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FERNAND CORTEZ (Livrets 1809 et 1817): ou La conquête du Mexique
FERNAND CORTEZ (Livrets 1809 et 1817): ou La conquête du Mexique
FERNAND CORTEZ (Livrets 1809 et 1817): ou La conquête du Mexique
Livre électronique161 pages3 heures

FERNAND CORTEZ (Livrets 1809 et 1817): ou La conquête du Mexique

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À propos de ce livre électronique

FERNAND CORTEZ ou La conquête du Mexique
(OPÉRA) TRAGÉDIE LYRIQUE en trois Actes
d'Étienne De Jouy et Joseph-Alphonse d’Esménard
Musique de Gaspare Spontini

LES DEUX LIVRETS COMPLETS (1809 et 1817) :
- édition critique (par Federico Agostinelli) et Roullet, 1809
- 2ème version imprimée par Roullet, Paris, 1817
Éditées par Dino Finetti
Argument.
Personnages.
TEXTES (1809 et 1817).
Notes et Commentaires (Mariani, Kaminski, ELPE Musique).
De Jouy (Préambules historiques).
Estampes et Images.
Liens à YouTube (opéra complet).
OPERA Smart
LangueFrançais
Date de sortie1 avr. 2020
ISBN9788835399155
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    Aperçu du livre

    FERNAND CORTEZ (Livrets 1809 et 1817) - Gaspare Spontini

    Gaspare Spontini / Étienne De Jouy

    Fernand Cortez (1809/1817)

    ou La conquête du Mexique

    UUID: 14e74dc8-b507-4bb1-b61d-9342bb5aab68

    Ce livre a été créé avec StreetLib Write (http://write.streetlib.com).

    table des matières

    FERNAND CORTEZ

    Tables des matières

    ARGUMENT (1809)

    Personnages (1809)

    Préambule - LIVRET (1809)

    Acte Premier

    Acte Deuxième

    Acte Troisième

    Commentaire

    INTRIGUE (2017)

    Personnages (1817)

    Avertissement - LIVRET (1817)

    Acte Premier

    Acte Deuxième

    Acte Troisième

    Commentaires et Notes critiques

    Textes

    Liens à Youtube

    eBook Stores / OPERA - Smart

    FERNAND CORTEZ

    ou La conquête du Mexique - Livrets (1809 et 1817)

    LES DEUX LIVRETS COMPLETS:

    - édition critique (par Federico Agostinelli) et Roullet, 1809

    - 2 ème version imprimée par Roullet, Paris, 1817

    Éditées par Dino Finetti

    Argument.

    Personnages.

    TEXTES (1809 et 1817).

    Notes et Commentaires:

    (Mariani, Kaminski, ELPE Musique).

    De Jouy (Préambules historiques).

    Estampes et Images.

    Liens à YouTube (opéra complet).

    OPERA Smart

    © 2020 Flying Dutchman

    Couverture - Sources :

    Carte du Mexique - gravure de Civitates Orbis Terrarum de Georg Braun (1541-1622) et Frans Hogenberg (1535-1590) : carte de Mexico, 16 e siècle (Tenochtitlán)

    https://www.archaeology.org/images/JA2014/Mexico_City/Mexico-City-1524-Map.jpg

    Fernand Cortez ou la conquête du Mexique [Image fixe] : sept pl. de costumes / par François-Guillaume Ménageot (1744-1816). Publication : 1809 – Sept dessins : plume et encre noire, aquarelle ; formats divers.

    https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb409160867

    Flying Dutchman Publishing - Ferrara

    fldpub@gmail.com

    flyingdutchman.pm@libero.it

    Tables des matières

    ARGUMENT (1809)

    Acte I

    Les officiers, les soldats et les marins espagnols, aux ordres de Cortez dans la conquête du Mexique, sont effrayés et fâchés contre leur commandant: en effet, ils craignent que le grand nombre d’ennemis ne finisse par les accabler et que Cortez ne sacrifie leurs vies à ses intérêts personnels et à son rêve de gloire. Ils veulent, donc, apprêter leurs navires et retourner en Espagne. Arrive Cortez avec Moralez, son ami et confident, il s’adresse à son armée l’influençant avec une habile stratégie: il ne reconnaît plus ses fidèles qui auparavant se sont toujours engagés dans les plus folles aventures, mais qui à présent, confrontés à cet exploit qui les rendra glorieux, veulent tout lâcher et par-dessus-le marché se sauver les armes à la main. Ces paroles convain­quent immédiatement les soldats qui jurent de suivre leur chef jusqu’à la victoire ou bien à une mort glorieuse.

