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Un voisin étrange: Histoires étranges, #1
Un voisin étrange: Histoires étranges, #1
Un voisin étrange: Histoires étranges, #1
Livre électronique83 pages1 heure

Un voisin étrange: Histoires étranges, #1

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À propos de ce livre électronique

Pendant les vacances de la Toussaint, Olivier Leroy pénètre sans en avoir le droit sur le terrain d'une des maisons de son village et fait une découverte étrange ayant peut-être un rapport avec l'une des énigmes les plus célèbres de l'Histoire.
 

Le lendemain, un voisin bizarre vient s'installer en face de chez lui, dans une maison délabrée dont personne n'a jamais voulu depuis des décennies. Puni et ayant interdiction de sortir de chez lui, Olivier va avoir beaucoup de mal à mener son enquête et résoudre les mystères qui s'accumulent autour de lui.

LangueFrançais
Date de sortie19 mai 2021
ISBN9798201732486
Un voisin étrange: Histoires étranges, #1

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    J’adore ce livre très addictif et donne envie de lire la suite je recommande fortement

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Un voisin étrange - FLORIAN DENNISSON

Un voisin étrange

Un voisin étrange

Histoires étranges, t.1

Florian Dennisson

Chambre Noire

© Florian Dennisson & Chambre Noire, 2019

Tous droits réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit ou par tout moyen électronique ou mécanique, y compris les systèmes de stockage et de recherche d'informations, sans l'autorisation écrite de l'auteur, à l'exception de l'utilisation de brèves citations dans une critique de livre.

À tous les enquêteurs en herbe

qui s’ennuient pendant les vacances

Table des matières

Avant-propos

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Mes notes sur les Templiers :

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Mes notes sur les Templiers (suite) :

Chapitre 9

Chapitre 10

Mes notes sur les Templiers (suite et fin)

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Épilogue

Et la suite alors ?

Et maintenant ?

Restons en contact !

Avant-propos

Je m’appelle Olivier Leroy, j’ai bientôt treize ans et j’habite sûrement l’un des plus petits villages au monde. Je sais bien que c’est sans doute faux, mais c’est en tout cas l’impression que j’en ai. Pourtant, alors qu’il ne s’y est jamais rien passé depuis que j’y vis, mon bled a fait la une de tous les journaux du pays.

Voici comment je me suis retrouvé au centre d’une des énigmes les plus mystérieuses de ces derniers siècles.

Voici mon histoire.

Chapitre 1

Arville. C’est l’endroit où j’ai vécu toute ma vie. Enfin, presque. Je suis né à Paris, mais ma mère, qui est prof d’histoire-géo, a été mutée dans ce minuscule village coincé entre Le Mans et Chartres. Franchement, si je n’y habitais pas, je ne saurais même pas situer ces deux villes sur une carte de France !

Arville. Un peu moins de dix kilomètres carrés. C’est tout petit. Deux boulangeries, un supermarché, un lycée agricole et une caserne de pompiers. Il ne se passe jamais rien à Arville, et pourtant, le premier jour des vacances de la Toussaint, j’ai fait une découverte qui allait bouleverser ma vie, celle de ma famille, de mon village et même celle de l’histoire de France !

Là où j’habite, j’ai un seul copain de mon âge : Thomas. On étudie tous les deux dans le même collège et parfois, les jours où on n’a pas cours, je vais chez lui. Il a toujours la dernière console avant tout le monde et l’été, on peut se baigner dans sa piscine. Il part souvent en vacances avec ses parents, alors, quand c’est juste l’histoire de quelques jours, je garde leur chien Tobby, un labrador couleur chocolat un peu bête, mais super gentil.

Ce jour-là, Thomas était absent. Il était parti en Angleterre chez son correspondant pour toute la durée des vacances. Il m’avait promis de me rapporter des trucs bizarres à manger et m’avait dit qu’à son retour, je devrais tout goûter sans exception !

Sans lui, je pensais que j’allais passer mon temps à m’ennuyer ; mais en fait, avec tout ce qui m’est arrivé, j’ai passé les vacances de la Toussaint les plus excitantes de toute ma vie !

Il faisait froid, je m’étais emmitouflé dans mon gros manteau d’hiver et j’avais mis un bonnet, mais ma mère m’avait quand même obligé à porter une écharpe. Avec tout ça sur moi, je pouvais à peine bouger, j’avais l’impression d’avoir une combinaison de cosmonaute. Quoi qu’elle en pense, impossible d’attraper un rhume !

J’ai pris le petit chemin à travers le bosquet au bout de notre rue, j’ai marché vers chez Thomas et puis j’ai parcouru le même chemin que j’aurais emprunté si j’avais dû aller promener Tobby. J’ai longé le champ de luzerne où je laissais souvent le labrador courir après les lapins ou déterrer des taupes, puis je me suis retrouvé à la limite d’une grande propriété qui venait d’être rachetée par une famille de Parisiens. Je crois bien qu’ils voulaient en faire leur résidence secondaire. Quelle idée de venir s’enterrer ici ? Moi, si j’avais eu l’argent, j’aurais préféré acheter une maison au bord de l’océan. Je me suis mis à avoir de la peine pour les pauvres enfants qui allaient devoir passer, comme moi, tous leurs week-ends et leurs vacances dans ce trou paumé qu’est Arville.

Une pelleteuse s’affairait sur la bande de terrain qui s’étirait entre une petite tour ronde et la grande bâtisse. J’adore les pelleteuses et — de manière générale — tous les engins mécaniques dont on se sert dans la construction. Je rêve d’en conduire une, quand je serai plus grand, de creuser d’énormes trous, de transporter de gros rochers et de briser le béton à la force des puissants vérins hydrauliques.

Ce jour-là, je suis resté des heures entières à regarder cette machine faire des manœuvres dans la boue et les graviers. D’après ce que mon père avait raconté une fois aux voisins d’en face, les nouveaux propriétaires de la maison voulaient construire une piscine sur leur parcelle.

Le fossé était énorme, et le conducteur était obligé d’aller de plus en plus loin pour déposer la terre qu’il avait amassée dans le godet.

Soudain, l’engin a basculé sur la droite et j’ai bien cru qu’il était tombé dans un trou encore plus profond, comme s’il avait percé la paroi d’une cavité. L’ouvrier a poussé un cri accompagné

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