La romancière fait revivre le temps des Césars sanguinaires. Peur, vengeances et trahisons : on est loin du paradis latin !
Caligula, Néron, Tibère... Même Shakespeare les aurait trouvés excessifs
Tous les chemins mènent à Rome. Ceux de la haine, comme pour la Camille de Corneille, qui espérait « voir le dernier