Le professeur et la vierge nymphette

Par Sophia

Céline est une jeune fille de 18 ans qui entre à la faculté de droit de l'Université de Californie. Elle est vierge et sage, avec une innocence unique et en même temps tentante, et elle est extrêmement impertinente. Tout change lorsqu'elle rencontre le très convoité professeur Kyle. Il a toutes les collégiennes à ses pieds, et a l'habitude d'être recherché par toutes, sauf Céline qui se fout de son existence, et le traite avec indifférence et ça le mettra complètement mal à l'aise. Il n'aura pas de repos tant qu'il ne l'aura pas à ses pieds. Céline aura-t-elle assez d'équilibre émotionnel pour résister à toutes les avances du professeur ? Embarquez dans cette délicieuse aventure de Romance Hot. Où le plaisir est votre principal allié.

• Langue: Français
• Éditeur: Sophia
• Date de sortie: 26 févr. 2024
• ISBN: 9798224634347

Aperçu du livre

Chapitre 1

Le professeur et la vierge nymphette Premier jour

Amour ? Qu'est-ce que l’amour ? Ce n'est pas en aimant quelqu'un que j'ai été admis dans l'une des meilleures universités de Californie.

Je crois que l'amour est une distraction. Celui qui aime devient l'otage de quelqu'un qui peut ou non prendre soin de son cœur, mais la plupart du temps, l'amour le détruit.

Je n'ai jamais voulu être dans cette position, de peur de créer une dépendance affective vis-à-vis de quelqu'un. Je m'appelle Céline, j'ai 18 ans et je suis vierge.

Non pas que quelqu'un ait jamais essayé de me coucher, mais je ne pense pas que je devrais le donner à n'importe qui. Je suis blanc, j'ai les yeux verts, j'ai des taches de rousseur et mes cheveux sont naturellement roux. J'attire l'attention des garçons partout où je vais et je continue d'être harcelée par eux, ce qui a créé une sorte de défense en moi.

Certains mecs m'appellent une fille de glace, d'autres m'appellent un enfoiré, et en réalité, je ne suis qu'une fille prête à protéger son cœur. Je suis célibataire par choix. Le jour où j'ai décidé de sortir avec quelqu'un, il a mis ses mains sur mes seins la première semaine de rendez-vous, et quand je lui ai demandé d'arrêter, il m'a dit que les copains avaient des relations sexuelles, et que nous devrions avoir des relations sexuelles, et quand j'ai décidé de rompre, il a eu l'audace de me traiter de frigide.

Je ne suis pas frigide, c'est juste que je ne traite pas le sexe avec banalité. Aujourd'hui, c'est mon premier jour d'école, dans les cours de droit, je veux être avocat comme mes parents, non pas parce qu'ils m'ont forcé, mais puisque j'ai développé un amour pour ce métier. En fait, c'est le seul amour fiable.

Dès mon arrivée à l'université, je faisais attention à toutes les filles, très bien habillées, super maquillées, avec des talons gigantesques, et beaucoup d'entre elles marchaient comme si elles étaient sur un podium.

Non pas que j'étais sous-habillée, mais je n'étais pas non plus habillée pour les défilés de mode. Je cherchais ma chambre, quand un homme est passé devant moi, son odeur a imprégné mes narines. Il était blanc, grand, masculin, avait l'air assez jeune et avait un sourire angélique. Ses cheveux étaient très soignés et il avait une barbichette parfaite. Alors qu'il marchait dans le couloir, beaucoup de filles marchaient avec lui, l'appelant parfumé, beau et une autre l'appelait un professeur sexy.

- Donc c'est un prof ? Combien de libertinage. Je pensais.

C'est indéniable, il est très sexy, mais apparemment, c'est un coureur de jupons, et c'est justement ce type d'homme qui me donne envie de rester célibataire. Il s'est arrêté et a bavardé avec des filles, et j'ai continué ma recherche dans la pièce, jusqu'à ce que je m'arrête devant l'une d'entre elles.

- C'est celui-là. Avant que j'entre, le professeur coureur de jupons est également arrivé dans la même pièce.

Certaines filles qui étaient à l'intérieur de la pièce ont commencé à sortir pour le saluer, et j'ai dû m'éloigner pour éviter d'être piétinée.

Dès que je suis entré, il y avait beaucoup de garçons et peu de filles, car les autres étaient à la porte en train d'embrasser le professeur. J'ai cherché un endroit où m'asseoir, où je pourrais parfaitement suivre le cours. Peu à peu, les étudiants sont entrés et se sont assis, je ne comprenais tout simplement pas comment ils le connaissaient, si nous étions encore au premier semestre, alors la salle ne devrait être que pour les étudiants de première année.

J'ai regardé mon papier et j'ai demandé à la fille à côté de moi si j'étais dans la bonne pièce. Détendez-vous, il y a beaucoup de vétérans ici qui répètent dans son article, j'en suis un. Ainsi, il a été expliqué pourquoi ils le connaissaient déjà.

Ils passaient tellement de temps à le draguer qu'ils en oubliaient de faire attention en classe. "Bonjour les enfants, je m'appelle Kyle, mais tout le monde m'appelle Ky. Je suis professeur de droit constitutionnel, et j'espère que vous pouvez me voir comme un de vos amis, pas seulement comme un professeur, et je suis ici pour résoudre tous vos doutes. Je vois que nous avons beaucoup de nouveaux visages ici, alors soyez les bienvenus.

