuter sur le champ ainsi aussi,

    la prononciation

    phonétiquement

    linguale

    de

    mon silence

    devant

    la dulcinée :

    elle confond l’amour sincère

    avec

    les amours collectives Dionysiaques !

    Ô que votre comportement autre peuple sa force en Čité d’Ḝsprit !

    Alors qu’une part de charme est à divulguer bien haut sur quelques

    axes d’errances

    qui nourrissent autrui jusqu’au paroxysme de la donation de son corps !

    Ou bien

    de son prêt du corps !

    sans argent demandé en retour, ou bien encore’, formuler

    le désir de louer son Corps !

    Cedit « Corps » : ce soi-disant « Corps mystérieux », « Corps impénétrable »,

    « Corps inviolable », « Corps non prêté », « Corps réservé »… et cetera.

    Cet artefact’ de Corps possède la permission même de ne pas aimer

    mais de jouir pleinement et sans contraintes aucunes

    par ce que ce que les autres aiment de Toi !

    … Tu choisis délibérément de faire l’offrande de ton Corps…

    c’est cette joliesse à la gratuité qui est démesurément libertine

    et sacrificiellement salope’ !

    Ne serait-ce qu’une transformation érotiquement Vôtre…

    implacablement Tienne…

    – Car la suite

    inespérée –

    consistant à croire qu’il y a une illusion des sens qui pourrait tromper

    l’appréciation de Vostre décision,

    est une grande parade afin d’évaluer les sentiments amoureux

    qui ne te sont incommensurablement pas Tiens !

    … Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…

    – Ta « nymphomanie » somme toute normative sera progressivement

    maniérée’ avec l’âge –

    car, tu joues à

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