    Resté seul avec Cortez, Moralez lui révèle ses doutes: les Mexicains se sont organisés et ne craignent plus les armées espagnoles; de plus, Alvar, le frère de Cortez, et ses soldats sont encore prisonniers d’ennemis cruels et en danger de vie et les armées peuvent retomber dans la terreur. Toutefois, Cortez reste ferme: son cœur est triste à cause de son frère, mais il veut que la gloire et la patrie passent avant tout. Moralez exhorte son ami à se concentrer davantage sur l’exploit et moins sur Amazily, la princesse mexicaine dont le capitaine est amoureux. Cortez reconnaît que sa beauté a gagné son cœur, mais il ajoute que, après l’avoir sauvée de la mort, c’est la fille qui l’a sauvé à son tour: elle est indispensable pour leur armée car elle va les guider dans un pays inconnu, il espère aussi qu’elle l’aidera à convaincre les Mexicains à s’assujettir aux Espagnols. À l’arrivée d’Amazily, Cortez congédie Moralez.

    La jeune princesse apporte une bonne nouvelle: Alvar est vivant, mais, en même temps, elle révèle à Cortez ses inquiétudes: les prêtres répandent des présages sinistres et pour calmer leur Dieu du mal, ils exigent le sang des prisonniers. Le roi Montézuma est affaibli et indécis: il se croit la victime d’un dieu vengeur et fait confiance aux prêtres. Déjà quelques années auparavant, Montézuma, à l’instigation des prêtres, avait condamné à mort Amazily parce que, par amour de Cortez, elle s’était rangée du côté des Espagnols et elle s’était sauvée grâce au sacrifice de sa mère, qui s’était immolée à sa place. Maintenant, Amazily se déclare prête à offrir sa vie en échange de celle d’Alvar. Cortez la rassure: il est sûr de sa victoire.

    Arrive Moralez il annonce qu’un cortège de Mexicains, composé de femmes et d’enfants, va arriver conduit par un noble guerrier, le Cacique des Otomis. C’est Télasco, le frère d’Amazily. Amazily tressaille à cette nouvelle, cela semble à Cortez de bon augure: Montézuma ne peut pas l’avoir choisi pour annoncer la mort d’Alvar. Amazily lui rappelle que son frère est un brave guerrier, inflexible avec les étrangers au point de ne pas renier son caractère fougueux. Elle souhaite, ainsi que Cortez, que Télasco vienne proposer une alliance éternelle.

    Le cortège arrive au campement, les soldats espagnols et le peuple mexicain se rencontrent pour la première fois. Télasco prend alors la parole: il reconnaît le courage de Cortez et informe que Montézuma veut honorer sa valeur en offrant des cadeaux aux Espagnols. Cortez accepte les cadeaux et, en échange, il offre une épée à Télasco: celui-ci l’exhorte à déposer les armes et à savourer la beauté de la paix. Mais il le met en garde: si Cortez veut continuer la guerre, Télasco passera sa colère sur lui avec cette épée-là.

    Les femmes mexicaines et les guerriers espagnols chantent la paix et les femmes commencent à danser pour les Mexicains, mais Cortez interrompt la fête dans la crainte qu’elle n’ait un effet dangereux sur la volonté de combattre de ses troupes. Il envoie Mora­lez chez Montézuma pour lui demander, au nom d’une paix durable, un échange de prisonniers, tandis qu’il retient Télasco près de lui attirant son attention sur la différence entre les danses mexicaines et la force espagnole, ensuite il fait entrer la chevalerie suscitant la surprise du peuple mexicain.

    A la fin des danses des Espagnols, Télasco, furieux, dicte ses conditions: les Espagnols ne sont pas les maîtres de leur destinée, ils sont entourés désormais de peuples ennemis, prêts à se venger. Cortez doit accepter les cadeaux de Montézuma et, tant qu’il peut, monter à bord et quitter la terre mexicaine. Cortez répond qu’il a prévu les dangers évoqués par Télasco, mais qu’il veut terminer son œuvre: libérer le Mexique du pouvoir criminel des prêtres et conquérir leurs terres. Les menaces de Télasco sont, donc, inutiles et si, d’après ce qu’il dit, le seul salut pour les Espagnols sera la fuite à travers la mer, qu’il fasse attention à sa réponse: c’est à cet instant même que la flotte espagnole brûle, dans la peur et la stupeur de Mexicains et des Espagnols.

    Cortez s’adresse encore à ses soldats: toute voie de fuite est barrée, l’alternative, c’est la mort ou bien la victoire. Ils doivent le suivre et il les conduira vers le triomphe: rien n’est impossible pour les braves et le monde appartient aux héros, dit-il. Les soldats jurent de le suivre jusqu’à la victoire.

    Acte II

    Les soldats espagnols traînent leurs canons vers Mexico, la ville royale, avec lesquels ils vont détruire les remparts. Télasco regarde découragé le déploiement de l’artillerie espa­gnole, conscient de sa puis­sance dévastatrice. Il s’emporte contre qui, parmi son peuple, s’est uni aux Espagnols pour la destruction de Mexico: il aimerait mourir dans l’incendie de la ville plutôt que de chercher son salut dans la fuite.

    Arrive Amazily et entre les deux frères il y a un dialogue dramatique: Télasco accuse sa sœur, esclave de Cortez de guider les Espagnols contre sa patrie; Amazily lui rappelle qu’elle a pu se sauver

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