Les filles seniors ont commencé à applaudir et les étudiants de première année ont suivi sans vraiment comprendre pourquoi elles recevaient une fessée.

Je me tenais dans le mien, ne voulant pas croire que ces applaudissements étaient pour le professeur.

Suite pour quoi ? J'ai fait non de la tête et j'ai levé les yeux vers lui, et j'ai été surpris quand j'ai vu qu'il me fixait. Les gens ont cessé d'applaudir, et il a regardé la classe et les a remerciés, puis de nouveau vers moi, comme s'il m'analysait.

- Oh, épargnez-moi. Tu veux que j’applaudisse aussi ? Je pensais. J'ai regardé le sol et je riais de ma propre pensée quand il m'a parlé.

Kyle : Salut, comment tu t'appelles ? Je le regardai et répondis sans crainte.

- Céline.

Kyle : Voulez-vous partager la raison du plaisir avec la classe ?

- Désolé professeur, mais j'ai la liberté de rire sans avoir à donner d'explications à quelqu'un.

Au même moment, le buzz a commencé dans la classe.

Kyle : Tu as raison, tout comme j'ai le droit de t'enseigner ou non, peux-tu s'il te plait te retirer.

- Je ne me retirerai pas tant que vous ne m'en aurez pas donné une justification plausible.

Qu'allez-vous dire dans la direction ? Qui ne m'a pas laissé assister à votre cours parce que je riais au milieu de nulle part, ou était la raison comme je ne vous ai pas applaudi ? L'atmosphère était tendue à l'intérieur de la salle de classe et le professeur était totalement insensible.

- Aucune justification ? Eh bien, alors je reste, et tu peux faire ton cours s'il te plait, parce que je suis venu ici pour étudier, ce n'était pas pour gonfler ton ego. Il regarda autour de lui dans la pièce, puis revint vers moi.

Kyle : D'accord Mademoiselle Céline, je laisse tomber celle-ci car nous n'avons pas encore eu le temps de nous connaître, peut-être que lorsque vous me connaîtrez mieux, vous serez plus réceptive et polie.

- Je suis seulement intéressé à connaître votre sujet, professeur et pas vous. Je remarquai un léger sourire au coin de sa bouche, et son regard parcourait tout mon corps, il se dirigea vers ma chaise, sous le regard attentif des élèves, et me parla à l'oreille.

Kyle : C'est ce que nous allons voir Miss Céline. Il m'a tourné le dos et a continué son cours, tandis que je sentais ma peau ramper.

Chapitre 2

Le professeur et la vierge nymphette Question d'honneur

Je m'appelle Kyle, j'ai 27 ans, je suis célibataire et j'enseigne le droit constitutionnel dans une université de Californie.

Ma vie est mouvementée à tous points de vue. Quand je ne suis pas à l'université pour enseigner, je suis dans des soirées et des clubs, et la plupart de mes entreprises sont des étudiants de l'université elle-même.

Je sais que pour beaucoup, cette relation enseignant-élève est contraire à l'éthique, mais personne ne m'a jamais emmené au conseil, et les élèves m'aiment surtout les étudiantes.

Mon dossier est impeccable, et c'est déjà la deuxième année consécutive que je reçois le titre de meilleur professeur. Je sais que les étudiants se jettent sur moi, toujours à vouloir prendre un cône, et je ne suis pas hypocrite en disant que je n'aime pas ça, certains sont vraiment chauds, et je suis même sorti avec certains d'entre eux, mais rien qui me ferait perdre la concentration dans mon travail.

En parlant de ma vie personnelle, je n'aime pas les relations sérieuses, et je ne reste pas non plus avec une femme plus de deux fois, j'aime me satisfaire sexuellement, et dans le sexe, tout est permis, mais je trouve difficilement quelqu'un qui a le même fétiche comme moi. Je ne cours pas après les femmes, elles courent après moi, et ma spécialité est de mouiller leur culotte.

J'aime être mise au défi, même si je sais que je gagne tous les défis que les femmes me proposent, elles jouent, jouent dur, et je prétends qu'elles le sont réellement, mais finalement, c'est moi qui ressens le goût de la victoire.

Chaque semestre, je vais à l'université, préparée à voir un groupe de femmes interrompre mon chemin, avec leur décolleté extravagant, frottant pratiquement leurs seins sur mon visage, je dois toujours arriver tôt pour ne pas me mettre en retard pour mon cours. Certains sont tellement obsédés par moi, qu'ils prennent des bombes dans ma matière juste pour continuer à suivre des cours avec moi, car je n'enseigne qu'aux étudiants de première année ou aux redoublants.

Dans les semestres suivants, il y a d'autres professeurs.

J'ai donc l'habitude d'avoir un degré élevé d'attention, et toute autre chose que cela me rend étrangement mal à l'aise.

Bien que cela ne se produise généralement pas, jusqu'à aujourd'hui, lorsqu'un nouvel élève m'a traité comme un personne dans ma classe. Elle a déjà attiré mon attention à cause de la couleur de ses cheveux, elle est d'un roux cuivré, sa peau est blanche et ses lèvres et ses joues sont très roses, et elle portait une petite robe violette, qui mettait bien en valeur ses seins, et les taches de rousseur sur son visage, ils la faisaient ressembler plus à une fille qu'elle ne l'était vraiment, donnant l'impression d'innocence.

Elle n'est pas innocente du tout. Elle m'a ri au nez et m'a snobé sans vergogne, tout en m'offensant devant