Droit Au But N°1 : Compilation Des Passages Intéressants

Par Rod Mandelli

Passez-vous des pans entiers des histoires érotiques gay pour ne lire que la fin ? Vous aimeriez vous affranchir du scénario et aller directement aux moments torrides, comme vous le feriez avec des vidéos en avançant rapidement jusqu’au moment où les hommes sont déjà en pleine action sur le canapé ?
Gayrotica press a repris quatre nouvelles relatant des scènes gays de Rod Mandelli parmi les plus populaires, et les a raccourcies pour passer outre les préliminaires. Vous n’avez plus qu’à profiter des explosions finales, incontournables quand des mecs chauds se rencontrent.
Ce recueil contient des scènes de sexe torrides extraites de quatre histoires déjà publiées et mentionnées ci-dessous.
De la série Confessions gay :
Mon voisin plus âgé mais tellement bien foutu
Un voisin velu plus âgé récemment emménagé en face de chez Roy, un jeune adulte musclé, lui enseigne les joies du sexe entre hommes.
Également de la série Confessions gay :
Le frère de mon meilleur pote
Steve, un sportif populaire au sein de son cercle, se découvre à lui-même avec le grand frère de son meilleur ami.
De la série Scandales politiques gay :
Le sénateur Brick Scrotorum et son complice d’université
Peter, un universitaire envoyé en stage chez le Sénateur Scrotorum ouvertement anti-gay, épie ce que fait le politicien au bureau quand tout le monde est rentré le soir… avec un autre homme.
De la série Noël gay moderne :
Le vieux patron et l’employé sexy
Bob, un employé non respecté par son patron pervers, peut-il refuser les avances tordues de ce dernier ?
Une collection d’extraits de nouvelles érotiques gay de Gayrotica Press, qui décrit des rapports sexuels entre hommes.

• Langue: Français
• Éditeur: Gayrotica Press
• Date de sortie: 12 déc. 2014
• ISBN: 9781633390584

Rod Mandelli

Rod Mandelli escribe historias sexy gay que contienen acción caliente de hombre a hombre.

Aperçu du livre

d’université

Extrait de l’histoire

Confessions gay n°1 :

Mon voisin plus âgé mais tellement bien foutu

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Quand j’étais au lycée, à l’époque de mes classes supérieures, un nouveau voisin du nom de Jason est venu emménager en face de chez moi. Il était marié, la trentaine bien avancée, un bloc sculpté d’environ 1,85 mètre pour 85 kilos, les cheveux châtain clair. J’ai passé la journée avec lui, pour l’aider à décharger les cartons dans leur nouvelle maison.

J’adorais sentir son corps si près de moi. Regarder les biceps de Jason se tendre, lorsque nous levions les meubles et les cartons, était vraiment excitant. Chaque fois qu’il se penchait pour se positionner avant de soulever la charge ou pour faire reposer un carton lourd sur ses genoux, je sentais mes propres genoux faiblir en imaginant ce que cela pouvait être de sentir ces jambes puissantes autour de moi.

Au bout de deux heures, je dus admettre que je commençais à fatiguer. Le soleil en ce début d’après-midi battait fort dehors. Nous étions tous deux trempés de sueur. « Je n’en peux plus, faut vraiment que j’enlève ce tee-shirt », dit-il en s’exécutant. Il me le jeta comme pour jouer. Ne m’y attendant pas, je le reçus en pleine face. L’odeur de sa sueur de mâle était exaltante. Je sentis mes bourses se contracter un peu. Je m’extirpai de mon tee-shirt et lui jetai en retour. Il s’y était déjà préparé et pu l’attraper au vol. Il s’essuya les aisselles avec. « Tiens, un petit bonus pour toi, mon petit Roy. En souvenir de cette journée, blagua-t-il.

— Enfoiré », lui dit-je en feignant de lui porter un coup au bras. Ainsi commença notre lutte sur la pelouse. C’était excellent de pouvoir se mesurer à un homme aussi athlétique que lui. Je sentis son aine se frotter à moi par deux fois, mais je présume que nous étions trop concentrés sur notre combat pour avoir une érection. Je finis sur lui, mes jambes épinglant sa poitrine velue contre le sol. Nous respirâmes avidement, pratiquement en manque d’oxygène. Je feins de lui attraper rapidement le paquet, un de ces gestes que les gars font pour montrer leur avantage sur leur opposant.

« Tapette ! me dit-il en clignant de l’œil. Laisses-moi me lever. » Je le laissai se dégager et lui tendit la main pour l’aider à se relever. « Allez, on va se prendre une bière bien fraîche et faire une pause à l’intérieur, offrit-il.